Rochambeau Posté(e) le 17 décembre 2011 Share Posté(e) le 17 décembre 2011 Sendai, Minamisanriku et Kesennuma 9 mois après le tsunami du 11 Mars! http://lejapon.fr/blog/index.php?2011/12/07/1123-sendai-minamisanriku-et-kesennuma-9-mois-apres-le-tsunami-du-11-mars Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 17 décembre 2011 Auteur Share Posté(e) le 17 décembre 2011 On sait déjà combien de pétrole et charbon le Japon à du importer en plus pour sa production électrique ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 1 janvier 2012 Share Posté(e) le 1 janvier 2012 Il est estimé que pour nettoyer les éléments contaminés dans la seule préfecture de Fukushima, il fa udrait 33 stades de la taille du Superdôme pour entreposer les déchets... Dernière update de Arnie Gundersen (Fairewinds) sur Fukushima : http://vimeo.com/34349565 Is the Japanese government and the IAEA protecting the nuclear industry and not the people of Japan by claiming that Fukushima is stable when it is not? Fairewinds’ chief engineer Arnie Gundersen outlines major inconsistencies and double-speak by the IAEA, Japanese Government, and TEPCO claiming that the Fukushima accident is over. Dynamic versus static equilibrium, escalated dose exposures to the Japanese children and nuclear workers, and the blending of radioactive materials with non-contaminated material and spreading this contaminated ash throughout Japan are only a small part of this ongoing nuclear tragedy. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 23 janvier 2012 Share Posté(e) le 23 janvier 2012 JAPON - Selon une étude japonaise, la capitale nippone pourrait subir un grave séisme dans les quatre prochaines années...Tokyo risque d'être frappée par un séisme majeur dans les quatre prochaines années, ont averti lundi des chercheurs de l'Université de Tokyo, contredisant des prévisions beaucoup plus rassurantes des autorités. Selon ces scientifiques de l'institut de recherche sismologique de l'université, la probabilité qu'un séisme de magnitude 7 frappe la partie sud du Grand Tokyo est de 70% dans les quatre ans. Par contraste, le gouvernement établit une telle probabilité de 70% dans un délai de trente ans. «Le risque qu'un séisme de magnitude 7 se produise (dans la région) a augmenté depuis le séisme du 11 mars 2011», explique l'un des chercheurs, Shinichi Sakai. «Le gouvernement, les individus et les entreprises doivent s'y préparer.»Les universitaires ont établi leur estimation en prenant en compte la hausse de l'activité sismique depuis le tremblement de terre du 11 mars, de magnitude 9, record dans l'histoire de l'archipel, qui a fait 23.000 morts et disparus et déclenché un tsunami dévastateur. Le gouvernement se fonde sur des données plus anciennes. Le nombre de séismes dans l'agglomération tokyoïte a quintuplé depuis la catastrophe du 11 mars, note l'équipe de chercheurs, à partir des chiffres de l'Agence météorologique. La suite : http://www.20minutes.fr/article/865024/tokyo-menacee-seisme-majeur-prochaines-annees Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 24 janvier 2012 Auteur Share Posté(e) le 24 janvier 2012 Et bien, si le prix de l'immobilier augmente encore la bas.... Sinon, à t'on maintenant des infos sur l'importation de produits pétroliers au Japon pour compenser l'arrête des centrales nucléaires. J'ai lu que le Japon, au contraire de l'Australie, continuera à acheter du pétrole à l'Iran. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Anonymus Personae Posté(e) le 25 janvier 2012 Share Posté(e) le 25 janvier 2012 Pour la première fois en 30 ans, le Japon a une balance commerciale déficitaire. (Info BBC News World)C'est extrêmement surprenant de la part d'un pays qui a toujours su maintenir à un haut niveau ses exportations, même pendant la crise asiatique des années 90, et cela ne risque pas de s'améliorer selon une étude sérieuse menée par plusieurs experts, puisque ceux-ci prédisent un déficit pour 2012 et au moins le premier trimestre de 2013. C'est dire à quel point l'ensemble du système économique de l'Empire du Soleil Levant a souffert. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 25 janvier 2012 Auteur Share Posté(e) le 25 janvier 2012 Orange vient de mettre l'article : http://actu.orange.fr/une/premier-deficit-commercial-du-japon-depuis-31-ans-en-2011-afp_450350.html Les importations ont bondi de 12,0%, à cause d'une facture énergétique renchérie par l'envolée des achats en valeur de pétrole (+21,3%) et de gaz naturel liquéfié (+37,5%). :O Le Japon a aussi élevé ses acquisitions de produits alimentaires, de 12,4% en valeur. En 2011, les exportations se sont effritées pour leur part de 2,7% par rapport à celles de 2010, plombées par un recul des livraisons à l'étranger de semi-conducteurs (-14,2%) et de voitures (-12,1%). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Darkjmfr Posté(e) le 27 janvier 2012 Share Posté(e) le 27 janvier 2012 Pendant ce temps là, "faites nous confiaaaannnce" http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/01/26/fukushima-nouvelles-revelations-accablantes-contre-tepco_1635033_3244.html#ens_id=1493262 Tokyo, correspondance - L'avenir de la Compagnie d'électricité de Tokyo (Tepco) et du nucléaire japonais passe par la confiance retrouvée de l'opinion. L'entreprise propriétaire et opératrice de la centrale accidentée de Fukushima en a grandement besoin, notamment pour faire accepter les hausses de tarifs - 10 % pour les particuliers et 17 % pour les entreprises - qu'elle veut imposer, avec le redémarrage des réacteurs à l'arrêt. Les dernières révélations sur ses manquements, comme ceux des acteurs de la filière japonaise du nucléaire, ne vont pas y contribuer. Le 19 janvier, Tepco a admis le dysfonctionnement d'un système de transmission de données au gouvernement. En novembre 2010, quatre mois avant la catastrophe, l'entreprise devait relier à une alimentation de secours un appareil fournissant en temps réel des données sur la température des réacteurs et les niveaux de radiation autour des installations, à l'ERSS et à Speedi, deux systèmes d'informations faisant partie du réseau gouvernemental de prévention des catastrophes. Or, à l'époque, la connexion n'avait pas pu être établie, car le câble disponible était... trop court ! D'après l'entreprise, la question a été évoquée avec l'organisation japonaise de sûreté nucléaire (JNES), organisme gouvernemental, mais aucune décision n'a été prise. Tepco a par ailleurs reconnu qu'avant la catastrophe, elle ne considérait pas le problème comme une urgence. Hostiles Informée du dysfonctionnement après l'accident, l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle (NISA) n'a pas cru bon de le faire apparaître dans le rapport intérimaire de la commission d'enquête sur les causes de l'accident de la centrale, dévoilé en décembre. Autre problème impliquant la compagnie d'électricité, l'absence d'enregistrements des discussions de la cellule de crise mise en place par le gouvernement, Tepco et la NISA après l'accident. Le 24 janvier, le ministre de l'économie, du commerce et de l'industrie Yukio Edano a présenté ses excuses après avoir confirmé cette information. M. Edano, qui occupait en mars 2011 le poste de porte-parole du gouvernement, a jugé "regrettable" l'absence de ces enregistrements : "Compte tenu de l'impact de la catastrophe sur l'opinion et des attentes de la population, ils auraient dû être réalisés." La responsabilité de ces enregistrements, obligatoires selon la loi, revenait à la NISA dont un représentant assurait le secrétariat de la cellule de crise. Ce dernier a affirmé qu'il était trop occupé pour s'en occuper. Et, d'après la NISA, l'absence de ces données n'est pas très grave, car les décisions prises ont ensuite été communiquées en conférence de presse. Ce point a fait réagir jusqu'au quotidien économique Nihon Keizai, pourtant traditionnel soutien de la filière nucléaire. "Ces révélations font craindre que le gouvernement a délibérément évité de réaliser ces enregistrements, écrit-il dans un éditorial du 24 janvier, pour dissimuler à l'opinion certaines informations." Et le quotidien de faire état de rumeurs selon lesquelles des argumentaires seraient rédigés pour s'assurer que les responsables impliqués donnent la même version des décisions prises par la cellule de crise. "Ces informations, ajoute-t-il, ont pour unique conséquence de saper les efforts réalisés pour restaurer la crédibilité des régulateurs et des opérateurs du nucléaire." Retrouver la confiance des Japonais, aujourd'hui majoritairement hostiles au redémarrage des 51 réacteurs (sur 54) à l'arrêt, s'annonce donc difficile. D'autant que, d'après le quotidien Mainichi, le gouvernement a également dissimulé un rapport établissant que le Japon disposait de suffisamment de moyens de production d'électricité pour compenser l'arrêt de tous les réacteurs nucléaires et qu'il pourrait passer sans problème l'été, période de pic de consommation. Le gouvernement aurait agi ainsi pour alimenter la crainte d'une pénurie de courant et convaincre l'opinion d'accepter le redémarrage des réacteurs. Philippe Mesmer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 5 mars 2012 Share Posté(e) le 5 mars 2012 Au plus fort de la catastrophe de Fukushima, les autorités japonaises ont envisagé les pires scénarios. Le gouvernement craignait l'explosion des réacteurs, et prévoyait la fin de Tokyo, révèle une enquête menée par une commission indépendante sur la réaction des autorités pendant la crise.Après le tsunami du 11 mars 2011, les autorités japonaises ont craint le pire en envisageant l'explosion des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima. La commission d'enquête indépendante Rebuild Japan Initiative Foundation (RJIF), qui s'est penchée sur les réactions du gouvernement au moment de la catastrophe, doit publier ses conclusions dans quelques jours. Mais une copie du rapport de 400 pages a été publiée dans la presse ce mardi, dévoilant le "scénario du pire" envisagé par les autorités nippones."J'ai pensé à un scénario diabolique", imaginant les réacteurs nucléaires exploser un à un, a avoué Yukio Edano, alors porte-parole du gouvernement, révèle ce rapport cité par l'AFP. Et de se souvenir avoir pensé :"Si ça arrive, Tokyo est fini". Le gouvernement avait projeté des plans au cas où une l'évacuation de la capitale japonaise aurait été nécessaire. Ce sont alors 35 millions d'habitants, ceux de la préfecture de Tokyo et ceux des trois autres préfectures que compte le grand Tokyo, qui étaient concernés. Un scénario déjà dévoilé il y a quelques mois par l'ancien Premier ministre Naoto Kan.Mais le rapport apporte de nouvelles précisions et révèle que l'opérateur de la centrale située à 220 kilomètres de la capitale, Tokyo Electric Power (Tepco), a souhaité évacuer ses employés du site nucléaire au pire de la crise. Mais le Premier ministre de l'époque aurait contraint Tepco à les maintenir sur place pour tenter de maîtriser la catastrophe. Les experts affirment que sans cette décision la crise aurait pu s'aggraver encore d'avantage.Aujourd'hui, presque un après l'accident, les réacteurs sont en état d'arrêt à froid et la situation est toujours en cours de contrôle. Évacuées dans les semaines ayant suivi la catastrophe, certaines zones contaminées resteront inhabitables, a expliqué en décembre dernier le ministère de l'Environnement. La radioactivité restera trop élevée pour qu'un retour de la population y soit possible.http://www.maxisciences.com/catastrophe-nucl%e9aire-au-japon/fukushima-la-fin-de-tokyo-a-ete-envisagee_art22203.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 5 mars 2012 Share Posté(e) le 5 mars 2012 certaines zones contaminées resteront inhabitables, a expliqué en décembre dernier le ministère de l'Environnement. La radioactivité restera trop élevée pour qu'un retour de la population y soit possible. http://www.maxisciences.com/catastrophe-nucl%e9aire-au-japon/fukushima-la-fin-de-tokyo-a-ete-envisagee_art22203.html Des no man's land au japon.. :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
French Kiss Posté(e) le 6 mars 2012 Share Posté(e) le 6 mars 2012 Deja qu'il y a peu d'espaces habitables... encore un coup des promoteurs immobiliers ca! :lol:(je sais c'est pas vraiment drole...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 6 mars 2012 Share Posté(e) le 6 mars 2012 Mouais, il y a encore de larges zones du Japon qui sont relativement peu peuplées.Là le problème c'est que c'est une zone de plaine en bord de mer, pas loin de Tokyo en plus. :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 10 mars 2012 Share Posté(e) le 10 mars 2012 Lors de l'accident de Fukushima nous avions longuement débattu sur les risques , problèmes et solutions mises en place.1 an après, nous pouvons émettre de façon plus posée des enseignement qui seront utiles tant au Japon, qu'en France.Par exemple, l'informatique fut indisponible.Nous savons également que la France a acheminé du matériel divers, fournis par EDF, le CEA et AREVA, mais aussi par différents organismes gouvernementaux. Dans un second temps, une société Francaise a formé des opérateurs Japonais puis a envoyé, à Fukushima, un robot pour effectuer des prélèvements dans des puisards contenant des effluents contaminés . Le robot étant opéré par les Japonais.Fin mars TEPCO demande l’aide d’AREVA pour décontaminer très rapidement les effluents de Fukushima (De 105 à 107 Bq/cm3, principalement 137Cs, 134Cs, 90Sr et 131I).Nota: le sol est irradiant et pour aller vite, récupération d'équipements existants..d'un point de vue contamination radiologique, nous savons maintenant que des employés de TEPCO ont détecté un pic de radioactivité sur le site s’élevant à 10 Sv/h. La nécessité d'une cartographie est donc primordiale tout comme la validation des méthodes d'évaluation des doses internes.Lors de l'incident TEPCO a eu de très grandes difficulté pour réaliser des anthropogammamétries de contrôle.Le 1 5mars, 1,5 μSv/h (0,0000015 Sv/h) fut mesuré non pas à fukishima mais dans une ville proche de Tokio (panache radioactif au-dessus de Tokio du 15 au 16 mars matin , dû au vent).Le deuxième épisode de contamination terrestre fut du 21 au 22 Mars.De ce fait, près de 600 km2 sont contaminés avec un dépôt de césium 137 > 600 kBq/m2. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
S-37 Berkut Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Je viens de regarder un reportage de 2 heures sur Fukushima.On y voyait des Japonnais reprendre leur vie de tous les jours et dire aux caméras qu'ils n'y pensaient plus trop et que pour eux, le tsunami les avaient plus terrorisé que la centrale. Puis on interviewait des Français dans la rue en France qui disaient avoir été terrifié par l'incident nucléaire de Fukushima et ne plus avoir confiance.C'est terrible de voir comme un peuple peut être tromatisé par une catastrophe. J'éspère que les français s'en remettront un jours. O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drakene Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 En même temps le jour ou la moitié d'une cote française est ravagée par un tsunami avec plus de 25000 morts et qu'a cote de ça il y a un accident dans une centrale.On risque de plus être marqué par le tsunami qui aura ravagé le pays et tuer de la famille ou des amis à nous, plutôt qu'une petite zone d’exclusion de 20 ou 30km et quelques radiations qui pourraient nous tuer dans 20-30 ou 40ans... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 En même temps le jour ou la moitié d'une cote française est ravagée par un tsunami avec plus de 25000 morts et qu'a cote de ça il y a un accident dans une centrale. On risque de plus être marqué par le tsunami qui aura ravagé le pays et tuer de la famille ou des amis à nous, plutôt qu'une petite zone d’exclusion de 20 ou 30km et quelques radiations qui pourraient nous tuer dans 20-30 ou 40ans... Les japonais sont surtout furieux de l'incapacité du gouvernement a effacer les traces du tsunami ... alors que parallelement l'evénement fukushima est "terminé", les dégats du tsunami sont toujours là et presque rien a changé depuis 1 an, la region a été plus ou moins déserté et tout le monde se demande comment elle va bien pouvoir etre réabilité et quand. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thyd Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Malgré tout ce que l'on peut voir comme effort pour la centrale et ses alentours, ce ne doit pas être grand chose financièrement par rapport à ce qu'il faudra faire pour retaper les régions dévastées par l'eau de mer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Il y avait un reportage sur Arte hier soir sur la vie dans la région un an après. Un officiel expliquait que la reconstruction tardait car de grandes parties du sol s'étaient affaissées et qu'ils ne savaient la solution qu'ils allaient utiliser régler cela. Il estimait la reconstruction à 5 ans.Après, le reportage montrait bien que la population locale ne croit plus un mot de ce que disent les officiels, donc est-ce la bonne raison .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Il y avait un reportage sur Arte hier soir sur la vie dans la région un an après. Un officiel expliquait que la reconstruction tardait car de grandes parties du sol s'étaient affaissées et qu'ils ne savaient la solution qu'ils allaient utiliser régler cela. Il estimait la reconstruction à 5 ans. Après, le reportage montrait bien que la population locale ne croit plus un mot de ce que disent les officiels, donc est-ce la bonne raison ... Il y a un précédent de ce genre de catastrophe dans un pays developpé et riche, mais de plus petite ampleur, c'est la Nouvelle-Orléan ... et effectivement ca n'est pas tres rassurant quant a la capacité d'un grand pays a reconstruire quelques chose apres une catastrophe naturelle. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 La question est : doit-on reconstruire à grands frais dans une zone que l'on sait désormais inondable en cas de nouveau tsunami ?Le mieux n'est-il pas de tout raser, de laisser les terrains pour la culture (par exemple) et de reconstruire ailleurs, dans les zones protégées ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Le mieux n'est-il pas de tout raser, de laisser les terrains pour la culture (par exemple) et de reconstruire ailleurs, dans les zones protégées ? à part certains locaux qui n'ont pas forcément le choix, psychologiquement, personne ne voudra du fruit de ces cultures. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 @S-37 C'est terrible de voir comme un peuple peut être tromatisé par une catastrophe. J'éspère que les français s'en remettront un jours. Bien sûr c'est trop drôle à 12000 km peinard. Le fait de ne plus penser à l'épée de Damoclès ne supprime pas le risque encouru. En gare de Fukushima les compteurs cliquettent à tout rompre. Des zones entières sont toujours interdites on se pose plein de questions sur le devenir des terres agricoles, sur l'habitabilité de certaines zones ... La question essentielle est de savoir si aujourd'hui les habitants de la région sont heureux de vivre près de la centrale ou s'il subissent désabusés et sans grand espoir de réponses claires une situation qui leur échappe totalement. On peut reprendre sa vie de tous les jours en zone contaminée, le problème c'est que beaucoup la reprendront moins longtemps. Tu devrais aller passer tes vacances là bas et revenir pour nous dé-traumatiser O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
S-37 Berkut Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 @S-37 Bien sûr c'est trop drôle à 12000 km peinard. En gare de Fukushima les compteurs cliquettent à tout rompre. Des zones entières sont toujours interdites on se pose plein de questions sur le devenir des terres agricoles, sur l'habitabilité de certaines zones ... On peut reprendre sa vie de tous les jours en zone contaminée, le problème c'est que beaucoup la reprendront moins longtemps. Le repportage montrait surtout les autes japonais vivant hors de la zone. Car la zone a été dévastée par le tsunami et une large partie est toujours interdite d'accès. En allant surplace, je risquerais d'y voir principalement des familles de victimes du tsunami cherchant toujours leurs proches disparues. La question essentielle est de savoir si aujourd'hui les habitants de la région sont heureux de vivre près de la centrale ou s'il subissent désabusés et sans grand espoir de réponses claires une situation qui leur échappe totalement. Les habitants de la région ont presque tous perdu des proches dans le tsunami. Des familles entières ont disparues. La central n'est pas toujours "LE" sujet numéro 1 de leurs préhocupations. Je connais une japonaise qui a perdu un membre de sa famille et m'expliquait que l'incident nucléaire était plus vu comme une concéquence du tsunami que comme le désastre N°1, même si ils en ont voulu au gouvernement pour les mesures de sécurités insufisantes. (Comme dis par jean-françois). Le fait de ne plus penser à l'épée de Damoclès ne supprime pas le risque encouru. Tu devrais aller passer tes vacances là bas et revenir pour nous dé-traumatiser O0 Quant on a une épée de Damoclès de la taille d'un tsunami qui fait 25 000 mort et dévaste des régions entières et peut se reproduir à tous moment, celle de la central paret un peu secondaire. La question se pause sur la réhabitabilité des zones dévastées par la mer. Mais je me doute qu'à 12 000km de là, c'est quelque chose de difficile à comprendre dans le petit débat franco-français. Quant au détraumatisage des français, je me doute qu'il est impossible. :P Je ne minimise pas les risques dû à la central. C'est un grave incident. Mais ici j'ai l'impression qu'on minimise le désastre qu'à été le tsunami pour ne se concentrer que sur la central, car elle permet de créer du débat franchouillard. Ce qui est le centre d'intéret principal du Français qui aime utiliser les drames que vivent les autres afin d'agrémenter son petit quotidien politique palichon à coup de polémiques blablatesques et d'intello ramolo sur des plateaux TV bon marché. Les dizaines de milliers de victimes d'un tsunami n'intéressent pas grand monde. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 11 mars 2012 Share Posté(e) le 11 mars 2012 Sur la réhabilitation, je me demande si en fait le gouvernement n'a pas attendu volontairement. Je pense qu'en fait ils n'ont pas commencer de gros travaux en attendant de voir comment allait évoluer la situation à la centrale. Au cas où la centrale se soit révélée incontrôlable et que la pollution radioactive se soit plus diffusée dans la région, cela aurait rendu celle-ci définitivement inhabitable.C'est cynique comme point de vue, mais je pense que c'est ce qui s'est passé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 6 avril 2012 Share Posté(e) le 6 avril 2012 http://fairewinds.com/updates Alors qu'ils voyageait au Japon quelques semaines auparavant, Arnie Gundersen de Fairwinds préleva à Tokyo des échantillons de sol dans les jardins publics, les aires de jeux ainsi que les jardins situés sur les toits. Tous les échantillons collectés auraient été classés "déchets nucléaires" s'il avaient été trouvés ici aux USA. While traveling in Japan several weeks ago, Fairewinds’ Arnie Gundersen took soil samples in Tokyo public parks, playgrounds, and rooftop gardens. All the samples would be considered nuclear waste if found here in the US. This level of contamination is currently being discovered throughout Japan. At the US NRC Regulatory Information Conference in Washington, DC March 13 to March 15, the NRC's Chairman, Dr. Gregory Jaczko emphasized his concern that the NRC and the nuclear industry presently do not consider the costs of mass evacuations and radioactive contamination in their cost benefit analysis used to license nuclear power plants. Furthermore, Fairewinds believes that evacuation costs near a US nuclear plant could easily exceed one trillion dollars and contaminated land would be uninhabitable for generations. Arnie Gundersen a durant sa carrière dirigé des réacteurs nucléaires d'un type très similaire à ceux de Fukushima. Il fut aussi conseiller auprès du gouvernement Américain, notamment à la suite de l'accident de Three Mile Island. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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