Guerre civile en Syrie

[alexandreVBCI]

Total, un des principaux producteurs étrangers de pétrole en Syrie, a indiqué ne plus être payé par le gouvernement syrien, frappé depuis plus de deux mois par un embargo européen sur son pétrole en raison de la répression des manifestations.

La Turquie pourrait réviser ses livraisons d'électricité à la Syrie voisine si le climat actuel persiste entre les deux pays, anciens alliés régionaux, a déclaré mardi le ministre de l'Energie, Taner Yildiz. "Nous fournissons actuellement de l'électricité" à la Syrie. "Si cette situation persiste, nous serons amenés à réviser toutes ces décisions", a-t-il dit, cité par l'agence de presse Anatolie, en allusion aux récentes attaques des missions diplomatiques turques en Syrie par des manifestants pro-gouvernementaux.

Allez-y coupez leur le gaz, le pétrole, l'électricité.... et n'oubliez pas l'eau aussi !  :lol:

[loki]

Quelque chose me dit que c'est la population qui trinquera et pas la famille Al Assad......

[Drakene]

Quelque chose me dit que c'est la population qui trinquera et pas la famille Al Assad......

Effet domino  ;)

Dans le JT de canal+ y montraient des chars de l'armée syrienne en feu, des déserteurs qui retournent leurs armes contre l'armée d'après ce qu'il est dit.

[alexandreVBCI]

En effet, des déserteurs ont attaqués des patrouilles militaires :

BEYROUTH (Reuters) - Soixante-neuf personnes ont été tuées lundi dans la province syrienne méridionale de Deraa, la plupart dans des accrochages entre déserteurs et forces de sécurité, a déclaré mardi l'Organisation syrienne pour les droits de l'homme. Celle-ci a précisé que 34 soldats et membres des forces de sécurité avaient péri dans des embuscades tendues par des déserteurs à des patrouilles de l'armée dans la région. Des images diffusées par la chaîne Al Djazira montrent ce qui semble être un char en flammes, aux côtés d'autres véhicules incendiés. Au moins douze déserteurs ont également trouvé la mort, ajoute l'Observatoire basé en Grande-Bretagne, et 23 autres personnes ont été tuées par des tirs en provenance des points de contrôle des forces de sécurité dans des villages.

ANKARA, Turkey (AP) - Le ministre de l'Energie Taner Yildiz a annoncé mardi que la Turquie était revenue sur les projets de la compagnie pétrolière TPAO de mener des opérations conjointes de prospection avec la compagnie publique syrienne dans six puits. Il a également menacé de revoir les approvisionnements en électricité vers le territoire syrien si les tensions se poursuivaient. Ankara n'a plus confiance dans le régime syrien, a déclaré mardi M. Erdogan.

Le Conseil de sécurité a "condamné dans les termes les plus fermes" mardi les attaques perpétrées contre plusieurs ambassades et services consulaires en Syrie. La suspension de la Syrie de la Ligue arabe entrera en vigueur demain, 16 novembre.

Les autorités syriennes ont libéré mardi plus de 1.100 détenus "impliqués" dans le mouvement de contestation du régime du président Bachar al-Assad, a indiqué la télévision publique. Selon la télévision, "1.180 détenus, impliqués dans les évènements en Syrie et qui n'ont pas de sang sur les mains, ont été libérés aujourd'hui".

[Ciders]

Le char en question (du moins, celui que j'ai vu sur France 2) semblait être un BMP-1, semblable à ceux utilisés par l'armée syrienne pour patrouiller dans les villes insurgées. Son canon de 73 mm peut faire très mal en zone urbaine, mais son blindage n'est pas équivalent à celui d'un char de bataille classique. Il doit être prenable au RPG, et avec un cocktail Molotov ça doit aussi faire du vilain.

[alexandreVBCI]

Avant c'était l'armée qui attaquait les déserteurs, maintenant c'est les déserteurs qui attaquent l'armée... on fait des progrès ! 

:lol:

Le régime peut-il tenir encore espérer reprendre le contrôle du pays ou la situation est-elle allée trop loin pour ne pas finir par la chûte de Bachar al-Assad ?  votre avis ?

[Ciders]

Ca sent quand même mauvais pour Bachar. Le phénomène de désertion commençait à faire tâche, mais là on en arrive à des attaques concertées contre des unités loyalistes. A des unités qui désertent quasiment avec tous leurs effectifs et une partie de leur armement. Et qui pourront, au rythme où ça va, qui pourront sans doute trouver de plus en plus de soutien, en Syrie mais aussi peut-être à l'étranger.

Et si un officier de haut rang un peu charismatique devait se révéler ouvertement et rassembler autour de lui ces forces, ça pourrait faire très très mal.

[alexandreVBCI]

BEYROUTH (AP) — Des déserteurs de l'armée ont affirmé avoir lancé plusieurs attaques mercredi contre des bases militaires près de Damas, dont une structure des services de renseignements.

Dans son communiqué, l'Armée Syrienne libre précise que sa principale offensive à l'aube a visé un complexe dirigé par les renseignements de l'armée de l'air, à Harasta, dans la banlieue de Damas. Les autres attaques étaient dirigées contre des points de contrôle militaires dans les banlieues de Damas, Douma, Qaboun et Arabeen et Saqba.

Une figure de l'opposition, qui a souhaité rester anonyme, a confirmé que l'attaque à Harasta a été organisée par des déserteurs qui, répartis en trois groupes, ont attaqué le complexe avec des armes automatiques et des grenades.

[Mani]

Il n'y a rien d'intéressant là-bas et puis c'est une région poudrière avec des pays intégristes comme l'Iran, le Liban (hezbollah), gaza (hamas), ... sans parler du basculement de la Turquie vers une république islamique progressivement sous le couvert de la démocratie.

Quelles seraient la réaction des peuples arabo-musulmans ? Encore une intervention occidentale (Irak, Afghanistan sans parler des frappes des drones américains au Pakistan) !

[Mani]

[Mode Whisky = On]

Des fois j'ai l'impression que nous sommes une bande de racailles, quand une cible est potable on se rue pour aller piller un coup, quand une cible est à la limite d'apportable on fait venir deux trois copains plus la famille et on va quant même aller piller un coup, quand la cible est trop fort pour nous on n'ose même pas lancer un pet, au mieux on s'écarte de 300m en murmurant des choses sans importance avec un doigt d'honneur caché derrière le dos...

Franchement c'est la misère.

[Mode Whisky = Off]

D'accord avec toi ! Si c'était un régime-pétro ou autres richesses, ça change tout.

[collectionneur]

Le régime d'Assad peut donné des idées pour le renouvellement des blindés de la gendarmerie  :lol: Prendre des blindés de l'armée en bleu pour les faire passer pour des engins de la police et le tour est joué ;

http://globservateur.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/11/17/syrie-assad-repeint-ses-blindes-en-bleu-pour-tromper-la-ligu.html

Vidéo de ces blindés :

[seb24]

[Mode Whisky = On]

Des fois j'ai l'impression que nous sommes une bande de racailles, quand une cible est potable on se rue pour aller piller un coup, quand une cible est à la limite d'apportable on fait venir deux trois copains plus la famille et on va quant même aller piller un coup, quand la cible est trop fort pour nous on n'ose même pas lancer un pet, au mieux on s'écarte de 300m en murmurant des choses sans importance avec un doigt d'honneur caché derrière le dos...

Franchement c'est la misère.

[Mode Whisky = Off]

Faut arrêter de jouer aux hypocrites quand même Le problème n'est pas du tout militaire mais politique. On peut pas faire passer une intervention sans l'accord de la Russie et de la chine ( ou au moins une abstention ). On a joué au limites de l'acceptable en Libye et on pourra pas le refaire pour la Syrie. Après si t'as une solution magique on t'écoute :D

[Tancrède]

Apparemment, des déserteurs membres de "l'armée syrienne libre" auraient tiré sur un bâtiment des services de renseignement (enfin un des services de rens syriens :-[).

[PGM]

En effet, un batiment des services de renseignement (à l'entrée de Damas) a été attaqué à la grenade et lance roquette, par des dissidents de l'armée. Pas de bilan diffusé. Hier également, une attaque à Idleb contre les forces de "sécurité".

La Turquie a gelé les prospections (hydrocarbures) qu'elle réalisait dans le nord de la syrie. Ankara menace de couper également le courant. Les chinois se montre de + en + agacé par la syrie et le ton commence a changer.

PGM

[Joab]

Ils ont attaque le "bureau des renseignement de l'Air" un des plus puissants services de renseignement de Syrie et qui, contrairement a ce qu'indique son nom ne s'occupe que dissidence politique pratiquement et est compose quasi exclusivement de Alaouites (faut savoir que Hafez etait un ancien de l'armee de l'air, ceci explique cela).

[collectionneur]

Pour HK, je rappelle que les SR de l'Ouest ont sauvé la peau à quelques centaines de Chinois après la répression de Tien En Men en 1989  ;)

Opération Yellow Bird :

http://www.hartford-hwp.com/archives/55/765.html

[Tancrède]

Hé, la politique extérieure d'un pays n'est ni purement cynique, ni idéaliste: elle est un compromis réajusté en permanence entre les 2. Dire qu'on fait les choses par intérêt est vrai, et c'est NORMAL: personne ne peut sauver le monde à lui seul et s'occuper de soi (surtout un grand pays) est déjà très compliqué, à la limite de l'impossible. Cependant, faut pas verser dans le cynisme facile parce que l'idéalisme/les principes existent aussi en politique étrangère, ne serait-ce que parce que diverses forces souhaitant des actions d'ingérence pour divers motifs non liés à l'intérêt matériel (fric, ressources, sécurité....) existent, et que quand ces forces se structurent et s'activent, elles sont des forces politiques, des groupes de pressions parmi d'autres dont la voix est entendue et dont les décideurs ont besoin à divers titres, ne serait-ce qu'électoraux (décideurs qui ont aussi des passions et restent malgré tout humains). Quand une diaspora agit pour la démocratisation de son pays d'origine, par exemple, c'est un lobby non lié à des intérêts matériels, mais dont l'action impacte la décision politique dans le pays d'accueil. Surtout si cette diaspora est organisée, nombreuse et/ou riche. De même pour tout groupement autour d'une cause.

Après, il faut se confronter à une réalité pratique: a t-on les moyens de faire une intervention? Si la réponse est non, tout ce qu'on peut faire, c'est pointer du doigt le pays à problème, le garder sous les spotlights.... Quitte à parfois passer pour des bonnes consciences larmoyantes qui parlent fort et agissent peu (c'est le corollaire), mais on peut pas tout faire partout, et vu l'état des forces armées actuellement, on peut même pas faire beaucoup dans beaucoup d'endroits. Ca veut pas dire qu'il faut rien faire du tout. Mais garder ses intérêts à l'esprit et agir pour eux, ça a quoi de mal ou d'hypocrite? C'est le devoir premier d'un Etat, et l'un des grands plus des Etats démocratiques est que l'action humanitaire et/ou pro-démocratique, aussi teintée d'intérêts matériels soit-elle, fait aussi partie des intérêts de l'Etat. Y'en a pas tant que ça sur terre où ce soit le cas. Mais on a un peu facilement tendance à dire que si on n'a pas une action extérieure entièrement désintéressée, c'est qu'on en a une uniquement cynique, "néocolonialiste" et rapace.

[alexandreVBCI]

Paris estime que le régime de Bachar el-Assad ne peut plus rattraper la situation.

La militarisation de la révolte populaire face à la répression sanglante des autorités syriennes fait craindre une guerre civile.

«Il est trop tard» pour le régime Après les déclarations de la chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, disant jeudi qu'il était «temps pour le président Assad de démissionner», le ministre français des Affaires étrangère Alain Juppé a jugé vendredi qu'«il est maintenant trop tard» pour le régime, qui «n'a pas voulu s'engager dans un programme de réformes».

Le chef de la diplomatie française a donc appelé vendredi le Conseil de sécurité de l'ONU à agir, se disant prêt à «accentuer les sanctions» contre Damas. La France s'oppose en revanche à une action unilatérale en Syrie : toute intervention devrait être mandatée par les Nations unies, a souligné le ministre.

Arrivé jeudi à Istanbul pour une visite de deux jours consacrée essentiellement à la Syrie, Alain Juppé s'est entretenu avec le premier ministre Recep Tayyip Erdogan et a rencontré son homologue Ahmet Davutoglu. Il a souligné que la France et la Turquie ont «des approches tout à fait convergentes» à propos de la crise syrienne et qu'elles allaient travailler ensemble, avec le Conseil national syrien qui représente l'opposition .

Interrogé sur la question de savoir si la Turquie, qui partage une longue frontière avec la Syrie, devrait créer une zone tampon pour protéger les populations civiles syriennes - une idée formulée par l'opposition syrienne - Alain Juppé a répondu: «C'est à la Turquie d'en décider. Nous pensons que c'est dans le cadre d'une action internationale que cela doit se faire». «La Turquie seule ne peut pas décider de cela, il doit y avoir un consensus international sur ces questions», avait également dit son homologue turc.

[aqva]

Hé, la politique extérieure d'un pays n'est ni purement cynique, ni idéaliste: elle est un compromis réajusté en permanence entre les 2. Dire qu'on fait les choses par intérêt est vrai, et c'est NORMAL: personne ne peut sauver le monde à lui seul et s'occuper de soi (surtout un grand pays) est déjà très compliqué, à la limite de l'impossible. Cependant, faut pas verser dans le cynisme facile parce que l'idéalisme/les principes existent aussi en politique étrangère, ne serait-ce que parce que diverses forces souhaitant des actions d'ingérence pour divers motifs non liés à l'intérêt matériel (fric, ressources, sécurité....) existent, et que quand ces forces se structurent et s'activent, elles sont des forces politiques, des groupes de pressions parmi d'autres dont la voix est entendue et dont les décideurs ont besoin à divers titres, ne serait-ce qu'électoraux (décideurs qui ont aussi des passions et restent malgré tout humains). Quand une diaspora agit pour la démocratisation de son pays d'origine, par exemple, c'est un lobby non lié à des intérêts matériels, mais dont l'action impacte la décision politique dans le pays d'accueil. Surtout si cette diaspora est organisée, nombreuse et/ou riche. De même pour tout groupement autour d'une cause.

Pour rebondir là dessus, la politique extérieure d'un pays n'est pas explicable sans approche multi-factorielle: outre l'intérêt national pur, il y'a l'idéologie des politiques au pouvoir qui pèse dans les choix (tant que ce n'est pas (trop) nuisible du point de vue électoral), les intérêts des groupes associés au pouvoir et les pressions qui s'exercent en interne dans un pays (par exemple une communauté d'expatriés organisée).

Ce sera plus clair avec un exemple. Il est certain que Bush a envahi l'Irak dans l'idée  (naïve) d'en faire un satellite américain au MO, région stratégique pour le pétrole. Mais il est également très probable qu'il pensait (là encore naïvement) pouvoir faire de l'Irak une société démocratique à l'américaine, que les USA seraient accueillis comme des "libérateurs" par les irakiens, un monde "démocratique" naturellement sous leadership américain étant indissociables du point de vue néo-con. L'impréparation américaine dans les premiers mois de l'occupation et le choix d'objectifs de guerre "totaux" visant à révolutionner la société irakienne (et contraires in fine à l'intérêt national américain) a été le cruel révélateur de ces croyances. Outre cela des intérêts de lobbying bien sentis en interne comme celui de Haliburton ont pesé dans la balance, tout comme l'imposteur expatrié Chalabi a pu faciliter la prise de la décision d'intervenir.

En Lybie c'est moins clair vu que l'intervention est récente et a été beaucoup moins marquée. L'impact sur intérêt national était douteux voire négatif (quoique je ne demande si à l'Elysée on ne s'est pas fait l'illusion du contraire), l'intérêt électoral faible (avec un risque conséquent que ca foire et se retourne contre le Président), les aspects idéologique et l'influence des conseilliers du Président étant plus importants, plus peut être laisser sa marque dans l'Histoire voire viser un certain prix Nobel (ce dernier point n'est qu'une hypothèse à prendre avec un maximum de précautions).

[collectionneur]

Petit résumé claire de l'opposition en Syrie :

http://globservateur.blogs.ouest-france.fr/archive/2011/11/14/syrie-qui-sont-les-opposants-a-bachar-el-assad-tour-d-horizo.html

Le Conseil national syrien, créé le 15 septembre à Istanbul. Les opposants en exil,

Le Comité national de coordination pour le changement démocratique, crée le 18 septembre à Damas, les opposant en Syrie

Des organisations de jeunesse dont la Commission générale pour la révolution syrienne

Le mouvement des Officiers libres et surtout l'Armée syrienne libre,

[TRIMIX]

enfin, qd on prend un peu de recul, on se dit qd même qu'on assiste à un remodelage rapide de la carte geopolitique du M.O

ce vent de liberté qui souffle par la bas  donnera t'il , impulsion necessaire au progrés social...ou la deception " previsible "  replongera t elle ces societes dans un chaos dangereux ( ISLAM dur, etc etc)

j'ai pas reponse , à vous lire ....................... ;)

[PGM]

Sauf a faire le choix d'une théocratie ( façon Iran), l'islamisme politique sera a mon avis traiter a la meme aune que les autres offres politiques. Parce les musulmans sont aussi des contribuables, consommateurs, citoyens (enfin on espère qu'ils puissent l'être dans notre acception), ils n'hésiteront pas a les chasser s'ils n'y trouvent pas leurs comptes. L'ouverture qui découlera de ces révolutions/révoltes, banalisera l'islamisme politique. L'AKP en Turquie est plébiscité parce que les turcs s'y retrouvent.

Contrairement a ce qui se dit, l'émergence actuelle des islamistes, n'est que le prélude a leur banalisation et in fine leur marginalisation, enfin, tant que les musulmans ne mangent pas de sourates et ne règlent leurs impôts en fatwas.

Pgm

[TRIMIX]

oui, m'enfin....quel jeu anime l'iran dans ce bordel et quel impact la disparition plus qu'inevitable de BACHAR et sa  clique à l'aube d'une confrontation regionale ( israel/iran )

je predis un joyeux boxon en 2012 par la bas ....

aprés effectivement, ne pas diaboliser l'islam dans son influence social.....evidemment.

Mais j'ai bien peur que ça soit pas si simple....

;)

[loki]

oui, m'enfin....quel jeu anime l'iran dans ce bordel et quel impact la disparition plus qu'inevitable de BACHAR et sa  clique à l'aube d'une confrontation regionale ( israel/iran )

Il y a des rumeurs de troupes spéciales iraniennes au côté des troupes de Bachar voire d'aides venu d'Irak ( des soldats d'une milice pro-iranienne )

[TRIMIX]

Il y a des rumeurs de troupes spéciales iraniennes au côté des troupes de Bachar voire d'aides venu d'Irak ( des soldats d'une milice pro-iranienne )

oui, pourquoi pas, une syrie pro iranienne en tampon avec israel , ben ça arrange les affaires iraniennes, j'imagine ( pour faire court)

esperons qd même que ça dégenere pas, parceque je vous raconte pas le cours du petrole avec des économies occidentales déjà " exangues".....

Oh putain