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Frappes sur la Libye, le sujet officiel!


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Pourquoi donc?

Parce que traditionnellement les inrocks ont toujours été engagés à gauche, que ce canard appartient à mathieu pigasse, un banquier d'affaires de chez Lazard publiquement engagé à gauche et soutien de hollande, co-actionnaire du monde également, comme quoi de gauche et banque d'affaires ne sont pas antinomiques, c'est un peu la finance avec un visage.

Et que Media-part est dirigé par edwy plenel ancien du monde, dont on connait les engagements.

Quant à savoir si Sarkozy en est capable..peut-être..mais le fait d'en être capable ne le rend pas automatiquement coupable pour autant, surtout que media part a été désavoué par moussa koussa (quelle référence vous allez me dire :lol:) sur cette histoire d'accord préalable sur un financement de la campagne de sarkozy par K, et ce qui ferait de Sarkozy un bel ingrat de surcroit dire que Sarkozy lui a envoyé les rafales les BPC et les tigres quelques mois plus tard.

Ce qu'on nomme pour conclure : la présomption d’innocence, concept sans saveur en ces temps d'hystérie collective.

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Quant à savoir si Sarkozy en est capable..peut-être..mais le fait d'en être capable ne le rend pas automatiquement coupable pour autant, surtout que media part a été désavoué par moussa koussa (quelle référence vous allez me dire :lol:) sur cette histoire d'accord préalable sur un financement de la campagne de sarkozy par K, et ce qui ferait de Sarkozy un bel ingrat de surcroit dire que Sarkozy lui a envoyé les rafales les BPC et les tigres quelques mois plus tard.

Ce qu'on nomme pour conclure : la présomption d’innocence, concept sans saveur en ces temps d'hystérie collective.

C'est un peu HS mais j'interviens :

-M. Koussa est actuellement au Qatar, pays plus qu' engagé en Libye et très proche de Sarkozy, et sous la menace d'une extradition vers la Libye qui ne tient qu'à la volonté du Prince.

-B. Saleh est en France et fait l'objet d'une notice rouge par Interpol, notice qui est ignoré par la France.

- Sur l'ingratitude (Ca me fait toujours rire quand on met dans la même phrase la gratitude et un homme politique  :lol: ) de N. Sarkozy, c'est curieux qu'on parle de son empressement de foncer tête baissée dans l'aventure libyenne mais pas des premières années de son quinquennat où il y a contribuer à la réhabilitation de Khadafi, a conclu/promis de nombreux contrats civils et militaires, l'a accueilli à Paris.

- Le seul intermédiaire de l'histoire qui n'est pas sous pression ( Takieddine) confirme plus ou moins l'histoire. 

La présomption de l'innocence n'empêche pas de poser des questions et de demander des explications mais uniquement de s'engager de manière définitive sur la culpabilité d'une personne ;)

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- Sur l'ingratitude (Ca me fait toujours rire quand on met dans la même phrase la gratitude et un homme politique  :lol: ) de N. Sarkozy, c'est curieux qu'on parle de son empressement de foncer tête baissée dans l'aventure libyenne mais pas des premières années de son quinquennat où il y a contribuer à la réhabilitation de Khadafi, a conclu/promis de nombreux contrats civils et militaires, l'a accueilli à Paris.

C'était ironique, mais j'ai pas mis le smiley de rigueur.

Takiedine doit être aussi recommandable que koussa..mais bon.

La présomption de l'innocence n'empêche pas de poser des questions et de demander des explications mais uniquement de s'engager de manière définitive sur la culpabilité d'une personne ;)

J'entends bien mais quand ça sort de médias très engagés ça nuit à la portée du propos, surtout en période électorale, sinon mis à part ce détail fais toi plaisir.

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Takiedine doit être aussi recommandable que koussa..mais bon.

Il y a un doux mélange des "affaires" - qui n'en sont pas vraiment.

- La promesse de commerce avec la Libye comme contrepartie de la libération des bulgares, dont peut etre des armes, et une promesse de centrale nucléaire.

- Un hypothétique financement Libyen de campagne.

Pour le premier volet a priori c'est assumé, et revendiqué comme un pieux mensonge - celui de la centrale nucléaire, même si des protocole d'accord ont semble t il été signés - pour libérer les bulgares. Pour les armes visiblement les ventes ont été effectives.

Pour le second volet c'est parole contre parole d'ancien dignitiaire Libyens dont les interets sont complexe depuis que K a quitté les affaires.

Un des accusateur Libyen http://www.lemonde.fr/libye/video/2012/05/03/l-avocat-de-l-ex-premier-ministre-lybien-kadhafi-a-finance-la-campagne-de-sarkozy-en-2007_1695541_1496980.html

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Entretien avec Jacques HOGARD : "La chute du régime de Kadhafi est une onde de choc qui déstabilise l’Afrique !"

L’effondrement du régime du défunt leader libyen Mouammar Kadhafi n’est pas sans conséquences dans la région du Sahel, particulièrement au Mali, qui vit une grave crise politique depuis le coup d’Etat qui a renversé le Président Amadou Toumani Touré. Le nord du pays est tombé entre les mains des rebelles touaregs du MNLA et du groupe islamiste Ançar Dine soutenu par Aqmi. Jacques Hogard, spécialiste des questions sécuritaires au Sahel, analyse la situation.

Afrik.com : Les effets de l’effondrement du régime de Mouammar Kadhafi commencent à émerger dans le Sahel. Comment le défunt leader libyen participait-il à la stabilisation de la région ?

Jacques Hogard : Les conséquences du changement de régime en Libye sont incalculables en Afrique. Kadhafi n’était pas n’importe qui. C’était tout de même un chef d’Etat qui a régné durant 42 ans. Qu’on le veuille ou non, qu’on l’aime ou pas, il faut admettre que Kadhafi était un personnage charismatique qui avait des moyens considérables qu’il distribuait à de nombreux pays africains, surtout au Mali. Quand il y avait des problèmes avec les Touareg, il intervenait pour les résoudre. Maintenant Kadhafi n’est plus là. Et la situation au Mali est très compliquée. La chute du régime de Kadhafi est une onde de choc qui déstabilise l’Afrique, plus particulièrement le Sahel et le Maghreb ! La France s’est engagée dans la guerre en Libye sans réfléchir aux conséquences. La crise malienne était prévisible. Et j’ai bien peur que ce ne soit pas fini!

Afrik.com : L’intervention militaire en Libye était-elle selon vous une erreur ?

Jacques Hogard : Je ne défends pas Kadhafi en disant que la France n’a pas réfléchi aux conséquences en s’engageant dans le conflit libyen. Bien sûr qu’il était temps que Kadhafi s’en aille ! Mais il y avait peut-être d’autres moyens pour le faire partir. Vous savez, durant le conflit libyen, j’ai rencontré un responsable malien qui m’a dit : « Jacques il faut que la France y aille doucement en Libye. Kadhafi est trop important ! On ne peut pas en finir comme ça ! »

Afrik.com : Comment le retour des Touareg, qui combattaient auprès de Mouammar Kadhafi, a permis au MNLA de reprendre l’avantage sur l’armée malienne ?

Jacques Hogard : Les Touareg qui se battaient aux côtés de Kadhafi sont rentrés dans leur pays d’origine avec un armement très important et des munitions. Finalement, les rebelles touareg du Nord-Mali qui réglaient le conflit à l’amiable avec le Président Amadou Toumani Touré, ont pris des décisions qu’ils n’avaient jamais prises auparavant en déclarant l’indépendance de l’Azawad. Ce qui est compliqué aujourd’hui, c’est la relation qu’entretiennent les différentes composantes armées au Nord-Mali. Le MNLA veut l’indépendance de l’Azawad. Ançar Dine, qui est la deuxième composante touareg islamiste, souhaite mettre en place un Etat islamique au Mali, tout en permettant à Bamako de garder la main mise sur l’ensemble. Et Aqmi, la troisième composante, souhaite continuer sa lutte contre l’Occident. En janvier, un des chefs du MNLA avait prévenu le président malien par un coup de fil que la rébellion allait bientôt se libérer de son emprise. Son avertissement semble être une prophétie puisque quelques semaines plus tard ATT a été renversé.

Afrik.com : Que va-t-il se passer entre Aqmi, Ançar Dine et le MNLA ?

Jacques Hogard : C’est la grande question. Pour le moment il est trop tôt pour le dire. Ançar Dine et Aqmi sont des alliés. Il y a beaucoup d’intérêts en jeu. L’argent est notamment en première ligne. Tout le monde sait qu’Aqmi est une industrie, l’industrie de l’enlèvement et de la rançon. Je ne pense pas qu’Ançar Dine soit dans la même optique. Les membres d’Ançar Dine sont des salafistes et fondamentalistes convaincus qui veulent une société qui vive entièrement selon les principes les plus conservateurs de l’Islam. Le MNLA souhaite, quant à lui, un islam modéré. Mais il ne faut pas exclure un règlement de compte entre les trois groupes. Sauf qu’Aqmi est surarmé. Et pour le moment, on peut penser que c’est Aqmi et Ançar Dine qui sont en position de force grâce à leur alliance.

Afrik.com : Est-ce que le Mali tel qu’on le connaissait pourrait à nouveau exister grâce à de nouvelles négociations ou le pays est condamné à être coupé en deux ?

Jacques Hogard : Vous avez pu constater que lorsque l’indépendance du nord a été déclarée, toute la communauté internationale a refusé de la reconnaitre. Mais c’est une position théorique. Ce qui est important désormais, c’est ce qui va se passer. Est-ce que le MNLA qui a décrété l’indépendance du nord, est capable de l’assumer ? Je ne le pense pas. En même temps, le MNLA n’est pas seul dans la région. Il doit faire face à une forte composante djihadiste qui a montré qu’elle n’a pas l’intention de régner sur un désert en prenant Tombouctou comme capitale. Tout le monde a vu récemment les principaux dirigeants d’Aqmi, Abou Zeid, Belmokhtar, s’installer à Tombouctou. Sans compter les membres de la secte nigériane Boko Haram qui les ont rejoints. C’est une vulnérabilité très grande pour le Mali. Auparavant les islamistes étaient diffus dans l’immensité du désert et éparpillés un peu partout, aujourd’hui, ils s’installent en ville. Quand on s’installe en ville, on devient sédentaires, on devient donc plus forts. Toutefois, je ne suis pas sûr que leur stratégie fonctionne. Dans le nord du pays, il y a des actes très graves de commis, et cela les populations ne l’accepteront pas. Elles sont victimes d’actes d’intimidation et de répression très graves.

Afrik.com : Et la France dans tout cela ? Jusqu’ici sa position a été très ambigüe. Pourquoi ?

Jacques Hogard : La crise malienne tombe à un très mauvais moment. La France qui est le pays d’Europe le plus lié au Mali, je dirais même le seul pays ayant une véritable histoire avec le Mali, est en pleine élection présidentielle. Comme si tout cela avait été prévu et que le plan se déroulait parfaitement. S’il n’y avait pas la présidentielle, la position française serait beaucoup plus claire. De plus, il y a un élément important dont les médias ne parlent pas : nos quatre otages enlevés à Arlit, au Niger, qui sont toujours entre les mains d’Aqmi. S’ils étaient libérés maintenant, cela changerait beaucoup de choses pour la présidentielle. Mais vu le déroulement des évènements, leur libération n’est pas d’actualité.

Afrik.com : De quels moyens disposent les états confrontés à Aqmi pour lutter efficacement ?

Jacques Hogard : Ces états n’ont pas les mêmes forces, les mêmes moyens, ni les mêmes intentions. La Mauritanie et l’Algérie défendent leurs intérêts. L’Algérie préfère qu’Aqmi s’établisse dans le Nord-Mali plutôt que sur son territoire. Le Niger a un président démocratiquement élu qui est une personne éclairée je pense. Il a d’ailleurs un Premier ministre touareg, un monsieur respecté et très intelligent. Les autorités nigériennes qui surveillent la situation au Mali gardent aussi un œil sur la Libye et les mouvements de Boko Haram au Nigeria pour protéger leurs frontières. La Mauritanie est aussi déjà bien engagée dans la lutte contre Aqmi. Le président mauritanien voit d’un œil sympathique la guerre que mène le MNLA, estimant qu’elle pourrait assainir la région des djihadistes. Ce qui n’a pas aidé le Président ATT à rester au pouvoir. Pourquoi ? Il était beaucoup trop complaisant vis-à-vis d’Aqmi, pensant qu’il allait avoir la paix. Ce jeu double avec Aqmi permettait aussi d’arrondir les fins de mois de beaucoup d’officiers de l’armée malienne. Malheureusement pour le moment, le rapport de force est en train de tourner en faveur des djihadiste, ce qui est une gravité extrême.

Afrik.com : Quelle est la contribution de la France dans la lutte contre Aqmi ?

Jacques Hogard : La France soutient les pays qui lui demandent de l’aide pour lutter contre Aqmi. Elle a choisi de prêter main forte au Mali et à la Mauritanie. Au départ elle avait refusé d’aider le Président Aziz, en lui reprochant d’avoir renversé son prédécesseur. Mais pragmatisme aidant, real politique aidant, elle a finalement décidé de l’aider à contenir le danger d’Aqmi. Ce sont les Français qui forment les forces spéciales, les entrainent, les dotent de moyens matériels et logistiques. Lorsque la France a constaté l’état de délabrement du Mali, qui ne date pas d’aujourd’hui mais de deux ou trois ans déjà, elle a commencé à prendre ses distances. Il est vrai qu’ATT ne contrôlait plus rien. Sa complaisance envers Aqmi agaçait la France ainsi que les autres dirigeants africains.

Afrik.com : Amadou Toumani Touré avait-il l’intention de se maintenir au pouvoir comme le disaient certaines rumeurs ?

Jacques Hogard : ATT n’a jamais eu l’intention de se maintenir au pouvoir. Au contraire, il voulait s’en aller le plus vite possible croyant qu’il recevrait tous les honneurs après son départ et laisserait derrière lui l’image d’un grand président qui a fait de son mieux pour contenir la menace islamiste. Seulement, il a été rattrapé par le temps. Il n’a pas voulu ouvrir les yeux sur la menace que représentait Aqmi. Dans son entourage, il y avait des officiers supérieurs qui renseignaient Aqmi, et il le savait très bien. Il a cru qu’il était plus malin que tout le monde et qu’il arriverait à jouer sur plusieurs tableaux en conciliant l’inconciliable. Voilà la faute d’ATT. Il a concilié l’inconciliable. Il n’avait plus de considération dans son pays, il était "grillé". Les putschistes ont profité de son affaiblissement. Le jeune capitaine Amadou Sanogo a réussi à mener le coup d’Etat. Le pouvoir est tombé comme un fruit mûr. Le pouvoir était comme une mangue trop mûre, prête à tout moment à s’écraser par terre ! Le Mali a toujours été le maillon faible de la lutte contre Aqmi. Ce n’est pas étonnant qu’il soit le premier à être tombé.

Afrik.com : Le dialogue peut-il être une solution à la crise malienne ?

Jacques Hogard : Pour le moment je ne pense pas que le dialogue soit la solution. On peut négocier avec le MNLA mais je ne suis pas sûr que ce soit le cas avec Aqmi. Ces gens sont tout sauf des démocrates. Ils n’ont rien à faire du dialogue. Ils sont actuellement très puissants. Je ne dis pas qu’ils sont puissants globalement mais localement ils le sont. Qu’est-ce qui pourrait changer les choses ? Je crois que ce sont les grandes puissances occidentales. Je ne dis pas cela pour que ce soit une énième ingérence, mais elles ne peuvent pas abandonner le Mali ! Le Mali n’est pas le seul pays concerné par la crise. Tous ses voisins sont aussi frileux et ont peur d’une contagion. Il faudrait au moins que les grandes puissances sécurisent les frontières de tous ces pays. Je pense que c’est la priorité. Pour le moment, on est comme dans un nuage de brume, il est très difficile d’y voir clair. On sait des choses mais on ne peut pas prévoir leur évolution.

Ancien cadre de l’armée française, Jacques Hogard est le président de "Epée", société de conseil en intelligence stratégique. Il a effectué un stage de sept mois au centre de perfectionnement des affaires (CPA) après avoir une pris une retraite anticipée en 1999. Jacques Hogard s’est engagé très tôt dans l’armée. Il a suivi les traces de son père, le général Hogard, qui a combattu durant la Seconde Guerre mondiale. Le président d’Epée a aussi été l’un des dirigeants de l’opération Turquoise au Rwanda en 1994. Le 13 mai 2009, il est promu au grade d’officier de la Légion d’honneur avec un certain nombre d’anciens officiers de l’armée française ayant servi au Rwanda entre 1990 et 1994.

Source:

http://www.theatrum-belli.com/archive/2012/04/12/entretien-avec-jacques-hogard-la-chute-du-regime-de-kadhafi.html#more

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Le F-15E perdu en Libye n'a pas été abattu.

Le pilote a perdu le contrôle de son avion suite à une manœuvre brutale avec un avion en configuration asymétrique.

Airframe 91-0304

USAFE officials released the results of their investigation on 13th December, 2011. At the conclusion of the investigation, the board president, Col. Scott Shapiro, USAFE Chief of Strategic Airlift Capabilities, found clear and convincing evidence that the cause of the mishap was the aircraft's sudden departure from controlled flight because it exceeded the critical angle of attack during an Air Force-approved combat maneuver. Other contributing factors to this accident include the pilot conducting an AF-wide acceptable maneuver for the F-15E at a previously untested altitude and lateral asymmetry (unbalanced aircraft).

According to Stars and Stripes, the right wing of the jet was supporting at least 1,000 pounds more than the left, while the maneuver has been performed over 30,000 feet. The F-15E was about to drop a bomb on a ground target. During the attack the jet was carrying 4 bombs on the right side and 3 bombs on the left, but due to software anomalies the bomb to be dropped was selected from the left side. Additionally the crew also radioed that the right external fuel tank didn't appear to be emptying into the engine properly, causing further weight imbalance due to unequalized fuel weight distribution. The situation deteriorated rapidly after the pilot dropped his bomb. When the aircraft was turning away from the target, halfway into the maneuver it went into an uncontrollable flat spin. The crew had no other choice but to eject, which they did

F-15E.info

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Le F-15E perdu en Libye n'a pas été abattu.

Le pilote a perdu le contrôle de son avion suite à une manœuvre brutale avec un avion en configuration asymétrique.

Bonjour

C'est intéressant mais je ne comprend pas trop.

Il me semble que le F15E est doté de commandes de vol électriques, gérées informatiquement?

Si tel est le cas, en configuration asymétrique, le système de commande de vol aurait dû compenser automatiquement, non?

EDIT: effectivement, j'avais mal lu, il a bien un système de commandes vol électriques. Mais je ne m'explique toujours pas le non rattrapage...

a+

Vorpal777

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