Nec temere Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 (modifié) Pour Dampierre je peux avoir l'info si les travaux sont dans les temps le week-end pro. Ça sera pas forcément très représentatifs mais ça peut être intéressant. Modifié le 21 novembre 2022 par Nec temere 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 21 novembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 novembre 2022 (modifié) Pour information la vidéo de l’audition publique au sénat relative aux problèmes de corrosion sous contrainte rencontrés sur notre parc nucléaire J’ai essayé de retranscrire les interventions de Cédric LEWANDOWSKI (EDF) et de Bernard DOROSZCZUK ( ASN) . http://videos.senat.fr/video.3062141_635a18e41a210.corrosions-sous-contrainte-dans-les-centrales-nucleaires---audition-publique Cédric LEWANDOWSKI de 10’ 05’’ à 29’ 15’’ transcription au mieux Phénomène inédit inattendu (à l’endroit où les fissurations corrosion sous contrainte CSC , des circuits auxiliaires des circuits primaires , sont apparues) Automne 2021 lors visite décennale de Civaux 1, EDF découvre des anomalies atypiques sur des portions de tuyauterie RIS( réseau d’injection de sécurité) , réseau inactif donc à l’arrêt en fonctionnement normale , la fonction RIS est d’injecter de l’eau dans la cuve du réacteur en cas de brèche dans le circuit primaire , circuit très important pour la sécurité du réacteur . La portion de collecteur concernée est celle qui est directement connectée au circuit primaire avant la première vanne d’isolement . En terme de dimensions cela concerne une tuyauterie de 300 mm de diamètre d’épaisseur de 3 cm sur une longueur d’une dizaine de mètre. Lors des décennales sur l’ensemble du parc nucléaire, on effectue des contrôles pour déceler des défauts de fatigue thermique ( mécanisme d’endommagement induit par des fluctuations de température lié à la présence de tourbillons d’eau chaude . Pour rechercher ce type de défaut on effectue des contrôles par ultra sons . L’analyste des échos détermine présence de fissure dans le métal Fin 2021 on identifie sur Civaux 1 des défauts mais qui ne correspondent pas à de la fatigue thermique . Les portions de tuyaux sont découpées pour être remplacées et expertisées au LIDEC à Chinon . Et c’est à l’issue de ces expertises labo que l’on découvre qu’il ne s’agit pas de fatigue thermique mais bien de la CSC . Fissures de taille significatives puisque 6 mm de profondeur sur toute la circonférence de la tuyauterie . Elles se sont développées à proximité des soudures et non dans la ZAT . La CSC est une fissuration progressive fondée sur un interaction avec un matériau , ici un acier inoxydable austénitique 316L , un environnement l’eau qui passe dans le tuyau , eau avec les composant chimique bore …etc et une sollicitation mécanique résiduelle de soudage ou une sollicitation inhérente au fonctionnement de ce circuit . La CSC est donc de fruit l’interactions complexes avec des paramètres. EDF a déjà rencontré à la fin des années 90 des cas de CSC liés à des pollutions , un recensement avait été effectué sur ce cas de CSC et aucun risque n’avait été identifié sur les lignes RIS auxiliaires connectées au primaire d’où le caractère in attendu des récentes découvertes . Des cas de csc ont été identifiés en 2020 au Japon à OHI 3 en milieu primaire sur un acier de nuance proche du 316L. Les constats sur Civaux 1 conduit EDF à stopper Civaux 2 pour effectuer les mêmes contrôles pour y découvrir les mêmes défauts de csc et dans la foulée sécurité oblige ( pas débat interne ) EDF stoppe 2 autres centrales du même palier dans les Ardennes Un autre évènement survient en parallèle sur le réacteur de Penly 1 en visite décennale une indication de CSC est relevée sur une tuyauterie d’injection d’eau RIS confirmée par une expertise labo au microscope . L’ensemble du parc nucléaire est donc concerné par un défaut générique Réglementation est claire notamment l’arrêté du 10/11/99 , concernant la surveillance des réseaux du primaire après la découverte d’un défaut de cette nature , le maintien en service ne peut se faire qu’après une instruction technique longue et approfondie . Il est apparu à EDF que seul la réparation était à privilégier pour assurer un retour rapide des réacteurs sur le réseau . EDF a alors établie une stratégie de contrôle pour avoir un vision précise de l’état du parc en une relecture a posteriori de l’ensemble des centrales. Suite à ces travaux 7 réacteurs supplémentaires vont être mis à l’arrêt. Les appareils de contrôles par ultra son sont adaptés à de la fatigue thermique et non à la CSC . Ils ne peuvent pas donner une idée précise de la profondeur des fissures et c’est pour cette raison qu’EDF est obligé de prélever des échantillons de tuyaux pour une analyse fine des fissures. C’est un grand chantier d’expertise puisqu’au premier semestre 2023 ce sont 115 soudures différentes qui ont été analysées , 230 échantillons ont été expertisés avec des microscopes de haute précision . C’est cet ensemble de travail titanesque qui a permis d’avoir une bonne compréhension relative des phénomènes fissuration et d’affirmer que la prépondérance de la CSC ; - est due à la géométrie des lignes de tuyauterie RIS parce qu’elles déterminent les niveaux de contraintes - que les réacteurs de 900 Mw 32 réacteurs et les réacteurs de 1300 mw dit P4 ( 8 réacteurs sont peu ou très peu sensibles à la CSC - que les réacteurs de 1300 Mw dit P’4 ( 12 réacteurs) et les réacteurs N4 sont sensibles ou fortement sensibles à la ccs il en ressort également que les zones sensibles à la csc sont délimitées par une soudure et au delà pas de constat de csc Tout ces éléments combinés à les calculs de sûreté et des calculs de tenue mécanique de tuyauterie a conduit EDF a présenté à l’autorité de contrôle ASN une stratégie de contrôle et de réparation. Au bilan , sur douze réacteurs , dix font et ont fait l’objet de réparation sur les circuits . Sur les dix chantiers - 6 sont terminés - 1 autre devrait se terminer courant novembre , - les 3 autres pour la fin de l’année . Un point qui n’est pas de détail sur les réparations , elles sont réalisées sur des modes opératoires semblables ce ceux effectué à l’origine . Parce que ces procédés ont fait l’objet de qualification et qu’en si peu de temps il serait impossible de qualifié un autre procédé . Ce grand chantier a mobilisé plusieurs industriels dont Framatome et Westinghouse ( soudeurs venus d’Amérique du Nord . EDF aurait souhaité que les chantiers soient plus nombreux , gestion radio protection afin de minimiser la dosimétrie . Prouesse de développement d’une nouvelle technique ultrason adapté à la CSC pour bien sonder les 3 cm de métal cet outil évitant des découpes supplémentaires . A ce stade EDF a une compréhension assez fine du phénomène et conscient des efforts de R et D à effectuer pour décrypter ces mécanismes complexes . EDF a aussi réuni 15 experts de la métallurgie du monde entier , des documents leur ont été communiqués sous confidentialité . Ce collège d’experts , en confirmant la bonne orientation d’EDF a établi un certain nombre de recommandations et approfondissement sur La température du circuit Le Taux d’oxygène Ces experts ont émis une avis favorable sur les nouveaux types de contrôle par ultrason. Tout en soulignant le bien fondé du remplacement des tuyauterie à l’identique , certain experts ont proposé de mettre en œuvre la méthode « overlay » , solution de réparation consistant à manchonner par soudage des parties fissurées , procédé qualifié par les normes Us . EDF examine la pertinence de cette solution. Conclusion La sécurité demeure la priorité absolue , à aucun moment EDF à transiger avec la sécurité malgré la décision difficile de mettre à l’arrêt des centrales en plein hiver Corolaire du point précédant , une relation de qualité avec l’ASN ; confiance dialogue et transparence irréprochable En liaison avec l’ASN de disposer d’un état précis de la situation Bernard DOROSZCZUK ( ASN ) de 29’41’’ à 46’08 transcription au mieux Insistance sur 4 points 1 ) la fissuration de CSC est un problème sérieux qui a été traité sérieusement . C’est sérieux car elle comporte de réel enjeu de sûreté pouvant conduire à une brèche sur un circuit auxiliaire directement connecté au circuit primaire sans pourvoir l’isoler Une brèche de cette nature peut être considérée comme une situation accidentelle avec des dommages à l’installation et une perte du réacteur potentiellement durable .éventuellement avec des rejets modérés à l’extérieur . Il ne faut absolument pas minimiser l’impact d’un tel événement .cette csc est générique puisque constatée sur les 4 réacteurs du palier N4 et les 12 réacteurs du palier P’4 . Les fissures constatées ne sont pas négligeables, elles sont évolutives et peuvent atteindre le 1/4 de l’épaisseur avec peu de marge par rapport à la taille du défaut critique pouvant entraîner une rupture de la canalisation en cas de déclenche d’injection d’eau du circuit RIS La CSC est difficile à détecté car la fissuration n’est pas droite comme celle d’une fissure de fatigue . Sa progression est en ligne brisée en suivant le joint du métal . Les outils de contrôle n’étaient pas adaptés à la CSC d’où difficulté de caractériser la taille des fissures La CSC est un sujet difficile à traiter et dans ce cas d’espèce inattendue vu le type de matériau utilisé et inédite dans cette ampleur sur la totalité du parc mondial . EDF ne pouvait donc bénéficier d’aucun retex pouvant accélérer le traitement de ce phénomène C’est un sujet difficile à traiter car nécessitant des interventions en milieu dosant ; protection. et intervention limitée dans le temps 2 EDF a déployé un plan d’investigation conséquent très rapidement en posant plan stratégique de contrôle et réparation. Stratégie approuvée par l’ASN fin juillet . Le premier semestre 2021 a été consacré à un plan d’investigation basé sur des découpes , des expertises et des justifications de sûreté a permis de dégager une vue plus complète sur l’état du parc . Ce plan d’investigation était indispensable pour comprendre le phénomène et d’identifier les zones des réacteurs les plus concernées . Plan d’investigation jugé pertinent par l’ASN, à permis d’identifier les géométries des tuyauteries concernées et les contraintes thermomécaniques comme étant les principaux facteurs d’influence des fissures . Les soudures avec forte énergie de soudage et sans arasage constituent également un facteur aggravant du développement des fissures de CSC. Les soudures liées aux réparation doivent être particulièrement soignées pour éviter l’apparition de nouvelles fissures CSC . On a donc 16 réacteurs ( 12 P’4 et 4N4 ) : - 7 de ces réacteurs étaient couverts par le plan d’investigation d’EDF ( découpes analyses des causes …etc ) - 3 sont encours de contrôle - et 6 réacteurs restent encore à examiner d’ici mi 2023 au plus tard . Les contrôles seront effectué avec un nouveau procédé non destructif par ultrason , encore non qualifié ,et il se pourrait alors pouvoir découvrir des fissures plus importantes que celles observées lors des découpes . Il faut rester prudent sur la disponibilité d’une filière industrielle déjà sous tension ; contrôleurs , tuyauteurs soudeurs , il convient donc de renforcer ces capacités industrielles pour faire face à l’ampleur des travaux en perspective. Au moment de la construction des soudures de réparation ont été effectuées , ces soudures induisent des champs de contrainte pouvant favoriser l’apparition de fissures plus rapides de CSC . Toute ces soudures cartographiées devront être expertisées par la nouvelles technique de contrôle . A l’issue de ces contrôles l’ASN donnera son avis , D’ici fin 2025 , engagement calendaire d’EDF tous les réacteurs ( 32 au total ) y compris ceux de 900 mw peu touchés devront être contrôlés. 3 vu le caractère inédit et les enjeux de sûreté la CSC nécessite un besoin de transparence et de partage du retour d’expérience vis à vis du public dont l’ANCCLI (Association Nationale des Comités et Commissions Locales d’Information) et CLI (Commissions Locales d’Information) L’ASN a effectuer 38 inspections sur ce sujet et suit de très près les opérations sur les chantiers . L’ASN a mis en ligne sur son site internet un dossier csc consultable, Prouesse de développement d’une nouvelle technique ultrason adapté à la CSC pour bien sonder les 3 cm de métal cet outil évitant des découpes supplémentaires . A ce stade EDF a une compréhension assez fine du phénomène et conscient des efforts de R et D à effectuer pour décrypter ces mécanismes complexes . EDF a aussi réuni 15 experts de la métallurgie du monde entier , des documents leur ont été communiqués sous confidentialité . Ce collège d’experts , en confirmant la bonne orientation d’EDF a établi un certain nombre de recommandations et approfondissement sur La température du circuit Le Taux d’oxygène Ces experts ont émis une avis favorable sur les nouveaux types de contrôle par ultrason. Tout en soulignant le bien fondé du remplacement des tuyauterie à l’identique , certain experts ont proposé de mettre en œuvre la méthode « overlay » , solution de réparation consistant à manchonner par soudage des parties fissurées , procédé qualifié par les normes Us . EDF examine la pertinence de cette solution. Conclusion La sécurité demeure la priorité absolue , à aucun moment EDF à transiger avec la sécurité malgré la décision difficile de mettre à l’arrêt des centrales en plein hiver Corolaire du point précédant , une relation de qualité avec l’ASN ; confiance dialogue et transparence irréprochable En liaison avec l’ASN de disposer d’un état précis de la situation Bernard DOROSZCZUK ( ASN ) de 29’41’’ à 46’08 transcription au mieux Insistance sur 4 points 1 ) la fissuration de CSC est un problème sérieux qui a été traité sérieusement . C’est sérieux car elle comporte de réel enjeu de sûreté pouvant conduire à une brèche sur un circuit auxiliaire directement connecté au circuit primaire sans pourvoir l’isoler Une brèche de cette nature peut être considérée comme une situation accidentelle avec des dommages à l’installation et une perte du réacteur potentiellement durable .éventuellement avec des rejets modérés à l’extérieur . Il ne faut absolument pas minimiser l’impact d’un tel événement .cette csc est générique puisque constatée sur les 4 réacteurs du palier N4 et les 12 réacteurs du palier P’4 . Les fissures constatées ne sont pas négligeables, elles sont évolutives et peuvent atteindre le 1/4 de l’épaisseur avec peu de marge par rapport à la taille du défaut critique pouvant entraîner une rupture de la canalisation en cas de déclenche d’injection d’eau du circuit RIS La CSC est difficile à détecté car la fissuration n’est pas droite comme celle d’une fissure de fatigue . Sa progression est en ligne brisée en suivant le joint du métal . Les outils de contrôle n’étaient pas adaptés à la CSC d’où difficulté de caractériser la taille des fissures La CSC est un sujet difficile à traiter et dans ce cas d’espèce inattendue vu le type de matériau utilisé et inédite dans cette ampleur sur la totalité du parc mondial . EDF ne pouvait donc bénéficier d’aucun retex pouvant accélérer le traitement de ce phénomène C’est un sujet difficile à traiter car nécessitant des interventions en milieu dosant ; protection. et intervention limitée dans le temps 2 EDF a déployé un plan d’investigation conséquent très rapidement en posant plan stratégique de contrôle et réparation. Stratégie approuvée par l’ASN fin juillet . Le premier semestre 2021 a été consacré à un plan d’investigation basé sur des découpes , des expertises et des justifications de sûreté a permis de dégager une vue plus complète sur l’état du parc . Ce plan d’investigation était indispensable pour comprendre le phénomène et d’identifier les zones des réacteurs les plus concernées . Plan d’investigation jugé pertinent par l’ASN, à permis d’identifier les géométries des tuyauteries concernées et les contraintes thermomécaniques comme étant les principaux facteurs d’influence des fissures . Les soudures avec forte énergie de soudage et sans arasage constituent également un facteur aggravant du développement des fissures de CSC. Les soudures liées aux réparation doivent être particulièrement soignées pour éviter l’apparition de nouvelles fissures CSC . On a donc 16 réacteurs ( 12 P’4 et 4N4 ) : - 7 de ces réacteurs étaient couverts par le plan d’investigation d’EDF ( découpes analyses des causes …etc ) - 3 sont encours de contrôle - et 6 réacteurs restent encore à examiner d’ici mi 2023 au plus tard . Les contrôles seront effectué avec un nouveau procédé non destructif par ultrason , encore non qualifié ,et il se pourrait alors pouvoir découvrir des fissures plus importantes que celles observées lors des découpes . Il faut rester prudent sur la disponibilité d’une filière industrielle déjà sous tension ; contrôleurs , tuyauteurs soudeurs , il convient donc de renforcer ces capacités industrielles pour faire face à l’ampleur des travaux en perspective. Au moment de la construction des soudures de réparation ont été effectuées , ces soudures induisent des champs de contrainte pouvant favoriser l’apparition de fissures plus rapides de CSC . Toute ces soudures cartographiées devront être expertisées par la nouvelles technique de contrôle . A l’issue de ces contrôles l’ASN donnera son avis , D’ici fin 2025 , engagement calendaire d’EDF tous les réacteurs ( 32 au total ) y compris ceux de 900 mw peu touchés devront être contrôlés. 3 vu le caractère inédit et les enjeux de sûreté la CSC nécessite un besoin de transparence et de partage du retour d’expérience vis à vis du public dont l’ANCCLI (Association Nationale des Comités et Commissions Locales d’Information) et CLI (Commissions Locales d’Information) L’ASN a effectuer 38 inspections sur ce sujet et suit de très près les opérations sur les chantiers . L’ASN a mis en ligne sur son site internet un dossier csc consultable, l’ASN est aussi impliquée dans les échanges internationaux avec leurs homologues régulateurs européens et nord américains asiatique et d’Afrique du Sud sont très demandeur d’information du ce sujet . Ces régulateurs ont demandé à leurs exploitants d’investiguer 4 enseignement à tirer à ce stade de ces évènements l’ASN en voit 3 principaux ; Tout d’abord un enseignement de prudence au vu de ce que a été fait , les connaissances de CSC sont encore évolutives . Le programme de contrôle serait réadapté à la connaissance d’éléments nouveaux ( tailles des fissures) prudence aussi sur les capacités industrielles déjà sous tension capacité qui demandent à être renforcée Second enseignement dans une démarche de défense en profondeur est d’aller voir les choses auxquelles on ne s’attend pas , elle doit être conforté et entretenu . C’est l’objet des plans de maintenance préventive des exploitants qui devront être complétés aux vues du retex de ces événements . Mais aussi de l’examen de conformité détaillés que l’ASN demandent aux exploitants de réaliser lors des visites décennales . Aller voir les parties de l’installation que l’on ne voit pas en exploitation normale par exemple les réseaux enterrés , câbles électriques.. Dernier point c’est la réaffirmation du besoin nombreuse fois exprimées par l’ASN est de disposer de marge pour la sûreté . En 2013 l’ASN avait émis un avis en ce sens dans le cadre du débat sur la politique énergique . Dans cet avis l’ASN exprimait le besoin de disposer de marge suffisante pour pouvoir faire face à la nécessité de suspendre momentanément pour des raisons de sûreté le fonctionnement de plusieurs réacteurs . Ce besoin à été réaffirmé à plusieurs reprises dans les rapports annuels . La situation actuelle illustre de façon impérative de restaurer des marges pour la sûreté dans le futur mixte énergétique à l’horizon 2050 Jean-Christophe NIEL ( ASN ) de 46’30’’ à 1h 01’ 21’’ non retranscrit , à écouter Quelques planches plus commentées en détail techniques Jean Claude DELALONDE et Yves LHEUREUX ANNCLI et CLI , non retranscrit à écouter Planches explicatives du rôle de l’ANCCLI et ses questions et attendus Questions réponses non retranscrit de 1h 31’ 14’’ jusqu’à la fin de l’audition , à écouter A 1h56’45’’ à signaler l’intervention du sénateur André GUOIL membre de la commission de défense ; « est ce que les centrales nucléaires embarquées des SNA SNLE et du CdG connaissent les mêmes problèmes ? Si à ma connaissance non , quels enseignements pouvons-nous en tirer ? Réponse de Cédric LEWANDOWSKI à 1h59’59’’. sur les questions très précises des installations embarquées de la défense sachez que nous avons des contacts réguliers , ils ont été informés de la nature des travaux sachant que nous sommes dans une situation très différente ( questions à reformuler au sein de la commission idoine ) Modifié le 21 novembre 2022 par ARMEN56 2 15 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 Grand merci @ARMEN56 pour ce travail. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 4 hours ago, g4lly said: Ou le seul à suivre twitter peut être Ou le seul à suivre twitter peut être Il a un blog qu'il alimente peu malheureusement. Il debunk grave sur Twitter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 21 novembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 novembre 2022 il y a une heure, Patrick a dit : Grand merci @ARMEN56 pour ce travail. J'ai ramé pas mal pour arriver au bout , d'où peut être des coquilles de redondance D’abord c’est en écoutant JM Jancovici lors l’audition du 02/11/2022 en rapport de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France qu’à une question sur la CSC affectant nos centrales , il a renvoyé l’interlocuteur vers ces explications de LEWANDOWSKI https://www.youtube.com/watch?v=oweVFXFFh04 Ensuite cette problématique de corrosions me m’est pas indifférente puisque d’active j’ai été impliqué dans la recherche de solutions curatives des circuits eau de mer des bâtiments de surface justement affectés par des pathologies de corrosions. Non pas de CSC mais d’autres type de corrosion pourtant sur des matériaux « cuivreux » parfaitement adaptés au confinement eau de mer. Alors les collègues et moi-même avons aussi été confrontés à de l’inattendu en certaines formes de corrosions localisées jamais observées en retex , en particulier la corrosion sous dépôt inhérente à la présence de bras mort dans certaine portion de collecteur . Sinon les seuls cas de CSC que j’ai observés l’ont été sur des chauffe eaux en inox proche de la nuance 316 L , corrosion sous calorifuge dans des cycles de régulation de température 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 (modifié) Il y a 2 heures, ARMEN56 a dit : Pour information la vidéo de l’audition publique au sénat relative aux problèmes de corrosion sous contrainte rencontrés sur notre parc nucléaire J’ai essayé de retranscrire les interventions de Cédric LEWANDOWSKI (EDF) et de Bernard DOROSZCZUK ( ASN) . ... "les réservoirs d'appoint étaient désinertés et des branches non désaérées " ça sent l'optimisation de process ou changement durant la vie, longue, des centrales ? Modifié le 21 novembre 2022 par nikesfeld13 reformulation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 il y a 44 minutes, nikesfeld13 a dit : "les réservoirs d'appoint étaient désinertés et des branches non désaérées " ça sent l'optimisation de process ou changement durant la vie, longue, des centrales ? J'ai peut être mal compris mais j'ai l'impression qu'au contraire la non désaération était la norme dès le début. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 il y a 17 minutes, Julien a dit : J'ai peut être mal compris mais j'ai l'impression qu'au contraire la non désaération était la norme dès le début. Tu as raison, le doute m'habite, plutôt que de parler sur un schéma sur une présentation il vaut mieux regarder dans les bouquins ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nikesfeld13 Posté(e) le 21 novembre 2022 Share Posté(e) le 21 novembre 2022 (modifié) add il y a une heure, Julien a dit : J'ai peut être mal compris mais j'ai l'impression qu'au contraire la non désaération était la norme dès le début. En fait l'IRSN a bien utilisé ces arguments comme des défauts, pouvant expliquant la corrosion. Une reformulation des termes étant: "l'eau de sureté était stockée dans une cuve en atmosphère alors que par conception les 900 MWe, la cuve était inertée (à l'azote)". La CSC a eu lieu dans le bras mort, entre l'isolement de l'injection et le circuit primaire. bon ceci dit la corrosion sous contrainte des inox est un sujet trés documenté et suivi dans cette branche industrielle (exemple page 50 : https://www.google.com/url?sa=i&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=0CAMQw7AJahcKEwjw9eeZoMD7AhUAAAAAHQAAAAAQAg&url=https%3A%2F%2Fwww.cea.fr%2FDocuments%2Fmonographies%2FCorrosion-alt%C3%A9ration-mat%C3%A9riaux-nucl%C3%A9aire-r%C3%A9acteurs-eau.pdf&psig=AOvVaw113_rN3MSQ8Py7kSR3PAxj&ust=1669153030681216) https://www.cdcorrosion.com/mode_corrosion/corrosion_contrainte.htm Modifié le 21 novembre 2022 par nikesfeld13 add Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 22 novembre 2022 Share Posté(e) le 22 novembre 2022 Les soucis décrits ci-dessus me font penser à certains améliorations mises en avant sur l'AP1000 américain : Injection de sécurité directement en cuve Par différence avec les conceptions antérieures Westinghouse les lignes d'injections de sécurité de l'AP 1000 vont directement vers la cuve et non point dans les boucles en portion froide. Cette disposition élimine un cas assez évident de mode commun en cas de brèche survenant dans une boucle ou une ligne connectée qui rend par le fait la ligne d'injection associée indisponible. L'injection "en boucle" est une conception un peu contre nature puisque ce qu'il s'agit de noyer ou re-noyer c'est le cœur et non point les boucles. La conception du débouché de la ligne d'injection dans la cuve présente un degré de liberté de dessin que ne procure pas les bossages de boucles froides pour réduire le risque de choc froid sur la paroi de cuve lors de l'injection ce qui est une difficulté importante rencontrée sur les réacteurs à conception "injection en boucles". 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 29 novembre 2022 Share Posté(e) le 29 novembre 2022 Les besoins sont proche de 65 GW aujourd'hui. Le nucléaire couvre pour 34 GW, le charbon fait son retour. Le gaz et les imports couvre ce que l'éolien ne fait pas aujourd'hui alors que la semaine dernière c'est l'éolien qui était la deuxième énergie du pays. Gros laché hydro ce matin. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 29 novembre 2022 Share Posté(e) le 29 novembre 2022 Quasiment pas de vent aujourd'hui. 3% de la production par l'éolien alors que cela peut monter à 30%. Un cas d'école des soucis de la dépendance à ce type d'énergie. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 29 novembre 2022 Share Posté(e) le 29 novembre 2022 Il y a 8 heures, Deres a dit : Quasiment pas de vent aujourd'hui. 3% de la production par l'éolien alors que cela peut monter à 30%. Un cas d'école des soucis de la dépendance à ce type d'énergie. Oui, mais si c'était moins tendu, on substituerait le gaz et l'éolien. Là, on importe... Il y a 9 heures, herciv a dit : Les besoins sont proche de 65 GW aujourd'hui. Le nucléaire couvre pour 34 GW, le charbon fait son retour. Le gaz et les imports couvre ce que l'éolien ne fait pas aujourd'hui alors que la semaine dernière c'est l'éolien qui était la deuxième énergie du pays. Gros laché hydro ce matin. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Manifestement, quelques tranches nucléaires sont revenues en ligne : on est passé de 28 à 34GW produits par le nucléaire entre le début et la fin novembre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 Il y a 6 heures, Boule75 a dit : Manifestement, quelques tranches nucléaires sont revenues en ligne : on est passé de 28 à 34GW produits par le nucléaire entre le début et la fin novembre. Oui il en reste 20 d'après BFM à remettre en ligne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 Citation La Russie possède la seule usine au monde capable de « recycler » l’uranium déchargé des réacteurs nucléaires français https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/11/29/la-russie-possede-la-seule-usine-au-monde-capable-de-recycler-l-uranium-decharge-des-reacteurs-nucleaires-francais_6152097_3234.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 Il y a 8 heures, Boule75 a dit : Oui, mais si c'était moins tendu, on substituerait le gaz et l'éolien. Là, on importe... C'est exactement le souci : il faudrait avoir autant de puissance de centrale à gaz que de renouvelable non garanti tout en sachant qu'il ne serviront pas la moitié du temps et que légalement tout est fait pour que cette technologie ne puisse pas être un investissement rentable. Je n'ai rien contre le solaire et l'éolien par principe bien au contraire, mais je trouve que l'on met la charrue avant les bœufs. Il faut résoudre ce problème d'intermittence avant de faire des déploiements massifs et non l'inverse. Tout investissement en énergie intermittente devrait être couplé à un investissement dans un moyen de stockage ou de production alternative garanti même partiel au lieu de dissocier les deux ce qui revient dans les faits à renvoyer aux calendes grecques le développement du stockage et de la production alternative. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 il y a 40 minutes, Deres a dit : C'est exactement le souci : il faudrait avoir autant de puissance de centrale à gaz que de renouvelable non garanti tout en sachant qu'il ne serviront pas la moitié du temps et que légalement tout est fait pour que cette technologie ne puisse pas être un investissement rentable. Je n'ai rien contre le solaire et l'éolien par principe bien au contraire, mais je trouve que l'on met la charrue avant les bœufs. Il faut résoudre ce problème d'intermittence avant de faire des déploiements massifs et non l'inverse. Tout investissement en énergie intermittente devrait être couplé à un investissement dans un moyen de stockage ou de production alternative garanti même partiel au lieu de dissocier les deux ce qui revient dans les faits à renvoyer aux calendes grecques le développement du stockage et de la production alternative. L'hydraulique est déjà un bon amortisseur en temps normal, mais insuffisant (plus extensible sur le territoire national en tout cas) si on développe trop de dépendance aux sources intermittentes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 (modifié) Il y a 2 heures, clem200 a dit : https://www.lemonde.fr/economie/article/2022/11/29/la-russie-possede-la-seule-usine-au-monde-capable-de-recycler-l-uranium-decharge-des-reacteurs-nucleaires-francais_6152097_3234.html Un vrai torchon. En creusant un peu, je suis tombé sur cet article de Libé qui date d'un an, et qui explique bien les choses : * pour aider à la compréhension avant de lire, l'Uranium naturel n'est composé qu'à 0.7% d'235U fissile en réacteurs classiques (utilisant des neutrons thermiques). Comme c'est trop peu, il est nécessaire "d'enrichir" le combustible en augmentant cette concentration jusqu'à 3.5%. Ce faisant, on a d'un côté un tas d'U enrichi près à faire du combustible, et un tas d'uranium appauvri, dont la quantité d'235U est plus basse que la naturelle. Une fois passé en réacteur, la proportion d'235U est descendu à environ 1%, soit grosso modo la même chose que l'uranium naturel. Donc utiliser cet uranium "de retraitement" permet d'éviter d'aller chercher de l'U naturel. En revanche, cet U contient aussi d'autres isotopes comme l'236U qui le rend beaucoup plus radioactif que l'Unat. Et je pense que c'est cela qui impose des installations spécifiques. https://www.liberation.fr/checknews/la-france-envoie-t-elle-ses-dechets-nucleaires-en-russie-comme-le-dit-greenpeace-20211020_Y6WS2RIHNZEBDJECREYPAVQJ5M/ La France envoie-t-elle ses déchets nucléaires en Russie, comme le dit Greenpeace ? (j'aurai bien surligné les passages intéressants, mais il y en a beaucoup et ce *** d'éditeur empêche maintenant de mettre des textes un peu longs) Au final, pas de quoi fouetter trois pattes à un canard. Greenpeace fait du Greenpeace, à savoir trouver inadmissible tout ce qui se fait dans le nucléaire : - c'est inadmissible de le recycler l'U de retraitement car ça devrait être un déchet - c'est inadmissible de la faire en Russie, ça nous rend dépendant - c'est inadmissible de le faire en France parce que ça coute cher et expose les travailleurs à des doses inutiles - c'est inadmissible d'exploiter des mines polluantes pour trouver de l'Unat Modifié le 30 novembre 2022 par Delbareth 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
papsou Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 Il y a 19 heures, herciv a dit : Les besoins sont proche de 65 GW aujourd'hui. Le nucléaire couvre pour 34 GW, le charbon fait son retour. Le gaz et les imports couvre ce que l'éolien ne fait pas aujourd'hui alors que la semaine dernière c'est l'éolien qui était la deuxième énergie du pays. Gros laché hydro ce matin. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Et dès que l'éolien est en berne les importations fusent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 30 novembre 2022 Share Posté(e) le 30 novembre 2022 (modifié) Il y a 7 heures, papsou a dit : Et dès que l'éolien est en berne les importations fusent. Tout à fait. Mais c'est montre la fragilité de notre modèle. Parce que les importations c'est beaucoup de production aux gaz a priori ... ET les réserves vont fondrent. Aujourd'hui on voit l'inverse. Les éoliennes fournissent plus de courant ce qui permet de baisser les imports. Modifié le 30 novembre 2022 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 (modifié) Edit : mauvais chargement des donnés https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Modifié le 1 décembre 2022 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 décembre 2022 Share Posté(e) le 4 décembre 2022 (modifié) 37 GW nucléaires produits ce jour suit 6 de plus qu'en début de semaine !!! Au moins 6 réacteurs ont dû être rebranchés. C'est une très bonne nouvelle mais çà ne suffira pas si on continu à tangenter les 70 GW et forcément plus quand il fera plus froid. Mon indicateur c'est les imports. Ils ont atteint 10 GW à 18 h le 02 décembre. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Modifié le 4 décembre 2022 par herciv 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 5 décembre 2022 Share Posté(e) le 5 décembre 2022 Et l'éolien ne produit presque plus rien. C'est le souci anticyclone en hiver = temps froid = pas de vent. La puissance éolienne en plus d'être intermittent n'est pas complètement aléatoire. Elle est en partie lié à la météo donc à la température dans le mauvais sens. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 décembre 2022 Share Posté(e) le 6 décembre 2022 (modifié) 73 GW appelé hier soir (contre 45 en été) et en l'absence de vent et très peu de solaire (1 soleil plus lointain; plus bas sur l'horizon, et moins longtemps) ce sont les imports qui battent des records, presque 12 GW. https://www.rte-france.com/eco2mix/la-production-delectricite-par-filiere# Modifié le 6 décembre 2022 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 6 décembre 2022 Share Posté(e) le 6 décembre 2022 (modifié) il y a 42 minutes, herciv a dit : 1 soleil plus lointain Hum... en hiver hémisphère nord, la Terre est plus proche du soleil... (147e6 km début janvier contre 152e6 km début juillet) Modifié le 6 décembre 2022 par Delbareth Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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