alpacks Posté(e) le 20 mars 2013 Share Posté(e) le 20 mars 2013 Ils savent pas y faire, vraiment pour ouvrir les conscience et la responsabilisation ... Bon il est vrai que c'est pas facile quand on a un électorat ou facile pour 1/4 des citoyens US ils sont limites aussi prosélytes du fusil d'assault, péteux et gun gun gun que ne le serait un évangéliste et Jésus Une meilleure méthode aurait été de faire comme Sam Witwicky dans un certain blockbuster de 2007 a gros succès, en posant la question comme ça aux sénateurs avant de voter : Selon vous, a votre place : Jésus il aurait fait quoi ? :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 20 mars 2013 Share Posté(e) le 20 mars 2013 Je ne vois pas de quel film il s'agit... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 20 mars 2013 Share Posté(e) le 20 mars 2013 Je ne vois pas de quel film il s'agit... sérieux ??? transformers 1, après l'exposé de sam, quand il demande un A+, graal lui permettant de se faire offrir une voiture par son père Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 21 mars 2013 Share Posté(e) le 21 mars 2013 Travail de nuit, cerveau en bouillie... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 21 mars 2013 Share Posté(e) le 21 mars 2013 sérieux ??? transformers 1, après l'exposé de sam, quand il demande un A+, graal lui permettant de se faire offrir une voiture par son père Exact ! J'adore cette scêne, car la façon dont il expose le truc a son prof est trop réussie ^^ et le coté humour d'autodérision US ou jizeuss est un mot clé pour la vie de tout les jours et de la réussite Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 21 mars 2013 Share Posté(e) le 21 mars 2013 Barack Obama : Prix Nobel de "rien du tout"... Le président américain Barack Obama se rend dans l’Etat hébreu du 20 au 23 mars. Il s'agit de sa première visite en Israël depuis son arrivée au pouvoir en 2008. Les dossiers en attente de règlement ne manquent pas : le nucléaire iranien, la guerre en Syrie et le conflit israélo-palestinien. Toutefois, Obama arrive sans plan de paix. Il va rencontrer le Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou et le président palestinien Mahmoud Abbas avant tout pour écouter leur stratégie. Il souhaite également s'adresser directement aux Israéliens, afin de souligner son attachement à la sécurité de leur pays. Cette visite ne serait donc qu'une simple offensive de charme ? Les commentaires et analyses des presses israélienne, américaine et palestinienne. Le branle-bas de combat du lobby pro-Israélien aux Etats-Unis : Quelles que soient vos convictions politiques - que vous considériez Israël comme pacifiste ou belliciste, agressé ou agresseur, victime ou persécuteur, héros ou vilain, saint ou pécheur -, la conférence annuelle de l'AIPAC [American-Israeli Public Affairs Committee, organisation américaine de lobbying en faveur d'Israël] est un événement qu'on ne peut ignorer et un spectacle fascinant qui mérite d'être vu. Difficile de dire ce qui était le plus impressionnant : l'ampleur de l'événement, la présence de plusieurs milliers de personnes, le professionnalisme de l'organisation, la perfection de l'exécution, la beauté des feux d'artifice ou le nombre ahurissant de responsables et de parlementaires américains qui ont assisté à l'événement et manifesté du même coup leur soutien global, inconditionnel et sans équivoque au gouvernement israélien et à ses politiques. Si l'AIPAC n'est peut-être pas la cabale toute-puissante qui influence toutes les politiques américaines, il s'agit cependant d'un formidable "superlobby" politique, pour reprendre l'expression employée par J.J. Goldberg dans son remarquable ouvrage Jewish Power: Inside The American Jewish Establishment [Le pouvoir juif : au cœur de l'establishment juif américain]. L'AIPAC, avocat de la défense En assistant à l'événement, qui s'est déroulé début mars à Washington, on comprend mieux ce que l'organisation a d'"intimidant". Il faut cependant d'abord se rappeler que l'AIPAC est un groupe de lobbying. Sa vocation est de défendre Israël et de promouvoir ses intérêts tels que définis par le gouvernement israélien à Jérusalem et par les dirigeants de l'organisation aux Etats-Unis. L'AIPAC n'est pas un observateur objectif, un témoin appelé à la barre ou un juge impartial. L'organisation joue plutôt le rôle d'avocat de la défense. Comme lui, elle n'a aucune obligation de dévoiler les deux versions de l'histoire. Et comme lui, elle tente d'attirer l'attention sur les éléments favorables à son client et de dissimuler ceux qui pourraient jouer contre lui. Il n'est dès lors pas étonnant que les sessions plénières et les tables rondes qui ont eu lieu dans le cadre de la conférence aient été consacrées à composer un tableau négatif des rivaux et des ennemis d'Israël tout en ignorant les défauts de l'Etat hébreu lui-même, et à mettre l'accent sur la répression et l'instabilité dans les pays arabes et musulmans tout en occultant les éléments inconvenants pouvant entacher l'image de cette "démocratie unique" qu'est Israël. Les termes de terroriste, de djihad et de nucléaire ont été employés à maintes reprises, tandis que ceux de colonies, d'occupation et de droits de l'homme ont à peine été entendus, s'ils ont même été prononcés. Une visite "touristique" : Le Président américain entame son premier voyage officiel dans l'Etat hébreu. Un déplacement qui ne devrait pas se solder par de grandes avancées dans le processus de paix israélo-palestinien. Des fois que vous n'auriez pas entendu la nouvelle – ce qui est d'ailleurs assez probable -, sachez que le président Obama se rendra en Israël cette semaine. Rarement la visite d'un président américain dans l'Etat hébreu aura suscité moins d'intérêt. Si ce déplacement suscite aussi peu d'attentes, c'est à la fois parce que la marge de manœuvre est limitée et parce que, d'un point de vue purement américain, les exigences le sont aussi. Sans tambour ni trompette, l'incontournable question du conflit israélo-palestinien s'est vue reléguée au rang de simple hobby pour les diplomates américains. Et comme c'est le cas pour tout hobby – qu'il s'agisse de fabriquer des modèles réduits d'avion ou de tricoter des pulls -, il y a des jours où l'on s'y attelle et d'autres pas. Cela dépend de votre humeur et peu importe quand le pull sera fini. Le conflit israélo-palestinien a occupé le président au début de son premier mandat. Puis, il s'est retrouvé coincé lorsque les deux parties en présence ont rejeté ses propositions, et dès lors, il a décidé d'adopter une attitude – parfaitement rationnelle à mon avis – de négligence désinvolte. Et presque personne n'a rien remarqué. Un "hobby" comme un autre... Si le conflit au Moyen-Orient n'est plus qu'un hobby pour les Américains, c'est essentiellement à cause de changements structurels, notamment la fin de la guerre froide. Il fut un temps où l'on redoutait vraiment qu'une guerre israélo-arabe ne débouche sur un conflit plus large entre grandes puissances. Ce scénario paraît improbable aujourd'hui. La découverte, en outre, d'immenses réserves pétrolières et gazières aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique a fait de l'Amérique du Nord la nouvelle Arabie saoudite. Dès lors pourquoi s'accrocher au vieux royaume pétrolier ? Certes, le gaz et le pétrole restent des ressources mondiales et toute perturbation de l'approvisionnement en provenance du Moyen-Orient se traduirait par une hausse des prix. Mais même si les Etats-Unis continuent d'importer du pétrole du Moyen-Orient, nous ne risquons plus d'être confrontés à une pénurie aux stations-services suite à un embargo arabe en réaction à un événement dans la région. Pour l'Inde et la Chine, la situation est différente. Pour ces puissances, le Moyen-Orient est un ancien hobby devenu nécessité car elles sont largement dépendantes du gaz et du pétrole de cette région. Si quelqu'un devait aujourd'hui se charger de faire avancer le processus de paix entre Israël et les pays arabes (et les sunnites et les chiites), ce sont les ministres des Affaires étrangères chinois et indiens. Si la persistance du conflit israélo-palestinien continue de susciter de vives réactions dans le monde arabe et musulman et si sa résolution est bel et bien nécessaire à la stabilité dans la région, elle ne serait toutefois clairement pas suffisante. Le conflit le plus déstabilisateur actuellement dans la région est celui qui oppose les chiites et les sunnites au Liban, en Syrie, en Irak, au Koweït, à Bahreïn et au Yémen. Certes, il serait souhaitable d'établir un Etat palestinien en paix avec Israël, mais la question aujourd'hui est plutôt de savoir s'il existera encore un Etat syrien, libyen ou égyptien demain. En outre, alors que les Etats-Unis n'ont jamais eu aussi peu besoin de faire la paix entre Israéliens et Palestiniens, les obstacles n'ont jamais été aussi nombreux: près de 300 000 colons israéliens vivent aujourd'hui en Cisjordanie et les tirs de roquettes du Hamas depuis Gaza ont sérieusement ébranlé la majorité silencieuse israélienne, plutôt favorable à un retrait de Cisjordanie. Il suffirait en effet d'une simple roquette tirée de ce territoire pour faire fermer l'aéroport international de Lod. http://www.courrierinternational.com/dossier/2013/03/20/que-vient-faire-obama Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 26 mars 2013 Share Posté(e) le 26 mars 2013 L'USS Thach et ses 240 marins américains naviguent depuis huit jours sur une mer d'huile au large des côtes colombiennes dans le cadre de l'opération antidrogue Martillo, lancée en janvier 2012 par les Etats-Unis et d'autres pays d'Amérique centrale, où la lutte contre les cartels atteint un niveau de militarisation sans précédent. Martillo et les autres programmes d'assistance militaire aux pays d'Amérique centrale, principale voie de transit de la drogue vers le nord, représentent un des efforts les plus ambitieux de Washington contre les cartels depuis la seconde guerre mondiale. Contingent de 200 Marines au Guatemala, bases avancées dans la jungle hondurienne, installation de radars, formations de forces locales: les Etats-Unis n'ont cesse de militariser la lutte antidrogue dans la région depuis une dizaine d'années. Mais cette lutte, "un élément crucial pour la sécurité (des Etats-Unis) au 21e siècle", selon l'Etat major américain, risque d'être largement compromise par les réductions de budget envisagées par Barack Obama, ont averti la semaine dernière les généraux devant le Congrès. De 2,7 milliards de dollars en 2001, le coût des opérations internationales et de soutien aux gouvernements dans le monde contre le trafic de drogue est passé à 5,7 milliards en 2012. Selon le général John Kelly, chef du commandant sud des Etats-Unis, entre 150 et 200 tonnes de cocaïne ont été saisies en mer en 2012, soit environ 20% de la drogue à destination des villes américaines. Et pour chaque 200 tonnes saisies, ce sont 600 millions de dollars que Washington doit dépenser. Avec les coupes budgétaires du Pentagone, "toute cette drogue atteindra les côtes américaines", a-t-il prévenu.En permanence, ce sont au moins quatre navires américains qui sillonnent le Pacifique et les Caraïbes, appuyés par six avions de reconnaissance. Mike Vigil, ancien chef des opérations extérieures de la DEA, l'agence américaine antidrogue, voit malgré tout une "bonne tactique" dans les opérations style Martillo. Plus la drogue est interceptée tôt, plus les prises sont importantes, assure-t-il.Mais pour certains experts, cette militarisation croissante a ses limites. "Vous ne pouvez pas seulement vous focaliser sur l'aspect militaire. S'il y a une chose que les Etats-Unis devraient avoir compris depuis 10 ans (...) c'est qu'il faut renforcer les institutions civiles chargées de faire appliquer les lois dans les pays de transit", insiste Mark Schneider, vice-président de groupe de réflexion International Crisis Group. Et pour Adam Isacson, expert des questions sécuritaires en Amérique latine, la dernière fois que des militaires ont été chargés de questions d'ordre civil dans la région "les choses se sont très mal passées". Selon le New York Times, Washington a dû mettre un terme à certaines de ses opérations au Honduras suite à deux incidents à l'été 2012 au cours desquels deux avions suspectés de transporter de la drogue qui avaient été repérés par des radars américains ont été abattus par des pilotes honduriens. Quelques mois plus tôt, quatre personnes avaient été tuées dans une autre opération à laquelle participaient des agents de la DEA dans la jungle du Honduras. Leurs familles ont affirmé qu'elles étaient innocentes. "Les militaires ne sont pas entraînés pour traiter avec des civils. Quand ils se retrouvent en contact, ils usent trop souvent de trop de force, poursuit Mark Schneider".http://www.tahiti-infos.com/Dans-le-Pacifique-l-USS-Thach-piste-les-trafiquants-de-drogue_a70500.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
amarito Posté(e) le 28 mars 2013 Share Posté(e) le 28 mars 2013 Cet article relativement long mais très intéressant analyse la perte d'efficacité de la politique étrangère US à travers le concept de dissuasion. Si celle ci a fait ses preuves pendant la Guerre Froide, les décideurs américains l'ont particulièrement employée (ou pas employée) à mauvais escient depuis la défaite du bloc soviétique - un manque de vision stratégique ? On y parle d'Irak, de Russie mais aussi des défis que posent l'Iran et la Chine. For half a century, deterrence was the backbone of U.S. national security strategy. But now, Washington doesn't seem to know how and when to use it properly. The United States has needlessly applied deterrence to Russia, failed to apply it when it should have against Iraq and Iran, and been dangerously confused about whether to apply it to China. U.S. policymakers need to relearn the basics of deterrence in order to apply it successfully in the appropriate circumstances. RICHARD K. BETTS is Director of the Saltzman Institute of War and Peace Studies at Columbia University and an Adjunct Senior Fellow at the Council on Foreign Relations. His most recent book is American Force: Dangers, Delusions, and Dilemmas in National Security. http://www.foreignaffairs.com/articles/138846/richard-k-betts/the-lost-logic-of-deterrence Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 29 mars 2013 Share Posté(e) le 29 mars 2013 Pourquoi la recherche sur les armes est interdite aux USA :Alors que la tuerie de Newton qui a provoqué la mort de 20 enfants est encore dans les mémoires et que le président Obama tente de faire passer au Congrès un début de réforme sur le contrôle des armes à feu, la revue scientifique Nature dénonce un problème méconnu: la recherche fédérale américaine n'a pas le droit de mener des études sur le sujet.Cette interdiction étrange remonte à 1996, quand le lobbying de la puissante NRA (National Rifle Association) a réussi à faire inscrire dans la loi de financement des CDC (Center for disease control and prevention), la principale agence fédérale de protection de la santé publique, qu'aucun budget ne devait être consacré «à la promotion ou la défense du contrôle des armes à feu».Il faut dire que les années précédentes, un modeste programme de recherche épidémiologique des CDC avait fait des découvertes très gênantes pour le lobby «pro-gun». Les recherches avaient notamment trouvé que les personnes vivant dans un foyer contenant un fusil ou un pistolet avaient 2,7 fois plus de risques d'être victimes d'un meurtre que les autres. Le risque de suicide était également multiplié par 4,8. La NRA et ses nombreux soutiens politiques avaient accusé l'agence d'être partiale dans ses travaux, et d'agir de manière détournée pour interdire le port d'arme aux États-Unis, d'où la législation empêchant d'autres recherches sur le sujet.En 2012, les contraintes sont devenues encore plus fortes, puisque la loi a été étendue à l'ensemble des organisations fédérales sur la santé, dont les NIH (National Institutes of Health). Cette institution a eu la malchance de s'attirer la colère du lobby pro-armes en finançant une étude qui avait conclu en 2009 que les armes n'empêchaient pas leurs propriétaires de se faire tirer dessus en cas de fusillade, rappelle la revue Nature. Ces travaux ont été très critiqués pour d'apparentes failles méthodologiques, et ont servi d'exemple pour la NRA, qui a qualifié toutes les recherches des NIH sur les armes de «science pourrie».La prohibition mise en place par les pressions de la NRA depuis 1996 n'interdit pas à proprement parler les recherches sur les armes, seulement celles qui seraient partisanes, mais le climat extrêmement tendu sur ce sujet hautement polémique aux États-Unis fait que presque aucune étude d'amplitude n'a été menée dans le pays sur les armes à feu depuis 17 ans. Un manque d'information et de données chiffrées sur les effets, négatifs comme positifs, des armes, qui ne peut que rendre le débat politique encore plus partisan.«Il est ironique de penser que le lobby des armes et ses alliés au Congrès pourraient profiter d'une recherche rigoureuse sur le sujet, fait remarquer l'éditorial de la revue Nature du 27 mars. Une étude sérieuse montrerait-elle que les États qui autorisent le port d'armes dissimulées enregistrent plus ou moins de décès? On ne le sait pas. Le taux de meurtre très élevé à Chicago serait-il encore plus haut sans la politique de contrôle des armes très restrictives de la ville? On ne sait pas.»Sans une réforme de la loi de financement des agences fédérales sur la santé, les Américains risquent d'attendre longtemps avant de pouvoir espérer une réponse.http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/03/29/20146-pourquoi-recherche-sur-armes-est-interdite-usa Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alpacks Posté(e) le 29 mars 2013 Share Posté(e) le 29 mars 2013 C'est halucinant quand même, comment un lobby peut a ce point manipuler une démocratie pour qu'elle aille uniquement dans son sens a lui ... De Washington a Bruxelles ... C'est un véritable enfer anti-démocratique que ces groupuscules d'intérêts privés par la pression, le chantage voir la corruption ... C'est l'occident tout entière qui devra bien un jour ou l'autre regarder en face combien ils sont une menace pour nos intérêts de peuples occidentaux en manipulant trop aisément les lois et les gouvernements occidentaux ... Certes on aura toujours besoin de lobbies malgré tout pour qu'ils rappellent sans cesse quels sont les intérêts industriels nationaux de nos pays, mais il faut trouver un nouvel équilibre avant qu'une catastrophe anti-démocratique nous tombe dessus, via des démocraties biaisés entièrement a leur service et non a notre service ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 29 mars 2013 Share Posté(e) le 29 mars 2013 Selon une étude publiée jeudi 28 mars, les guerres en Irak et en Afghanistan vont coûter aux Etats-Unis de 4 000 à 6 000 milliards de dollars sur le long terme, et ainsi grever le budget du gouvernement pour les décennies à venir.Selon une spécialiste de l'université Harvard, Linda Bilmes, les Etats-Unis vont devoir s'occuper d'anciens combattants de plus en plus nombreux, environ 2,5 millions, coût qui s'ajoutera au remboursement des emprunts effectués pour faire face à celui des guerres elles-mêmes.Suite :http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/03/29/etats-unis-les-guerres-en-irak-et-en-afghanistan-couteront-plus-que-prevu_3150625_3222.html#xtor=AL-32280515 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 29 mars 2013 Share Posté(e) le 29 mars 2013 Selon une étude publiée jeudi 28 mars, les guerres en Irak et en Afghanistan vont coûter aux Etats-Unis de 4 000 à 6 000 milliards de dollars sur le long terme, et ainsi grever le budget du gouvernement pour les décennies à venir. Selon une spécialiste de l'université Harvard, Linda Bilmes, les Etats-Unis vont devoir s'occuper d'anciens combattants de plus en plus nombreux, environ 2,5 millions, coût qui s'ajoutera au remboursement des emprunts effectués pour faire face à celui des guerres elles-mêmes. le monde est tout de même mal fait : on ne peut pas financer des recherches sur l'impact des armes sur le marché domestique, mais on peut encore financer des études sur les couts et les conséquences des guerres... les faucons et les lobbys pro guerre doivent se mordre les doigts d'avoir oublier ce genre de détails dans les lois encadrant la recherche fédérale... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 3 avril 2013 Share Posté(e) le 3 avril 2013 C'est vraiment un pays de dingues.... Nelson est une petite ville tranquille de Géorgie où cohabitent 1 300 âmes. Cette bourgade du sud profond des États-Unis est au coeur d'une polémique, depuis qu'un arrêté faisant du port d'arme une obligation a été acté. Votée à l'unanimité par le conseil municipal, "l'ordonnance de protection de la famille" oblige chaque "chef de famille" à se doter d'une arme et de munitions - en quantité suffisante - pour protéger les siens. Le tout pour "assurer la gestion d'urgence de la ville" - une mission normalement confiée à la police. (...) Plus que de la lutte contre la criminalité, la vraie cible des conseillers municipaux de Nelson est Barack Obama, qui vient de lancer une véritable croisade contre les armes à feu. Dans cette Amérique traditionaliste, le deuxième amendement de la Constitution, qui autorise chaque citoyen à posséder une arme au nom de la liberté, est sacré. "Avec tout ce qui se raconte sur la confiscation de nos armes, Nelson souhaite rappeler à son peuple que nous avons un deuxième amendement qui nous autorise à acheter et à posséder des armes", s'est justifié un conseiller municipal à USA Today. Nelson n'est pas la première municipalité à agir de la sorte. Kennesaw, une autre petite ville de Géorgie de 5 000 habitants, avait rendu obligatoire la détention d'une arme dès 1982. Aujourd'hui peuplée de 30 000 âmes, la ville a vu son taux de criminalité baisser de manière significative. Le nombre de cambriolages, par exemple, est passé de 11 à 2,7 pour 1 000 habitants. Mais, à l'inverse, aucune statistique n'existe sur l'éventuelle hausse de blessés par balle. À l'échelle du pays, une statistique, en revanche, est disponible : 3 293, c'est le nombre d'Américains victimes d'une fusillade depuis celle de Sandy Hook, où vingt enfants ont perdu la vie le 14 décembre 2012. 3 293 victimes en 110 jours, cela donne une moyenne de 30 victimes toutes les vingt-quatre heures... http://www.lepoint.fr/monde/etats-unis-une-ville-oblige-ses-administres-a-porter-une-arme-03-04-2013-1649722_24.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 3 avril 2013 Share Posté(e) le 3 avril 2013 C'est la mairie qui paye l'arsenal ? ... N'est ce pas contraire à la constitution d'instauré une tel obligation ? Gros soupir... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiwi de fer Posté(e) le 3 avril 2013 Share Posté(e) le 3 avril 2013 Quand je voit se qui se passent en Syrie ,la guerre civile et que voit le nombre d'arme que les gens posèdent au USA ,je me dit que a la moidre étincelle intérieur sa peu partir en Guerre rapidement... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
winloose Posté(e) le 3 avril 2013 Share Posté(e) le 3 avril 2013 Du coup ils n'ont pas de sheriff ou autre ? si dans leur idée ils sont protégés ils ne devraient pas en avoir besoin... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 6 avril 2013 Share Posté(e) le 6 avril 2013 Les subprimes n'ont pas suffit alors on recommence de plus bel: http://www.washingtonpost.com/business/economy/obama-administration-pushes-banks-to-make-home-loans-to-people-with-weaker-credit/2013/04/02/a8b4370c-9aef-11e2-a941-a19bce7af755_story.html Organisons l'insolvabilité des foyers américains. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 6 avril 2013 Share Posté(e) le 6 avril 2013 Les recherches avaient notamment trouvé que les personnes vivant dans un foyer contenant un fusil ou un pistolet avaient 2,7 fois plus de risques d'être victimes d'un meurtre que les autres. Le risque de suicide était également multiplié par 4,8. C'est prouvé depuis longtemps. Et pour une femme le risque augmente de façon exponentielle. Et c'est un passionné d'armes à feu qui le dit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 6 avril 2013 Share Posté(e) le 6 avril 2013 C'est bien pour ça qu'il est interdit de faire des statistiques ou des recherches aux USA. Les résultats seraient catastrophiques pour la NRA au même titre que les preuves sur la nocivité du tabac ont été catastrophiques pour l'industrie du tabac. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 9 avril 2013 Share Posté(e) le 9 avril 2013 Nous assistons à un changement de la doctrine stratégique américaine. Il est d'importance majeure et il est totalement discret. Il devrait inciter les Européens, notamment les Français, les Allemands et les Anglais, à de profondes réflexions. Sans aucune annonce les États-Unis ont mis en œuvre une stratégie de destruction ponctuelle et anonyme des capacités d'action de leurs adversaires, qu'ils soient ou non étatiques, fondée sur trois composantes : les forces spéciales, les drones armés, les cyberattaques. Suite :http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130408trib000758151/la-strategie-furtive-de-barack-obama-une-novation-majeure-.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 9 avril 2013 Share Posté(e) le 9 avril 2013 Cette "doctrine" a pas mal de points communs avec l'attitude américaine après le retrait du Viêt-nam : déploiements limités pour éviter tout enlisement (cf. Salvador 1980s, déploiement d'instructeurs militaires limité par le Congrès à 55 personnels), action en coulisse (aide logistique à Kolwézi)... Pour les drones en opérations d'élimination, on a des prémices assez sympa en 2001-2002 (tentative sur Hekmatyar, une frappe au Yémen). Pour les attaques informatiques, c'est secret, mais il paraît qu'il y avait déjà des ordinateurs Vax qui déconnaient quand les Soviets se les procuraient illégalement dans les années 80. Les opés de sabotage de matériel pour lutter contre la prolifération est un classique. Plutôt qu'une stratégie, c'est une utilisation à grande échelle de moyens existants pour palier à un manque d'entrain à faire de grandes opex. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 9 avril 2013 Share Posté(e) le 9 avril 2013 Sans aucune annonce les États-Unis ont mis en œuvre une stratégie de destruction ponctuelle et anonyme des capacités d'action de leurs adversaires, qu'ils soient ou non étatiques, fondée sur trois composantes : les forces spéciales, les drones armés, les cyberattaques. Stratégie low-cost par excellence. Par contre est-ce que ça marche ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 10 avril 2013 Share Posté(e) le 10 avril 2013 La connerie n'a pas de limite aux States !http://www.lepoint.fr/insolite/comment-se-preparer-a-une-invasion-de-zombies-10-04-2013-1653022_48.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiwi de fer Posté(e) le 10 avril 2013 Share Posté(e) le 10 avril 2013 FPS RUSSIA ,utilise les meme qui explose ! JE trouve ça "simpa" ! :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fool Posté(e) le 10 avril 2013 Share Posté(e) le 10 avril 2013 La connerie n'a pas de limite aux States ! http://www.lepoint.fr/insolite/comment-se-preparer-a-une-invasion-de-zombies-10-04-2013-1653022_48.php Je suis sûr que ça se vend comme des petits pains avec les AR-15 zombie destroyer ( http://www.geekologie.com/2012/06/ar-15-zombie-destroyer-features-muzzle-b.php) monté d'un viseur EOtech zombie stopper ( http://swfa.com/EOTech-Zombie-Stopper-Tactical-Holosight-P53605.aspx ) .... Faut pas s'affoler c'est juste la zombie mania , une mode récréative que personne ne prend au sérieux a part quelques hurluberlus , il y a aussi beaucoup d'autodérision là-dedans ( le tacticool ) et les fabricants en profitent bien logiquement. Ka-bar fait une chouette ligne de surins ( zombie = gadgets verts fluo , c'est comme ça la mode 2012-2013 ) Je vous recommande une gogolisation image " AR-15( ou AK) zombie killer ". Ce que je trouve cocasse c'est la vision qu'en a un média franchouillard qui reprend un truc que tente vaguement d'instrumentaliser les lobby féministes et/ou anti-armes aux USA :lol: ....ce qui est moins drôle c'est que ça contribue a enraciner chez nous l'idée que le ricain de base est forcément un survivaliste trigger happy au QI de moule sous son stetson ; il ne nous restera plus qu'a nous plaindre qu'ils nous traitent de cheese eating french surrender monkeys et la boucle sera bouclée :P Ex-aequo !! :oops: : http://www.sq.4mg.com/NationIQ.htm .....je sors. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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