aviapics Posté(e) le 29 mai 2012 Share Posté(e) le 29 mai 2012 C'est le MNLA qui l'a pris, les islamistes avaient besoin d'eux pour ca.Il semblerait qu'ils soit au moins capable de tenir le terrain ensuite. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
amarito Posté(e) le 29 mai 2012 Share Posté(e) le 29 mai 2012 C'est le MNLA qui l'a pris, les islamistes avaient besoin d'eux pour ca. Il semblerait qu'ils soit au moins capable de tenir le terrain ensuite. Attention, ce sont les touaregs principalement qui ont militairement pris le nord du Mali : laïcs du MNLA du coté de Tessalit et islamistes d'Ansar Eddine du coté d'Aguelhoc et Kidal. AQMI c'est plus l'internationale du djihadisme et du rapt, certainement rompus à la guerrilla mais malgré les recrutements ils ne doivent pas dépasser la centaine. Ce qu'on voit surtout c'est que le MNLA est trop faible par rapport à Ansar Eddine qui a l'air de bénéficier de moyens financiers conséquents et du leadership d'un chef touareg issu d'une tribu "aristocratique". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 13 juin 2012 Share Posté(e) le 13 juin 2012 (...) « Au Nord-Mali, les forces dominantes sont les jihadistes et les narcotrafiquants. Tout cela est coordonné : cela va du Sahara jusqu’en Somalie » a-t-il avancé. « Je crois que toutes ces organisations coopèrent entre elles, que ce soit les shebab en Somalie, Boko Haram au Nigeria, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) en Algérie et au Sahel en général, jusqu’en Afghanistan » a-t-il insisté, confirmant ainsi les craintes exprimées par le général Carter Ham, le chef de l’US AFRICOM, le commandement américain pour l’Afrique, qui a parlé, en septembre 2011, du risque « d’alliance terroriste panafricaine ». (...) Cela étant, à la Cédéao (Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest), il y a un consensus pour une intervention militaire au Nord-Mali. Mais, les pays membres peinent à s’accorder sur les modalités d’une telle opération et souhaiteraient un appui occidental dans les domaines de la logistique, du renseignement et de la formation. Quant à l’Union africaine, elle entend saisir le Conseil de sécurité des Nations unies afin d’obtenir son aval, si ce n’est son appui, pour cette intervention militaire. (...) Le président Hollande a pris très au sérieux cette menace (...) « Aux Africains de saisir le Conseil de sécurité (de l’ONU), nous, nous appuierons la résolution qui sera présentée par la Cédéao, a insisté le chef de l’Etat, si une intervention est décidée, c’est aux Africains de la mener, la France comme d’autres puissances se mettant au service des Nations unies » a-t-il ajouté. http://www.opex360.com/2012/06/12/le-president-hollande-redoute-letablissement-de-groupes-terroristes-dans-le-nord-du-mali/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 13 juin 2012 Share Posté(e) le 13 juin 2012 Le Conseil de sécurité de l'ONU pourrait rapidement donner son aval à une intervention militaire africaine dans le nord du Mali.Inquiet de l'installation de "troupes terroristes" dans le nord du pays, François Hollande a garanti, lundi, le soutien de la France à une opération militaire de la Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest (Cedeao), sous l'égide de l'ONU.Dans l'enfer du Sahara, un soutien international, tout du moins logistique, paraît indispensable. "Les moyens de la Cedeao ne sont pas appropriés à la région, au niveau tant matériel que financier", explique Pierre Jacquemot, chercheur associé à l'Institut des relations internationales et stratégiques (Iris). "Agir au Sahara suppose des moyens aériens, de petits équipements rapides au sol ainsi que des soldats aguerris : tout ce dont une armée africaine classique n'est pas dotée", ajoute le spécialiste de l'Afrique subsaharienne. L'article : http://www.lepoint.fr/monde/mali-la-prochaine-guerre-13-06-2012-1473029_24.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
habiban Posté(e) le 14 juin 2012 Share Posté(e) le 14 juin 2012 "L'Algérie, principal partenaire dans la région, ne veut pas entendre parler de forces françaises à ses frontières, d'autant plus que la constitution algérienne lui interdit d'intervenir chez ses voisins" En verité l'Algerie ne veut pas de la presence de force etrangere à la region ,donc pas uniquement française . Une intervention au Sahel contre les TERROS qui ecument la region reste tributaire à un accord avec les Touareg ,car il serait impensable du point de vu de l'Algerie d'entrer en guerre contre une couche de la population qui a des ramification dans au moins cinq pays de la region. http://www.lepoint.fr/monde/mali-la-prochaine-guerre-13-06-2012-1473029_24.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 Interview intéressante dans le JDD .http://www.lejdd.fr/International/Afrique/Actualite/Le-Mali-devient-l-Afghanistan-de-l-Afrique-519903/?from=headlinesBref le mali et ses institutions sont en train de s'effondrer. :POr le souci est que dans le coin, il n'y a pas d'armées digne de ce nom capable de rétablir la situation excepté une : L'armée algérienne.Mais l'algérie du fait de sa constitution et de sa position géopolitique n'enverra jamais son armée hors de ses frontières. Bref tout ce qu'elle fera , ce sera de masser des troupes et de déployer ses Super Hind à la frontière et de se contenter de regarder le "spectacle" de l'effondrement de l'état malien.Vraiment dommage, une opération algérienne démontrerait à l'ensemble des voisins , c'est que c'est elle qui est maintenant le TAULIER de l'afrique du nord ! >:(Si l'algérie veut assumer le leadership et obtenir une nouvelle crédibilité internationale, il va falloir qu'elle démontre sa puissance hors de ses frontières.En effet, les états de la région ont trop souvent eu tendance à appeler la france à la rescousse or maintenant, la france n'a plus les moyens et surtout l'envie d'assumer ce rôle.Mais bon, je comprend aussi la réserve algérienne vus que ce coin est un put... de bordel. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 méme l'onu refuse de donnée son aval pour une intervention militaire étrangère au mali , la situation n'est pas aussi simple , au mali les militaire putchiste son contre une intervention militaire dans leurs pays ainsi qu'une partie de la classe politique soutenu par des partisant ! donc si l’Algérie intervient ça serait perçue par une partie des malien comme une agression . l’Algérie n'a aucun intérêt de s’embourber dans un tel merdier , d'autant plus que le MNLA n'est pas en conflit avec l'algerie et ne la menace pas , c'est un conflit interne malien . Mali : L’ONU écarte pour l’instant une invervention militaire (16/06/2012) Le Conseil de sécurité des Nations unies n’est pas disposé dans l’immédiat à donner son feu vert à une intervention militaire au Mali, dont les rebelles touareg et les combattants islamistes contrôlent la partie Nord. «Cela prendra du temps avant que le Conseil de sécurité soit en état d’approuver une intervention extérieure au Mali», a confié à Reuters un diplomate sous couvert d’anonymat. « Ce n’est pas que nous y sommes opposées, mais de nombreuses questions sur les modalités d’une telle intervention doivent d’abord trouver réponse », a-t-il ajouté. Le Mali a sombré dans le chaos au début du printemps, lorsque des militaires se sont emparés du pouvoir à Bamako. Dans les jours qui ont suivi, les rebelles du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA) et les combattants islamistes d’Ansar Eddine ont exploité la confusion et l’anarchie pour prendre le contrôle des principales villes du Nord. Diplomates et observateurs estiment que le Nord-Mali est en passe de devenir un sanctuaire pour des groupes djihadistes à l’image de l’Afghanistan sous le régime des taliban. (Reuters) http://www.algerie1.com/flash-dactu/mali-lonu-ecarte-pour-linstant-une-invervention-militaire/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
dr.watson Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 Les Militaires Maliens vont bientôt recevoir des SU-25 d'Ukraine, Les US ferment les yeux sur la vente et la France a envoyé une délégation pour y jeter un oeil. Ils viennent de recevoir leurs Camo mais n'ont pas encore le numéro de série et cocarde.Vous n'aurez aucun trace de se contrat de vente sur le Net sauf sur AIR DEFENSE O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 Euh... elle sort d'où cette information ? Non parce que les Maliens ne sont déjà pas capables d'entretenir une demie-douzaine de MiG-21 (et je ne parle pas des appareils livrés dans les année 1980, mais surtout des appareils vendus par les Tchèques en bon état en 2003), alors des Su-25... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
legionnaire Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 Urgent:dossier sur l'infiltration jihadiste afghane et pakistanaise au nord Maliwww.cridem.org09:01Mali: La présence de mercenaires pakistanais et afghans au Nord alarme.Un refuge idéal pour les djihadistes et les terroristes. Le Nord du Mali deviendrait-il un nouveau refuge pour les terroristes du monde entier? C’est la question que l’on se pose, après l’annonce de la présence de mercenaires pakistanais aux côtés des groupes islamistes d’AQMI (Al Qaïda dans le Maghreb islamique) et d’Ansar el Dine.Ces deux mouvements, avec le MNLA, (Mouvement national de Libération de l’Azawad), contrôlent le Nord du pays."Au Mali, on parle désormais ouvertement de la présence d’instructeurs et de mercenaires pakistanais et afghans qui entraînent les combattants recrutés par les islamistes", a confirmé à l’agence Fides le 16 juin le Père Edmond Dembele, secrétaire de la Conférence épiscopale du Mali."Les pays de la région et les européens craignent que le Nord du Mali ne devienne un territoire sans loi, refuge idéal pour les djihadistes et les terroristes de toute provenance".Le Mali, un endroit stratégique"A partir de ce vaste territoire, les terroristes peuvent facilement se rendre en Europe ou préparer des attentats dans d’autres parties du monde", a précisé le prêtre. La division entre le MNLA (formé de touaregs) et les mouvements islamistes qui accueillent des non maliens (nord-africains et autres) s’accentue. "Le MNLA a affirmé que l’islamisme radical est contraire à la culture touarègue et qu’il ne peut accepter l’imposition de la charia dans le Nord du Mali", a expliqué le Père Dembele."C’est pourquoi, l’opinion publique malienne considère qu’il sera plus facile de trouver un accord avec le MNLA qu’avec les islamistes". Et de commenter: "Il est plus probable que le MNLA renonce à l’indépendance du Nord, que de voir Ansar el Dine abandonner le projet d’imposer la charia à l’ensemble du Mali. Il est donc plus facile de négocier avec ce groupe qu’avec les autres". Quelque possibilité de négociation avec Ansar el Dine existe peut-être, parce qu’à sa tête se trouvent des Maliens, a conclu le prêtre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 17 juin 2012 Share Posté(e) le 17 juin 2012 ABIDJAN (Reuters) - Le Nigeria, le Niger et le Sénégal se sont engagés à fournir l'essentiel de la force de près de 3.300 militaires qui pourrait être dépêchée dans le nord du Mali, contrôlé par des mouvements rebelles touaregs et des groupes islamistes, a-t-on appris auprès de la Cédéao.Certains officiers vont se rendre au Mali dans les prochains jours pour mettre au point les détails des préparatifs de l'opération, a indiqué le général Soumaïla Bakayoko, le chef de l'armée de Côte d'Ivoire, pays qui préside actuellement la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao)."L'objectif de cette force (de 3.270 hommes) sera de protéger les institutions officielles du pays et de permettre la tenue de pourparlers dans le Nord dans de bonnes conditions", a-t-il dit. "La force sera notre dernier recours."La Cédéao n'a toutefois pour l'heure ni l'aval de Bamako, ni celui du Conseil de sécurité des Nations unies.L'Union africaine a annoncé la semaine dernière avoir demandé au Conseil de sécurité de l'Onu l'adoption d'une résolution autorisant une intervention militaire. Les milieux diplomatiques jugent cependant peu probable une approbation de la part du Conseil dans l'immédiat.Face à la confusion qui règne dans le nord du pays, le président du Niger Mahamadou Issoufou a estimé samedi qu'une intervention armée était nécessaire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mat Posté(e) le 18 juin 2012 Share Posté(e) le 18 juin 2012 Euh... elle sort d'où cette information ? Non parce que les Maliens ne sont déjà pas capables d'entretenir une demie-douzaine de MiG-21 (et je ne parle pas des appareils livrés dans les année 1980, mais surtout des appareils vendus par les Tchèques en bon état en 2003), alors des Su-25... Et pourquoi serait-ce des maliens qui les piloteraient ? O0 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 18 juin 2012 Share Posté(e) le 18 juin 2012 en effet la plus part des armées centre africaine emploi comme pilote de chasse des mercenaire ukrainien , russe et biolorusse , c'était déja le cas pour les mig-21 maliens . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 juin 2012 Share Posté(e) le 18 juin 2012 J'ai dit entretenir, pas piloter. ;)Les MiG-21 maliens sont au hangar depuis plusieurs années. Ils ne volent même pas pour les défilés des fêtes nationales. En fait, la plupart des avions maliens sont dans ce cas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 19 juin 2012 Share Posté(e) le 19 juin 2012 bah justement méme les pilotes de ces mig 21 était piloté par des mercenaires étrangers . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 21 juin 2012 Share Posté(e) le 21 juin 2012 Mali : la charia fait fureur à Tombouctou.C'est une scène moyenâgeuse que l'on pensait exclusivement réservée à l'Iran, l'Arabie saoudite ou l'Afghanistan. Pourtant, trois mois après avoir pris le contrôle de la ville de Tombouctou, les islamistes touaregs d'Ansar Dine mettent à exécution leur volonté d'imposer la charia dans tout le Mali. Cent coups de fouet : c'est le châtiment qu'ils ont infligé à Hamaradane, 23 ans, et à sa fiancée Zebou, rapporte Radio France internationale. Leur crime ? Avoir entretenu une relation hors mariage, qui a donné un enfant. Dénoncés pour adultère, puis arrêtés devant le domicile de la femme, les deux jeunes ont vite été présentés devant un cadi, juge traditionnel malien, qui a prononcé leur condamnation. Et l'exécution de la peine ne s'est pas fait attendre. Mercredi, c'est en public que les deux jeunes ont été flagellés. "Ils ont été amenés sur la place ; on les a mis devant les gens. Ils n'ont pas été déshabillés, ils sont restés avec leur tenue et on a commencé à administrer à chacun d'eux cent coups de cravache", raconte un témoin de la scène à RFI. "C'était comme un spectacle, les gens ont regardé ça. C'est Ansar Dine qui a organisé la séance de coups de fouet", affirme de son côté à l'AFP Mohamed Ould Baby, un élu de la ville. "C'est la première fois que je vois ça", ajoute-t-il.Majoritairement musulman, le Mali n'en reste pas moins un pays laïque. Mais le coup d'État militaire du 22 mars dernier a changé la donne. Affaibli par la chute du président Amadou Toumani Touré, le pouvoir n'a rien pu faire contre les assauts des groupes touaregs au nord. Associés contre l'armée malienne, le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), un groupe touareg musulman - mais laïque -, qui lutte depuis cinquante ans pour arracher à Bamako l'indépendance du nord, et les touaregs islamistes d'Ansar Dine (Défenseur de l'islam, en arabe, NDLR) se sont emparés de Tombouctou, Gao et Kidal, les trois grandes villes du nord. Et coup de théâtre, le 27 mai dernier, les deux organisations, aux intérêts pourtant divergents, ont annoncé leur fusion et proclamé la création de l'État islamique de l'Azawad. Une déclaration par la suite démentie par plusieurs ailes au sein du MNLA, faisant apparaître d'importantes dissensions sur l'application "pure et dure" de la charia. Des divergences qui pourraient rapidement être effacées. D'après Serge Daniel*, correspondant de l'AFP à Bamako, "le secrétaire général du MNLA, Bilal Ag Achérif, est favorable à une alliance avec les islamistes", assure-t-il au Point.fr. D'après le journaliste, cela s'explique par le fait que le secrétaire général du MNLA et le chef d'Ansar Dine, Iyad Ag Ghaly, sont issus de la même tribu.D'ailleurs, dans une interview à Jeune Afrique, Bilal Ag Achérif a rejeté le qualificatif "laïque" définissant depuis toujours son organisation et a annoncé que la future Constitution de l'État de l'Azawad serait basée sur le Coran. Il faut dire que, sur le terrain, les hommes du MNLA feraient pâle figure face aux combattants d'Ansar Dine. "Derrière Ansar Dine se cache al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi), qui arme, finance et dicte sa conduite", affirme Serge Daniel. Une force de frappe considérable dans une zone immense et faiblement peuplée, soit une cache parfaite pour le nouveau terrorisme international. C'est cette inquiétante perspective qui a amené la France à soutenir une opération militaire de forces africaines au Mali, sous l'égide du Conseil de sécurité de l'ONU. Pendant ce temps, les Nord-Maliens paient déjà le prix du pouvoir islamiste. D'après l'AFP, un responsable de la police islamique de Tombouctou a affirmé qu'en plus du couple flagellé six femmes ayant eu des enfants hors mariage seraient prochainement "sanctionnées". "Pour nous, la charia doit être appliquée, que la population l'accepte ou non", affirme à RFI Sanda ould Boumana, représentant d'Ansar Dine à Tombouctou. "On ne demande pas l'avis de qui que ce soit. Nous ne sommes vraiment pas démocrates", précise-t-il. Quant à Hamaradane et à sa fiancée Zebou, s'ils ont dû se faire soigner à l'hôpital de Tombouctou, ils ont eu la joie de revoir le cadi : leur bourreau les a mariés dans la soirée. http://www.lepoint.fr/monde/mali-la-charia-fait-fureur-a-tombouctou-21-06-2012-1476076_24.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
xav25 Posté(e) le 21 juin 2012 Share Posté(e) le 21 juin 2012 Comment réagir (de la part de la communauté internationale d'une part, de l'ONU d'autre part) au vu d'une telle démonstration ?Cela peut également entrainer des conséquences qui peuvent être contradictoires.Si certains pourront y voir une "menace" (je pense par là par exemple en égypte et ce qui peut se produire si les islamistes arrivent au pouvoir) d'autres pourront y voir un exemple à suivre Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
docleo Posté(e) le 22 juin 2012 Share Posté(e) le 22 juin 2012 Les 100 coups de fouet des islamistes à un couple non marié à Tombouctou http://www.malijet.com/thumbnail.php?file=610x__8__554974646.jpg&size=article_large Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FoxZz° Posté(e) le 22 juin 2012 Share Posté(e) le 22 juin 2012 Pensez vous que la France va finir par agir, qu'il est envisageable et possible d'agir ? Avec quels moyens ? Dans quels types d'actions ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 22 juin 2012 Share Posté(e) le 22 juin 2012 Pensez vous que la France va finir par agir, qu'il est envisageable et possible d'agir ? Avec quels moyens ? Dans quels types d'actions ? La réponse est très simple : NON ! La france ne veut plus assumer son rôle de gendarme de l'afrique. De plus, même si elle le voulait, elle ne dispose plus des moyens nécéssaires de le faire . On n'est plus dans les années 80 où la france avait un détachement de plus de 20 000 hommes en Afrique. Les seuls moyens qu'elle pourrait utiliser, ce sera des mesures de rétorsions économiques et rien d'autres. On a pris trop de mauvais coups "médiatique" en côte d'ivoire et surtout au Rwanda. Bref, si un pays pourrait agir, ce ne serait que l'algérie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
habiban Posté(e) le 22 juin 2012 Share Posté(e) le 22 juin 2012 La réponse est très simple : NON ! Bref, si un pays pourrait agir, ce ne serait que l'algérie. L'Algerie n'a pas été associé aux developpements menées en Lybie pour que maintenant elle tient sa part de responsabilité dans l'apres,elle ne pourrait pas non plus faire le role du fantassin de service.Donc il faut negocier ,c'est la seule force encore capable d'aboutir à des resultats satisfaisant pour tous. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 22 juin 2012 Share Posté(e) le 22 juin 2012 L'Algerie n'a pas été associé aux developpements menées en Lybie pour que maintenant elle tient sa part de responsabilité dans l'apres,elle ne pourrait pas non plus faire le role du fantassin de service.Donc il faut negocier ,c'est la seule force encore capable d'aboutir à des resultats satisfaisant pour tous. Quand je disais que l'algérie pourrait agir, je parlais de la seule force militaire sérieuse dans la région qui a les moyens d'intervenir. En effet, dans la région, il n'y a qu'une seule armée puissante, bien équipé, discipliné et surtout capable d'avoir une force de projection hors de ses frontières et c'est l'algérie. Et quand je parle de force de projection, je ne parle pas de zigotos en pick-up avec la mitrailleuse 12,7 à l'arrière. Biensur politiquement, l'algérie n'interviendra jamais dans ce conflit du fait de sa constitution et de sa situation géopolitique avec les touareg. Ce qui est bien dommage, car l'algérie a la possibilité de démontrer son leadership à travers ce conflit. Mais je reconnais que c'est très risqué de s'aventurer dans ce bourbier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Serge Posté(e) le 23 juin 2012 Share Posté(e) le 23 juin 2012 Que l'on laisse les maliens et les touaregs vibrent leur vie. Nous ne sommes qu'au début de la recomposition de la région. Rien n'est encore figé.La France n'a plus a être le gendarme de qui que ce soit. À chaque fois que nous le faisons nous foutons le bordel. Que l'Afrique s'assume même si d'autres puissances risquent d'être tentées par de l'entrisme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 23 juin 2012 Share Posté(e) le 23 juin 2012 Le meilleur moyen d'en finir avec cette vermine c'est de les prendre en tenaille, avec des soldats venant de tout les fronts et les empêcher d'aller en Libye Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
alexandreVBCI Posté(e) le 28 juin 2012 Share Posté(e) le 28 juin 2012 BAMAKO (Reuters) - Les islamistes liés à Al Qaïda ont déclaré jeudi avoir pris le contrôle total du nord du Mali, au lendemain de l'éviction de leurs ex-alliés séparatistes touaregs du MNLA de la ville de Gao. Le groupe local Ansar Dine et ses alliés du Mujao, une dissidence d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), avaient déjà pris le contrôle de la ville de Kidal et de l'ancien comptoir commercial de Tombouctou. Un des membres fondateurs d'Aqmi, Mokhtar Belmokhtar, a été tué lors de la bataille de Gao qui a fait une vingtaine de morts mercredi soir, a annoncé la chaîne de télévision privée algérienne Ennahar. Surnommé "l'insaisissable", Mokhtar Belmokhtar dirigeait l'un des deux bataillons d'Aqmi dans le Sud algérien, à la frontière du Mali. Il est considéré comme étant impliqué dans des enlèvements d'étrangers ces dernières années dans la région. Un responsable d'Ansar Dine à Tombouctou, Oumar Ould Hamaha, a déclaré que les islamistes contrôlaient les trois villes du nord du Mali. "Ils (les hommes du MNLA) se sont tous enfuis. Nous avons décidé de ne pas les poursuivre. (...) Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'ils ne sont même plus dans les faubourgs de la ville", a-t-il ajouté. Les séparatistes touaregs du Mouvement national de libération de l'Azawad, du nom de l'Etat qu'ils veulent fonder dans le nord du Mali, affirment pour leur part que leurs forces ont procédé à une retraite tactique mercredi à Gao et refusent de se déclarer vaincus. "Actuellement, certaines unités du MNLA, stationnées aux frontières de l'Azawad, sont de retour pour débarrasser complètement la ville de Gao des groupes islamistes qui terrorisent la population", déclare le porte-parole du MNLA, Mossa Ag Attaher, dans un communiqué. Aqmi n'a pas confirmé la mort de Mokhtar Belmokhtar. L'islamiste avait été condamné par contumace à la prison à perpétuité en Algérie en relation avec la mort de dix agents des douanes algériens en 2007. La situation dans le nord du Mali devait être à l'ordre du jour d'une réunion de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao) qui se tient jeudi à Yamoussoukro, capitale de la Côte d'Ivoire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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