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Il y a 12 heures, Borisdedante a dit :

quel bouffon.

C'est la deuxieme fois qu'il se dégonfle comme une baudruche face à Sanders.

Modifié par Kovy
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Il y a 8 heures, Boule75 a dit :

J'ai t'en donner de l'audience, moi, tu vas voir :

Ivanka TRUMP
vs.
Bill Clinton
GRAND EBAT
ce soir, minuit

En tout cas, personne n'inhalera. Bill ne l'a jamais fait après tout.

Il l'a dit, y a pas de raison de ne pas le croire :happy:

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Je regardais l'encart de News (en page d'ouverture du forum) concernant le Memorial Day et le bilan des pertes militaires US depuis 2001: 6888 morts et 52 435 blessés, sans compter les traumas et les "pertes après la guerre" (citons notamment le chiffre de 22 suicides par jour, qui est la partie émergée d'un icerberg bien plus vaste représentant les problèmes -et coûts directs ou indirects- de réadaptation des vétérans). 2 choses m'ont frappé:

- le fait que, à part quelques sorties très émotionnelles à l'occasion et un grand attachement (de façade? Momentané?) aux vétérans et aux forces armées quand le sujet est mentionné (c'est peut-être le point capital, en fait), une des caractéristiques structurelles d'une armée de métier est que le dit sujet ne fait pas réellement partie de la conversation politique autrement que par brefs (et passionnés) épisodes, dans le meilleur des cas, même aux USA où, par rapport aux autres pays développés ayant abandonné la conscription depuis longtemps, l'armée a bonne presse et un niveau de soutien considéré comme "important", et le budget militaire (sujet plus souvent discuté mais pour d'autres raisons) est évidemment un fait incontournable. Quand on regarde la chose froidement, au regard de la réalité politique (cad des priorités et conversations de la nation, et des choix qu'elle fait), ce n'est pas un sujet dominant, surtout quand on parle des soldats eux-mêmes. Il y a eu en fait plus de ramdam et de capital politique engagé pour les scandales d'agressions sexuelles continues que pour ceux concernant l'incapacité de l'administration des vétérans à gérer les flux de cas à traiter. 

- point complètement différent: l'opération contre ISIS a pour l'instant fait 14 blessés et 20 morts; ce ne sont encore évidemment que des chiffres "anecdotiques" en terme de quantité, mais selon vous, peut-on déjà y voir une raison (plus de morts que de blessés, alors que d'ordinaire c'est l'inverse), ou bien n'est-ce encore que le fruit du hasard sur un "échantillon" encore trop petit (et j'espère, appelé à le rester) pour signifier quelque chose? Je me demandais si, pour la première possibilité, cela reflétait la nature des opérations en Syrie-Irak: FS pour l'essentiel, opérant de façon plus déstructurée, avec moins de soutien, sur des plus grandes distances et plus isolées. 

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il y a 42 minutes, Tancrède a dit :

Je regardais l'encart de News (en page d'ouverture du forum) concernant le Memorial Day et le bilan des pertes militaires US depuis 2001: 6888 morts et 52 435 blessés, sans compter les traumas et les "pertes après la guerre" (citons notamment le chiffre de 22 suicides par jour, qui est la partie émergée d'un icerberg bien plus vaste représentant les problèmes -et coûts directs ou indirects- de réadaptation des vétérans). 2 choses m'ont frappé:

- le fait que, à part quelques sorties très émotionnelles à l'occasion et un grand attachement (de façade? Momentané?) aux vétérans et aux forces armées quand le sujet est mentionné (c'est peut-être le point capital, en fait), une des caractéristiques structurelles d'une armée de métier est que le dit sujet ne fait pas réellement partie de la conversation politique autrement que par brefs (et passionnés) épisodes, dans le meilleur des cas, même aux USA où, par rapport aux autres pays développés ayant abandonné la conscription depuis longtemps, l'armée a bonne presse et un niveau de soutien considéré comme "important", et le budget militaire (sujet plus souvent discuté mais pour d'autres raisons) est évidemment un fait incontournable. Quand on regarde la chose froidement, au regard de la réalité politique (cad des priorités et conversations de la nation, et des choix qu'elle fait), ce n'est pas un sujet dominant, surtout quand on parle des soldats eux-mêmes. Il y a eu en fait plus de ramdam et de capital politique engagé pour les scandales d'agressions sexuelles continues que pour ceux concernant l'incapacité de l'administration des vétérans à gérer les flux de cas à traiter. 

- point complètement différent: l'opération contre ISIS a pour l'instant fait 14 blessés et 20 morts; ce ne sont encore évidemment que des chiffres "anecdotiques" en terme de quantité, mais selon vous, peut-on déjà y voir une raison (plus de morts que de blessés, alors que d'ordinaire c'est l'inverse), ou bien n'est-ce encore que le fruit du hasard sur un "échantillon" encore trop petit (et j'espère, appelé à le rester) pour signifier quelque chose? Je me demandais si, pour la première possibilité, cela reflétait la nature des opérations en Syrie-Irak: FS pour l'essentiel, opérant de façon plus déstructurée, avec moins de soutien, sur des plus grandes distances et plus isolées. 

Plus de combat à l'arme à feu peut-être. Les occupations de l'Irak et de l'Afghanistan ont surtout été le théâtre de minage de harcèlement visant des véhicules fortement blindés. On est plus dans des cas de stress, de blessures et de commotion là où les opérations contre le Califat relèvent plus de la guerre de harcèlement, des chindits ou de guérilla.

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Le budget des anciens combattants aux USA est considérable et serait suffisant si il n'y avait pas des organisations qui se foutent tout dans les poches. Là encore il y a un énorme problème de corruption.

Quand aux pertes US il faudrait savoir comment ils sont morts, mais de mémoire il me semble bien que la plupart sont décédés suite à l'explosion d'un EEI. Il faut voir que les positions de Daesh sont lourdement minées, ce qui est très problématique dans le cas où tu veux mener des actions coup de poing.

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50 minutes ago, Conan le Barbare said:

Le budget des anciens combattants aux USA est considérable et serait suffisant si il n'y avait pas des organisations qui se foutent tout dans les poches. Là encore il y a un énorme problème de corruption.

 

Les problèmes actuels du V.A sont moins dus à la corruption et aux arrangements des contractants avec les divers échelons de cette administration -cela joue un rôle certain, mais pas si omniprésent qu'on voudrait le croire-, qu'à l'absence d'investissement pendant des années dans la structure même de l'organisme: investissement de modernisation (infrastructure, hardware/software, formation) et investissement capacitaire. Ce dernier point est trop peu soulevé, mais outre l'obsolescence omniprésente dans cette administration, il y a surtout un sous-dimensionnement dramatique par rapport à l'augmentation brutale du nombre de cas à traiter depuis une quinzaine d'années: malgré quelques augmentations encore trop récentes pour réellement produire des résultats significatifs, le VA est encore essentiellement dimensionné pour traiter les flux de la fin de l'ère Clinton, soit ceux d'une armée infiniment moins occupée et nettement plus petite. Si l'on ajoute le fait que la plus grande part du budget est littéralement bouffée par le coût de la médecine et des médocs aux USA (coûts qui sont complètement délirants et sans possibilité de contrôle, ni par la concurrence -que les entreprises se sont arrangées pour pouvoir refuser-, ni par l'Etat - qui a été depuis longtemps mis à l'écart de toute possibilité de contrôle sérieuse). Se cumulant sur des année, ces problèmes ont créé une situation impossible sans un saut majeur dans l'investissement consenti, parce qu'ils ont ajouté un énorme retard en ce qui concerne l'investissement dans la capacité "d'accueil" (représentations locales, hôpitaux, centres d'accueil, maisons de retraites, programmes divers de soutien, nombre de médecins et personnels soignants disponibles....), en plus d'un retard dans l'investissement nécessaire pour garder le parc existant à jour et en conditions décentes. 

Il n'y a pas de problème majeur dans le traitement de ceux qui sont accueillis dans le système (et quand il y en a, la plupart du temps, c'est avec les établissements et services externalisés, pas avec l'infrastructure propre du VA): le plus grand problème est d'y accéder. La file d'attente a atteint des proportions dantesques, ou plutôt kafkaïennes, et la majorité des causes profondes de ce fait réside plus dans le manque d'investissement dans la capacité d'accueil (doublement contrainte par le manque de fric et les prix faramineux de la médecine) et celle de traitement, cumulé sur des années. Mais politiquement, il est plus loisible, plus juteux, plus facile et plus visuellement payant de s'en prendre aux réels problèmes de la structure administrative et de ses petits arrangements ici et là: ça permet d'avoir des méchants corrompus sur C-Span, des politiques puants se drapant dans une image de vengeurs à l'âme pure, de mettre le doigt sur de vraies sales affaires, de faire de la politique (et taper des carrières en désignant des boucs émissaires, comme Shinsecki).... En oubliant complètement que c'est pas ça qui impacte réellement la loi des grands nombres. 

Modifié par Tancrède
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Il y a 3 heures, Tancrède a dit :

Je regardais l'encart de News (en page d'ouverture du forum) concernant le Memorial Day et le bilan des pertes militaires US depuis 2001: 6888 morts et 52 435 blessés, sans compter les traumas et les "pertes après la guerre" (citons notamment le chiffre de 22 suicides par jour, qui est la partie émergée d'un icerberg bien plus vaste représentant les problèmes -et coûts directs ou indirects- de réadaptation des vétérans). 2 choses m'ont frappé:

- le fait que, à part quelques sorties très émotionnelles à l'occasion et un grand attachement (de façade? Momentané?) aux vétérans et aux forces armées quand le sujet est mentionné (c'est peut-être le point capital, en fait), une des caractéristiques structurelles d'une armée de métier est que le dit sujet ne fait pas réellement partie de la conversation politique autrement que par brefs (et passionnés) épisodes, dans le meilleur des cas, même aux USA où, par rapport aux autres pays développés ayant abandonné la conscription depuis longtemps, l'armée a bonne presse et un niveau de soutien considéré comme "important", et le budget militaire (sujet plus souvent discuté mais pour d'autres raisons) est évidemment un fait incontournable. Quand on regarde la chose froidement, au regard de la réalité politique (cad des priorités et conversations de la nation, et des choix qu'elle fait), ce n'est pas un sujet dominant, surtout quand on parle des soldats eux-mêmes. Il y a eu en fait plus de ramdam et de capital politique engagé pour les scandales d'agressions sexuelles continues que pour ceux concernant l'incapacité de l'administration des vétérans à gérer les flux de cas à traiter. 

- point complètement différent: l'opération contre ISIS a pour l'instant fait 14 blessés et 20 morts; ce ne sont encore évidemment que des chiffres "anecdotiques" en terme de quantité, mais selon vous, peut-on déjà y voir une raison (plus de morts que de blessés, alors que d'ordinaire c'est l'inverse), ou bien n'est-ce encore que le fruit du hasard sur un "échantillon" encore trop petit (et j'espère, appelé à le rester) pour signifier quelque chose? Je me demandais si, pour la première possibilité, cela reflétait la nature des opérations en Syrie-Irak: FS pour l'essentiel, opérant de façon plus déstructurée, avec moins de soutien, sur des plus grandes distances et plus isolées. 

Effectivement ,du point de vue des anciens combattant on a même eu une phase de pas mal de vétérans ce retrouvant SDF sans que cela ne fasse autant de bruits que d'autres cas qui ne sont pas d'ordre ancien combattants .

On a déjà pas mal apporté de réponse en ce qui concerne les pertes mais je pense qu'on peu apporter une certaine graduation aux pertes :

Si on observe les guerres dans cette partie du monde , les offensives de départ n'occasionne pas autant de pertes car on est dans un élan ,par la suite on ce retrouve en mode FOBISATION ou là l'ennemi aura toujours l'avantage pour piéger les alentours .

Mais lorsque les phases offensive d'importance reprennent , on a toujours un risque de type IED mais pas forcément évident car on repart dans une sorte "d'élan "ne permettant pas à l'ennemi de prévoir le piégeage de tout les  axes de progressions possible .

Même si il y a de la casse dans l'offensive de Falloujah ,d'une menace IED importante la casse reste bien légère ( même si cela peu nous semblé énorme ,mais il faut resté objectif même si cela peu paraître froid ) .

On a aussi le phénomène du renseignement qui a tissé une toile importante et pas que lié à technologie , un renseignement humain de terrain ( l'argent apporte pas mal de possibilité en jouant sur les relations entre groupe du coin ,etc ... ) .

Si on observe la chose je me dis que depuis qu'ils ont quitté l'Irak et l'Afghanistan ( même si il laisse une force réduite sur place en ce qui concerne l'Afga ) les US ont un max de points positifs leur permettant de la joué fine .

L'exemple du déploiement en Irak est très significatif :

Ils ont une connaissance du terrain ,des sources de renseignement en place ,des points d'ou peuvent partir leur force spéciale ( point situé en Irak et à l'extérieur de ce pays ) .

Mais pour apporté une visibilité dans cette guerre qui a dès le départ était annoncé comme longue on doit avoir une visibilité , et la base des marines en Irak qui est la pour fournir un appui d'artillerie en est une . D'un on peu supposé qu'il y a aussi sur cette base un centre de coordination entre appui et observateurs de l'avant ( FS ) .

Donc on a une empreinte légère mais visible et concrète , laissant aux irakiens le travail de prendre et d'occuper le terrain .

Donc les américains fonctionnent en mode îlot ravitaillé par les moyens aérien , base très protégée qui voit les fantassins des marines assuré la protection des artilleurs marines .

Donc a fond l'idée du no boots in the ground est une réalité concrète , car nul ne peut faire une guerre à distance sans un minimum de personnels au sol .

Si on observe les pertes ,on a eu pas mal de FS tué dans des raids ou des accrochages sur la première ligne aux côtés des irakiens et kurdes ou malgré le risque IED on reste dans une idée de guerre avec un front ou s'est surtout les armes légère et tir de roquette ,artillerie qui cause de la casse , et pour la base de Marine qui a connu un tir de roquettes coûtant la vie à un marine et blessant d'autres , il faut prendre en compte que bien que fortement sécurisé une base est pas à l'abri d'attaque même si le risque est presque nul .

Pour dire qu'on prend vraiment aux sérieux la sécurité de cette base de marines , j'avais fait un post présentant les marines sur cette base avec des photos et j'avais remarqué un truc ,tout les mecs avaient une sacoche pour le masque à gaz .

Même si le risque est minimal ,on a pas pris de risque et sur cette base tout les mecs gardent sur eux ce masque à gaz .

Donc beaucoup de monde critique le fait que Obama avait fait évacué l'Irak et qu'à cause de cela il y avait eu le retour des islamistes ,sauf qu'il n'était pas responsable du déclenchement de cette guerre  , et qu'il avait promis la fin du déploiement en Irak . De toute façon resté aurait rien apporté sauf de voir des morts régulier sans tenir le pays ,et au final voir quand même un jour les islamistes revenir ...

Donc même en ayant replié les troupes ,les US ont pas non plus quitté le pays comme des voleurs ,ils avaient gardé un paquet d'infos ,de renseignements et de personnes sur place pour gérer la chose ,et en faisant cela cela pousser de toute façon les irakiens à devoir gérer le merdier .Les US n'étaient pas dupe sur les capacités irakienne mais au moins en ce retrouvant dans la merde ,cela à permis aux US de revenir à minima étant donné que les irakiens ne pouvaient pas compté que sur l'Iran ( ben oui il y a encore des sunnites en Irak ,alors vu que s'était déjà tendu ... ) ,et que les US ont largement équipé de matos US l'armée irakienne ( de facto tu restes en mode besoin permanent du soutien des US )  .Les US ont put continuer la guerre contre les islamistes sans ce retrouvé englué dans une guerre coûteuse et pas forcément accepté par les irakiens ( le passage des US avant à pas laissé de bon souvenirs ) et l'opinion américaine ni mondiale .

Quelques part au vu des exactions des islamistes , les US ont put disons sortir de la sale image de l'époque Bush ,retrouvé une légitimité et disons permettre aux gouvernements d'Obama de ce dissocier des erreurs passés .

Pour quoi Obama à opter pour une nouvelle donne politique dans la région et avec Israël et l'Iran ?

Tout simplement afin de retrouver ce que sont les USA , la puissance qui dirige et pas une puissance qui ce plie aux volontés de ces alliés ... 

On évite de mélanger les affaires de la région qui avait pour  résultat un parasitage et un blocage des possibilités d'évolution d'une situation resté tendue .

Et il y a aussi cette image d'être aux ordres d'Israël dans le monde musulman qui aidé pas les USA à avancé .

La on sépare bien chaque pb sans non plus faire dans la naïveté .

Bien évidemment l'affaire avec l'Iran peu présenté Obama comme une personne faible et naïve  mais entre le désastre en Irak avec la guerre de Bush , l'embargo qui n'a jamais réussi à faire chuter un pays prouve que Obama à très bien compris que pour faire prendre une autre direction à l'Iran était peut-être dans une autre façon de faire .

Résultat il y a eu des accords avec l'Iran, mais si l'Iran ne joue pas le jeu les USA ont tout un panel de moyens de mettre la pression ou de faire une guerre à ce pays si vraiment l'Iran opté pour un chemin dangereux , merde les USA en ont encore les moyens .

Idem avec les pétro monarchies , fallait remettre tout ce monde à sa place .

Si on observe bien le truc , ce sont surtout l'Iran et les pétro monarchie qui ce retrouvent en "première ligne " ... le nez dans leur propre merde en ce qui concerne les pétromonarchies ...

Les USA eux sont en retrait tout en continuant à mené la barque je dirais .

Il y a des perspectives importante pour le futur pour les USA ,comme un potentiel de futurs consommateur avec l'Iran , acheté le pétrole pas cher ,sa et l'effet gaz de schiste ( sa a fait mal au cul des pétromonarchies aussi ) .

Donc moi je vois surtout que la stratégie de Obama et de son staff est pas si conne que sa car elle a clarifiée un tas de chose dans la région et rebattu le jeux de cartes .

Il a permit de lâcher la pression sur les forces US qui étaient fortement employé ,et sa on l'oubli un peu vite ... quand on connait le nombre de tours au combat sur de longue période ,on comprend mieux aussi les taux de suicide ...

Enfin voilà , je crois que l'évolution et pas si mauvaise que cela et Obama a sûrement fait bouger les lignes que ne l'auront fait d'autre avant lui .

Bon oublions pas que les US ont comme vision une stratégie dans la zone Asie/Pacifique qui verra sûrement un jour des tensions avec la montée de la Chine comme puissance .

Enfin voilà ,hésite pas à me dire si mon message est pas très clair mais bon .

 

 

 

 

Modifié par Gibbs le Cajun
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43 minutes ago, Gibbs le Cajun said:

 

Il a permit de lâcher la pression sur les forces US qui étaient fortement employé ,et sa on l'oubli un peu vite ... quand on connait le nombre de tours au combat sur de longue période ,on comprend mieux aussi les taux de suicide ...

Enfin voilà , je crois que l'évolution et pas si mauvaise que cela et Obama a sûrement fait bouger les lignes que ne l'auront fait d'autre avant lui .

 

Un journaliste auteur dont j'essaie de retrouver le nom abordait le problème des traumas et syndrômes post-traumatiques de tous types, et donc des suicides (entre autres exemples de problèmes, voire pathologies, lourds dont souffre à divers degrés une proportion importante des vétérans), sous un angle différent, non pour critiquer ce qui a été fait jusqu'à présent dans l'appréciation du problème, mais pour envisager d'autres aspects sans doute tout aussi conséquents. Et lui insiste moins sur le soldat retournant de la guerre que sur la société dans laquelle il retourne: outre les composants directement liés à l'individu, qui sont extrêmement nécessaires, et souvent sous-évalués, pour un retour réussi (structures de soutiens diverses -institution type VA, famille, entourage....-, possibilités de formation, objectifs à atteindre....), il y indiquait ainsi que le gap entre la vie militaire, surtout vécue dans l'expérience réelle de la guerre, et la vie civile, pouvait devenir, surtout de nos jours, extrêmement important, et comparait pour cela la société américaine actuelle vue sous l'angle de ce problème particulier, avec d'autres sociétés présentes et passées. Sa conclusion était l'immense importance de la communauté proche et de ses "couches" (famille, entourage, voisinage, quartier/village), chose qui, dans les pays développés/post industriel, est l'élément qui s'est le plus désagrégé au profit d'une société de transit et d'isolement individuel, ou au plus, de réduction de la communauté  concrète (les relations longues distances comptent moins, les relations facebook ne comptent pas) à un tout petit noyau. Outre ce point, il soulignait aussi le décalage particulièrement fort dans le monde moderne, et encore plus aux USA, avec une société militaire où la solidarité en général et le sentiment d'appartenance en particulier,ne sont pas de vains mots: objectifs communs, dépendance et soutien mutuels.... Seraient par trop absents de la vie moderne par rapport à des sociétés gardant plus d'éléments "traditionnels" dans l'organisation de la vie (ce qui est peu compatible avec une économie moderne qui implique beaucoup plus de mobilité et d'individualisme). 

De ce fait, cette façon de regarder le problème, et surtout dans le cas américain dont les 15 dernières années permettent non seulement d'avoir un aperçu assez complet du sujet, mais en plus d'avoir un déroulé assez suivi et à très grande échelle, pourrait pointer plus généralement une difficulté supplémentaire pour les pays développés à faire la guerre, leur fonctionnement particulier tendant à accroître les "pertes après le combat", sous formes de morts proprement dites et de traumas posant des problèmes de longue haleine et induisant des coûts dont on ne tient que très peu compte (notamment dans l'explosion des dépenses de santé, dans les coûts de justice/police/prison); violence domestique ou criminelle, inaptitude au travail ou à une vie sociale, alcoolisme ou usage de drogue -ce dernier point un grave problème aux USA où la surconsommation d'opioïdes légaux et illégaux est dantesque, souvent devenue addictive lors d'un traitement, favorisée par le lobby pharma, et cause de problèmes majeurs. 

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il y a une heure, Tancrède a dit :

Un journaliste auteur dont j'essaie de retrouver le nom abordait le problème des traumas et syndrômes post-traumatiques de tous types, et donc des suicides (entre autres exemples de problèmes, voire pathologies, lourds dont souffre à divers degrés une proportion importante des vétérans), sous un angle différent, non pour critiquer ce qui a été fait jusqu'à présent dans l'appréciation du problème, mais pour envisager d'autres aspects sans doute tout aussi conséquents. Et lui insiste moins sur le soldat retournant de la guerre que sur la société dans laquelle il retourne: outre les composants directement liés à l'individu, qui sont extrêmement nécessaires, et souvent sous-évalués, pour un retour réussi (structures de soutiens diverses -institution type VA, famille, entourage....-, possibilités de formation, objectifs à atteindre....), il y indiquait ainsi que le gap entre la vie militaire, surtout vécue dans l'expérience réelle de la guerre, et la vie civile, pouvait devenir, surtout de nos jours, extrêmement important, et comparait pour cela la société américaine actuelle vue sous l'angle de ce problème particulier, avec d'autres sociétés présentes et passées. Sa conclusion était l'immense importance de la communauté proche et de ses "couches" (famille, entourage, voisinage, quartier/village), chose qui, dans les pays développés/post industriel, est l'élément qui s'est le plus désagrégé au profit d'une société de transit et d'isolement individuel, ou au plus, de réduction de la communauté  concrète (les relations longues distances comptent moins, les relations facebook ne comptent pas) à un tout petit noyau. Outre ce point, il soulignait aussi le décalage particulièrement fort dans le monde moderne, et encore plus aux USA, avec une société militaire où la solidarité en général et le sentiment d'appartenance en particulier,ne sont pas de vains mots: objectifs communs, dépendance et soutien mutuels.... Seraient par trop absents de la vie moderne par rapport à des sociétés gardant plus d'éléments "traditionnels" dans l'organisation de la vie (ce qui est peu compatible avec une économie moderne qui implique beaucoup plus de mobilité et d'individualisme). 

De ce fait, cette façon de regarder le problème, et surtout dans le cas américain dont les 15 dernières années permettent non seulement d'avoir un aperçu assez complet du sujet, mais en plus d'avoir un déroulé assez suivi et à très grande échelle, pourrait pointer plus généralement une difficulté supplémentaire pour les pays développés à faire la guerre, leur fonctionnement particulier tendant à accroître les "pertes après le combat", sous formes de morts proprement dites et de traumas posant des problèmes de longue haleine et induisant des coûts dont on ne tient que très peu compte (notamment dans l'explosion des dépenses de santé, dans les coûts de justice/police/prison); violence domestique ou criminelle, inaptitude au travail ou à une vie sociale, alcoolisme ou usage de drogue -ce dernier point un grave problème aux USA où la surconsommation d'opioïdes légaux et illégaux est dantesque, souvent devenue addictive lors d'un traitement, favorisée par le lobby pharma, et cause de problèmes majeurs. 

Effectivement , s'est une donne très intéressante que tu nous présente .

Au fond on peu ce poser une question , malgré une nouvelle image donnée et un soutien exprimé auprès des combattants afin d'éviter les travers de la guerre du Vietnam , cela reste disons à un certains niveau que superficiel et sur plusieurs temps  , enfin à chaque fois que cela a besoin d'être fait comme si on le faisait par réflexe musculaire ,la "BA" en faisant son devoir de citoyen .

On soutien certes mais cela reste superficiel ( un peu comme quand on met un " j'aime" sur FB par simple habitude et sans réflexions je dirais ) par rapport au véritable travail de fond qui devrait-être en place dans une société en ce qui concerne la gestion des mecs revenant de la guerre .

Bien évidemment cela n'est pas le cas de tous le monde ,les personnes proches ,famille sont pas dans cette optique , idem pour la communauté militaire .

Il y a une chose à prendre en compte , pendant la deuxième guerre Mondiale on croisait plus d'ancien combattants , de blessés ,de mutilés dans la société du fait du coût humain ,mais si on observe pour les guerres qui ont suivie , on a moins de pertes rendant encore moins visible les vétérans .

Et dans ces guerres sans victoire nette , il y a pas d'effet "s'est fini on passe à autre chose" .

On l'observe mais même par le passé une fois la victoire gagnée , les vétérans de la 2°guerre Mondiale ne rentrant pas directement au pays arrivent en voyant que le monde est reparti dans une nouvelle donne et quelques part une routine qui revenait . Mais au niveau national avec le système de https://fr.wikipedia.org/wiki/G.I._Bill  on a permis d'offrir quelques chose à ces vétérans .

Alors oui , il y avait quand même une aura du combattant rentré victorieux mais on changé de visage au niveau société .

Donc je pense qu'en fait , ce problème restera intemporel même si il y a des évolutions vis à vis du soldat mais il y aura toujours ce problème de décalage entre le monde guerrier et les sociétés civiles .

Enfin si tu vois ce que je veux expliquer .

 

Edit : 

Voici des trucs qui arrivent aussi aux USA ,le saccage de monument et lieux dédiés aux vétérans ,guerre de l'Amérique :

http://www.militarytimes.com/story/veterans/2016/05/29/veterans-sites-california-kentucky-virginia-damaged/85127410/

Modifié par Gibbs le Cajun
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il y a 17 minutes, collectionneur a dit :

Je ne pense pas que ces dégradations sont liés. Guerres différentes, états éloignés les uns des autres. Des petits crétins du même style que ce ceux qui agissent en France.

Oui tout à fait ,personnellement s'est comme cela que je l'entendais en postant ce lien :souritc: .

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Pour ceux que ça intéresse, en lien avec mon dernier post sur une autre approche, plus sociétale, de la réintégration des soldats et des causes de syndromes post-traumatiques, l'auteur dont j'avais oublié le nom est Sebastian Junger, aussi connu pour avoir écrit le roman The Perfect Storm (adapté au cinoche en 2000, avec George Clooney et Mark Wahlberg) et pour être l'auteur et réalisateur du documentaire Restrepo (2010). Le livre qu'il a écrit et promeut en ce moment, sur le sujet évoqué, s'appelle Tribe

Un des points intéressants qu'il souligne est l'importance d'une société qui se serre les coudes et où existent une réelle cohésion et diverses formes "d'intimité" (au sens large) entre les membres, ce qui ne peut réellement arriver que via des communautés et micro-communautés durables et fonctionnelles (assez incompatibles avec le fonctionnement de l'économie moderne); plus une société s'enrichit et s'individualise, plus sa cohésion disparaît, plus les voisinages et villages sont déstructurés, ce que le taux de suicide, entre mille autres indicateurs, reflète, en augmentant dramatiquement, témoin de l'isolement, de l'atomisation du corps social réduit à ses unités les plus essentielles (individu, au mieux la famille nucléaire, qui elle-même n'est plus un modèle si dominant). Que survienne une crise dans cette société, et on voit le taux de suicide baisser pendant une certaine période: cela a été observé à NY dans les mois suivant le 11 septembre, en Italie autour de la ville (j'ai oublié le nom) ayant subi le dernier grand tremblement de terre (celui où Berlusconi a promis beaucoup de reconstruction et n'a rien foutu tout en utilisant le fric pour autre chose).... 

Modifié par Tancrède
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Le gag du jour : Romney poste un tweet de soutient à David French (vous ne le connaissez pas et c'est normal) candidat à la présidentielle du Renegade Party (vous ne connaissez pas et c'est normal, c'est un parti qui a été créé il y a quelques jours par quelques anti-Trump rabiques).

Il y a aussi le parti libertarien qui se prépare, Gary Johnson nominé (au milieu de candidats assez... douteux ?), un des perdants lui a donné un pistolet en signe de loyauté mais Johnson s'est fait prendre en flagrant délit un peu plus tard lorsqu'il jetait le pistolet dans une poubelle, élégant !

Edit, voici quelques perles venant du Twitter du Renegade Party :

Quote

Because the American Dream must live on. #NeverTrump + #NeverHillary #AmericaFirst means #IsraelLast

 

Quote

We want to announce @DavidAFrench for 2016! Because we will NOT allow @realDonaldTrump to #MakeAmericaGreatAgain

:biggrin:

Edit 2 : Ils enchainent les tweets de très haute qualité, cela doit être une taupe qui travaille en secret pour Trump qui est responsable de leur communication, je ne vois pas d'autre possibilité, la mine d'or c'est ici https://twitter.com/RenegadePartyUS

Edit 3 : là ça devient trop gros :biggrin: c'est en fait très sûrement un troll account dirigé par des Trumpistes, le vrai semble être le suivant https://twitter.com/renegadeparty

Modifié par Pseudonyme
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Il y a 2 heures, Omar1985 a dit :

Un très bon article du Wall Street Journal qui parle de la possibilité pour Sanders d'être choisi à la place de Hilary et de très grand malaise des démocrates de la candidature de Hilary, je ne le pense pas mais ça vaut la lecture :

http://www.wsj.com/articles/clinton-might-not-be-the-nominee-1464733898

La presse républicaine est à fond pour Sanders.

Ensuite on en pense ce qu'on veut...

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il y a une heure, Wallaby a dit :

Je pense que tu n'as pas lu l'article.

C'est exact ; je n'ai pas accès au WSJ. Je m'en méfie aussi comme de la peste (ce qui n'interdit pas de le lire bien sûr !-)

il y a une heure, Wallaby a dit :

Ce n'est pas du tout un scénario Sanders qui y est proposé.

Mais encore ?

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Tiens, pour compléter, et évidemment ça ne vient pas du WSJ, un petite étude sur la couverture médiatique infligée aux différents prétendants et sa tonalité (positive / neutre / négative). La méthodo, évidemment discutable, est exposée. To summ it up, Clinton s'en est pris plein la gueule, plus encore que Sanders. Et à mon sens, ça continue.

Je trouve par exemple assez extraordinaire l'affaire de se son serveur de courriels. Elle a eu tort, n'aurait pas dû faire la même chose que son prédécesseur, les règles avaient changé, elle l'a reconnu, s'est excusée, ça reflète sa propension à passer outre certaine règles : ok.
Sur ce dernier point, Sanders est probablement plus "ordinaire" pour l'instant.

Mais ensuite :
- l'usage de sa propre messagerie a-t-il effectivement concouru à divulguer des secrets d'état ? Pas qu'on sache.
- la totalité de sa messagerie a été épluché. Et là dedans, rien de croustillant, pas une malversation, chou-blanc sur Benghazi et le reste. Ca me semble assez remarquable... des promesses aux donateurs ? Pas vu. Des intrigues ? Pas vu. Des collusions coupables ? lesquelles ? Mais on entend parler de cette affaire depuis des mois, des mois, en boucle.

En face on a un Trump qui ment comme il respire, un escroc en col blanc ni plus ni moins, capable d'affirmer tout et son contraire, droit dans ses bottes comme feu Georges Marchais, mais version vendeur de bagnoles et ruineur d'étudiants. Et pourtant, ça donne ça :

CrimsonHexagon1.jpg

 

 

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Il y a 4 heures, Omar1985 a dit :

Un très bon article du Wall Street Journal qui parle de la possibilité pour Sanders d'être choisi à la place de Hilary et de très grand malaise des démocrates de la candidature de Hilary, je ne le pense pas mais ça vaut la lecture :

http://www.wsj.com/articles/clinton-might-not-be-the-nominee-1464733898

 

il y a 26 minutes, Boule75 a dit :

C'est exact ; je n'ai pas accès au WSJ. Je m'en méfie aussi comme de la peste (ce qui n'interdit pas de le lire bien sûr !-)

Moi non plus je n'ai pas accès au WSJ. Cela dit, à regarder les commentaires sur certains sites où cet article a été publié, il semble qu'il parle plutôt des chances d'un John Kerry, Joe Biden voire d'une Elizabeth Warren. Ce qui supposerait naturellement d'abord qu'un premier tour se soit avéré non concluant... et c'est là que je ne comprends guère, car enfin avec seulement deux candidats l'Hillary et le Bern, il doit bien mécaniquement y en avoir un qui a la majorité dès le premier tour, il me semble ? :dry:

Non, pour moi si au final Clinton n'est pas désignée candidate, ce ne pourra être que parce qu'elle aura perdu cette course :happy: ...

20160303_fbi.jpg

 

 

 

 

Edit : voici de plus un article qui commente l'article du WSJ pointé par Wallaby. On y comprend en filigrane le contenu du premier article.

Citation

Democratic pollster Doug Schoen has penned an op-ed in the Wall Street Journalpredicting that Hillary Clinton could be denied the Democratic Party nomination if Sen. Bernie Sanders (I-VT) wins the June 7 California primary.

According to Schoen, a loss for Clinton would not only demonstrate her weakness as a national candidate, but could also turn the tide of opinion in the embattled Democratic National Convention and among wavering “superdelegates” — party bigwigs with an independent vote.

Specifically, Schoen argues, Sanders could seize the opportunity to change the convention rules to force superdelegates to cast their ballot for whichever candidate won their state. (In many states, Sanders won delegates at the ballot box, only to lose to Clinton overall because of her superdelegate lead.)

In addition, he says, Vice President Joe Biden may be eager to enter the fray.

Schoen writes:

A Sanders win in California would powerfully underscore Mrs. Clinton’s weakness as a candidate in the general election. Democratic superdelegates—chosen by the party establishment and overwhelmingly backing Mrs. Clinton, 543-44—would seriously question whether they should continue to stand behind her candidacy.

There is every reason to believe that at the convention Mr. Sanders will offer a rules change requiring superdelegates to vote for the candidate who won their state’s primary or caucus. A vote on that proposed change would almost certainly occur—and it would function as a referendum on the Clinton candidacy. If Mr. Sanders wins California, Montana and North Dakota on Tuesday and stays competitive in New Jersey, he could well be within 200 pledged delegates of Mrs. Clinton, making a vote in favor of the rules change on superdelegates more likely…

Mr. Biden would be cast as the white knight rescuing the party, and the nation, from a possible Trump presidency. To win over Sanders supporters, he would likely choose as his running mate someone like Sen. Elizabeth Warren who is respected by the party’s left wing.

In addition, Schoen writes, Clinton faces increasing pressure from the FBI investigation into her personal e-mail server and apparent conflicts of interest involving her family foundation and her performance as Secretary of State.

Schoen is a Fox News contributor, and has worked for the Clintons in the past.

 

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il y a 18 minutes, Alexis a dit :

il doit bien mécaniquement y en avoir un qui a la majorité dès le premier tour, il me semble ?

Pas dans l'hypothèse où les deux n'ont qu'une minorité de voix et besoin des superdélégués pour obtenir la majorité absolue.

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Il y a 2 heures, Boule75 a dit :

[...]En face on a un Trump qui ment comme il respire, un escroc en col blanc ni plus ni moins, capable d'affirmer tout et son contraire, droit dans ses bottes comme feu Georges Marchais, mais version vendeur de bagnoles et ruineur d'étudiants.[...]

On ne touche pas à George si on ne veut pas finir sous le même réverbère que les Eurofonctionnaires du fil UE ! :bloblaugh:

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C'est vrai, quoi: Georges ne mentait pas: des gens avaient leurs questions, et il avait ses réponses. Juste une histoire de malentendus et de rencontres qui n'arrivent pas, tout ça.... Soyez pas mauvaise langue. Et puis, contrairement à Trump, il était authentiquement marrant, en plus d'être distrayant, le tout (toujours contrairement à Trump) sans avoir l'intention de l'être. 

Nan, c'est la mauvaise comparaison: si vous voulez vraiment comprendre Trump, comprendre le vide derrière la grande gueule, le pourquoi de cette méthode de campagne et de communication, les mécanismes auxquels il a recourt pour faire fonctionner son image publique, l'effort qu'il fournit pour paraître différent de ce qu'il est en réalité (un très mauvais homme d'affaire, sans doute pas milliardaire, et, essentiellement, un arnaqueur qui a eu la chance de démarrer avec des centaines de millions de dollars), il vous suffit de suivre la WWE et la façon dont ce show, et ce secteur du "sport" en général, fonctionnent. Comment on vend de l'illusion autour d'une performance de bateleur sans grand-chose derrière. Chose non étonnante, Trump est très lié à la WWE (où il a fait moult apparitions, dont certaines scriptées pour le faire participer aux scénaris en cours, aux querelles et combats) et à son patron, l'ultra conservateur Vince McMahon. 

Modifié par Tancrède
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Donald Trump continue sa marche vers la Maison Blanche et reçoit l'appui d'un chef d'Etat supplémentaire.

Citation

Un éditorial du principal média d'Etat a qualifié le candidat républicain d' "homme politique sage et visionnaire"

(...)

L'éditorial en appelait aussi aux électeurs américains pour rejeter la "terne" Hillary Clinton.

 

Mais, me direz-vous, quel est ce chef d'Etat qui apporte à Trump un appui que celui-ci attendait à n'en pas douter avec impatience ? :laugh:

Il suffit de cliquer :

Révélation

 

trump_north_korea.png

Le Monsieur, là.

Kim Cône je crois qu'on l'appelle

 

 

 

Ce que voyant, désespérés d'avoir à choisir entre la Conférencière et le Tonitruant, quelques âmes en peine d'outre-Atlantique en appelèrent au Seigneur, et le prièrent afin qu'Il les délivre :

Facebook-687441.png

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