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Frappes sur la Libye, le sujet officiel!


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http://www.lefigaro.fr/international/2011/04/04/01003-20110404ARTFIG00714-libye-l-axe-franco-britannique-a-l-epreuve.php

Libye : l'axe franco-britannique à l'épreuve

Par Isabelle Lasserre

04/04/2011 | Mise à jour : 22:49 Réactions (7)

«La relation entre la France et la Grande-Bretagne a prospéré en Libye», se félicitait Nick Harvey, le secrétaire d'État britannique aux Forces Armées. Crédits photo : Benoit Tessier/Reuters.

Paris et Londres luttent pour conserver leur influence à l'Otan.

Si c'est un test, pour l'instant, il est réussi. Depuis un peu plus de quinze jours déjà, Français et Britanniques sont aux avant-postes de l'intervention contre les forces de Kadhafi en Libye. Après avoir réussi à convaincre une Administration américaine réticente de participer à l'opération et assuré le leadership de la coalition, le couple franco-britannique se bat désormais pour conserver cette influence au sein de l'Otan, qui a repris à son compte l'intervention des Nations unies. «La relation entre la France et la Grande-Bretagne a prospéré en Libye», se félicitait Nick Harvey, le secrétaire d'État britannique aux Forces Armées, lors d'une rencontre organisée jeudi par le Franco-British Council. Depuis qu'ils ont signé, en novembre, un traité de rapprochement de leurs défenses, y compris dans le domaine de la dissuasion nucléaire, Paris et Londres vivent une véritable lune de miel, même si les Britanniques trouvent que le président français tire un peu trop souvent la couverture à lui…

Contraint par les difficultés budgétaires des deux pays, permis par leur volonté de demeurer des puissances globales, capables d'intervenir partout, nourri de pragmatisme et de réalisme, cet accord a trouvé sa première application concrète en Libye. «Nous vivons un véritable tremblement de terre politique. Le trio États-Unis - Grande-Bretagne - France est en pleine recomposition. Avant, nous regardions la France en fonction de notre relation avec Washington. Aujourd'hui, l'axe Sarkozy-Cameron est devenu prioritaire. C'est lui qui exerce une influence sur Obama», se félicite un officier général britannique proche du dossier libyen.

Dès les premiers jours de l'intervention, Paris et Londres se sont pourtant affrontés sur le rôle que devait jouer l'Otan. Pour des raisons d'efficacité, la France aurait voulu écarter l'Alliance. Londres, avide du soutien diplomatique de Washington, et craignant de se retrouver à flux tendus si l'opération libyenne devait durer plusieurs mois, militait au contraire pour un commandement de l'Otan. L'Union européenne ne disposant pas encore de quartier général autonome, seuls les États-Unis et l'Alliance atlantique ont en effet les moyens de mener, techniquement en tout cas, une opération militaire de ce type sur une longue période.

L'Otan sans les Américains

Cinq jours après l'entrée en scène de l'Alliance, la France et la Grande-Bretagne ont-elles réussi à conserver leur influence sur l'opération libyenne, ou leur poids décisionnel a-t-il au contraire été dissous dans l'immensité otanienne? Pour le président de la commission de la défense de la Chambre des communes, James Arbuthnot, Paris et Londres continuent à «diriger l'opération en Libye malgré le commandement de l'Otan, car l'intervention est avant tout basée sur la relation personnelle entre Cameron et Sarkozy» et celle-ci est très forte. Dans le meilleur des cas, le groupe de contact créé la semaine dernière, contribuera à rendre à Paris et Londres leur poids politique. Mais cette vision optimiste n'est pas partagée par tout le monde. «L'Otan a une interprétation très restrictive de la résolution onusienne, tandis que Paris et Londres veulent dans leur engagement sur le terrain distinguer entre bons et mauvais», commente un officier britannique. Depuis que «le manche» de leurs bombardiers a été cédé à l'Otan, Paris et Londres, dit-il, luttent pour imposer des règles d'engagement plus exigeantes, quand l'Alliance tente au contraire de limiter le nombre et la portée des frappes aériennes. Alors que Washington s'apprête à cesser sa participation aux frappes aériennes pour se consacrer essentiellement au ravitaillement en vol et au brouillage, l'officier se prend à douter.

«Avons-nous fait une erreur en vous imposant l'Otan? Les Français n'ont-ils finalement pas été les plus pragmatiques? Nous voulions l'Alliance atlantique car nous voulions les Américains. Mais nous n'avions pas réalisé à quel point ils se désengageraient de l'opération. Sans les États-Unis, l'Otan n'était plus la même», confie-t-il. Considérant l'expérience franco-britannique en Libye comme un succès, le député libéral démocrate lord Wallace, également invité du Franco-British Council, considère que les deux pays devront bientôt renforcer encore leur coopération. «Nous sommes poussés vers la France pour des raisons financières. Entre les deux côtés de la Manche, l'atmosphère a vraiment changé.»

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Si ce claironnement médiatico-diplomatique avait (a) un fond de vérité, l'étape inévitable serait une plate-forme franco-britannique de planification et de commandement à la fois autonome de l'OTAN en général et de Washington en particulier, avec quelques moyens concrets assignés, sinon dédiés, pour une efficacité opérationnelle, surtout d'intervention rapide, qui puisse "peser" réellement, même si pas forcément à une échelle démente. Pour les Brits, ce serait un moyen de se trouver quelques marges de manoeuvre. Pour la France, un de dire merde aux ricains pour le coup de la réintégration otanienne sans commandement régional afférant (même si c'est juste un hochet décoratif, ça vexe), et de continuer un peu comme avant. Pour les 2, encore un moyen de claquer du fric dans un EM "international" pour caser des officiers supérieurs désoeuvrés :lol:.

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Pour les 2, encore un moyen de claquer du fric dans un EM "international" pour caser des officiers supérieurs désoeuvrés :lol:.

Le pire c'est que c'est vrai. On va finir par avoir un EM français, un deuxième EM aussi important (en effectif français) mais OTAN, un troisième aussi important mais associé à l'UE, peut-être même un quatrième Franco-britannique, un 5eme avec nos alliés arabes et ...
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Le pire c'est que c'est vrai. On va finir par avoir un EM français, un deuxième EM aussi important (en effectif français) mais OTAN, un troisième aussi important mais associé à l'UE, peut-être même un quatrième Franco-britannique, un 5eme avec nos alliés arabes et ...

Ya ka demander aux ricains de faire des frappes de Tomahawk....

Regardez en Lybie: les ricains ont surtout fait une RGPP gratos pour Kadaf'  =)

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Le pire c'est que c'est vrai. On va finir par avoir un EM français, un deuxième EM aussi important (en effectif français) mais OTAN, un troisième aussi important mais associé à l'UE, peut-être même un quatrième Franco-britannique, un 5eme avec nos alliés arabes et ...

Avec les alliés arabes quand même pas (plutôt une cellule d'officiers et de représentants des industriels: un "EM de forces.... De vente" :lol:), et avec l'UE, c'est sur la sellette étant donné la remise en cause budgétaire récente de nombre de structures et participations qui ne servent pas (avec la réintégration dans l'OTAN comme caution, qui enlève de la pertinence à ces "outils": comme beaucoup le veulent, la défense européenne, c'est l'OTAN). Ce serait un vrai "coup" diplomatique, pour le coup, que de mettre en place une telle structure franco-britannique permanente, avec une vraie volonté politique derrière, donc une qui transcende les partis (le PS en France et les conservateurs en Gibi, doivent être du coup), pour assurer sa pérennité comme "alternative ponctuelle" au veto des USA. Pas un truc utilisable à tous les coups, mais un dernier recours et une marge de manoeuvre.

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Il y a une bonne part de spontanéité véritable dans ce qu'on a appelé "le printemps arabe". Le nier au nom d'un certain cynisme dans l'analyse n'est pas une garantie de vue claire, même s'il y a probablement des causes extérieures à ce mouvement. Ces influences extérieures existent peut-être, je n'en sais rien, mais sans un substrat de profond malaise dans la population, elles n'auraient eu absolument aucune chance d'être efficaces. Il y a, depuis des années, un vrai ras-le-bol de la rue arabe envers les dictateurs et la misère économique, qui a gonflé avec le temps et a éclaté, d'abord en Tunisie et puis ailleurs. Pourquoi maintenant et pas dans quinze jours, six mois, trois ans, et pourquoi pas il y a un an ou deux? Nul ne peut le dire, c'était mûr, c'est tout. On peut quand même avancer, dans le cas de la Tunisie en tout cas, la crise économique des deux dernières années, qui a paupérisé des gens et accentué le mécontentement, et probablement contribué à déclencher la révolte, un peu comme plusieurs années de mauvaises récoltes céréalières avaient aidé à déclencher la Révolution française de 1789. Il y a aussi la mondialisation. Via les images satellites, internet, les émigrés, le cinéma, tout un chacun peut désormais comparer sa situation présente  avec la vie à l'Occidentale et sa vie plus libre et plus prospère. Le monde arabe, qui semblait figé dans un schéma immémorial, à base du coktail dictature+pauvreté, a commencé à bouger. Cela craque, et les plaques tectoniques sont désormais en mouvement. Il faut juste espérer -cyniquement- qu'elles ne toucheront pas l'Arabie Saoudite avant que le pétrole ne soit devenu un élément accessoire de nos économies, car sinon on serait vraiment dans le pétrin...  ;) Que ça n'aille pas trop vite et pas plus loin à l'Est que l'Egypte serait bien, avec à l'Est des régimes comme Jordanie et Syrie mettant de l'eau dans leur vin mais ne tombant pas, tandis que de l'Egypte à la Mauritanie cela pourrait aller jusqu'à une forme de démocratie mâtinée de libéralisme économique, qui servirait de modèle pour le reste.

Ps: l'axe franco-britannique dans cette guerre est plutôt sympa... =)

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Bonsoir à tous,

Voici un article du Point qui fait le bilan des actions françaises en Libye...

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/jean-guisnel/premier-bilan-des-frappes-aeriennes-francaises-en-libye-04-04-2011-1315093_53.php

Au fait qu'en est-il de la participation américaine ? Ils font juste du soutien maintenant ?

Lisez bien une demande explicite américaine pour le Rafale. ;)

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Bonjour à tous,

Dernier point sur la situation des combats et des forces en Libye, avec la carte interactive du 05 avril 2011.

Voir le lien suivant: http://www.armyrecognition.com/libya_conflict_day_by_day_news_pictures_video_uk/index.php

Elle sera mise à jour durant la journée avec les dernières infos.

Bonne journée.

L'équipe Army Recognition

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3:01pm

NATO says that air strikes on Gaddafi targets have destroyed nearly a third of the military power available to the Libyan leader.

"The assessment is that we have taken out 30 percent of the military capacity of Gaddafi," Brigadier General Mark van Uhm, a senior NATO staff officer, told a news briefing.

Incroyable... que 1/3 avec tout ce qui a été bombardé

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3:01pm

NATO says that air strikes on Gaddafi targets have destroyed nearly a third of the military power available to the Libyan leader.

"The assessment is that we have taken out 30 percent of the military capacity of Gaddafi," Brigadier General Mark van Uhm, a senior NATO staff officer, told a news briefing.

Incroyable... que 1/3 avec tout ce qui a été bombardé

Franchement, si c'est 1/3, je trouve que c'est déjà un très bon chiffre !

Il ne faut non plus oublier que l'on n'est pas dans une opération de type "tempète du désert" ou d'une attaque à grande échelle comme face à la Serbie.

Maintenant on va voir ce que nous et les britons avons dans le ventre et voir si on peut prendre les choses en mains vus que nos amis ricains veulent se retirer.

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l’amiral américain en charge des opérations a annoncé la destruction de 25% de l’armée libyenne…

NATO says that air strikes on Gaddafi targets have destroyed nearly a third of the military power available to the Libyan leader.

"The assessment is that we have taken out 30 percent of the military capacity of Gaddafi," Brigadier General Mark van Uhm, a senior NATO staff officer, told a news briefing.

C'est en progrès ou juste que ce n'est pas le même qui a compté ?
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Les rebelles reperdent le terrain gagné hier

NEAR BREGA, Libya — Moamer Kadhafi's forces were hit by a NATO airstrike near Brega Tuesday after they launched an intensive artillery barrage that sent rebels fleeing from the outskirts of the east Libya oil town.

Two loyalist pick-up trucks heading for rebel positions were destroyed in the morning raid, but the soldiers inside appeared to have escaped unhurt, an AFP correspondent said.

The force of the impact left no doubt they were destroyed in an airstrike and not by shelling from the ground.

The airstrike occurred some 30 kilometres (18 miles) east of Brega, the scene of fierce fighting over the past week as rebels first captured the town and were then pushed back by Kadhafi forces.

Early Tuesday, Libyan rebels were sent scattering after Kadhafi's forces shelled them with artillery fire from the edge of Brega.

Opposition fighters had edged closer to Brega, 800 kilometres (500 miles) east of the capital Tripoli, early in the morning before stampeding eastwards when the shelling began.

Just minutes before the NATO airstrike, entire families were seen fleeing the port town in cars, saying they could no longer take the heavy fighting between the ill-equipped rebels and the better-armed Kadhafi forces.

"Brega is almost deserted. There are only few men and their sons to guard the houses," Sami Ali, a resident of Brega told AFP.

"Our men (rebels) are in the city (on the east), but the forces of Kadhafi are shooting at them (from the west)."

Brega has been the scene of intense exchanges since Thursday, with both sides advancing only to withdraw again later under fire.

Mid-morning, a crackle of detonations was heard and a huge plume of black smoke seen drifting across the town.

Some rebels said it seemed an ammunition dump was going up but this could not immediately be confirmed. The rebels insisted the explosions were not linked to any fighting.

Last week Kadhafi's forces sent the rebels stampeding out of a string of vital east Libya oil terminals they had seized twice before, the second time with aid from a blistering NATO air attack.

The war has since bogged down, with the rebels trading rocket and mortar fire with Kadhafi's forces on a desert road outside Brega.

Kadhafi's men will not risk advancing farther into rebel-held territory through the open desert, where they are easy targets for NATO air strikes.

And the insurgents do not have the necessary weaponry to counter the artillery the loyalists have deployed inside the town.

NEAR BREGA, Libya — In the morning's early hours, as the desert fog burned away under Libya's rising sun, the road to the oil town of Brega stood quiet on Tuesday, empty of armed rebels or any vehicle.

But soon afterwards, as the first sleepy-looking insurgents arrived cautiously to take up the position they had left late Monday, artillery and gunfire met them, sending them racing in retreat.

Unlike the untrained rebels, Colonel Moamer Kadhafi's forces had not vacated the battlefield for the night. Instead they had used the darkness to advance, to prepare their ambush.

The revolutionaries -- most of them students or young professionals with no previous combat experience -- had lost the initiative. It would cost them dearly.

They pulled back around five kilometres (three miles), to what they hoped was out of range of the incoming shells. There they massed, with most of the ragtag guerrillas driving up leisurely at 10:00 am (0800 GMT), looking gung-ho after a good night's rest.

One fighter, Ahmed Falhala, explained that the rebels had vacated the battlefield as day broke because "it's too early".

"It's like a supermarket," he laughed, intimating that, for the insurgents at least, daily war was meant to start at a reasonable hour.

After a long lull with no firing, a big group of rebels moved forward to discover two imploded pick-ups destroyed by unseen airstrikes.

The military radios inside were evidence the vehicles had belonged to pro-Kadhafi fighters. There was no sign of any bodies inside, suggesting the occupants had fled as soon as they saw the NATO planes.

But there was little time to savour the "victory". Again shells rained, pushing them back. And back again.

The rebels congregated in a desert area about 20 kilometres east of Brega where they had confidently camped out during the day for the past few days. But this time, they weren't even safe there.

Kadhafi's artillery moved forward, sending the rebels scattering.

Explosions of black cloud blossomed along a parallel desert road where the rebels' better-equipped teams, using rocket launchers, had been positioned. Those weapons, and the vehicles stacked with ammunition for them, barrelled through the desert as blasts ripped up the ground next to them.

And back and back the rebels went. They would stop every few kilometres to see whether Kadhafi's men were pausing, or whether NATO jets would beat them back. But each time they did, artillery shells exploded in the near distance, convincing them to run once more.

Their few heavy weapons, rocket launchers on top of Japanese pick-ups were no match for the firepower of Kadhafi's forces.

Kadhafi's troops who were better armed and better organised pushed the rebels eastwards in the desert, some 30 kilometres.

"Where is France? Where is Britain?" one fighter asked.

As the pro-regime force moved forward, the pace quickened. Some rebels took off for the nearest big town, Ajdabiya, which had been the scene of intense fighting and aerial bombardments just over a week ago.

"It's a very bad day today," said Mohammad Misrata, who came from Benghazi.

"They shoot from far and with the weapons that we have, we can't reach them."

The rebels were retreating, some in civilian cars and pick-up trucks, while some could be seen in columns of four pushing back at full speed.

Once again, the insurgents were looking to the skies for their salvation, hoping that NATO warplanes would do what they cannot.

Many of the rebels may not be sleeping well this night.

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Bonsoir à tous,

Les dernières infos avec mise à jour sur la carte interactive du 5 avril 2011, 17:51 PM

Visitez le lien suivant : http://www.armyrecognition.com/libya_conflict_day_by_day_news_pictures_video_uk/oil_city_of_brega_is_under_the_control_libyan_rebels_gaddafi_armed_forces_always_in_misrata_0504112.html

L'équipe Army Recognition

Bonjour à tous,

Dernier point sur la situation des combats et des forces en Libye, avec la carte interactive du 05 avril 2011.

Voir le lien suivant: http://www.armyrecognition.com/libya_conflict_day_by_day_news_pictures_video_uk/index.php

Elle sera mise à jour durant la journée avec les dernières infos.

Bonne journée.

L'équipe Army Recognition

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pascal, arrête de casser les reves des petites ici bas, ils continuent à croire que les revolutions populaires sont spontanées  :lol: :lol:

Dans ce cas pourquoi le CdG est resté à quai si longtemps ? (deux fois plus que le délai nécessaire à une montée en puissance) et pourquoi dans ce cas faire partir les premières frappes depuis la France même ?

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A l’utopie, le Rafale ouvre le champ des possibles =D

Oui Fusilier, plus tard, bien plus tard, l'on dira dans les chaumières, au coin du feu, lors des veillées, que ce fut une guerre gagnée par le Rafale à lui tout seul... Et chacun de nous pourra dire, "j'étais à la bataille de Brega sur Air Défense!" Et l'on nous répondra : "voilà un brave!"  ^-^

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