Akhilleus Posté(e) le 28 mai 2011 Share Posté(e) le 28 mai 2011 Ca devient un topic de propagande là. Et ça n'a plus rien à voir avec la défense. AMHA. <Je suis d'accord....on n'est pas sur un forum "chambre du tourisme pour la promotion du Maroc" Docleo : soit tu amènes des données objectives (cad sourcées d'organismes officiels comme 'l'ONU, l'OCDE, l'OMS pour que l'on puisse discuter de la stabilité du Maroc et de son rôle dans la ceinture méditerranéenne, soit je clos ce thread Et j'attend toujours que tu amendes ton autre post dans le fil sur les revolutions arabes Si l'un ou l'autre ne sont pas fait, tu vas pouvoir prendre un thé glacé en dehors du forum pendant 5 j dans pas très longtemps> Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 28 mai 2011 Si vous trouvez qu'une donnée ou un chiffre qui n'est pas vrai je suis la pour les discuter.Tous mes articles sont sourcés, et si vous voulez que les sources de l'ONU OCDE & co, cela ne me dérange pas mais tout le monde doit se plier a cette règle.Je réitère ma demande, si vous trouvez un chiffre faux, je suis prenant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 28 mai 2011 Share Posté(e) le 28 mai 2011 En fait, Docleos, un tramway ou la présentation des universités qui font moins bien qu'au Zimbabwe n'apportent rien ici. Ni même la maitrise du roi qui fut rédigée par un groupe d'expert. Quels sont les enjeux du Maroc en terme géopolitique dans sa région et au-delà? Ça c'est intéressant. Le reste, c'est du flambiTM. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 28 mai 2011 Share Posté(e) le 28 mai 2011 DOCLEO , c'est vrai que le topic que tu nous balance ressemble à la plaquette de l'office du tourisme marocain. Personne ne conteste que le maroc a fait des progrès depuis une dizaine d'année même si certaines données me font sourire (1/3 des foyers marocains ont un ordinateur ! Désolé mais ça je n'y crois pas. Une bonne moitié de la population marocaine est encore en mode survie et a autre chose à faire que d'aller surfer sur le web, tout comme la classe moyenne marocaine qui est encore inéxistante, ou encore trop faible). Ici, on est plus sur un forum militaire, de stratégie, de politique internationales. Donc si tu veux faire la promotion du maroc . Je t'invite à aller sur le forum du routard où là tu trouveras beaucoup plus de voyageurs potientiels qu'ici. D'ailleurs, c'est en parcourant les forums du routard qui m'ont poussé à passer une semaine à Marrakech. Biensur, rien ne t'empèche à parler des révolutions arabes en expliquant que cela n'arrivera pas au maroc car M6 fait tout pour que son peuple ne manque rien mais les faits sont plus dures ques les discours officiels et optimistes que tu affiches... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 28 mai 2011 Pour toi c'est pas important, mais pour nous si, le Maroc a plus de 15 universites dans le top 100, sachant que dans la sous région ils font moins. on se compare a l'afrique pas au monde ( Vous savez la première universite est francaise classé 39 dans le classement mondial)Sinon, le Maroc, comme Etat n'a pas d'autre objectif que de Re-devenir une puissance régionale, depuis son indépendance le Maroc été pragmatique dans ses choix et ses alliances, en recherchant ses intérêts. UMA c'est un rêve auquel ne croit pas les officiels, C'est pour cela le Maroc cherche a nouer des relations stratégiques avec l’Europe, usa, et les pays du golf, sans oublier l’Afrique de l'ouest.Le Panarabisme ne trouve pas d'echo, ou plutôt chez une minorité seulement mais sans grand succès, Alors que la religion constitue un élément fondamental de la personnalité marocaine.D'autres questions, Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 28 mai 2011 DOCLEO , c'est vrai que le topic que tu nous balance ressemble à la plaquette de l'office du tourisme marocain. Personne ne conteste que le maroc a fait des progrès depuis une dizaine d'année même si certaines données me font sourire (1/3 des foyers marocains ont un ordinateur ! Désolé mais ça je n'y crois pas. Une bonne moitié de la population marocaine est encore en mode survie et a autre chose à faire que d'aller surfer sur le web, tout comme la classe moyenne marocaine qui est encore inéxistante, ou encore trop faible). =D Source ITU 2010 Enquete barometrique TIC Commission européenne 2010 tu peux le lire en bas, c'est ce que j'ai dis a akhi, je voulais changer les mentalités, si tu veux toute l'etude je te file le lien ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 28 mai 2011 Share Posté(e) le 28 mai 2011 Pour toi c'est pas important, mais pour nous si, le Maroc a plus de 15 universites dans le top 100, sachant que dans la sous région ils font moins. on se compare a l'afrique pas au monde ( Vous savez la première universite est francaise classé 39 dans le classement mondial) Docleo, si ça peut te rassurer, ces classements des universités n'ont aucune valeur. Les facteurs pris en compte ne sont même pas pondérés selon le nombre de chercheurs ou d'étudiants. En tout cas, c'est le cas du classement de Shanghaï, généralement pris pour référence comme comparatif au niveau mondial. En plus, dans certains pays (comme en France), la recherche scientifique ne se fait pas forcément au sein des universités, alors que la partie recherche est un des items "évalués" en priorité dans ces classements. Bref, et on pourrait trouver encore plein d'autres aberrations dans la réalisation de ces classements. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 28 mai 2011 C'est tiré du classement de Shanghaï, et je t'accorde qu'il a des limites, je crois aussi qu'ils ne comptabilisent que les articles en anglais en plus, ca handicape la france sur le plan international, mais aussi le maroc francophone sur le plan africain, l'exemple de Zimbabwe anglophone. Sinon pour les sources De l'OMS, il y a une enquete de l'OMS sur les systemes de santé le Maroc est classé 29 ( :lol: je m'imagine ne pas mettre la source :lol: ) http://www.who.int/inf-pr-2000/en/pr2000-44.html Ne pas lire ce pdf moi aussi j'ai du mal a le croire =D http://www.who.int/whr/2000/en/annex10_fr.pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 28 mai 2011 Share Posté(e) le 28 mai 2011 Ouhai. Au Zimbabwe, ils ont beaucoup publié sur les techniques de forge pour les machettes. Ils ont des normes d'affutage tip top. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 28 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 28 mai 2011 Merci pour l apport instructif au débat, c'été vraiment ... comment dirai-je ... épatant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 29 mai 2011 Share Posté(e) le 29 mai 2011 En général même les coupe-coupe agricoles utilisés lors des massacres en Afrique sont fabriqués en... Chine ! :-[ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 29 mai 2011 Share Posté(e) le 29 mai 2011 C'est tiré du classement de Shanghaï, et je t'accorde qu'il a des limites, je crois aussi qu'ils ne comptabilisent que les articles en anglais en plus, ca handicape la france sur le plan international, mais aussi le maroc francophone sur le plan africain, l'exemple de Zimbabwe anglophone. Sinon pour les sources De l'OMS, il y a une enquete de l'OMS sur les systemes de santé le Maroc est classé 29 ( :lol: je m'imagine ne pas mettre la source :lol: ) http://www.who.int/inf-pr-2000/en/pr2000-44.html Ne pas lire ce pdf moi aussi j'ai du mal a le croire =D http://www.who.int/whr/2000/en/annex10_fr.pdf Pioche dans le document original est tu verras qu'effectivement faut pas y croire, malheureusement. Ici http://www.who.int/whr/2000/en/index.html "annexe statistique" la page que tu présente n'est pas un fake mais il ne traduit en rien la santé des marocain juste le ratio investissement résultat du systeme de santé, comme expliqué dans la notice au début du document. The index of performance on the level of health reports how efficiently health systems translate expenditure into health as measured by disability-adjusted life expectancy (DALE). Performance on the level of health is defined as the ratio between achieved levels of health and the levels of health that could be achieved by the most efficient health system. Par ici "Annex Table 6 Responsiveness of health systems, level and distribution in all Member States, WHO indexes, estimates for 1999a" le Maroc est 67eme comme ses voisins. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 29 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 29 mai 2011 g4lly, Merci pour la remarque, avant de répondre je voulais vous dire que j'apprecie beaucoup vos posts sur ce forum Je crois que vous vous êtes trompé, je m'explique. Ces deux tableaux l'un sur le niveau de santé et l'autre sur les performances globales montre clairement le classement. niveau de santé : 17 niveau système de sante: 29 Pour l'annexe 6, ca parle de "Responsiveness of health System" c'est a dire la réactivité du système de santé, qu'on trouve sur le tableau dessous, c'est un parametre parmi d'autres pour aboutir au classement global. Et pour plus de précision sur la réactivité je poste la definition retenue par l'OMS en 2000 : La réactivité ne se mesure pas à la façon dont le système répond aux besoins de santé, qui apparaît dans les résultats obtenus sur le plan sanitaire, mais plutôt aux performances du système dans des domaines autres que la santé et à sa réactivité aux attentes de la population quant à la façon dont elle souhaite être traitée par les prestataires de soins préventifs, curatifs ou collectifs. [...] En faisant de la réactivité un objectif intrinsèque des systèmes de santé, on reconnaît que ces derniers sont au service des gens dont on ne peut plus alors se contenter d'évaluer le degré de satisfaction à l'égard des seuls soins médicaux qu'ils reçoivent. La notion générale de réactivité peut se décomposer de nombreuses manières. Une distinction fondamentale existe entre les aspects relatifs au respect de la personne, qui sont essentiellement subjectifs et jugés au premier chef par le patient, et des aspects plus objectifs qui se rapportent à la façon dont un système répond à certaines préoccupations fréquemment exprimées par les patients et leur famille en tant que clients du système de santé et que l'on peut parfois directement observer dans les établissements sanitaires. En subdivisant ces deux catégories, on obtient sept éléments ou aspects distincts de la réactivité. Le respect des personnes comprend : Le respect de la dignité de la personne. Un exemple extrême de non-respect de cette dignité serait, par exemple, la stérilisation des personnes atteintes d'une maladie génétique ou l'internement des gens atteints de maladies transmissibles, qui constitueraient une violation des droits fondamentaux de l'être humain. Plus généralement, cette règle consiste à ne pas humilier ou abaisser les patients. La confidentialité ou le droit pour le patient de décider qui peut [avoir accès] aux informations concernant sa propre santé. L'autonomie qui est la possibilité de participer aux choix concernant sa propre santé, y compris celui du traitement qui lui sera ou non administré. L'attention accordée au client porte sur : La rapidité de la prise en charge : attention immédiate en cas d'urgence et délais raisonnables pour les cas non urgents. Un environnement de qualité satisfaisante : locaux propres et spacieux et bonne nourriture à l'hôpital. L'accès à des réseaux d'aide sociale pour les patients (familles et amis). Le choix du prestataire, c'est-à-dire la possibilité de choisir la personne ou l'organisation dont on va recevoir les soins. en anglais responsiveness (of health systems) Responsiveness is not a measure of how the system responds to health needs, which shows up in health outcomes, but of how the system performs relative to non-health aspects, meeting or not meeting a population’s expectations of how it should be treated by providers of prevention, care or non-personal services.[...] Recognizing responsiveness as an intrinsic goal of health systems establishes that these systems are there to serve people, and involves more than an assessment of people’s satisfaction with the purely medical care they receive. The general notion of responsiveness can be decomposed in many ways. One basic distinction is between elements related to respect for human beings as persons – which are largely subjective and judged primarily by the patient – and more objective elements related to how a system meets certain commonly expressed concerns of patients and their families as clients of health systems, some of which can be directly observed at health facilities. Subdividing these two categories leads to seven distinct elements or aspects of responsiveness. Respect for persons includes: • Respect for the dignity of the person. At the extreme, this means not sterilizing individuals with a genetic disorder or locking up people with communicable diseases, which would violate basic human rights. More generally, it means not humiliating or demeaning patients. • Confidentiality, or the right to determine who has access to one’s personal health information. • Autonomy to participate in choices about one’s own health. This includes helping choose what treatment to receive or not to receive. Client orientation includes: • Prompt attention: immediate attention in emergencies, and reasonable waiting times for non-emergencies. • Amenities of adequate quality, such as cleanliness, space, and hospital food. • Access to social support networks – family and friends – for people receiving care. • Choice of provider, or freedom to select which individual or organization delivers one’s care. Cordialement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 29 mai 2011 Share Posté(e) le 29 mai 2011 Docleo, Sur la question de la performance, G4lly semble avoir raison. La définition de la performance retenue dans le rapport : ATTAINMENT AND PERFORMANCE Assessing how well a health system does its job requires dealing with two large questions. The first is how to measure the outcomes of interest – that is, to determine what is achieved with respect to the three objectives of good health, responsiveness and fair financial contribution (attainment). The second is how to compare those attainments with what the system should be able to accomplish – that is, the best that could be achieved with the same resources (performance). A travers la performance n'est pas jaugée la qualité du système de santé, mais le service que le système de santé serait à même de fournir en chaque pays à ressources égales. En fait, il me semble que le tableau qui vous intéresse est le n° 9, exposant le degré d'"attainment" en chaque pays (p. 196 de ce PDF : The World Health Report 2000) A noter que ces indicateurs valent pour 1997, 14 ans déjà. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 29 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 29 mai 2011 SKW, L'indice de performance globale est un indice synthétique basé sur les différents paramètres, qui sont résumés dans le tableau que j'ai posté. Déjà c'est difficile de Définir le système de santé ainsi que les paramètres qui vont avec, c'est une étude avec ses imperfections mais ça reste un essai de la part de l'OMS pour essayer de classer les systèmes de santé, et c'est vrai ça date de 2000, mais à ma connaissance il n'y a pas d'autres classement établi par l'OMS WHAT IS A HEALTH SYSTEM? In today’s complex world, it can be difficult to say exactly what a health system is, what it consists of, and where it begins and ends. This report defines a health system to include all the activities whose primary purpose is to promote, restore or maintain health. Formal health services, including the professional delivery of personal medical attention, are clearly within these boundaries. So are actions by traditional healers, and all use of medication, whether prescribed by a provider or not. So is home care of the sick, which is how somewhere between 70% and 90% of all sickness is managed. Such traditional public health activities as health promotion and disease prevention, and other healthenhancing interventions like road and environmental safety improvement, are also part of the system. Beyond the boundaries of this definition are those activities whose primary purpose is something other than health – education, for example – even if these activities have a secondary, health-enhancing benefit. Hence, the general education system is outside the boundaries, but specifically health-related education is included. So are actions intended chiefly to improve health indirectly by influencing how non-health systems function – for example, actions to increase girls’ school enrolment or change the curriculum to make students better future caregivers and consumers of health care. Le système de santé marocain n'est pas parfait, je crois que c'est une évidence pour certain, moi je le dis en connaissance de cause vu ma profession. Il reste beaucoup de problème a résoudre que l’enquête n'a pas exploré (puisque elle n'été pas commandée pour) comme la mortinatalité, mortalité maternelle ... J'ai les derniers chiffres de l'OMS, ceux de 2010, je vais les poster après pour que vous puissiez avoir une idée, sur les problème de santé au Maroc. Cordialement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 29 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 29 mai 2011 Home / Economy / Morocco, Jordan membership would test Gulf economies Morocco, Jordan membership would test Gulf economies By JOHN SFAKIANAKIS Published: May 28, 2011 21:34 Updated: May 28, 2011 21:34 The Gulf Cooperation Council (GCC) is considering extending membership of the six-nation political and economic grouping to Morocco and Jordan as a means of contending with the region's evolving political landscape. Moving forward with this proposal would most notably lead to the creation of a new axis of geo-political influence in the Middle East. The main impetus for the proposed inclusion of Morocco and Jordan is now mainly political in nature. We do not foresee any market impact in the coming months as a result of this debate. Yet the economic implications of integrating two oil-importing states into the energy-rich bloc would be immense and demand careful assessment as to whether economic harmonization can be achieved. Saudi Arabia, the United Arab Emirates, Kuwait, Qatar, Oman and Bahrain form the world's biggest oil-exporting region, and in addition to setting foreign policy objectives within the GCC, they are moving toward achieving mobility of labor, capital, and goods and services. It is unclear whether the GCC is considering full membership for one or both Jordan and Morocco, or whether it would create a new tier of membership focused on their mutual political and military interests. Although the timeline is not clear and the process of integrating Jordan and Morocco could take some time, an association agreement could be one way forward. Neither Jordan nor Morocco holds substantial oil wealth, setting them apart from Gulf Arab states, which rely on oil exports for the majority of their public revenues. As net oil importers, Jordan and Morocco are more economically diversified and unlike their GCC counterparts, their governments face fiscal deficits this year, in a large part due to the rising cost of energy that has been a boon for Gulf Arab states. The two countries thus have a lot to gain from membership in the GCC, which would facilitate greater foreign direct investment, boost trade, commerce and labor mobilization. Agriculture, which accounts for around 16 percent of the country's GDP and employs around 42 percent of the working population, could offer additional opportunities for investment for the GCC in their search of agricultural investments abroad. Jordan's manufactured exports to the wider region, as well as beyond, could receive a boost from GCC investors. Investment in the tourism sector could also be set to gain in both Morocco and Jordan. The potential inclusion of Jordan and Morocco into the GCC bloc is undoubtedly driven by a desire to strengthen the bloc's political presence and global influence, with the GCC benefiting from Jordan's security and military expertise, and building on its common political objectives with Morocco. GCC foreign ministers have entered into negotiations with both countries regarding membership. It is our view that if full membership is to be extended, Jordan would be more likely than Morocco to receive it. Politics aside, geographical proximity which supports trade links with Saudi Arabia, pegged with the US dollar, smaller economy and demographics, could make Jordan a stronger candidate. In either case, the GCC should tread carefully to ensure economic harmonization, not only political advantages, are at the heart of negotiation efforts. A $1.2 trillion economic bloc Full integration of Jordan and Morocco into the GCC economic area would add 12.2 percent to the bloc's nominal GDP, based on 2010 data, bringing it solidly above the $1 trillion mark. It would be much easier for the GCC to absorb Jordan since its economy, worth $27.5 billion in 2010, is smaller than that of Oman and about a fifteenth of the size of Saudi Arabia's. Jordan, which shares a border with Saudi Arabia's northwest, is also a better geographic fit than Morocco, a Mediterranean coast state in North Africa. Morocco's economy was valued at $103.5 billion in 2010, not far below Qatar and Kuwait, and its inclusion in the GCC would lead to a sizeable adjustment in the bloc's economic structure. Full integration of both countries would reduce Saudi Arabia's total GDP contribution to the GCC bloc to 36 percent from 42 percent, based on 2009 GDP data. Real economic growth rates of the two countries were broadly in line with rates achieved by Gulf Arab states in the past two years, the exception being Qatar which has experienced double-digit economic growth as it builds natural gas capacity. Inflation rates are also on par among the eight countries, although pressure on consumer prices are steeper in Jordan and Saudi Arabia than other countries. Inflation in Jordan is likely to reach 6.1 percent this year, exceeding our forecast for Saudi Arabia of 5.6 percent. Common concerns about youth unemployment and job creation face many of the region's policymakers, particularly so for Jordan, Morocco and Saudi Arabia. The timing and character of the inclusion of Morocco and Jordan is not known, the currency regimes adhered to by both varies. Jordan's currency is pegged to the US dollar whereas Morocco's currency is linked to a euro-denominated currency basket. Hence, monetary policy in the case of Jordan is mostly US-focused and euro zone based in the case of Morocco. It could be that by the time Morocco and Jordan become more fully aligned with the GCC the currency regime would have also evolved for the Gulf Arab states into a broad-based basket of currencies beyond the US dollar. Fiscal differences The differences between the current GCC bloc and the two potential new members exceed their similarities, however. This is particularly evident on the fiscal front. Jordan's budget deficit stood at $1.5 billion in 2010, or 5.4 percent of GDP including foreign grants, and is likely to widen this year; while Morocco also faces a growing deficit, particularly as investment flows and tourism in the region are hit this year due to the instability shaking a number of Arab states. Jordan's public debt stock stood at 62.7 percent of GDP in 2010. By contrast, most Gulf Arab states, bar Bahrain, have been posting solid budget surpluses, adding to their already rich foreign asset holdings. Integrating Jordan and Morocco could in this respect upset some of the bloc's progress toward economic integration. Gulf Arab states have been working toward a common market - which includes freedom of movement for the labor force, capital, and goods and services. The GCC also has a longer-term objective of establishing a single currency, although that plan has been fraught with delays and hurdles, not least of which was the UAE's decision to pull out of the project in 2009. All GCC states maintain currency pegs to the USD, except for Kuwait, which pegs its KWD to a basket of currencies comprised mainly of USD. Jordan's JOD is also pegged to the USD, while Morocco pegs its MAD to a basket of key major currencies. Current GCC states had fulfilled many of the preconditions for a currency union: They are mainly oil exporters, are very open to trade and imported labor, and have flexible labor markets. Their budget deficit and debt limit criteria are complementary, and they have already ratified a basic monetary union agreement and commenced operations of a monetary council which forms the backbone of the central bank. Yet the monetary union has been derailed due to a lack of political will and introducing new players - with very different fiscal and monetary circumstances - could complicate the plan even more. The European Union sovereign debt crisis revealed the importance of centralizing both monetary and fiscal policy to avoid breaches of budget deficit and debt limits that could potentially destabilize the bloc. Demographically speaking One major question mark over the extension of full membership to the two countries is population. The population of the new GCC bloc including Jordan and Morocco would almost double in size, rising to 82.9 million as of the end of last year, compared with 45 million in the current GCC. Gulf Arab countries have porous borders and nationals of the countries are able to travel within the bloc without visas. This has been possible due to the relatively small indigenous populations in most Gulf countries. Apart from Saudi Arabia, home to about 18.5 million Saudis, the national populations of most Gulf countries are quite small, in many cases just a fraction of the overall population size. In the UAE, for instance, it is estimated that less than one fifth of the 8.2 million population comprises Emirati nationals, while in Bahrain less than half the 1.2 million population is indigenous. Extending unhindered travel rights to Jordanian and Moroccan citizens could be problematic, particularly for Saudi Arabia, which applies stringent rules for the issuance of visas for religious tourism to countries outside of the GCC. Jordan, with a population of 6.1 million last year, is more populous than Kuwait, Qatar, Oman and Bahrain. Morocco's population is substantially larger at 31.8 million in 2010 - 17 percent more than Saudi Arabia's population including expatriates. Around 2.5 million Moroccans, equivalent to 20 percent of the country's total labor force, find employment abroad, mostly in Europe. An estimated 600,000 Jordanians, mostly employed in the Gulf region, remit annually the equivalent of around 9 percent of the country's GDP. With full inclusion of Morocco, Saudi Arabia's share of the GCC population would fall sharply from 60 percent now to 33 percent. Jordan and Morocco are both Sunni-majority monarchies whose citizens would likely be keen to take advantage of easier travel to Saudi Arabia's holy cities. Given the population dynamics, it may not be feasible for the GCC to extend full membership to Morocco in particular without setting conditions on the free movement of people. Moroccans and Jordanians also earn comparatively less than Gulf Arab residents, which raises some considerations with regard to freedom of labor mobility. Per-capita GDP in Jordan was $4,499 in 2010, while in Morocco per capita income stood at $3,252 - both well below Saudi Arabia's per-capita GDP of $16,041, the lowest among GCC countries. It is foreseeable then that GCC membership would increase the ease with which Jordanian and Moroccan professionals seek work in GCC nations. If they seek lower wages than other Gulf citizens, this could exacerbate rather than help unemployment in the Gulf. Trade and tourism ties Closer economic ties would enable Morocco and Jordan to improve their trade balances with the Gulf Arab states, while providing greater diversification for imports into current bloc countries. At present, the trade balance largely favors the GCC. Jordan had a trade deficit of $2.6 billion last year, while Morocco's trade deficit was $1.6 billion. One feature of the GCC bloc is a customs union, including a cap on tariffs of imported goods within the bloc of 5 percent - a benefit that could be extended to a new member. Gulf trade activity with Jordan is already buoyant. In 2010, the Gulf countries accounted for 24.2 percent of Jordan's imports, while 18.4 percent of its exports were destined for the six GCC states. The anticipated rail link between Jordan and Saudi Arabia would be a boost to trade with the rest of the GCC. GCC trade ties are significantly less established with Morocco; only 4.9 percent of its imports in 2009 were sourced in the Gulf, while just 0.5 percent of its exports reached the six countries. Better ties with the Gulf would afford Morocco potential new markets for its agricultural goods. The desert states of the Gulf rely heavily on food imports, particularly as they seek ways to improve food security and phase out production of water-intensive crops. Food exports accounted for 21.4 percent of Morocco's exports in 2009. An alliance with the GCC might also enable Morocco to reduce its reliance on Europe, which accounts for some 60 percent of Morocco's imports and 70 percent of its exports in 2009. By comparison, the Gulf's share of Morocco's imports was only 4.9 percent and it received only 0.5 percent of its exports. Morocco's proximate relationship with the EU could provide an entry point to enhance GCC ties with Europe. Morocco, like Tunisia, is pro-cyclical with the economies of the EU. Moreover, Morocco's tariff regime with the EU would have to be looked at whilst being aligned with the GCC. Tourism ties between Morocco and the Gulf are also trivial at the moment. A substantial 84 percent of tourists to Morocco in 2009 were from Europe, compared with only 2.7 percent from the Middle East, according to government data. The situation is again very different in Jordan; visitors from Gulf Arab countries accounted for 28.2 percent of total tourist traffic in 2010, according to data of the Jordanian Ministry of Tourism and Antiquities. Saudi Arabia alone accounted for 16.2 percent of total Jordanian tourist visits last year. These data show that it may be easier in the initial stages to integrate Jordan into the GCC than Morocco, and as such we expect and move forward in negotiations is likely include caveats to protect the interests of the Gulf Arab economies. There are a few obvious material benefits at could accrue at the moment for the GCC states. However, as the EU evidenced, political considerations can be more powerful determinants for the advancement of economic integration. — John Sfakianakis is chief economist of BSF Crédit Agricole Group. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PGM Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 Pour revenir à l'aspect sécuritaire et géopolitique, le Maroc compte tenu de son histoire et de son positionnement doit composer avec plusieurs réalités, qui parfois se conjuguent et parfois se contredisent.1/ son appartenance au monde arabe : au dela de la réalité ethico-sociologique, cette appartenance s'est traduite par l'implication du Maroc au complexe dossier du PO (intermédiation israélo-palestinienne, envoi de troupe en 73...). Cette appartenance est la plus complexe a gérer pour le maroc. En effet, ses choix politiques et économiques, dans un monde arabe arabe traversé par le nassérisme et l’option "socialiste" retenue par de grand pays arabe (algerie, egypte, syrie...) l'a toujours naturellement rapproché du club des monarchies pro-occidental (par les choix géopolitiques et économique). La récente invitation à intégrer le club du CCG va clairement entériner cette appartenance. Cette option pose néanmoins un problème, d'ordre culturel (nous restons des maghrébins plus proche sociologiquement des tunisiens, algériens...) et politique. Le Maroc par ses choix d'ouverture démocratique, se trouve nettement plus en avance que les monarchies du golfe, qui ne voient certainement pas les ouvertures marocaines que sous le prisme de leur propre cloisonnement. A mesure que le Maroc avance sur le plan des libertés, a mesure l'écart se creusera au point que la notion de « club » apparaitra incongrue (entre un modèle de monarchie parlementaire, ouverte et des pays ou les femmes ne peuvent conduire). Le risque étant que justement cette ouverture au Maroc du CCG soit plus une façon d’étouffer ses velléités d’évolution qu’autre chose. Le fort pouvoir attractif de ces pays (puissances financières, médiatique, religieuse…) pour un pays comme le maroc, qui a besoin d’IDE, risque d’entrainer une relation biaisée qui ralentisse son projet de réforme.2/ Son appartenance à l’Afrique : parasité par le dossier saharien, cette appartenance a été mise en sommeil de longue année. Depuis l’arrivée de M6, l’afrique est de nouveau un axe majeur, notamment vers l’afrique de l’ouest et francophone. La pénétration est essentiellement économique et offre de vraies opportunités. Notre relation à l’afrique est intiment lié à notre tropisme français (nous sommes présent dans les mêmes pays et participons souvent a des opérations militaro civile ensemble (CI, RDC..)). L’UA n’interesse pas le Maroc. Sa domination par l’axe Alger-Abuja-Pretoria interdit toute participation constructive du fait du dossier saharien.3/ Son appartenance au camp « occidental » : ce choix assumé de longue date va s’affermir. Ce choix crée des obligations en matière politique, d’autant que nous ne sommes plus à l’époque de la guerre froide, ou les dépassements sécuritaires et l’autoritarisme étaient pardonnés.Et là ça rejoint un peu ce qui se passe en Égypte, l’option démocratique va conduire à des choix qui ne vont pas nécessairement aller dans le sens indiqué par nos amis démocrate du nord (exemple de l’ouverture sur Gaza par l’egypte dont les USA ne voulait pas entendre parler sous Moubarak, fin des marché de gré à gré avec les copains politiques…). Les choix du maroc en matière de politique extérieur, ont toujours été induits par le dossier saharien, qui a toujours parasité sa relation aux autres (la qualité de la relation dépendant toujours de la position du partenaire sur ce dossier).Le Maroc ne pourra avoir de relations réellement libre que lorsqu’il se sera libéré de ce contentieux, devenu l’alpha et l’oméga de sa diplomatie. Mais bon, nécessité fait loiPGM Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 L'indice de performance globale est un indice synthétique basé sur les différents paramètres, qui sont résumés dans le tableau que j'ai posté. Désolé d'être insistant, mais il faudra m'expliquer comment le Maroc peut être classé 17ème et 29ème en terme de "performance globale", alors que pour les facteurs censés, selon toi, constituer cet "indice synthétique", le pays est généralement rangé au mieux à la 67ème place ? Mathématiquement, il y a un truc qui ne colle pas ! Et ce qui ne colle pas, c'est ta compréhension de ce qu'est la "performance" pour l'OMS. Encore une fois je cite la définition de la "performance" donnée dans le rapport (mais dans la langue de Molière, puisque je viens de trouver le rapport en français) : RÉSULTATS ET PERFORMANCE Déterminer si un système de santé fait ce que l’on attend de lui oblige à se poser deux grandes questions : comment mesure-t-on les résultats intéressants pour déterminer ce qui est fait à l’égard des trois objectifs : amélioration de la santé, réactivité et équité de la contribution financière (réalisation des objectifs) et comment les compare-t-on à ce que le système devrait être capable d’accomplir, c’est-à-dire aux meilleurs résultats possibles avec les mêmes ressources (performance) ? Cf. p. 25 du Rapport sur la Santé dans le Monde en 2000 D'ailleurs, si tu analyses le tableau que tu as posté, tu verras qu'il est divisé en 2 parties : - La réalisation des objectifs (ou attainment of goals) synthétisant les trois éléments suivants : santé (health), réactivité (responsiveness) et équité de la contribution financière (fairness in financial contribution) - La performance du système de santé, indice relatant ce que le système de santé national "devrait être capable d’accomplir, c’est-à-dire aux meilleurs résultats possibles avec les mêmes ressources." La valeur que tu entoures en gris, 94 pour le Maroc, c'est son rang en termes de réalisation globale des objectifs. (cf. p. 175 de la version française du rapport) Tu peux d'ailleurs aller consulter le tableau n°9 (cf. p. 220 de la version française du rapport) et tu verras que le Maroc est bien rangé 94ème Nation dans ce comparatif mettant en jeu les "Résultats globaux du système de santé dans l’ensemble des Etats Membres, indices OMS, estimations pour 1997). Bref, G4lly avait raison. Après ça, je ne peux plus faire grand chose... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 30 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 30 mai 2011 Je résume pour que personne ne se fâche: Classement pour les Résultats globaux du système de santé, indices OMS, estimations pour 1997: 94 Classement pour les Performance des systèmes de santé, indices OMS, estimations pour 1997 : * PERFORMANCE EN MATIERE DE NIVEAU DE SANTE: 17 * PERFORMANCE GLOBALE : 29 Pourquoi l'OMS s'est focalisé sur la performance je sais pas peut etre parce que il est intitulé "Rapport sur la santé dans le monde 2000 - Pour un système de santé plus performant." je vous laisse la version francaise : http://www.who.int/inf-pr-2000/fr/cp2000-44.html Cordialement Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 Je résume pour que personne ne se fâcheAh mais je n'ai pas l'intention de me fâcher ! Juste que je n'étais pas d'accord sur la manière de lire le tableau ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 30 mai 2011 Auteur Share Posté(e) le 30 mai 2011 Je plaisante =D Sinon Attentat/Marrakech: appel à témoins Le Figaro 30/05/2011 | A la suite de l'attentat de Marrakech du 28 avril dernier, qui a fait 17 tués dont huit Français, la police judiciaire lance un nouvel appel à témoins* à toute personne s'étant trouvée place Jamâa Al-Fna le 28 avril au matin, a indiqué aujourd'hui au Figaro la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ). Cette dernière avait déjà lancé un premier appel à témoins le 6 mai dernier. Par ailleurs, le parquet de Paris a ouvert le 20 mai une information judiciaire notamment pour "assassinat" après cet attentat, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire. L'information judiciaire a été ouverte pour les qualifications d'"assassinat, tentative d'assassinat commis sur des Français en lien avec une entreprise terroriste", a-t-on précisé. Sept personnes ont été inculpées dans le cadre de l'enquête conduite par les autorités marocaines. * En cas de renseignements, prière de contacter le numéro vert 08 00 95 80 81. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hcinou Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 les droits de l'homme au maroc la liberte de la presse au maroc Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 Hcinou . STP ! :POn ne vas pas refaire les conflits entre l'algérie et le maroc dans ce topic.Là, il s'agit d'un topic sur la promotion du maroc donc ici on ne parle que des choses positives de ce pays ! :oops:Sinon, si cela sombre de nouveau dans la confrontatrion avec le jeu du "Mon pays , il est plus beau que le tien!"Les modérateurs vont de nouveau sévir.D'ailleurs, y a déjà Akhilleus et Fenrir qui commencent déjà à charger le phalanx car ils t'ont déjà "locké". :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hcinou Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 Hcinou . STP ! :P On ne vas pas refaire les conflits entre l'algérie et le maroc dans ce topic. Là, il s'agit d'un topic sur la promotion du maroc donc ici on ne parle que des choses positives de ce pays ! :oops: Sinon, si cela sombre de nouveau dans la confrontatrion avec le jeu du "Mon pays , il est plus beau que le tien!" Les modérateurs vont de nouveau sévir. D'ailleurs, y a déjà Akhilleus et Fenrir qui commencent déjà à charger le phalanx car ils t'ont déjà "locké". :lol: ok je suis nouveau je ne vais pas trop jouer au malin sorryyyyy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Canal Directo Posté(e) le 30 mai 2011 Share Posté(e) le 30 mai 2011 Hcinou . STP ! :P On ne vas pas refaire les conflits entre l'algérie et le maroc dans ce topic. Là, il s'agit d'un topic sur la promotion du maroc donc ici on ne parle que des choses positives de ce pays ! :oops: Je suis d'accord qu'il faut éviter les guerres de clochers stupides mais il s'agit pas non plus de jouer les thuriféraires et de faire un portrait du Maroc façon hagiographie. Ca n'a pas d'intérêt ni de sens ici. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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