LBP Posté(e) le 29 novembre 2017 Auteur Share Posté(e) le 29 novembre 2017 Il y a 11 heures, collectionneur a dit : J'ai mis l'info sur le fil idoine mais comme cela concerne tout les sous-marins, un audit fait état ''d'irrégularités'' pour la fourniture des batteries dont les appels d'offres sont fait pour que seul deux entreprises puissent les remporter. Et les batteries du San Juan n'étaient plus sous garantie dès la fin du carénage avec parfois 4 ans de retard dans les livraisons : https://www.corlobe.tk/article44238.html les nuls Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 4 décembre 2017 Share Posté(e) le 4 décembre 2017 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 2 février 2018 Share Posté(e) le 2 février 2018 Et c'est reparti ! http://www.opex360.com/2018/02/02/negociations-vente-de-4-patrouilleurs-de-type-ladroit-a-largentine-ont-ete-relancees/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 15 mars 2018 Share Posté(e) le 15 mars 2018 https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/l-argentine-a-nouveau-proche-d-embarquer-sur-les-patrouilleurs-de-naval-group-771912.html Va quand même flair vérifier qu'ils approvisionnent le compte ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Born to sail Posté(e) le 4 avril 2018 Share Posté(e) le 4 avril 2018 Bon c'est une affaire qui roule : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/l-argentine-va-acheter-quatre-navires-de-guerre-a-naval-group-774181.html 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 12 mars 2019 Share Posté(e) le 12 mars 2019 Les Coasts Guards Argentins ouvrent le feu sur un navire de pêche chinois surpris en action de pèche dans leur ZEE Dans l'article le chinois ne répond pas au appel radio et essaye de s’échapper dans les eaux internationale Les argentins ouvre le feu et le navire chinois leur fonce dessus pour échapper aux tirs avant de leur échapper. Et c'est la que l'on voit que la 12.7 c'est pas suffisant un 20 mm ça l'aurait calmé tout de suite. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 10 octobre 2019 Share Posté(e) le 10 octobre 2019 Les marins du San Juan ont été tués instantanément par une explosion d'hydrogène à 40 m sous la surface, le sous-marin a implosé à -468 m https://www.corlobe.tk/article46509.html 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 10 octobre 2019 Auteur Share Posté(e) le 10 octobre 2019 nouveau Patmar https://www.avionslegendaires.net/2019/10/actu/laeronavale-argentine-rachete-des-p-3c-orion-ex-us-navy/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 10 octobre 2019 Share Posté(e) le 10 octobre 2019 Il y a 6 heures, pascal a dit : Les marins du San Juan ont été tués instantanément par une explosion d'hydrogène à 40 m sous la surface, le sous-marin a implosé à -468 m https://www.corlobe.tk/article46509.html « Ses calculs donnent une profondeur de 468 m et indiquent qu’elle a généré une énergie équivalente à l’explosion de 5.216 kg de TNT » En décembre 2017 je rapportais les éléments d’expertise du même Bruce Rules qui parlait alors de « L'énergie libérée par le collapse était équivalent à l'explosion de 12 500 livres de TNT ( 5669 kg) à la profondeur de 1275 pieds (388 m) . Cette énergie a été produite par la conversion presque instantanée de l'énergie potentielle (pression de la mer) en énergie cinétique, le mouvement hydrostatique de pénétration dans la coque du SAN JUAN s’est effectué à une vitesse d'environ 1800 km / h. La totalité de la coque de pression a été complètement détruite (fragmentée / compactée) en environ 40 millisecondes (0,040 ou 1 / 25ème de seconde), la durée de la phase de compression de l'événement d'effondrement étant la moitié du temps minimum requis pour la reconnaissance cognitive. un évènement. Bien que l'équipage ait pu savoir que l'effondrement était imminent, ils n'ont jamais su que cela se produisait. Ils ne se sont pas noyés ou n'ont pas ressenti de la douleur. La mort était instantanée » http://www.air-defense.net/forum/topic/20680-un-sous-marin-argentin-porté-disparu/page/5/?tab=comments#comment-1105470 https://www.survivalmonkey.com/threads/this-analysis-is-one-way-submarines-die-loss-of-the-argentine-submarine-san-juan.61152/ Il a dû peaufiner ces calculs ; ceci dit a-t-il été mandaté par l’état Argentin pour la rédaction de son rapport ? 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 10 octobre 2019 Share Posté(e) le 10 octobre 2019 30 millisec. pour l'explosion d'H² qui a tué l'équipage çà me paraît tellement rapide une telle propagation ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 10 octobre 2019 Share Posté(e) le 10 octobre 2019 (modifié) Rapport de la disparition du San Juan en trois parties , source Sénat Argentin. https://www.senado.gov.ar/upload/31235.pdf https://www.senado.gov.ar/upload/31236.pdf https://www.senado.gov.ar/upload/31237.pdf Article presse de juillet dernier traduisible via google , on comprend qu’il en reproduit la synthèse https://www.ambito.com/ara-san-juan-las-causas-del-hundimiento-del-submarino-n5043429 ton aide Fusilier stp En attendant , Les conclusions du rapport sur le naufrage du sous-marin ARA San Juan: - Le 14 novembre 2017 à 23h42, le sous-marin SAN JUAN a signalé une panne causée par l'entrée d'eau de mer dans le système de ventilation, qui a provoqué un début d'incendie sur le « balcon » du local batteries N ° 3. Conformément aux consignes d'urgence, il refait surface, continuant sa navigation avec un circuit séparé , c'est-à-dire uniquement avec ses batteries de l’arrière et sa ventilation. - La dernière communication du sous-marin a été reçue le 15 novembre à 07h19. Il a informé que la situation était sous contrôle, qu'il naviguait à immersion périscopique et qu'il avait l'intention de plonger à 40 m pour pouvoir entrer dans le local batterie n ° 3, afin d’évaluer les dommages et « réparer » ? . - Les incendies dans les locaux batteries des sous-marins SONT DES ACCIDENTS TRÈS GRAVES, ils sont extrêmement difficiles à circonscrire et obligent dans tous les cas le sous-marin à rester en surface. CETTE PANNE A ETE SOUS ESTIMEE DANS TOUTE LA CHAINE DE COMMANDEMENT. - L'eau de mer entrant dans le local de batteries par la gaine de ventilation ne peut provenir que de la vanne E-19. Cette vanne est TOUJOURS FERMÉE EN NAVIGATION. Cela signifie que la vanne E-19 n'a pas correctement étanche - Lors de la navigation de juillet 2017, il y avait une entrée d'eau de mer dans la gaine de ventilation de la zone avant , c'est-à-dire celle qi dessert dans le local batterie n ° 3. - Il n’existe aucun document écrit ou verbal faisant référence à la réparation de l’étanchéité de ladite vanne par le personnel à bord ou par l’arsenal de Mar del Plata. Lors des navigations suivantes, ce manque d'étanchéité n'a pas été signalé. - Au cours de la même navigation de juillet 2017, un test d’équilibrage atmosphérique interne a été réalisé, qui impliquait l'ouverture de la soupape d'immersion E-19. Les protocoles et procédures en vigueur indiquent que cette vanne doit rester fermée dans toutes les conditions de navigation. - Le test d’équilibrage en question n'avait pas l'autorisation préalable de SUBMARINES FORCE COMMAND, il n'a pas été évalué ni contesté par celui-ci, même s'il a enfreint une norme prescrite pour la navigation en immersion. Une instruction technique n'a pas non plus été écrite pour un contrôle ultérieur. - Le sous-marin avait deux systèmes de détection d'hydrogène. L'original et celui installé lors de l’IPER à mi-vie, ils étaient en service, bien que les réglages de ces l'équipements soient différents et incompatibles entre eux . Le sous-marin San Juan a signalé lors de sa mission de juillet 2017, des valeurs de concentration en hydrogène bien supérieures à celles admises par les protocoles de sécurité en fonction de l'équipement d'origine, il a donc été estimé qu'elles ont été prises sur la base du nouvel équipement. Il n’existe aucun dossier indiquant que le personnel de plongée ait été informé de l’utilisation du dernier équipement installé. - Le sous-marin présentait une série de défaillances techniques qui l’empêchaient d’être utilisé comme plate-forme de combat, mais ne limitait pas sa navigation ou ses opérations d’immersion en toute sécurité avant la limite de profondeur fixée à 100 mètres. L'indice de classement des matériaux (ICEM) était de 4,25 sur 5. - L’équipage disposait de suffisamment de jours de navigation pour considérer que son entraînement était qualifié entre MINIMUM ET ACCEPTABLE. Toutefois, son expérience avait été discontinue en raison du manque de jours de navigation les années précédentes. - Il n’existe aucune preuve indiquant que la réparation de demi-vie aurait causé la perte du sous-marin, ni qu’une quelconque défaillance de celui-ci aurait pu empêcher la résolution de la situation d’urgence. - Il n’existe aucune preuve indiquant que les conclusions rapportées dans le "rapport Lezana" produit par l’Inspection générale de la marine auraient eu des conséquences sur l’incident survenu dans le sous-marin SAN JUAN. Cet incident a mis en évidence une crise organisationnelle imputable aux événements suivants: - Le commandant de la force sous-marine, contrairement aux autres commandements navals / militaires, est l'autorité de contrôle sous-marine. Il dispose du pouvoir absolu, non délégable et permanent sur le type et la forme de navigation que le sous-marin doit développer, qu'il soit en plongée ou non. ou de surface. - Ledit commandant n’a pas assumé la gravité de la faute et n’a pas correctement évalué ses implications. Il n’a pas non plus demandé conseil à du personnel technique qualifié malgré la documentation disponible sur ce type d’incident. Il n'a pas non plus reçu l'avis ou l'avertissement des officiers de son état-major. - Le COMMANDANT D'ENTRAÎNEMENT ET DE RECRUTEMENT a été immédiatement informé de l'incident par le COMMANDANT DE LA FORCE SOUS-MARIN. Il a simplement laissé la situation d'urgence entre ses mains sans alerter immédiatement ses supérieurs d'un événement aussi important. - Le chef de l'état général de l'armée a reçu les informations d'urgence avec retard, malgré les implications qu'une telle situation pourrait conduire à une crise au niveau national. Il n’a PAS transmis l’information complète et détaillée au pouvoir politique. - Sur des questions spécifiques, les membres de la famille de l'équipage n'ont pas été informés immédiatement ou avec la certitude et la réserve nécessaires. - Le sous-marin a fait naufrage alors qu'il effectuait une surveillance et un contrôle de la mer dans la limite de la zone économique exclusive, conformément à un ordre émanant de l'autorité supérieure et conformément aux rôles énoncés dans la doctrine actuelle. - Une opération SAR sans précédent a été menée, avec le maximum de ressources humaines et matérielles disponibles, dans des conditions hydrométéorologiques difficiles comportant un risque élevé pour elles, avec l'appui de la communauté internationale. La coopération a été réalisée grâce à la participation périodique de l’ARMADA à des réunions et exercices internationaux et à d’autres activités liées aux sinistres sous-marins. - L’hypothèse selon laquelle le sous-marin aurait été attaqué par un navire de guerre étranger, aurait été frappée par un navire de pêche ou s’acquitterait de tâches secrètes en dehors des eaux sous juridiction. - Le manque de ressources budgétaires dans les différentes administrations, l'absence de mise à jour technologique et de maintenance minimale en fonction des heures d'utilisation ont entraîné une détérioration croissante du matériel, limitant ses conditions de fonctionnement. Le manque d'activité a limité la transmission de l'expérience nécessaire. Des difficultés persistent dans la sélection du personnel approprié pour pourvoir les postes les plus importants de la Marine. - L’ARMADA a essayé de continuer à remplir les missions ordonnées avec des budgets de plus en plus réduits. Il était généralement accepté d’opérer dans des situations loin d’être optimales pour la tâche. - La quantité et la qualité du personnel de l’ARMADA ont subi une détérioration progressive. Il y avait à la fois un manque de motivation pour la réduction des activités opérationnelles, l'acceptation du double emploi pour atténuer les bas salaires et le manque de reconnaissance du travail souvent risqué. Il y a un exode du personnel le plus qualifié, vers l'activité privée et les FORCES DE SÉCURITÉ, à la recherche de meilleures opportunités et d'une meilleure rémunération. Références finales: On peut affirmer avec certitude qu'un incendie électrique dans le local batterie n ° 3 a déclenché d'autres incidents dont l’ampleur n’était plus contrôlable par l’équipage, entraînant la perte de manoeuvrabilité, jusqu'à l'implosion due à un dépassement de la profondeur de destruction de la coque épaisse du sous-marin ARA SAN JUAN. facteurs contributifs: - Le manque de précision dans la détermination des procédures d'urgence et des rôles dans la navigation lors d'incendies de batteries dans les sous-marins. - MINIMISATION des conséquences de l'incendie électrique déclaré à bord tout au long de la chaîne de commandement. - La gestion des urgences INAPPROPRIÉE, pendant les heures critiques, depuis les bases opérationnelles sur le terrain. - Une sérieuse réflexion sur le système de défense est alors nécessaire pour accroître l'activité opérationnelle. - Nous soulignons la nécessité pour les décideurs politiques de prendre conscience de ce qui s’est passé et d’orienter un regard plus complet sur le domaine de la défense, sachant que la formation et le maintien des moyens militaires dépendent de l’investissement réalisé. Modifié le 10 octobre 2019 par ARMEN56 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 11 octobre 2019 Share Posté(e) le 11 octobre 2019 (modifié) traduction laborieuse des pages 44 à 46 du rapport 31235 où l'on parle de H² ; donc arbre des causes en restant dans l'hypothèse , le conditionnel, et le probable , on ne parle pas de certitudes sauf pour ce qui est de l’incendie avec un effet dominos catastrophique...... "Or, dans ce compartiment comme dans les autres similaires, il existait un double contrôle d’atmosphère, qui mesurait la présence des différents gaz produits par l’activité des batteries, notamment l’hydrogène. Le premier, l’original du navire, était en service, selon les témoignages et les registres existants de l’unité, sans jamais avoir été tenu de demander un travail correctif. La seconde, installée lors de la réparation de la demi-vie, plus moderne et dotée de détecteurs répartis à l'intérieur du réservoir de batterie, avait également été vérifiée et corrigée avant la dernière navigation de juillet, avec laquelle on peut affirmer qu'elle était également efficace. en fonctionnement. C'est-à-dire que le système de contrôle de l'atmosphère dans les compartiments de la batterie était dupliqué. Le premier devait être actionné manuellement pour sélectionner le secteur et effectuer le test mécanique. Il comporte à son tour une alarme automatique dans le pupitre de commande du bateau, visuel et visuel, gradué à une concentration en hydrogène de 2%. Le second rapportait directement sur un tableau électronique, simplifiant l'enregistrement. L’incendie aurait-il pu laisser les deux systèmes sans effet? Selon les témoignages et les informations recueillies , le nouveau système installé aurait pu subir les dommages de l’incendie, mais il devait dans tous les cas marquer la situation sur l’écran descriptif, même s’arrêter de fonctionner. À cet égard, il est important de faire une profonde différence avec le rapport du comité d'experts dans le domaine du ministère de la Défense, concernant l'utilisation à profusion de ce nouveau système. D'après les déclarations reçues, il a été constaté que, même si le nouveau système avait été installé, ce n'est qu'en juin, après avoir été calibré, qu'il a commencé à être utilisé. De là découle la dichotomie avec quelques mesures tournées sous différentes formes dans la navigation à partir de juillet. Par conséquent, l’équipage ne ferait que s’habituer à sa gestion. Le système original, étant manuel et fonctionnant mécaniquement, est plus difficile qu’il aurait cessé de mesurer l’hydrogène dans la pièce concernée. C’est la raison pour laquelle l’hypothèse selon laquelle il existe une explosion primaire plus petite, qui fait que le personnel incapable de fonctionner ne réagit pas, ne peut se justifier que par une concentration d’hydrogène transformant l’atmosphère explosive, dans une période qui ne permettrait même pas l'utilisation du deuxième système, ou qui s'est produite sans que ce dernier ne soit utilisé avant toute manœuvre pour entrer dans le secteur, ce qui serait peu probable étant donné que tout le personnel des sous-marins est conscient du danger d'une augmentation de l'hydrogène dans tout le sous-marin, et encore plus spécial dans les salles de batterie. Il existe des enregistrements indiquant que l'équipement installé sous forme redondante a été approuvé par la marine et est utilisé par de nombreuses forces navales dans le monde. Mais il n’a pas été prouvé que la marine nationale avait correctement formé le personnel à l’utilisation de ce nouveau système. On ne sait pas non plus que le compteur d'hydrogène manuel n'était pas disponible. Les experts, après différentes analyses, indiquent qu’une explosion aurait pu se produire lors de l’ouverture du panneau d’accès au local batteries , avec dégagement de l’hydrogène en excès vers les flammes d’où explosion qui aurait laissé l'équipage dans l’incapacité de réagir Cependant, des doutes surviennent concernant la vérification de l'atmosphère interne, par le biais de l'un des deux systèmes de contrôle. Peut-on dire qu'un tel risque serait assumé si les compteurs ne fonctionnaient pas? Cependant, en théorie, une augmentation considérable du niveau d'hydrogène aurait pu être détectée et une déflagration a été déclenchée lors de la manœuvre de changement d'assiette pour évacuer la surface et la mise à l'air libre. Une autre possibilité est qu’après avoir atteint un certain niveau pour vérifier les dégâts l’incendie n’a pas été complètement circonscrit et l’ouverture du capot aurait provoqué l’explosion, neutralisant personnel de quart d’où perte de contrôle du sous marin avec risque de sur-immersion catastrophique En ce qui concerne cette dernière possibilité, il convient de se demander si ce fait avait suffisamment de probabilité pour empêcher le déclenchement des mécanismes d'urgence, tels que l'expulsion d'une balise radio. Rappelons que l’entrée d’eau salée est extrêmement dangereuse, puisqu’elle est extrêmement conductrice, le contact avec la barre d’énergie produit immédiatement de l’hydrogène et du gaz sulfurique. Ce dernier en particulier est très toxique. De ce fait l'importance de la vanne susmentionnée, l'Eco 19 doit être fermée en navigation. Dans l’incendie , le ventilateur aurait pu cesser de fonctionner, ce qui provoquerait également une accumulation d'hydrogène gazeux. Il faut surtout garder à l'esprit que, dans les deux cas, il s'agit d'une explosion ou d'une contamination par des gaz Toxique, survient juste en dessous de la salle de commandement et où se trouvent plus de 90 % de l’équipage en état de grosse fatigue . D'après l'analyse développée, il y aurait une forte probabilité que l'une d'entre elles soit à l'origine de l'incident. Modifié le 12 octobre 2019 par ARMEN56 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav Posté(e) le 15 octobre 2019 Share Posté(e) le 15 octobre 2019 Naval Group starts Training of Argentine Navy OPV Crew French shipbuilder Naval Group started training the first crew of the future Argentine Navy OPV A.R.A Bouchard. Bouchard is the former L’Adroit which was produced by Naval Group on its own funds and used by the French Navy from 2011 to 2018. The crew consisting of 32 sailors will be trained over a period of 2 months. The vessel is set for delivery in mid-December. After which, the vessel will sail to its homeport: Mar del Plata in Argentina. https://www.navalnews.com/naval-news/2019/10/naval-group-starts-training-of-argentine-navy-opv-crew/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 27 novembre 2019 Share Posté(e) le 27 novembre 2019 (modifié) Un 30 mm téléopéré pour le Bouchard Naval Group va livrer l’OPV argentin Bouchard 27/11/2019, Vincent Groizeleau "Rebaptisé Bouchard suite à sa vente à l’Argentine, l’ex-patrouilleur hauturier L’Adroit, qui a servi dans la marine française de 2011 à 2018, devrait être livré en fin de semaine prochaine par Naval Group à son nouveau propriétaire. Ce dernier en prendra officiellement possession à Toulon, où le bâtiment a été remis à niveau et adapté aux besoins de la marine argentine. Avant son transfert, l’ARA Bouchard, 8 ans après ses premières navigations, a bénéficié d'un important arrêt technique...." https://www.meretmarine.com/fr/content/naval-group-va-livrer-lopv-argentin-bouchard Modifié le 27 novembre 2019 par Benoitleg 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 2 octobre 2020 Share Posté(e) le 2 octobre 2020 Mise à l'eau du 2eme des 4 OVP achetés par l'argentine (le 1er neuf car dans le lot il y avait l'ex adroit). https://www.meretmarine.com/fr/content/concarneau-mise-leau-du-patrouilleur-argentin-piedrabuena 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 17 décembre 2020 Share Posté(e) le 17 décembre 2020 L'Argentine a installé un canon MARLIN 30mm sur l'ARA BOUCHARD https://uti4bnl7ksehjat2hi6lplkxia--www-infodefensa-com.translate.goog/latam/2020/12/17/noticia-armada-argentina-instala-canon-bouchard.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bruno Posté(e) le 17 décembre 2020 Share Posté(e) le 17 décembre 2020 il y a 51 minutes, Banzinou a dit : L'Argentine a installé un canon MARLIN 30mm sur l'ARA BOUCHARD https://uti4bnl7ksehjat2hi6lplkxia--www-infodefensa-com.translate.goog/latam/2020/12/17/noticia-armada-argentina-instala-canon-bouchard.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter Il fait à peine moins Riquiqui que le 20mm de l'Adroit, par rapport à la taille du navire. A voir si dans quelques années ils souhaiteront remplacer les Marlin 30mm de leurs 3 OPV neufs par des "Rapid Fire" 40mm de Thalès-Nexter... (Ben quoi, on ne sait jamais ! ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 18 décembre 2020 Share Posté(e) le 18 décembre 2020 Il y a 17 heures, Bruno a dit : Il fait à peine moins Riquiqui que le 20mm de l'Adroit, par rapport à la taille du navire. A voir si dans quelques années ils souhaiteront remplacer les Marlin 30mm de leurs 3 OPV neufs par des "Rapid Fire" 40mm de Thalès-Nexter... (Ben quoi, on ne sait jamais ! ) C'est comme ça qu'il faut l'installer un bon canon devant et le 30 derrière 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 26 février 2021 Share Posté(e) le 26 février 2021 Concarneau. Première sortie en mer pour le Piedrabuena Le premier des trois patrouilleurs argentins construits par le groupe Piriou et Naval Group pour la Marine argentine a effectué sa première sortie en mer, jeudi 25 février 2021. Le Piedrabuena a quitté Concarneau (Finistère) au petit matin, et a navigué jusqu’à Belle-Île-en-Mer (Morbihan). https://brest.maville.com/actu/actudet_--concarneau.-premiere-sortie-en-mer-pour-le-piedrabuena-_fil-4515459_actu.Htm 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 19 avril 2021 Share Posté(e) le 19 avril 2021 L'ARA Bouchard de la Marine Argentine certifie avec succès son canon de 30mm https://www.defensa.com/argentina/ara-bouchard-armada-argentina-certifica-exito-torre-armamento Naval Group livre l’A.R.A. Piedrabuena, deuxième patrouilleur océanique multi-missions pour l’Argentine http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2021/04/13/naval-group-livre-l-a-r-a-piedrabuena-deuxieme-patrouilleur-22042.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 11 mai 2021 Share Posté(e) le 11 mai 2021 Lancement du troisième OPV 87 (ARA Storni) à Concarneau ! http://navyrecognition.com/index.php/naval-news/naval-news-archive/2021/may/10123-launch-of-the-third-argentine-offshore-patrol-vessel-ara-storni-by-naval-group.html ça s'enchaîne ! D'ailleurs, l'A.R.A. Piedrabuena est toujours en France malgré sa livraison le mois dernier https://www.marinetraffic.com/fr/ais/home/shipid:6616321/zoom:14 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 27 mai 2021 Share Posté(e) le 27 mai 2021 Le 11/05/2021 à 11:39, Banzinou a dit : D'ailleurs, l'A.R.A. Piedrabuena est toujours en France malgré sa livraison le mois dernier Prise en main du bateau, avitaillemen et toussa. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 27 mai 2021 Share Posté(e) le 27 mai 2021 Pour finir la série ! Kership Lorient met à l’eau la coque du dernier OPV argentin https://www.meretmarine.com/fr/content/kership-lorient-met-leau-la-coque-du-dernier-opv-argentin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 16 octobre 2021 Share Posté(e) le 16 octobre 2021 https://www.pucara.org/post/los-opv-de-la-armada-argentina Super article sur les OPV argentins, et notamment les différences entre l'ARA Bouchard ex Adroit et le reste de la classe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Banzinou Posté(e) le 13 avril 2022 Share Posté(e) le 13 avril 2022 4eme et dernier OPV pour l'Argentine ! Argentine Navy receives the fourth OPV Bartolomé Cordero http://navyrecognition.com/index.php/naval-news/naval-news-archive/2022/april/11621-argentinian-navy-receives-the-fourth-opv-contraalmirante-cordero.html 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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