g4lly Posté(e) le 12 novembre 2017 Share Posté(e) le 12 novembre 2017 C'est bizarre que personne n'aborde le bilan énergétique super pourri de la filière hydrogène sans pétrole ... hors thermolyse nucléaire. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 12 novembre 2017 Share Posté(e) le 12 novembre 2017 Info qui date du début de la semaine mais importante pour la filière nucléaire Française et son intérêt sur le bilan carbone. http://www.enerzine.com/nucleaire-a-50-on-va-simplement-le-repositionner-dans-le-temps/23856-2017-11 Dans le même temps l'Allemagne se fait tirer les oreilles par une ONG sur son bilan carbone désastreux suite aux choix des centrales charbons. .. http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/energie-environnement/cop23-les-transitions-energetiques-contrastees-de-la-france-et-l-allemagne-757559.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Janmary Posté(e) le 12 novembre 2017 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 novembre 2017 Il y a 2 heures, g4lly a dit : C'est bizarre que personne n'aborde le bilan énergétique super pourri de la filière hydrogène sans pétrole ... hors thermolyse nucléaire. En effet g4lly. 1° - Le groupe CGE (Compagnie Générale d’Électricité) dans lequel j'ai travaillé avec la société Alcatel, à longtemps fait des recherches sur les piles à combustibles à Hydrogène. Rapporté au même rendement énergétique que les produits pétroliers, le souci est l'énorme volume nécessaire au stockage de hydrogène vis à vis du kg d'équivalence essence ou kérosène. Il y a plusieurs ouvrages qui parlent de ce sujet dans la littérature technique. Le 21/09/2017 à 14:03, herciv a dit : Une solution allemande de stockage par volant d'inertie. Plutôt intéressant mais on ne connaît pas les performances. 2° - Durant le second conflit mondial et les années qui ont suivies, la Suisse a mis au point des tramways électrique avec un volant à inertie. Le but - en ces périodes de disette électrique et de désapprovisionnement pétrolier - était que le volant qui restituait l’énergie accumulée après un lancement électrique afin d'éviter les caténaires. Cela à été diffusé dans la presse dont un numéro de Science-et-Vie que je dois toujours posséder. J'ignore les caractéristiques et ce qu'est devenu cette expérimentation. Le 10/11/2017 à 09:04, ARPA a dit : Pour les éolienne, il faut rajouter que même si on a reçu l'autorisation de la construire, l'armée peut a tout moment demander à ce qu'elle arrête de tourner. Je ne suis pas sur que ce soit très courant, mais c'est une menace qui doit suffire pour mettre une grosse inconnue dans un plan de rentabilité. 3° - D'autant que le rendement de l'éolienne n'est pas toujours satisfaisant et les couts du Kw/h rapporté au réseau est bien plus élevé que le Kw/h actuel facturé par EDF. Pourtant deux solutions technique ont les faveurs technique des énergéticiens. > La première sont les hydroliennes -pendant sous-marine des éoliennes - qui sont basés en partie sur les études réalisées par l'usine Marée-motrice de la Rance utilisant l’énergie des marées montantes et descendantes de la mer. Par la suite - pour combler les deux manques d'énergie entre ces deux flux marin, des bassins de rétention d'eau de mer furent créés avec remplissage / vidage pour que les alternateurs fonctionnent en mode continu. Les recherches vont bon train aux USA, GB, Japon et France ou des expérimentations ont déjà eu lieu. Situé non loin des côtes à même le fond, bénéficiant des flux marins (Gulf Steam) c'est l'une des solutions proposées. > La seconde est l'énergie géothermique avec des forages à très grande profondeurs utilisant les gradients thermique d'augmentation de température en fonction de la profondeur (si je ne dis pas de sottise, c'est 1 degré tout les 10 mètres) .Un puits recevrait l'eau froide de la surface et l'autre puits du même forage remontant l'eau à des températures égale a celle d'une centrale thermique pour alimenter une chaufferie d'une ville ou d'une centrale électrique à "eau chaude". Les couts des forages restant élevés mais pouvant être amortis sur une longue période d’après les économistes. Sujets passionnants avec quelques difficultés pour trouver des ouvrages techniques faisant le point précis et comparatif des solutions techniques. Je possède quelques ouvrages sur ce questions et je vais rechercher les titres. 3 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 12 novembre 2017 Share Posté(e) le 12 novembre 2017 (modifié) pour la geothermie profonde, on a les ancienne mines qui pourraient être reconverties, les températures atteignent facilement plus de 60°, voir 75 degré, ce qui oblige à ventiler pour leur exploitation. http://www.enerzine.com/uliliser-danciennes-mines-comme-moyen-de-chauffage/12053-2012-05 Modifié le 12 novembre 2017 par zx 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MrGland Posté(e) le 22 novembre 2017 Share Posté(e) le 22 novembre 2017 Une synthèse tout juste publiée de l'impact des énergies vertes sur la biodiversité: "How Green is ‘Green’ Energy?": http://www.cell.com/trends/ecology-evolution/abstract/S0169-5347(17)30238-0 Citation Renewable energy is an important piece of the puzzle in meeting growing energy demands and mitigating climate change, but the potentially adverse effects of such technologies are often overlooked. Given that climate and ecology are inextricably linked, assessing the effects of energy technologies requires one to consider their full suite of global environmental concerns. We review here the ecological impacts of three major types of renewable energy – hydro, solar, and wind energy – and highlight some strategies for mitigating their negative effects. All three types can have significant environmental consequences in certain contexts. Wind power has the fewest and most easily mitigated impacts; solar energy is comparably benign if designed and managed carefully. Hydropower clearly has the greatest risks, particularly in certain ecological and geographical settings. More research is needed to assess the environmental impacts of these ‘green’ energy technologies, given that all are rapidly expanding globally. En résumé, et en français: l'énergie hydroélectrique constitue une menace sévère sur les écosystèmes en fragmentant les rivières, en inondant des immenses espaces, en favorisant la mise en place de routes et lignes à haute tension au travers de zones naturelles, en perturbant les cycles géochimiques des rivières, etc. l'énergie solaire requiert de très grands espaces et un usage important d'eau, mais à part ça on connait mal ses effets sur les ecosystèmes l'héolien est responsable de nombreuses colisions aviaires, mais dans des proportions sans doute largement négligeables par rapport aux très nombreuses autres sources de mortalité aviaire imputable à l'action humaine 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 24 novembre 2017 Share Posté(e) le 24 novembre 2017 Bon c'est fait (enfin presque): http://mashable.com/2017/11/23/tesla-battery-powerpack-australia/#peA5CHwA3iqz Tesla a installe le centre de stockage électricité en Australie. L'installation devrait être opérationnelle d'ici début décembre. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 25 novembre 2017 Share Posté(e) le 25 novembre 2017 @seb24 Construction en avance sur les délais : https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/030921295963-tesla-gagne-son-pari-avec-la-construction-dune-mega-batterie-en-australie-2132790.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 25 novembre 2017 Share Posté(e) le 25 novembre 2017 (modifié) Le 24/11/2017 à 15:41, seb24 a dit : Bon c'est fait (enfin presque): http://mashable.com/2017/11/23/tesla-battery-powerpack-australia/#peA5CHwA3iqz Tesla a installe le centre de stockage électricité en Australie. L'installation devrait être opérationnelle d'ici début décembre. Parfait maintenant on va vraiment avoir le vrai prix du kwheure de la filière renouvelable. Il fut un temps j'avais conjecturer le triple de ce qu'il est affiché actuellement. Il ne faut pas oublier que le réseau doit aussi être beaucoup plus dense compte tenu de la dispersion des sites de production. Modifié le 25 novembre 2017 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 25 novembre 2017 Share Posté(e) le 25 novembre 2017 Il y a 4 heures, herciv a dit : Parfait maintenant on va vraiment avoir le vrai prix du kwheure de la filière renouvelable. Il fut un temps j'avais conjecturer le triple de ce qu'il est affiché actuellement. Il ne faut pas oublier que le réseau doit aussi être beaucoup plus dense compte tenu de la dispersion des sites de production. Je doute que ça augmente beaucoup pour être honnête. Le prix des batteries sont en forte baisse, leur performance en hausse. Idem pour les technos renouvelable (solaire et éolien) avec des coûts réels qui plongent. Il faut ajouter a cela le fait que ça va permettre d’éviter de perdre électricité non consommé, une partie au début et une part de plus en plus importante par la suite. Le seul problème ce sera de faire évoluer les technos de batteries suffisamment rapidement pour que ça soit soutenable. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 25 novembre 2017 Share Posté(e) le 25 novembre 2017 il y a une heure, seb24 a dit : Je doute que ça augmente beaucoup pour être honnête. Le prix des batteries sont en forte baisse, leur performance en hausse. Idem pour les technos renouvelable (solaire et éolien) avec des coûts réels qui plongent. Il faut ajouter a cela le fait que ça va permettre d’éviter de perdre électricité non consommé, une partie au début et une part de plus en plus importante par la suite. Le seul problème ce sera de faire évoluer les technos de batteries suffisamment rapidement pour que ça soit soutenable. Il y a cinq ans quand j'ai découvert enerzine je m'était amusé à calculer les coût d'exploitation comparé à partir des sources ouvertes disponible. A l'époque l'électron nucléaire coutaît deux fois moins cher que l'éolien tout simplement parce que l'un s'amortissait sur 6000 heures/an et l'autre sur 1000. et un sur 40 ans (voir 60 au US) et l'autre 20. De plus dans ton approche tu négliges complètement la dispersion des sites de productions dans le cas du renouvelable et donc le coût de raccordement au réseau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 26 novembre 2017 Share Posté(e) le 26 novembre 2017 Il y a 22 heures, herciv a dit : Il y a cinq ans quand j'ai découvert enerzine je m'était amusé à calculer les coût d'exploitation comparé à partir des sources ouvertes disponible. A l'époque l'électron nucléaire coûtait deux fois moins cher que l'éolien tout simplement parce que l'un s'amortissait sur 6000 heures/an et l'autre sur 1000. et un sur 40 ans (voir 60 au US) et l'autre 20. De plus dans ton approche tu négliges complètement la dispersion des sites de productions dans le cas du renouvelable et donc le coût de raccordement au réseau. J'ai pas fait de calcul du coup mon approche est relativement simpliste . Mais les coûts de raccordement ne devraient pas significativement évoluer dans le temps. Et en 5 ans pas mal de choses ont évolués. Tu as ce doc de 2016 qui est intéressant. C'est aux US mais ça marque la tendance générale: https://www.lazard.com/media/438038/levelized-cost-of-energy-v100.pdf Mon propos c'est simplement de dire qu'il y a une baisse forte des coûts sur l’éolien et sur les stockage par batteries. Et qu'il n'y pas de hausse de coûts a cote (peut être les coûts de préparation des projets ?). L’arrivée de centre de stockage va se faire au fil de l'eau et de manière progressive. Ça va permettre de supprimer tout ou en partie la problématique de intermittence et de la faible prévisibilité de cette source d’énergie (qu'il ont un coût également au passage). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 novembre 2017 Share Posté(e) le 26 novembre 2017 il y a une heure, seb24 a dit : J'ai pas fait de calcul du coup mon approche est relativement simpliste . Mais les coûts de raccordement ne devraient pas significativement évoluer dans le temps. Et en 5 ans pas mal de choses ont évolués. Tu as ce doc de 2016 qui est intéressant. C'est aux US mais ça marque la tendance générale: https://www.lazard.com/media/438038/levelized-cost-of-energy-v100.pdf Mon propos c'est simplement de dire qu'il y a une baisse forte des coûts sur l’éolien et sur les stockage par batteries. Et qu'il n'y pas de hausse de coûts a cote (peut être les coûts de préparation des projets ?). L’arrivée de centre de stockage va se faire au fil de l'eau et de manière progressive. Ça va permettre de supprimer tout ou en partie la problématique de intermittence et de la faible prévisibilité de cette source d’énergie (qu'il ont un coût également au passage). Ok bien sûr pour la problématique de l'intermittence, mais arrivera-t'on à un facteur de charge équivalent aux centrales nucléaires de 6000 heures/ans et des durées de vie de 40 à 60 ans ?. Les batteries quelque soit la techno ne sont pas connues pour leur durée de vie illimitée on est plutôt à la louche 4 à 5 ans. Sur la durée de vie d'une éolienne soit 20 ans il faudra en changer 4 à cinq fois. Tout de suite ton amortissement n'est plus le même. Enfin il y a aussi la problématique du foncier. Les meilleurs sites venteux sont tous utilisés en INSHORE tout ce qui viendra en INSHORE sera moins efficace sauf à faire des éoliennes géantes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 26 novembre 2017 Share Posté(e) le 26 novembre 2017 il y a 31 minutes, herciv a dit : Ok bien sûr pour la problématique de l'intermittence, mais arrivera-t'on à un facteur de charge équivalent aux centrales nucléaires de 6000 heures/ans et des durées de vie de 40 à 60 ans ?. Les batteries quelque soit la techno ne sont pas connues pour leur durée de vie illimitée on est plutôt à la louche 4 à 5 ans. Sur la durée de vie d'une éolienne soit 20 ans il faudra en changer 4 à cinq fois. Tout de suite ton amortissement n'est plus le même. Enfin il y a aussi la problématique du foncier. Les meilleurs sites venteux sont tous utilisés en INSHORE tout ce qui viendra en INSHORE sera moins efficace sauf à faire des éoliennes géantes. Les nouvelles batteries des voitures électriques sont garanties 8 ans. Et visiblement les batteries a état solide qui devrait arriver d'ici 5 ans pourraient avoir une durée de vie largement supérieure. Après ça rentre dans ce que j'avais évoqué (enfin il me semble): cette solution de stockage ne sera perenne que si cela s'accompagne d'une évolution dans la technologie des batterie telle qu'elle est annoncée (durée de vie plus importante, densité plus importantes, coûts plus faibles, matériaux de base moins problématiques, ...), sinon ça risque de tourner court. Après, mon point de vue ici, c'est que cela ne remplacera sûrement pas le nucléaire (Je pense qu'on aura toujours besoin en parc de quelques grosses centrales qui soient capable de produire beaucoup). Mais ça pourrait par contre permettre de se passer de toute (ou presque) les centrales au gaz/charbon/pétrole (En France au moins, en Allemagne ça risque d’être une autre paire de manche ). Si on arrive a avoir des centres de stockages suffisamment couillu on pourrait même envisager s'en servir associe aux centrales nucléaires. Car ces dernières ne sont pas forcement super flexible en terme de variation de production et si il y a trop de prod par rapport a la conso elles produisent pour rien. Donc pouvoir stocker une partie de ces pertes serait sûrement un avantage. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 26 novembre 2017 Share Posté(e) le 26 novembre 2017 il y a 23 minutes, seb24 a dit : Les nouvelles batteries des voitures électriques sont garanties 8 ans. Et visiblement les batteries a état solide qui devrait arriver d'ici 5 ans pourraient avoir une durée de vie largement supérieure. Après ça rentre dans ce que j'avais évoqué (enfin il me semble): cette solution de stockage ne sera perenne que si cela s'accompagne d'une évolution dans la technologie des batterie telle qu'elle est annoncée (durée de vie plus importante, densité plus importantes, coûts plus faibles, matériaux de base moins problématiques, ...), sinon ça risque de tourner court. Après, mon point de vue ici, c'est que cela ne remplacera sûrement pas le nucléaire (Je pense qu'on aura toujours besoin en parc de quelques grosses centrales qui soient capable de produire beaucoup). Mais ça pourrait par contre permettre de se passer de toute (ou presque) les centrales au gaz/charbon/pétrole (En France au moins, en Allemagne ça risque d’être une autre paire de manche ). Si on arrive a avoir des centres de stockages suffisamment couillu on pourrait même envisager s'en servir associe aux centrales nucléaires. Car ces dernières ne sont pas forcement super flexible en terme de variation de production et si il y a trop de prod par rapport a la conso elles produisent pour rien. Donc pouvoir stocker une partie de ces pertes serait sûrement un avantage. Sur la flexibilité des centrales je me souviens avoir vu des rapports de la RTE où il était indiqué qu'elles pouvait assurer en quelques heures une variation de production du simple au quintuple ou l'inverse. Par contre là ou je te suis c'est sur le besoin de remplacer le fossile. J'espère par contre qu'elle ne vont pas servir au allemand comme alibi à leur propre turpitudes énergétiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 26 novembre 2017 Share Posté(e) le 26 novembre 2017 (modifié) Mouais, le stockage de plusieurs gigawattheures par batteries et les quelques milliers de milliards d'euros d'investissement qu'elles nécessiterons, je demande encore à les voir hors installations pilotes dans des trous perdus sans autres options. Modifié le 26 novembre 2017 par Shorr kan 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 27 novembre 2017 Share Posté(e) le 27 novembre 2017 Il y a 10 heures, herciv a dit : J'espère par contre qu'elle ne vont pas servir au allemand comme alibi à leur propre turpitudes énergétiques. Ils n'ont pas trop le choix de toute façon. Mais au vu de la taille de la problématique chez eux ça risque d’être difficile. Pour l'instant je vois plus la techno comme du complémentaire qui se marie bien avec l’éolien par exemple mais ça fait pas encore de miracles. Il y a 10 heures, herciv a dit : Sur la flexibilité des centrales je me souviens avoir vu des rapports de la RTE où il était indiqué qu'elles pouvait assurer en quelques heures une variation de production du simple au quintuple ou l'inverse. Oui j'avais lu aussi cela. Contrairement a ce que l'on pensait les centrales au Charbon/Gaz/Fuel ne sont pas super flexible et doivent souvent continuer a produire a perte et ne peuvent pas s’arrêter et démarrer si facilement. Et a contrario les nucléaires auraient au final une certaine flexibilité. Après c’était un gars d'EDF qui parlait du coup y'a peu être certaines contraintes dont il n'a pas parle. Il y a 10 heures, Shorr kan a dit : Mouais, le stockage de plusieurs gigawattheures par batteries et les quelques milliers de milliards d'euros d'investissement qu'elles nécessiterons, je demande encore à les voir hors installations pilotes dans des trous perdus sans autres options. Peut être dans 10 ou 15 ans ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 27 novembre 2017 Share Posté(e) le 27 novembre 2017 (modifié) Je ne connaissais pas cette capacité des plasmas "froid" http://www.futura-sciences.com/sciences/actualites/exploration-martienne-mars-on-trouve-y-produire-oxygene-68988/ Ça pourrait être une bonne solution sur Terre aussi, coupler aux énergies renouvelables. Apparemment le rendement est bien plus élevé que pour l'électrolyse classique. Modifié le 29 novembre 2017 par Conan le Barbare 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 décembre 2017 Share Posté(e) le 4 décembre 2017 @seb24 voilà qui te donne raison. https://www.generation-nt.com/batteries-sodium-ion-production-masse-2020-actualite-1948561.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 5 décembre 2017 Share Posté(e) le 5 décembre 2017 Il y a 13 heures, herciv a dit : @seb24 voilà qui te donne raison. https://www.generation-nt.com/batteries-sodium-ion-production-masse-2020-actualite-1948561.html Tu en doutes encore ? J'ai toujours raison L'article semble par contre incomplet. Sauf si ils ont réussi améliorer les choses, le soucis actuel des batteries Sodium c'est qu'elles ont une densité énergétique plus faible que le Li-ion (2 fois moins si mes souvenir sont bons). C'est une bonne solution du coup pour du stockage ça le sera sûrement moins pour des batteries de mobiles et pour des voitures électriques. Mais si les faibles coûts sont la (il faudrait savoir dans quelle mesure c'est moins cher) cela pourrait pousser la techno. Content en tout cas qu'ils avancent sur l'industrialisation de leur solution. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 5 décembre 2017 Share Posté(e) le 5 décembre 2017 Pour compléter ici : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/4325.htm On parle donc de 90Wh/kg. Les Ion actuelle doivent tourner autour des 200Wh/kg. Et pour la mobilité c'est donc pas idéal. Par contre la grosse durée de vie, les recharge/décharge rapides, l'absence de risque d'inflammabilité, seraient une bonne base pour du stockage d’énergie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
seb24 Posté(e) le 5 décembre 2017 Share Posté(e) le 5 décembre 2017 Sinon je viens de tomber sur ça: https://theconversation.com/yes-sas-battery-is-a-massive-battery-but-it-can-do-much-more-besides-88480 Intéressant a lire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 décembre 2017 Share Posté(e) le 7 décembre 2017 La conf' complete https://www.youtube.com/watch?v=QTb8aVlihwQ 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 21 décembre 2017 Share Posté(e) le 21 décembre 2017 Un sujet intéressant sur la filière du gaz renouvelable. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/la-france-peut-evoluer-vers-l-independance-gaziere-762462.html 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Benoitleg Posté(e) le 13 février 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 février 2018 (modifié) Travaux sur les nouvelles matières premières Microalgues: les coulisses d’une révolution, 09.02.2018, Elizabeth Jacquinot Les microalgues représenteraient une alternative au pétrole, une source de protéines alimentaires, tout en recyclant du dioxyde de carbone. Mais comment les exploiter à l’échelle industrielle et optimiser l’extraction de leurs précieux composés ? Inaugurée en 2015 à Saint-Nazaire, la plateforme AlgoSolis, de l’université de Nantes et du CNRS, tente de répondre à ce défi dans la continuité de recherches menées depuis plus de vingt-cinq ans au laboratoire de Génie des procédés, environnement et agroalimentaire (Gepea). https://lejournal.cnrs.fr/diaporamas/microalgues-les-coulisses-dune-revolution La découverte d'une nouvelle enzyme de champignons ouvre la voie à l'innovation en bioraffinerie, Paris, 30 janvier 2018. Les parois des cellules des végétaux sont constituées d'une matière appelée lignocellulose qui focalise les recherches dans la filière des biocarburants et de la chimie verte depuis une dizaine d'années. Cette matière première, abondante dans les déchets végétaux, est cependant très résistante à la dégradation enzymatique, et ceci rend la production de biocarburants trop coûteuse pour l'instant. Des chercheurs de l'Inra et du CNRS ont découvert une nouvelle famille d'enzymes produite par des champignons dégradeurs de bois et capable de faciliter la dégradation du xylane, un polysaccharide particulièrement récalcitrant des parois végétales. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Chemical Biology, le 29 janvier 2018. http://www2.cnrs.fr/presse/communique/5415.htm Autoconsommation électrique L’essor des circuits courts énergétiques, 29.01.2018, Laure Cailloce Que ce soit à l’échelle d'un bâtiment, d’un quartier ou d’une ville, il est désormais possible d'autoconsommer l’électricité produite localement grâce au renouvelable. Le point sur les dernières avancées techniques et législatives, à l’occasion du colloque Énergie qui se déroule lundi 29 janvier au siège du CNRS. https://lejournal.cnrs.fr/articles/lessor-des-circuits-courts-energetiques Modifié le 13 février 2018 par Benoitleg 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 5 mars 2018 Share Posté(e) le 5 mars 2018 L'Iran se lance dans le solaire, la société italienne Carlo Maresca à contrut une centrale de 10 MW et va en construire une autre de 100 MW pour 100 millions de dollars dans la zone économique spéciale de Garmsar dans un délai de 15 mois. http://french.china.org.cn/foreign/txt/2018-03/05/content_50653697.htm 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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