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Le budget Militaire des USA (DoD et autres)


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Enfin un article complet sur l'ensemble des budgets Défense et Assimilés aux USA,

notamment pour contre-dire les gens qui pensent que le budget américain de la défense s’effondre et signifie la fin de la puissance américaine

L'ajout de la charge des intérêts de la partie de la dette fédérale créée par le DoD est discutable mais ne peut être totalement exclue.

On a docn un budget en légère croissance MALGRE 30 Milliards $ de baisse des dépenses pour les OPEX donc au moins 30M$ de plus dans les autres budgets (principalement pour les soins et retraite des vétérans)

http://defense.aol.com/2012/02/17/which-pentagon-budget-numbers-are-real-you-decide/

DOD or Defense Related Program

2012

2013

Notes/Comments

DOD Base Budget (Discretionary)

530.5

525.4

Widely reported by the press as the "base" DOD budget.

DOD Base Budget (Mandatory)

4.9

6.3

This amount is frequently not counted by DOD, its press releases, and the press as DOD spending. It is an official part of the DOD budget, always counted-for example-by OMB.

DOD Base Budget (Total)

535.4

531.7

"Total" spending is Discretionary and Mandatory combined.

Overseas Contingency Operations

115.1

88.5

DOD Subtotal (Total)

650.5

620.2

DOE/Nuclear - [Têtes nucléaires gérées par Département de l'Energie]  (Total)

18.5

19.4

"Defense-related activities" (Total)

7.8

National Defense (Total)

676.7

647.4

This is the "National Defense" budget function, also known as "050."

Net Military Retirement Costs Not Scored to DOD (See Budget Functions 600 & 950)

[br /]

21.2

[br /]

26.8

The Military Retirement Trust Fund in Treasury collected and paid $17.1 billion in interest in 2012 and 2013. That amount is included in the totals to the right.

Net DOD Retiree Health Care Fund Costs Not Scored to DOD (See Budget Functions 550 & 950)

[br /]

-1.1

[br /]

2.6

This fund also collected and paid $7.0 and $7.4 billion in interest in 2012 and 2013.

International Affairs (Total)

61.3

69.8

Includes $8.2 billion in OCO for Budget Function 150. The OCO grand total is $96.7 billion.

Veterans Affairs (Total)

124.6

137.7

This spending encompasses the effects of past and current wars; spending for veterans of the last ten years will be increasing dramatically in coming years.

Homeland Security (Total)

46.0

46.3

Includes HS spending in DHS and all federal agencies not shown on this table.

Subtotal of the Above

928.7

930.6

Total Federal Spending is $3.8 trillion in outlays in 2012 and 2013.

24% of Net Interest on the Debt

57.4

63.7

The outlays of the above programs comprise 25.5% and 25.7% of total federal outlays for 2012 and 2013.

Grand Total

986.1

994.3

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  • 1 month later...

Les dépenses militaires mondiales marquent le pas. Le Sipri (Stockholm International Peace Research Institute) fait état d'une très faible augmentation des dépenses militaires en 2011. A 1 740 milliards de dollars, elles n'ont progressé que de 0,3%, alors que durant la décennie précédente elles étaient en croissance de 4,5% par an. La réduction des dépenses du Pentagone de près de 500 milliards de dollars sur dix ans, ainsi que les restrictions budgétaires des Etats européens expliquent cette stagnation. En revanche, la Chine a lancé de grands programmes militaires et la Russie continue de moderniser l'équipement de ses armées.

18 avril 12 - Les Echos - Financial Times -usinenouvelle.com (17avril).

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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202015569220-les-depenses-militaires-mondiales-se-sont-stabilisees-en-2011-313434.php

Coup d'arrêt à la hausse des dépenses militaires mondiales

Evaluées à 1.740 milliards de dollars, les dépenses militaires sont restées stables en 2011, selon le Sipri. Après une décennie de forte croissance, c'est un coup d'arrêt très net. Les

Etats-Unis ralentissent, l'Europe désarme, la Russie et la Chine modernisent.

Les dépenses militaires marquent le pas dans le monde. Evaluées à 1.740 milliards de dollars en 2011 par l'Institut de recherche international pour la paix de Stockholm, le Sipri, elles n'ont progressé que de 0,3 % sur un an, à conditions économiques équivalentes. Après une décennie 2000 marquée par une croissance annuelle moyenne de 4,5 %, c'est un coup d'arrêt très net. « Au moins pour l'instant », estime Sam Perlo-Freeman, responsable du projet « dépenses militaires » du Sipri.

Les raisons de cette quasi stagnation sont connues. Elles tiennent d'abord aux décisions prises par les Etats-Unis, premier budget militaire de la planète, avec 711 milliards de dollars, soit 40 % du total. Pour réduire les déficits publics, l'administration Obama a agi sur deux fronts : retrait des troupes d'Irak et d'Afghanistan, et réduction du budget du Pentagone de 487 milliards sur dix ans.

Un montant spectaculaire, mais à relativiser. L'effort financier sera en effet assuré en partie par le retrait des théâtres d'opération. Il s'étalera jusqu'en 2021. Enfin et surtout, l'immense budget de recherche sera préservé. Pour autant, le Pentagone risque de devoir économiser 500 milliards de plus, un super-comité parlementaire bi-partisan n'ayant pas réussi à s'accorder sur des pistes supplémentaires de réduction du déficit.

Les effets de cette rigueur commencent à se sentir : l'année dernière, pour la première fois depuis 1998, les dépenses militaires américaines ont reculé, avec une baisse de 1,2 %.

La Chine championne de la croissance

L'Europe est dans une situation bien pire. Les pays de l'Est ont commencé à couper dans leurs budgets militaires dès 2009, les pays occidentaux les ont suivis d'un an. Au Royaume-Uni, où les guerres contre le terrorisme ont creusé le déficit, le gouvernement Cameron n'a pas fait dans la dentelle à son arrivée au pouvoir : retrait des portes-aéronefs du service, arrêt de grands programmes dispendieux... Certains militaires ont appris la fin de leur contrat pendant qu'ils bataillaient en Afghanistan.

En France, la loi de programmation militaire 2009-2014 est peu ou prou respectée. Mais les militaires craignent pour la suite. Malgré les promesses de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, le serrage de ceinturon apparaît quasi certain.

Si l'on met de côté les pays du Golfe, grands clients des industriels de défense mais dont les statistiques officielles manquent de transparence, quatre pays se démarquent dans ce panorama mondial. Le Brésil maintient ses ambitions régionales, même si depuis son élection à la présidence, Dilma Rousseff a levé le pied, avec la volonté affichée de doter son pays d'une véritable industrie de l'armement. Même situation en Inde, comme en témoigne le projet d'achat de 126 Rafale.

La Russie n'est pas en reste. Obligé de remplacer un matériel hérité en majorité de l'ère soviétique, Vladimir Poutine veut consacrer 750 milliards de dollars à la modernisation de l'ex-armée rouge d'ici à 2020. Le pays dépense déjà plus d'argent pour sa défense que le Royaume-Uni ou la France.

Mais le champion absolu de la croissance, c'est la Chine, avec un bond de 170 % depuis 2002. Et encore, les chiffres de l'institut suédois sont sans doute sous-estimés. La volonté d'amener l'armée populaire au rang des meilleures ne fait aucun doute. Les grands programmes en cours en témoignent : porte-avions, missile balistique anti-navire, bombardier furtif... Tout cela ne fait qu'inquiéter les pays voisins et les Etats-Unis. De quoi provoquer une course à l'armement dans la région ? Non, estime le Sipri, car tous les pays ne craignent pas de la même façon la montée en puissance de Pékin.

ALAIN RUELLO

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  • 4 weeks later...
  • 5 months later...

Baisse des crédits du Pentagone : les industriels licencient ......Anticipant sur des coupes massives supplémentaires dans les budgets du Pentagone, les grands industriels du secteur de l'armement américains prennent des mesures drastiques. Boeing a décidé de porter son plan d'économies à quatre milliards de dollars. Lockheed Martin, qui dépend à 85% des commandes de l'Etat américain, s'est séparé de 26 000 collaborateurs, soit près de 20% de ses salariés (dont 25% de ses cadres dirigeants). Northrop Grumman vient de supprimer 600 postes et Raytheon, 3 000.

13 novembre 12 - Les Echos

...et demandent la levée des barrières à l'exportation Pour compenser cette baisse des budgets, les industriels du secteur demandent à Washington la levée de multiples barrières administratives américaines qui les empêchent de décrocher certains marchés à l'export. Boeing a notamment comme objectif de faire passer son chiffre d'affaires à l'étranger de 17% à 25%. Ce sont les échanges avec l'Europe qui devraient le plus bénéficier d'éventuels aménagements.

13 novembre 12 - Les Echos

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  • 4 months later...
  • 2 weeks later...
Des pensions pour la guerre de sécession 150 ans plus tard ??? pfiou... à vue de nez l'enfant est donc un handicapé de près ou plus de 101 ans ! (18 ans en 1865, blessé de guerre / statistiquement dernière fois père à 55 ans, nous sommes en 1912 / enfant handicapé pour toucher la pension de son père, sans doute trisomique car age du père supérieur à 50 ans, ou malchanceux car handicapé avant sa majoité)

ce qui est le plus "amusant" dans l'article, c'est le passage sur la guerre du Vietnam : les soldats exposés à l'agent orange sont des blessés de guerre, les civils Vietnamiens qui ont tenter d'attaquer le gouvernement US et les fabricants de pesticides ont été déboutés il a 6 ans (http://www.grotius.fr/les-effets-de-l’agent-orange-au-vietnam/... je suppose qu'on aura la même polémique un jour sur les répercussions en pensions et en procès de la guerre en Irak, dut l'utilisation massive de munitions à l'uranium appauvris.

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  • 3 months later...

DoD Weighs Major COCOM Realignment

 

http://www.defensenews.com/article/20130811/DEFREG02/308110001/DoD-Weighs-Major-COCOM-Realignment

WASHINGTON — The Pentagon is considering a major overhaul of its geographical combatant commands, possibly realigning oversight within hot-button areas of the world and eliminating thousands of military and civilian positions,according to defense sources..

While the plans for combatant command (COCOM) realignment and consolidation are still notional, sources say some options include:

■ Combining Northern Command and Southern Command to form what what some are calling “Americas Command” or “Western Command.”

■ Dissolving Africa Command and splitting it up among European Command and Central Command.

■ Expanding Pacific Command to include Afghanistan and Pakistan, which are part of Central Command.

In all, the realignments could shutter two COCOMs and eight service-supporting commands, totaling more than 5,000 people both uniformed and civilian.

US Defense Secretary Chuck Hagel for the first time hinted at the consolidations of the COCOMs during a July 31 press conference when he announced significant budget-cutting options the Defense Department would have to make should federal spending cuts remain in place across the decade.

Defense officials would not comment on specific consolidation plans being considered.

The sequester is forcing the Pentagon to look for ways to cut spending quickly. Shuttering a COCOM would impact US relations abroad, and underscores the need to eliminate the budget caps, a defense official said.

“Combining combatant commands is certainly not something that we want to do, but something that we have to consider because all cuts have to be on the table,” the official said.

Members of the Joint Staff and other defense officials have been exploring options for COCOM realignment since last year, according to sources.

Regional experts agree the Pentagon could reorganize its combatant commands to better align the headquarters with long-term strategic goals.

Combining Northern and Southern commands could lead to greater resources for activities in South and Central America, which experts say has long been DoD’s most neglected region.

Combining the regions could better address cross border issues — particularly drug trafficking — between Mexico, South America and the United States, said Bob Killebrew, a retired Army colonel and senior fellow at the Center for a New American Security.

Mexico is part of Northern Command, which also includes the contiguous United States, Alaska and Canada.

t makes ... sense not to have a kind of artificial DoD boundary, not only between Mexico and Central America, but between Mexico and the American border as well,” Killebrew said.

Organizing oversight of Africa has been a topic of debate — mostly in the academic community — ever since Africa Command split from European Command and became a stand-alone COCOM in 2008. Before that, European Command oversaw much of the continent, with Central Command overseeing the Horn of Africa.

“The [oversight] that was diffused over multiple commands really wasn’t something that was in our best interest nor in the best interest of our partners on the continent,” said Kip Ward, a retired Army general who was the first commander of Africa Command.

Major changes to the existing Africa Command construct are not likely during a COCOM reorganization, experts say. US military operations in Africa, ranging from the 2011 overthrow of Moammar Gadhafi in Libya to the recent campaign against terrorists in Mali, underscore the need for a dedicated COCOM, defense officials say.

Since its establishment, Africa Command has added value and has been well received on the continent, Ward said.

“I think that the focus that AFRICOM is able to bring to that vital, important part of the world is still important,” he said.

Meanwhile, experts agree that Afghanistan, Pakistan and India should fall under the same COCOM, regardless of whether it’s Pacific or Central. India falls under Pacific Command while Pakistan and Afghanistan are part of Central Command.

Since security, foreign policy, economic and trade issues with India predominantly involve Pakistan and vice versa, placing them under the same COCOM could better streamline US military ties with each country, some experts say.

The same is true for security and policy issues involving Afghanistan, since much of the violence in the nation is along the Pakistani border.

“It’s better that the people who are dealing with India are the ones that are at least fully aware of, or completely in the picture, of what was discussed between two top dignitaries between the US and Pakistan,” said Hassan Abbas, a former Pakistani government official who served in the administrations of Prime Minister Benazir Bhutto and President Pervez Musharraf.

“If they are the same team, or the same group of people that are in the same institution who are dealing with India, it actually provides more leverage for the United States and more opportunities to go for a coherent policy rather than dealing through two different commands,” said Abbas, a senior adviser and fellow at the Asia Society and a professor at National Defense University’s College of International Security Affairs. He stressed that this is his personal view and he was not speaking for the university or the US government. “I think this makes sense.”

Budget consolidation

Federal budget caps would cut about $500 billion from planned defense spending over the next decade. The caps have already cut $37 billion from the Pentagon’s 2013 budget.

With that in mind, Hagel on July 31 announced the findings of the four-month-long Strategic Choices and Management Review, an effort that examined options the Pentagon could take to meet those spending targets, while trying to achieve the goals of its Pacific-focused military strategy.

If the caps remain in place across the decade, “additional consolidations and mission reductions,” such as “consolidations of regional combatant commands, defense agency mission cuts, and further IT consolidation” might be necessary, Hagel said.

“These changes would be far-reaching and require further analysis and consideration,” he said. “Though defense bureaucracies are often derided, the fact is that these offices perform functions needed to manage, administer and support a military of our size, complexity and global reach.”

The actual COCOM realignments would be laid out in the Unified Command Plan, a document that “establishes the missions, responsibilities and geographic areas of responsibility” for COCOM.

The Unified Command Plan — which originated in late the 1940s — is usually reviewed every two years and was last updated in April 2011.

The Pentagon last shuttered a major command in 2010 when it closed US Joint Forces Command, in an attempt to trim overhead. But many of the positions associated with that command remained as the Joint Staff absorbed nearly 3,000 uniformed and civilian workers.

The growth in headquarters staff sizes at the COCOMs and across the entire military has been a major issue of late.

Between 2010 and 2012, staff sizes at the six geographical COCOMs have increased more than 7 percent, adding nearly 1,000 civilian and military positions.

In addition to those numbers, each service operates its own subordinate commands to the individual COCOMs. Many positions at the service commands are redundant to positions at the COCOMs, according to the Government Accountability Office.

“If they were to streamline or combine [COCOMs], you certainly won’t have as many components,” said Arnold Punaro, a retired Marine Corps major general and former Senate staffer who chairs the Reserve Forces Policy Board. “It depends on how they do it.”

Hagel announced this summer a plan to cut COCOM headquarters and Pentagon staffs by 20 percent and reduce duplication.

Pentagon officials overseeing the reorganization should also consider changing the title of the four-star generals and admirals who oversee these regions from combatant commanders to something less invasive, Killebrew said.

“It’s a horrible [title] because what most of these commanders do is military assistance and military cooperation with other countries,” Killebrew said. “When you say you’re a combatant commander the first thing somebody in a small country says is, ‘But I don’t want to go to war. I just want to talk.’ ”

This is especially the case when dealing with some African and Central and South American nations.

A combatant commander used to hold the title commander in chief, or CINC, a title that former Defense Secretary Donald Rumsfeld abolished in 2002.

Killebrew said the title should be changed to “unified commander or something that implies working with other countries and not invading them.”

 




 

Modifié par zx
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  • 1 month later...
  • 6 months later...
  • 8 months later...

Finalement, baisse du budget de la défense US en 2013 de 7,8 % par rapport a 2012. Combien de baisse cette année si on n'entre en guerre avec la Russie ?

Tes vœux sont exhaussés ,ça remonte de plus de 10% par rapport à la dernière année fiscale.

 

Les États-Unis augmentent le budget de la défense, en hausse de 10% (FY2014) , 577Md$/463Md€ http://t.co/6KBgkKa1bY via @latribune

— Philippe Top-Action (@top_force)

December 14, 2014
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