loki Posté(e) le 2 septembre 2011 Share Posté(e) le 2 septembre 2011 l'opération sera moins simple car des pays extérieurs ( l'Iran, la Russie , etc ) voudrons pas qu'on viennent sur leurs plate-bandes. çà promet ! Tu peux me citer les pays partant pour une opération en Syrie ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
maminowski Posté(e) le 2 septembre 2011 Auteur Share Posté(e) le 2 septembre 2011 Non mais je pense à différents présidents et chefs de gouvernement qui ont peur de gicler lors de prochaines élections qui pourraient être tentés de la jouer Blocus et Air Power pour "attritionner" peu à peu l'armée syrienne et achever le travail 10 ans plus tard par une attaque au sol.Bien sûr c'est immoral et c'est risqué Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 2 septembre 2011 Share Posté(e) le 2 septembre 2011 "Attritionner" la Syrie est impossible : le pays n'est pas isolé diplomatiquement et une résolution du CDS est du domaine du rêve donc un blocus idemEn fait et depuis que la Syrie a un parrainage iranien, elle a pu accéder ( en quantités limités ) de nouveau à des matériels ultra-modernes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
schweizerluftwaffe Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 Tu peux me citer les pays partant pour une opération en Syrie ? Tout est dit! Personne ne veut intervenir "ouvertement" en Syrie, n'en a les moyens réels (je ne parle pas de moyens opérationnels, mais globaux.) et surtout l'intérêt. A date, "gentilles" démocraties et "méchantes" dictatures ne souhaitent qu'une chose: qu'il cesse ou finisse rapidement le massacre pour pouvoir passer à autre chose (un peu comme le yemen qui a disparu des radars de la presse alors que rien n'est fini). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
slider69 Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 Tu peux me citer les pays partant pour une opération en Syrie ? déjà des pressions au niveau de L'Onu. il me semble que l'union Européenne commence des opérations de rétortion . c'est un bon début même si rien n'est simple. avant d'aller en Libye on a commencé par les pressions diplomatiques et onu. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 déjà des pressions au niveau de L'Onu. il me semble que l'union Européenne commence des opérations de rétortion . c'est un bon début même si rien n'est simple. avant d'aller en Libye on a commencé par les pressions diplomatiques et onu. Où sont les pressions de l'ONU en Syrie?????? Ca ne veut absolument rien dire, l'Iran, la CdN, le Zimbabwe et j'en passe se traînent des "pressions diplomatiques" depuis des décennies sans que des actions militaires d'envergures ne suivent. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
slider69 Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 peut être un début de réaction internationale :http://www.romandie.com/news/n/_Syrie_l_embargo_europeen_aura_un_impact_direct_sur_le_regime030920111609.asple principe des pressions internationales et de créer une contrainte. le message est double. le régime tout d'abord qui s'en être pris par la gorge sentira le vent tourner ( c'est une étape ) et puis également pour les gens qui meurent de ce petit dictateur et qui voit que l'Europe est de leur coté...c'est un travail long , mais qui portera ses fruits.pour rester sur le titre du sujet. il n'est pas nécessaire d'attaquer, alors que les pressions extérieurs et intérieurs ( il est grillé là bas le père Assad). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 peut être un début de réaction internationale : http://www.romandie.com/news/n/_Syrie_l_embargo_europeen_aura_un_impact_direct_sur_le_regime030920111609.asp le principe des pressions internationales et de créer une contrainte. le message est double. le régime tout d'abord qui s'en être pris par la gorge sentira le vent tourner ( c'est une étape ) et puis également pour les gens qui meurent de ce petit dictateur et qui voit que l'Europe est de leur coté...c'est un travail long , mais qui portera ses fruits. pour rester sur le titre du sujet. il n'est pas nécessaire d'attaquer, alors que les pressions extérieurs et intérieurs ( il est grillé là bas le père Assad). Sur l'avenir politique d'Assad on se rejoint, surtout depuis que l'Iran l'a lâché. Par contre pour ce qui est des "pressions internationales" je reste dubitatif. Elles n'auront d'utilité que d'apaiser la morale européenne puisque la Chine remplacera volontiers les européens sur le marché des hydrocarbures syriens par exemple. Ce travail "long" n'a pas porté ses fruits en Iran depuis 30 ans, ni au Cuba depuis 49 ans pour ne donner que les plus vieux exemples. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
slider69 Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 il faut peut être qu'on s'habitue à un processus qui ne passe pas immédiatement par la force brute. je pense avec le recul que la méthode de Sarkozy et des anglais à été la bonne. 1/ fixer une base de l'onu pour montrer aux peuples arabes que nous les soutenons quand ils sont assassiner par leurs petits dictateurs.2/ réaliser un groupe de l'intérieur à l'image du CNT Libyens3/ aider ce groupe de manière direct à renverser de l'intérieur le "monarque" je crois que l'Iran craint cette solution car là, il sera désarmé ! il n'avait pas envisager que le peuple libyens soit le meilleur fer de lance contre l'actuel dictature.où je m'inquiète c'est pour nos forces au Liban. Assad va vouloir marquer des points sur Sarkozy. et là j'y voit un danger. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 il faut peut être qu'on s'habitue à un processus qui ne passe pas immédiatement par la force brute. je pense avec le recul que la méthode de Sarkozy et des anglais à été la bonne. 1/ fixer une base de l'onu pour montrer aux peuples arabes que nous les soutenons quand ils sont assassiner par leurs petits dictateurs. Cela suppose l'appui (ou du moins l'abstention) chinoise et russe, ce qui après l'épisode libyenne ne semble plus acquis. Quant au soutien aux peuples arabes, c'est à géométrie variable visiblement, les Libyens et Syriens peuvent se soulever contre leur dictateur mais pas les bahreinis qui peuvent se faire massacrer par les troupes de leur dictateur (mercenaires qui plus est) et celles de l'AS.... 2/ réaliser un groupe de l'intérieur à l'image du CNT Libyens Cela suppose que le dit groupe de l'intérieur souhaite une aide étrangère, ce n'est ni le cas en Syrie ni en Iran. 3/ aider ce groupe de manière direct à renverser de l'intérieur le "monarque" je crois que l'Iran craint cette solution car là, il sera désarmé ! il n'avait pas envisager que le peuple libyens soit le meilleur fer de lance contre l'actuel dictature. Pas vraiment, les iraniens ont assez souffert d'ingérences étrangères, un groupe qui serait soutenu/armé par des puissances étrangères signerait son arrêt de mort. Il faudra faire attention de ne pas généraliser le cas exceptionnel libyens. La chance de voir les conditions de renversement de Khadafi (Résolution onusienne, feu vert chinois et russe, mobilisation internationale, groupe intérieur souhaitant une aide étrangère, armée très faible, combats localisés, manque de moyen de rétorsion...) se réunir est très mince. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tactac Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 Cela suppose que le dit groupe de l'intérieur souhaite une aide étrangère, ce n'est ni le cas en Syrie ni en Iran. Bien sur ... l'opposition iranienne n'est pas financée ou aidée par Washington. Ton assertion va à l'encontre de tout ce qui est rapporté sur cette opposition. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 3 septembre 2011 Share Posté(e) le 3 septembre 2011 Bien sur ... l'opposition iranienne n'est pas financée ou aidée par Washington. Ton assertion va à l'encontre de tout ce qui est rapporté sur cette opposition. J'ai bien dit "groupe de l'intérieur" c'est à dire l'opposition qui peut réellement avoir un poids comme les réformateurs. Ils rechignent à demander l'aide de Washington, je ne parle évidement pas de ces partis "d'opposition" qui ne vivent que par perfusion de subside américaine sans avoir un poids en Iran comme les monarchistes, tudeh ou MKI... En 2009 lorsque le régime a lâché ses sbires sur les manifestants, ils n'ont pas demandé l'aide de Londres/Paris/Washington par exemple (d'ailleurs ils se serraient bien passé du soutien de BHL pour des raisons intellectuelles :lol: ). Mais si tu as l'impression qu'on peut s'appuyer sur un CNT like en Iran ou en Syrie sur qui on peut s'appuyer, je t'en prie, donnes nous des noms... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
slider69 Posté(e) le 5 septembre 2011 Share Posté(e) le 5 septembre 2011 je pense qu'avec la Syrie il n'y a pas lieu de s'affoler. l'important reste la dynamique !Assad grille ses "cartouches" sur le plan National , comme International. c'est un début.mais l'essentiel de la chute du dictateur ne pourra être que le fait d'un groupe intérieur soutenu comme entité de substitution au régime actuel.ce système me semble produire deux avantages.1/ parler avec le peuple Syrien directement2/ amener Assad sur la touche en le mettant au 2eme plan (une forme d'humiliation).le temps fera son travail en Syrie comme ailleurs et depuis la Tunisie qui aurait dit qu'un gars qui voulait vendre ses légumes en Tunisie et qui c'est immolé par la suite est devenu l'initiateur d'une révolution latente. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 12 septembre 2011 Share Posté(e) le 12 septembre 2011 La Russie intéressée au maintien du régime de Damas Par Andreï Mourtazine, pour RIA Novosti Aujourd’hui, Moscou fait tout pour empêcher la situation en Syrie d’évoluer selon le scénario libyen. Sur ordre du président russe Dmitri Medvedev, les représentants officiels s’entretiennent avec les envoyés de l’opposition syrienne et du président Bachar al-Assad, en incitant les deux camps à s'asseoir à la table des négociations. "Nous pensons que le mandat découlant de la résolution 1973 sur la Libye a été outrepassé. Et nous ne voulons pas que cela se reproduise à l’égard de la Syrie. Nous constatons certes une utilisation disproportionnée de la force et un grand nombre de victimes, et cela nous indigne également. J’en ai parlé à plusieurs reprises pendant mes entretiens privés avec le président Bachar al-Assad", a déclaré jeudi Dmitri Medvedev dans une interview sur la chaîne Euronews. Selon le président russe, la position de Moscou a été exposée au président syrien par le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov, qui s’est récemment rendu à Damas. La Syrie répondra probablement par la voix de la conseillère politique et médiatique du président syrien Boutheina Chaabane, qui se rendra prochainement à Moscou. Pour l’instant, la Russie bloque l’adoption par le Conseil de sécurité des Nations Unies d’une résolution sur la Syrie, soutenue avec insistance par l’Occident. Une question se pose : pourquoi Moscou d’efforce-t-il de sauver un régime arabe fragilisé et si impopulaire dans d’autres pays? Depuis le renversement de Mouammar Kadhafi, la Russie n’a plus qu’un seul allié au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Il s’agit du président syrien Bachar al-Assad. Les relations russo-syriennes ont une longue histoire. Ces relations étaient particulièrement étroites dans les années 70 et la première moitié des années 80, à l’époque de la confrontation globale entre l’URSS et les USA. Mais à l’époque elles se basaient plus sur l’idéologie que sur l’économie. L’Union soviétique a salué l’arrivée au pouvoir du parti socialiste de la renaissance arabe (Baas) en Syrie en 1963, en armant généreusement l’armée syrienne, et elle formait ses militaires et développait la coopération commerciale et économique avec Hafez al-Assad, père du président en exercice. En 1967, lorsqu’après la guerre des Six jours, Israël a occupé le plateau du Golan, le soutien politique et l’aide financière étaient très importants pour Damas durant les années suivantes. Tout a changé à la fin des années 80-début des années 90. A l’époque, la Syrie ne faisait plus partie des priorités de la politique étrangère de l’URSS, puis de la Russie de Boris Eltsine. Moscou a renoncé à la confrontation globale avec Washington et a rétabli les relations diplomatiques avec Tel-Aviv en 1991. Ce que Damas a perçu comme une trahison des intérêts des peuples arabes et une conspiration du sionisme mondial. La Syrie et d’autres pays arabes, y compris la Libye, ont refusé de rembourser au gouvernement de Egor Gaïdar (premier ministre russe en juin-décembre 1992) les dettes dues à l’ex-URSS. Les relations russo-syriennes ont connu un gel qui a duré 15 ans. La glace a commencé à fondre seulement en janvier 2005, lors de la première visite de Bachar al-Assad à Moscou. Le président de l’époque Vladimir Poutine a annulé une partie de la dette syrienne à hauteur de 9,8 milliards de dollars (73% de la dette de Damas envers l’URSS) en échange de garanties de nouvelles commandes d’armements russes. Le président Medvedev et le premier ministre Vladimir Poutine ont déjà déclaré à plusieurs reprises que dans le choix des priorités en termes de politique étrangère Moscou ne se guidait pas sur l’idéologie, mais sur le pragmatisme, autrement dit les intérêts économiques et politiques. L’avantage obtenu grâce à Bachar al-Assad est évident : a préservation de l’équilibre stratégique des forces dans la région; la seule base militaire navale dans la ville méditerranéenne de Tartous; le silence et le calme sur la frontière israélo-syrienne. De plus, les nouveaux contrats russes, et pas seulement militaires. Les spécialistes purement civils (entreprises pétrolières, gazières et commerciales) témoignent également de l’intérêt pour la Syrie. Et bien que le volume du commerce russo-syrien soit relativement faible (environ 1 milliard de dollars par an selon les estimations de 2009), Moscou pourrait le perdre également. L’opposition interne et externe du régime syrien est très diversifiée, et on ignore qui remplacera Al-Assad en Syrie. Très probablement il pourrait s’agir des Frères musulmans. Dans ce cas, le pays pourrait être le théâtre d'une guerre civile lourde de conséquences pour tous, et avant tout pour les Syriens. Mais même si les libéraux occidentaux, appuyés par la France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, s’emparaient du pouvoir, les contrats économiques seraient certainement transmis aux compagnies occidentales. L’armement russe serait remplacé par les armes américaines et françaises, comme c’est arrivé en Egypte près de 40 ans auparavant. En d’autres termes, en "trahissant" al-Assad, la Russie ne gagnerait rien ou pratiquement rien. Par contre l’Occident, en offrant le pouvoir à une opposition qui lui serait fidèle, pourrait obtenir un avant-poste contre l’Iran, sans compter la liberté d’action sur le marché syrien. Toutefois, cela pourrait conduire à une situation similaire à celle de l'Irak ou de la Libye, mais sans le pétrole. L’opinion de l’auteur ne coïncide pas forcément avec la position de la rédaction http://fr.rian.ru/discussion/20110912/191028423.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
debonneguerre Posté(e) le 12 septembre 2011 Share Posté(e) le 12 septembre 2011 On est vraiment dans une époque ou toutes ces histoires de protectorat politique ne sont orientées que par des calculs de pur business.Et finalement ce qui a gonflé les russes avec la lybie, c'est qu'un client potentiel avec du cash (petrodollar) leur a filé sous le nez!Même si on voit des AK100 plein les rues de tripoli.. achetés par les francais et les anglais :lol: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 15 septembre 2011 Share Posté(e) le 15 septembre 2011 http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/15/97001-20110915FILWWW00679-les-americains-appeles-a-quitter-la-syrie.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 2 octobre 2011 Share Posté(e) le 2 octobre 2011 Comme prévu l'attaque vient de l'intérieur et s'appuie sur une partie de l'armée réfractaire aux ordres du pouvoir. Syrie : l'opposition prend les armes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 il falllait s'y attendre, la syrie n'est pas la libyehttp://www.lefigaro.fr/international/2011/10/05/01003-20111005ARTFIG00389-pekin-et-moscou-torpillent-une-resolution-sur-la-syrie-a-l-onu.phpla seule solution et d'armer les opposants via les lords of the war. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 Plus de 10.000 soldats ont déserté l'armée syrienne et s'opposent aux forces fidèles au président Bachar el-Assad, a déclaré ce mardi un colonel qui a gagné la province d'Hatay, dans le sud de la Turquie où des milliers de Syriens ont trouvé refuge. Ancien membre de l'armée de l'Air, âgé de 50 ans, le colonel Riad al Asaad est le plus haut gradé de l'appareil militaire syrien à avoir fait défection depuis le début de la répression des manifestations antigouvernementales, il y a six mois. Le colonel Riad al Asaad a pris la tête de l'Armée syrienne libre et a rendu hommage aux autorités turques pour la protection et la sécurité qu'elles lui accordent. «Les responsables turcs pourvoient à tous mes besoins», a-t-il dit. La présence du colonel Asaad en Turquie risque de détériorer un peu plus les relations entre Ankara et les autorités syriennes. Le Premier ministre turc, Tayyip Erdogan, a prévu de se rendre prochainement à Hatay et pourrait annoncer à cette occasion des sanctions contre son ancien partenaire syrien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 autre info Le président syrien Bachar el-Assad promet de tirer des "centaines de missiles" sur le territoire israélien si l'Otan attaque son pays, rapporte mercredi l'agence d'information iranienne Fars. "Il ne me faudra que six heures pour transférer des centaines de missiles et d'obus sur les hauteurs du Golan et les tirer sur Tel-Aviv", a déclaré le leader syrien au cours d'une rencontre avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. L'armée turque doit entamer ce mercredi des manoeuvres dans la province de Hatay (sud, frontalière de la Syrie), où plus de 7.000 Syriens fuyant la répression des manifestations antigouvernementales ont trouvé refuge depuis six mois, a annoncé l'état-major des armées. Ces exercices de "mobilisation" prévus à l'avance, se poursuivront jusqu'au 13 octobre dans la localité d'Iskenderun. (Guysen.International.News) Plusieurs blindés syriens ont franchi mardi la frontière orientale libanaise dans le secteur de la Bekaa, à proximité de la ville d'Aarsal, selon des témoins locaux. Les chars syriens ont tiré plusieurs rafales contre une usine produisant des batteries dans laquelle se seraient réfugiés des opposants au régime de Bachar el Assad. L'unité blindée a ensuite rebroussé chemin et est retournée en territoire syrien. Les autorités libanaises n'ont pas encore réagi à la violation de leur frontière. (Guysen.International.News) ça sent la poudre source : http://opexnews.over-blog.com/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 Une attaque syrienne contre Israël ? Ca permettrait de régler pas mal de problèmes d'un coup finalement.- Israël pourrait envoyer c**er Abbas et les Indignés locaux, et se refaire un semblant d'unité nationale en cassant du méchant Baasiste- les Egyptiens devraient fatalement décider quelque chose et se sortir d'une situation intérieure aussi stagnante qu'une flaque d'eau remplie de moustiques- les Turcs pourraient y gagner leurs galons de super-puissance régionale en s'interposant entre les deux belligérants- les djihadistes locaux se concentreraient sur place, ce qui éviterait à l'OTAN de les croiser en KapisaEt accessoirement, on ne parlerait plus de crise économique. ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 Le président syrien Bachar el-Assad promet de tirer des "centaines de missiles" sur le territoire israélien si l'Otan attaque son pays, rapporte mercredi l'agence d'information iranienne Fars. "Il ne me faudra que six heures pour transférer des centaines de missiles et d'obus sur les hauteurs du Golan et les tirer sur Tel-Aviv", a déclaré le leader syrien au cours d'une rencontre avec le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. Alors là, je ne comprend rien? Bachar menace de frapper Simon par des missiles si Jack et Paul me frappent alors que Simon n'est strictement pour rien dans les soucis de Bachar et n'a jamais aucun intention de servir de base arrière aux avions de Jack et Paul. En plus Simon peut vitrifier les armées de Bachar, pas très futé ce Bachar... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Joab Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 Bachar menace de frapper Simon par des missiles si Jack et Paul me frappent alors que Simon n'est strictement pour rien dans les soucis de Bachar et n'a jamais aucun intention de servir de base arrière aux avions de Jack et Paul.Sauf que taper Shimon, ca rend populaire aupres de tous les Abdallah de la planete. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vietlord Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 En 2009 lorsque le régime a lâché ses sbires sur les manifestants, ils n'ont pas demandé l'aide de Londres/Paris/Washington par exemple (d'ailleurs ils se serraient bien passé du soutien de BHL pour des raisons intellectuelles :lol: ). Si BHL dit qu'il soutient Assad, ca le fera ptet réfléchir non ? la vraie arme française ! (et conforme aux baisses budgetaires!) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 5 octobre 2011 Share Posté(e) le 5 octobre 2011 c'est clair, il fera le plus de bazar possible autour de la syrie, sauf les b1,b52,b2,tomahawk feront vite fait le ménage coté syrien. puis arrivera la seconde couche des européens pour finir le reste.Plus sérieusement, c'est ce que vont faire les turques dans le jeu, ils font plein d'exercices à la frontière, depuis le printemps arabe, ca roule pas mal pour eux ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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