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Vers l'indépendance de l'écosse et la fin du Royaume Uni ?


Messages recommandés

Pourquoi devra ? quel andouille a pu promettre cela ?

 

L'organisation d'un référendum d'autodétermination fait partie des accords de Nouméa signés en 1998, qui ont permis de ramener la paix sur l'île. Ces accords reconnaissent la légitimité à la fois du peuple autochtone kanak et des nouveaux venus, organisent une collectivité intégrée à la France mais avec son identité particulière et son autonomie à l'intérieur de la République. Ils prévoient un référendum d'autodétermination qui "doit avoir lieu pendant la mandature commençant aux élections provinciales de mai 2014, et au plus tard six mois avant la fin de cette mandature, soit une « période référendaire » s'étalant de mai 2014 à décembre 2018." Ce référendum peut éventuellement être répété un maximum de trois fois.

 

Je souhaite comme toi que la Nouvelle-Calédonie continue à faire partie de la France. Ceci dit le référendum est clairement légitime parce qu'une partie importante des habitants le souhaite.

 

D'après les sondages actuels, le maintien dans la République devrait recueillir de l'ordre de 60% des suffrages. Relativement rassurant, mais clairement pas totalement, voir la manière dont beaucoup d'Ecossais semblent en train de changer d'avis en peu de temps.

 

Voir l'article suivant, qui est beaucoup plus optimiste quant au nombre d'indépendantistes, estimé beaucoup plus bas, mais qui porte sur la région du grand Nouméa. C'est à la campagne si je comprends bien que se trouvent davantage d'indépendantistes.

Parmi les habitants du Grand Nouméa, moins d’un mélanésien sur trois serait désormais favorable à l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie. Les résultats d’un sondage réalisé en avril par l’institut TNS montrent que le clivage indépendantiste/non-indépendantiste n’est plus seulement défini par le clivage ethnique mélanésien/non-mélanésien. De plus, 59% des Calédoniens se déclarent « loyalistes » quand 28% se disent « autonomistes ».

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La Grande-Bretagne sous la tempête alors que les investisseurs mondiaux se réveillent devant le danger d'éclatement (en anglais)

 

Alarmisme ? Propagande anti-indépendance ?

 

Peut-être en partie, mais le facteur psychologique joue à plein en finance, et une éventuelle indépendance de l'Ecosse aurait des répercussions sur l'image du Royaume-Uni, donc sur ses finances.

 

En tout cas, d'après les investisseurs consultés par l'auteur, le "pire cas" s'il y a indépendance n'est pas piqué des vers :

- La livre pourrait chuter de 15%

- Le Royaume-Uni sans l'Ecosse perdre un cran dans la notation des agences et voir le taux sur sa dette augmenter de 0,25%

- L'Ecosse indépendante perdre jusqu'à cinq crans, avec un taux sur la dette augmenté de 1,5%

 

Ce pire des cas serait réalisé notamment s'il n'y a pas accord sur une union monétaire (souhaitée par les indépendantistes) et si l'Ecosse répudie en conséquence sa part de la dette britannique (les indépendantistes ont annoncé qu'ils le feraient si le RU refuse l'union monétaire)

 

 

 

 

... soit dit en passant, moi non plus je n'y comprends rien... à quoi cela leur servirait-il ?  :huh:

Bon Dieu, les lascars ne causent même pas leur langue (le gaélique), qui est comprise par 1% de la population. L'ont votée langue officielle à égalité avec l'anglais, mais se gardent bien de l'apprendre !

 

Mais ne le répétez pas aux Écossais, sinon j'vais encore passer pour un impérialiste.

De l'espèce grand-britannique, après être passé pour l'espèce grand-russe dans le fil sur l'Ukraine !  :lol:

pour la langue je ne pense pas qu'on doivent croire que s'est le motif qui forge forcément une identité.

dire à un écossais qu'il est anglais ou l' inverse ,sa passe pas trop même si la réponse restera polie .

rien que l' accent déjà marque une différence entre anglais et écossais .

comme quoi des fois sa se joue pas forcément de manière si logique un sentiment d'appartenance.

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Qu'arrivera-t'il niveau humain, si le non l'emporte? Je pense que je peux y répondre en parlant du drame humain que fut la défaite référendaire de 95. 

En 95, j'avait 9 ans. Lors de la campagne, j'aidais ma mère en la suivant main dans la main, faire du porte-à-porte pour le camp du oui. Je me rappelle que j'aimais beaucoup les pancartes publicitaires pour le oui et que cela déterminais mon choix. Je me rappelle des chicanes de famille, les chicanes entre parents à l'entré de l'école de leurs enfants. Tout les jours il y avait des bagarres entre enfants pour le oui et ceux du non. Il y en a même un qui a été emmené en ambulance. Je faisais parti de ceux qui l'avait agressé. Le soir venu, je revois ma mère me sermonné sur l'utilisation de la violence et mon père en fond de pièce, cachant mal sa fierté. 

 

Alors que le tissu social s'entre-déchirait, que les attaques fusaient de toutes parts, que les familles s’émiettaient, débuta une campagne de promesse venant du fédéral. Que si le non gagnait, le Québec aurait plus de pouvoir, que tout serait oublié, que tout reviendrait dans l'ordre. J'y reviendrai, mais ce n'était que mensonges. 

 

Le soir du 30 octobre, je m'en rappelle très bien encore aujourd'hui. Mes parents m'avait gardé éveillé alors que mes sœurs plus jeunes étaient au lits. Nous étions au salon et écoutions à radio-canada, les résultats du dépouillement des boites de scrutin. L'ambiance était électrique au début du dépouillement puis s'est assombrit peu à peu. Est venu le moment ou ils ont annoncé le non gagnant.
Ma mère s'est mit à pleuré. Mon père a callé sa Molson. On m'a demandé d'aller au lit, sans m'y raccompagner. Ma mère a beaucoup pleuré cette nuit-là. Mon père a bu, trop bu. Je me rappelle que beaucoup de boutique n'ont pas ouvert leurs portes le lendemain. 

À l'école, les choses avaient changé. Beaucoup de professeurs n'étaient pas dans leurs assiettes. Je me rappelle le sourire triomphant des enfants du non.. Les insultes de leurs part m'avaient fait pleurer en classe. Finalement, rien n'est redevenu comme avant. Les familles sont demeurées déchirées tout comme le tissu social. Certain ont simplement arrêté de travailler, d'autre de vivre. Il y a eu les dépressions, il y a eu des suicides. Il pesait sur nous le poids de la honte. Ce poids ne nous quittera pas pendant longtemps. Les promesses s'étaient envolées et le fameux love-in canadien n'était que du passé, faisant place à la haine, le mépris, les allusions de toute sorte au nazisme et toute accusations que leurs esprits tordus aient pu imaginé, histoire de nous écrasé moralement pour de bon. Pendant 20 ans nous avons vécus sur la défensive, indépendance, patriote et république furent des mots honnis. Le PQ cessa toute éducation en matière d'indépendance. Ils vécurent en peur de l'article 1 de leur programme. Aux jeunes militants qui n'avaient pas pu voter en 95, les vieux répétèrent de ne pas se battre. Qu'il fallait abandonner. Que manifester sa faveur de l'indépendance nuirait au parti. À l'époque ils se doutaient que le référendum avait été fraudé, aujourd'hui, nous en sommes sur. Entre-nous, nous nous surnommons la génération de la honte. Car c'est cela que nous sommes, une génération qui a grandis dans la honte d'être ce que nous sommes, Québécois. 

C'est la dernière chose que je souhaite au Écossais. Notre exemple...

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Qu'arrivera-t'il niveau humain, si le non l'emporte? Je pense que je peux y répondre en parlant du drame humain que fut la défaite référendaire de 95. 

En 95, j'avait 9 ans. Lors de la campagne, j'aidais ma mère en la suivant main dans la main, faire du porte-à-porte pour le camp du oui. Je me rappelle que j'aimais beaucoup les pancartes publicitaires pour le oui et que cela déterminais mon choix. Je me rappelle des chicanes de famille, les chicanes entre parents à l'entré de l'école de leurs enfants. Tout les jours il y avait des bagarres entre enfants pour le oui et ceux du non. Il y en a même un qui a été emmené en ambulance. Je faisais parti de ceux qui l'avait agressé. Le soir venu, je revois ma mère me sermonné sur l'utilisation de la violence et mon père en fond de pièce, cachant mal sa fierté. 

 

Alors que le tissu social s'entre-déchirait, que les attaques fusaient de toutes parts, que les familles s’émiettaient, débuta une campagne de promesse venant du fédéral. Que si le non gagnait, le Québec aurait plus de pouvoir, que tout serait oublié, que tout reviendrait dans l'ordre. J'y reviendrai, mais ce n'était que mensonges. 

 

Le soir du 30 octobre, je m'en rappelle très bien encore aujourd'hui. Mes parents m'avait gardé éveillé alors que mes sœurs plus jeunes étaient au lits. Nous étions au salon et écoutions à radio-canada, les résultats du dépouillement des boites de scrutin. L'ambiance était électrique au début du dépouillement puis s'est assombrit peu à peu. Est venu le moment ou ils ont annoncé le non gagnant.

Ma mère s'est mit à pleuré. Mon père a callé sa Molson. On m'a demandé d'aller au lit, sans m'y raccompagner. Ma mère a beaucoup pleuré cette nuit-là. Mon père a bu, trop bu. Je me rappelle que beaucoup de boutique n'ont pas ouvert leurs portes le lendemain. 

À l'école, les choses avaient changé. Beaucoup de professeurs n'étaient pas dans leurs assiettes. Je me rappelle le sourire triomphant des enfants du non.. Les insultes de leurs part m'avaient fait pleurer en classe. Finalement, rien n'est redevenu comme avant. Les familles sont demeurées déchirées tout comme le tissu social. Certain ont simplement arrêté de travailler, d'autre de vivre. Il y a eu les dépressions, il y a eu des suicides. Il pesait sur nous le poids de la honte. Ce poids ne nous quittera pas pendant longtemps. Les promesses s'étaient envolées et le fameux love-in canadien n'était que du passé, faisant place à la haine, le mépris, les allusions de toute sorte au nazisme et toute accusations que leurs esprits tordus aient pu imaginé, histoire de nous écrasé moralement pour de bon. Pendant 20 ans nous avons vécus sur la défensive, indépendance, patriote et république furent des mots honnis. Le PQ cessa toute éducation en matière d'indépendance. Ils vécurent en peur de l'article 1 de leur programme. Aux jeunes militants qui n'avaient pas pu voter en 95, les vieux répétèrent de ne pas se battre. Qu'il fallait abandonner. Que manifester sa faveur de l'indépendance nuirait au parti. À l'époque ils se doutaient que le référendum avait été fraudé, aujourd'hui, nous en sommes sur. Entre-nous, nous nous surnommons la génération de la honte. Car c'est cela que nous sommes, une génération qui a grandis dans la honte d'être ce que nous sommes, Québécois. 

C'est la dernière chose que je souhaite au Écossais. Notre exemple...

 

le scrutin fraudé?, j'amerais bien voir des preuves de ca. En ce qui concerne l'idée de l'indépendance, il y'a les partis indépendantistes (PQ, option nationnale) et gauchiste (Qebec solidaire) qui soutiennet cette idée, même si les votes qu'ils recoivent sans minimes (à l'exception du PQ).

il y'a peut-être eu une période noire pour les indépendantistes après 95, mais je dirais qu'actuellement cette période est révolue, les gens s'assument, mais la plupart d'entre eux, veulent avoir un Québec fort économiquement avant de parler de séparation, ce que le PQ ne semblent pas vouloir faire, et c'est ce qui leur a fait perdre les dernières éléctions en parlant de charte/referendum/langue/.. sans aborder les questions essentielles pour les élécteurs impots/retraite/coupe dans le public

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Le Bloc pré Beaulieu n'était nullement indépendantiste et s'appliquais à (et je cite): À représenté les intérêts de Québec à Ottawa. Aujourd'hui, nous le voyons depuis le reprise en main du bloc par les indépendantistes, que les carriéristes démissionnent et plaidant qu'ils n'ont jamais été indépendantiste et que le bloc ne l'a jamais été.

 

Le PQ à la dernière élection s'est fait servir un ras-le bol de sa politique de peur de sois-même. La population générale n'est simplement pas été voté. Ce fut encore pire que les candidats allais dans une direction et que la permanence (et donc le budget et publicité) allaient de l'autre. D’ailleurs, les exécutifs locaux votent régulièrement un ménage de la permanence... bloqué par le veto de la permanence...

 

pour ma part, je pense que c'est Beaulieu qui va achever la Bloc, mais ce n'est que mon impression, on verra bien aux prochaines éléctions ce que ca va donner.

Pour le PQ, il y'a trop de luttes de pouvoir dans le parti, et pas de ligne claire sur ce qu'ils veulent faire, un jour ils disent qu'il Y'aura un réferendum si ils gagnet les éléctions, le jour d'après, ca devient conditionnele au pourcentage de vote, le jour d'après ca change encore. il leur faut une profonde remise en question 

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pour ma part, je pense que c'est Beaulieu qui va achever la Bloc, mais ce n'est que mon impression, on verra bien aux prochaines éléctions ce que ca va donner.

 

Pour moi la survie du bloc passait par Maria Mourani en 2011 qui incarnait le changement, le renouvellement ,mais ils ont préféré faire plus de "comme avant" avec Daniel Paillé ...

 

 

Pour moi les cas du Québec et de l'Écosse sont trop différent.

Modifié par Divos
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Qu'arrivera-t'il niveau humain, si le non l'emporte? Je pense que je peux y répondre en parlant du drame humain que fut la défaite référendaire de 95. 

En 95, j'avait 9 ans. Lors de la campagne, j'aidais ma mère en la suivant main dans la main, faire du porte-à-porte pour le camp du oui. Je me rappelle que j'aimais beaucoup les pancartes publicitaires pour le oui et que cela déterminais mon choix. Je me rappelle des chicanes de famille, les chicanes entre parents à l'entré de l'école de leurs enfants. Tout les jours il y avait des bagarres entre enfants pour le oui et ceux du non. Il y en a même un qui a été emmené en ambulance. Je faisais parti de ceux qui l'avait agressé. Le soir venu, je revois ma mère me sermonné sur l'utilisation de la violence et mon père en fond de pièce, cachant mal sa fierté. 

 

Alors que le tissu social s'entre-déchirait, que les attaques fusaient de toutes parts, que les familles s’émiettaient, débuta une campagne de promesse venant du fédéral. Que si le non gagnait, le Québec aurait plus de pouvoir, que tout serait oublié, que tout reviendrait dans l'ordre. J'y reviendrai, mais ce n'était que mensonges. 

 

Le soir du 30 octobre, je m'en rappelle très bien encore aujourd'hui. Mes parents m'avait gardé éveillé alors que mes sœurs plus jeunes étaient au lits. Nous étions au salon et écoutions à radio-canada, les résultats du dépouillement des boites de scrutin. L'ambiance était électrique au début du dépouillement puis s'est assombrit peu à peu. Est venu le moment ou ils ont annoncé le non gagnant.

Ma mère s'est mit à pleuré. Mon père a callé sa Molson. On m'a demandé d'aller au lit, sans m'y raccompagner. Ma mère a beaucoup pleuré cette nuit-là. Mon père a bu, trop bu. Je me rappelle que beaucoup de boutique n'ont pas ouvert leurs portes le lendemain. 

À l'école, les choses avaient changé. Beaucoup de professeurs n'étaient pas dans leurs assiettes. Je me rappelle le sourire triomphant des enfants du non.. Les insultes de leurs part m'avaient fait pleurer en classe. Finalement, rien n'est redevenu comme avant. Les familles sont demeurées déchirées tout comme le tissu social. Certain ont simplement arrêté de travailler, d'autre de vivre. Il y a eu les dépressions, il y a eu des suicides. Il pesait sur nous le poids de la honte. Ce poids ne nous quittera pas pendant longtemps. Les promesses s'étaient envolées et le fameux love-in canadien n'était que du passé, faisant place à la haine, le mépris, les allusions de toute sorte au nazisme et toute accusations que leurs esprits tordus aient pu imaginé, histoire de nous écrasé moralement pour de bon. Pendant 20 ans nous avons vécus sur la défensive, indépendance, patriote et république furent des mots honnis. Le PQ cessa toute éducation en matière d'indépendance. Ils vécurent en peur de l'article 1 de leur programme. Aux jeunes militants qui n'avaient pas pu voter en 95, les vieux répétèrent de ne pas se battre. Qu'il fallait abandonner. Que manifester sa faveur de l'indépendance nuirait au parti. À l'époque ils se doutaient que le référendum avait été fraudé, aujourd'hui, nous en sommes sur. Entre-nous, nous nous surnommons la génération de la honte. Car c'est cela que nous sommes, une génération qui a grandis dans la honte d'être ce que nous sommes, Québécois. 

C'est la dernière chose que je souhaite au Écossais. Notre exemple...

effectivement se témoignage est très intéressant et on peut comprendre le désarroi des gens ayant connu la défaite alors qu'on aspiré à un changement .

pour les écossais la donne est différente.

il y a le facteur qui pèse aussi sur le choix des écossais s'est peut-être qu'il y a l'Europe qui ne fera pas de problème car l'Ecosse sera intégré.

sa plus leur économie bancaire ,le pétrole sa laisse entrevoir des choses concrète.

peut-être que l' arrivée de l' Euro dans le système économique écossais rassure ( nous sa nous a fait mal mais peut-être que pour un nouveau qui a une économie ,petit de taille sa passe mieux ).

après l' Angleterre va sûrement jouée dans la propagande négative .

et foutre la trouille ,un peu comme quand on très sûr de soi et que au dernier moment on fait marche arrière pour le regretter après.

pour le Québec je pense qu'être isolé au milieu des anglophones est peut-être aussi se qui a contribué aux non car on a pensé que sa allé être compliqué de tenir la barre alors que le reste du continent Nord Américain est disons cloisonné.

sa plus se que Divos et metkow ont expliqué sur les PB interne des partis indépendantistes du Québec.

en espérant que vous comprendrez mon post un peu bordélique lol .

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pour le Québec je pense qu'être isolé au milieu des anglophones est peut-être aussi se qui a contribué aux non car on a pensé que sa allé être compliqué de tenir la barre alors que le reste du continent Nord Américain est disons cloisonné.

sa plus se que Divos et metkow ont expliqué sur les PB interne des partis indépendantistes du Québec.

 

 

Je pensais plutôt à homogénéité  des citoyens du Québec, il y a 20% dont la langue maternelle n'est pas le français, mais maintenant que je regarde la démographie de l'Écosse il y a 16% des citoyens Écossais qui ne sont pas d'origine Écossaise. La différence est pas énorme sur ce point, finalement.

Modifié par Divos
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Je pensais plutôt à homogénéité  des citoyens du Québec, il y a 20% dont la langue maternelle, mais maintenant que je regarde la démographie de l'Écosse il y a 16% des citoyens Écossais qui ne sont pas d'origine Écossaise. La différence est pas énorme sur ce point, finalement.

ok je comprend mieux .
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http://mariobeaulieu.com/127-referendum-en-ecosse-une-delegation-de-jeunes-bloquistes-en-mission-d-observation

 

Référendum en Écosse : une délégation de jeunes bloquistes en mission d’observation

L’automne s’annonce particulièrement chaud sur la scène politique internationale. En effet, deux nouveaux pays pourraient voir le jour en Europe avant la fin de l’année. Si la Catalogne prévoit tenir son référendum sur l’indépendance le 9 novembre prochain, c’est dans deux semaines, soit le 18 septembre, que les Écossais seront quant à eux appelés aux urnes pour se pencher sur l’avenir de leur nation en répondant à la question : « Should Scotland be an independent country? ».
 
Dans ces circonstances, les événements du référendum écossais représentent une belle opportunité d’observation pour les indépendantistes québécois, c’est pourquoi une délégation du Forum jeunesse du Bloc Québécois (FJBQ) a choisi d’être sur place du 10 au 21 septembre. Parmi les émissaires présents il y aura le président du FJBQ, Xavier Barsalou Duval, la responsable du contenu, Catherine Fournier, et le responsable des cellules étudiantes, Pascal Lavoie. 45 autres Québécois voyageant avec le Réseau Québec-monde, organisme de tourisme politique à but non-lucratif mis sur pied en 2013, seront aussi en Écosse pour assister à cet événement politique historique.
 
Le Bloc Québécois, qui défend et appuie la liberté des peuples à l’autodétermination, se réjouit de la tenue de ces consultations démocratiques.  Qui plus est, un « Oui » à l’indépendance de ces deux nations constituera certainement un catalyseur pour l’option indépendantiste québécoise, en plus d’être une démonstration supplémentaire qu’en cette ère de mondialisation, la diversité culturelle et identitaire demeure capitale.

 

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http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/09/10/option-nationale-invite-les-ecossais-a-voter-oui-et-a-se-meler-de-leurs-affaires_n_5798078.html?1410365307&ncid=tweetlnkushpmg00000067

 

Option nationale invite les Écossais à voter Oui... et à se mêler de leurs affaires

QUÉBEC - Le leader d'Option nationale Sol Zanetti prévient les Écossais qu'ils pourraient subir le même sort que le Québec s'ils votent Non au référendum sur l'indépendance le 18 septembre prochain.
 
Dans une vidéo mise en ligne sur YouTube mercredi, Sol Zanetti ne mâche pas ses mots. «Ceci n'est pas une campagne de peur, ce n'est pas une exagération: si on se base sur notre expérience, vous serez dans une pire situation si vous votez Non», dit-il en anglais.

 

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c'est pas pour casse l'ambiance, mais les écossais n'ont vraiment pas besoin des conseils de ON ou du PQ et ne veullent pas leur implication, on l'a bien vu durant la derniere visite de Pauline Marois, c'est a peine si le premier ministre écossais voullait prendre une photo avec elle 

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http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/international/2014/09/03/012-harper-ecosse-referendum-non.shtml

 

Stephen Harper recommande aux Écossais de voter non

Stephen Harper, en mission commerciale à Londres, mercredi, a exposé ses vues sur le référendum à venir en Écosse : selon le premier ministre canadien, il n'est ni dans l'intérêt du Royaume-Uni, ni dans celui de la population de morceler le pays.
 
Stephen Harper se trouve à Londres à la veille du sommet de l'OTAN, qui doit se tenir à Cardiff, au Pays de Galles.
 
Devant un groupe de personnes du milieu des affaires londonien, Stephen Harper a répondu à une question au sujet du référendum écossais. Citant divers enjeux internationaux allant du terrorisme à la menace posée par l'épidémie d'Ebola, le premier ministre Harper s'est demandé si un pays scindé en deux pourrait mieux faire face à ces défis.
 
« Comment la division d'un pays tel que le Canada, ou tel que le Royaume-Uni, pourrait-il faire surgir des solutions à ces enjeux? », a répliqué Stephen Harper à la question d'un journaliste d'un hebdomadaire conservateur, The Spectator.
 
M. Harper a affirmé que les Canadiens étaient en mesure de comprendre le dilemme actuel vécu par le Royaume-Uni et l'Écosse à travers la lentille de ce que le pays a vécu avec le Québec. « Ce débat a eu lieu très intensément pendant très longtemps », a-t-il déclaré.
...
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http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/09/09/independance-de-l-ecosse-les-orangistes-nord-irlandais-s-en-melent_4483763_3214.html

Les orangistes nord-irlandais vent debout contre l'indépendance de l'Ecosse

Malmenés dans un récent sondage donnant les partisans de l'indépendance écossaise vainqueurs d'une courte tête, les défenseurs d'un royaume vraiment uni se seraient bien passés du ralliement à leur cause des sulfureux orangistes nord-irlandais. Les membres de l'Ordre d'Orange, une organisation protestante créée en 1795 et célèbres pour leurs parades en Ulster, ont annoncé leur intention de défiler, samedi 13 septembre à Edimbourg...

 

 

Je cite l'un de mes précédents messages et le point 6 du résumé...

 

Je vous invite à lire Le référendum volé de Robin Philpot dont voici un résumé:

http://www.vigile.net/Le-referendum-vole-resume-par
Intéressant à partir du point 4.

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Ils se font chier ou quoi les orangistes nord-irlandais ou quoi ?

vu que s'est calme en Irlande du nord ...

ou ils ont les j'tons que l' Irlande du nord fasse pareil (sa m' étonnerait vu l' état de l' économie ).

à moins que le rattachement avec l' Irlande reviennent sur le devant de la scène .

qu'ils laissent se dérouler tranquillement se référendum .

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"deux nouveaux pays pourraient voir le jour en Europe avant la fin de l’année."

 

Avec les politiques d'austérité et du "TINA"... les "sans-dents n'ont  plus que l'autonomie pour retrouver un peu de dignité et d'espoir.

 

L'union européenne ce devait être sa force .....à la place on a l'effritement des pays européens et leur disparition sur la scène internationale.

 

Quant au Québec , les francophones ont été trahis en effet par certains dirigeants québecois qui jouaient un double jeu ce qui donnait une longueur d'avance aux adversaires de l'indépendance.... et un arrivée massive d'immigrés non francophones (refoulé des USA ? ) qui n'envisageaient par leur avenir dans cette communauté. exact ?  

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ça ne me déplairait pas que l’Écosse soit indépendante ! ^-^

 

Fini la Grande-Bretagne et place à la "Moyenne-Bretagne" =D

 

Puis, les Anglais vont râler quand l’Écosse rejoindra l'Union européenne notamment sa monnaie =)  et on pourra profiter de leurs ressources naturelles au détriment des Anglais.

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pour la langue je ne pense pas qu'on doivent croire que s'est le motif qui forge forcément une identité.

...//...

comme quoi des fois sa se joue pas forcément de manière si logique un sentiment d'appartenance.

 

Je suis assez d'accord avec çà, dans certains cas.

 

En tous cas, il est sûr que la langue parlée ne justifie et ne forge pas à elle-seule une identité nationale, ou une appartenance.

 

Les suisses en sont un bon exemple, trois langues officielles et dont, de plus, une germanique et deux latines.

 

Et pourtant le sentiment national d'appartenance à la même nation helvétique y est très fort, même si en interne il y peut y avoir parfois de petites tensions entre Cantons ... Mais le fait que ces même Cantons sont autonomes au sein de la Confédération permet à la fois de cultiver leurs différences culturelles spécifiques et autres, tout en jouant parfaitement collectif sur les points forts et supérieurs les réunissant.

 

Un très bon concept, qui devrait peut-être sinon servir de modèle, devrait en tout cas inspirer à réflexion les nations européennes en mal d'identité ces derniers temps .... Il y aurait beaucoup a y prendre et apprendre ...

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Pour ce qui est du referendum écossais en ce moment :

 

Un autre sondage ce jour, après celui favorable à près de 52% au "OUI", donne de nouveau un léger avantage au camp du "NON".

Il serait intéressant d'avoir plus de précisions concernant les modalités d'enquêtes de ces sondages d’opinion.

Bref concernant ce dernier sondage, serait-ce là le syndrome de "la peur de la victoire" ?

 

 

En tous cas une chose établie :

 

1)- le camp du "NON" joue depuis le début sur les peurs, les menaces déguisées et sur le pessimisme/défaitisme ... Ce qui semble avoir été une grossière erreur, car il change de discours dans la dernière ligne droite face à la possible défaite en lançant des doux mots d'amour genre "Écosse, je vous aime". Et cela me rappelle quelqu'un bien de chez nous qui face aux mêmes problématiques de sondages au dessous "du niveau de la mer" lance des "j'ai toujours aimé les pauvres" .... CQFD

Bref, si ce changement de ton peut possiblement toucher une partie de l'électorat, il n'en reste pas moins que tout ceci sent sacrément un air de panique totale et un discours bien plus circonstancier que véritablement sincère ... Je ne pense pas que les écossaient (pour ou contre) en soient dupes ...

 

2)- le camp du "OUI" ont toujours joué eux sur l’espérance, la foi en l'avenir, agitant les couleurs d'un optimisme sans faille, et tout ceci dans un climat presque festif ... Et cela semble payer aujourd'hui. De plus avec les bons résultats du précédent sondage annonçant une avance significative du "OUI", les nombreux sympathisants plutôt discrets jusqu'à ce jour affichent dorénavant joyeusement leurs couleurs et donnent du carburant à la joyeuse dynamique ....

 

Bref, le scrutin risque d'être sacrément serré ....

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Les suisses en sont un bon exemple, trois langues officielles et dont, de plus, une germanique et deux latines.

 

Et pourtant le sentiment national d'appartenance à la même nation helvétique y est très fort, même si en interne il y peut y avoir parfois de petites tensions entre Cantons ... Mais le fait que ces même Cantons sont autonomes au sein de la Confédération permet à la fois de cultiver leurs différences culturelles spécifiques et autres, tout en jouant parfaitement collectif sur les points forts et supérieurs les réunissant.

 

Un très bon concept, qui devrait peut-être sinon servir de modèle, devrait en tout cas inspirer à réflexion les nations européennes en mal d'identité ces derniers temps .... Il y aurait beaucoup a y prendre et apprendre ...

 

Je ne suis pas sûr que le succès suisse à former une nation à la fois multilingue et unie soit facilement reproductible. Ni même qu'il y ait tant à en apprendre.

 

Tel que je le comprends, parmi ce qui aide à l'unité suisse :

 

- Une histoire longue de prospérité et de neutralité (près de deux siècles sans guerre à ce jour), donc une très forte légitimation par l'expérience et le succès passé : "notre modèle marche, nos voisins ne sont ni aussi stables, ni aussi prospères, ni aussi pacifiques, ni aussi indépendants que nous, du moins ils ne le sont pas en continu mais seulement dans leurs meilleures périodes"

 

- Le fait que les cantons germanophones, francophones ou italophones ne représenteraient qu'une faible partie de la population des grands voisins, s'ils choisissaient de les rejoindre, donc n'auraient pratiquement aucune influence dans l'ensemble ainsi formé. L'alternative du regroupement avec les gens dont on partage la langue supposerait par conséquent d'abandonner toute identité particulière et toute manière de faire spécifique. Ce qui ne contribue pas à la rendre attirante

 

- Sans oublier un fait géographique tout de même : unité du pays sur ce plan qui n'inclut certes pas toutes les Alpes, mais d'un autre côté n'inclut que des territoires montagneux alpins

 

Il n'y a pas grand chose de facilement reproductible là-dedans : une longue histoire de succès ne s'invente pas, beaucoup de régions à la langue différente de la majorité de leur pays... ont précisément celle du voisin (hungarophones en Roumanie ou Ukraine, Flamands en Belgique, etc.), et l'unité géographique ne s'invente pas

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