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Opérations au Mali


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A priori, il ne fallait pas compter de trop sur la capacité de l'Algérie, du Niger et surtout de la Libye à fermer leurs frontières.

La Lybie, ça fait loin quand même en pickup depuis le Mali. Il y a au moins 1000km de désert à parcourir, le long de la frontière Niger/Algérie. Ils bougent bien, ils sont vraiment dans leur élément.

Les déserts sont des océans, incontrôlables par nature, mais où on ne peut vivre et se déplacer indéfiniment sans passer par un détroit ou toucher un port pour recompléter ses ressources. Ce sont ces points de passage et ces zones refuges qu’il faut parvenir à identifier pour empêcher l’adversaire d’en disposer librement.

http://www.valeursactuelles.com/%E2%80%9C-mali-n%E2%80%99-pas-l%E2%80%99afghanistan-d%C3%A9serts-sont-incontr%C3%B4lables%E2%80%9D20130206.html

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[...]

:rolleyes: si c'est avec cela que vous êtes content, alors ...

Ah ! c'était pas comme çà qu'il fallait le comprendre ;) J'ai juste extrait la seule donnée qui paraissait intéressante à mes yeux.

Le reste, je l'ai qualifié  "d'envolée lyrique", ou autrement formulé par toi même, "une communication de guerre à des fins politiques" ayant tendance à grossir la chose de telle sorte que d'aucun jugerait pertinent de la relayer sur ce forum ;)

Maintenant, il écrit ce qu'il veut comme information. Nous reprendrons que ce que nous jugerons intéressant. Le reste, poubelle !

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Comment un type disant connaitre la chose militaire peut se fourvoyer à ce point ?  :P

La Blitzkrieg quand les allemands la déclenche en Mai 1940, il y a une armée régulière de 3 millions d'hommes en face... pas 2000 djihadistes armées de toyota et de bricoles d'anciens chars russo-libyens.

Par ailleurs, ce n'est pas parce que l'Elysée a employé une communication de guerre (à des fins politiques) que l'on a été effectivement en état de guerre avec cette intervention.

Faut quand même garder un certain sens des réalités même si ça a été rapide jusqu'alors.

:rolleyes: si c'est avec cela que vous êtes content, alors ...

Attends, faut pas s'énerver,  :lol: ne prend pas l'article au pied de la lettre. Par "blitzkrieg" il entend non pas des millions d'hommes, des milliers de chars, une percée au centre etc., mais une guerre, quelle qu'elle soit, qui est menée très rapidement et qui bouscule l'adversaire en très peu de temps. Serval correspond à cela. Après le coup d'arrêt très rapide du début à base d'hélicos et d'avions l'on aurait pu avoir une lente montée en puissance des troupes arrivant à Bamako, puis une fois de gros effectifs rassemblés au sud, avoir une avancée méthodique et prudente, genre rouleau compresseur, ligne après ligne, avec des pauses longues entre chaque avancée. Ce ne fut pas le cas. Ce fut même tout le contraire. Tout le monde a été surpris, moi le premier, par la rapidité de l'avancée après la petite pause à Diabali. Après coup on dit oui c'est normal, mais au moment de faire c'est plus compliqué et il y a eu une prise de risque calculée et gagnante quant à la sécurité de nos arrières.  On a tout, de l'intox permanente, des frappes ciblées meurtrières, des lâchers de paras, des posés d'assaut par avions gros porteurs ou hélicos, des raids blindés, des infiltrations de forces spéciales, des débordements systématiques par la 3° dimension, des drones qui filment, des AT2 qui bombardent,, etc. C'est face à un adversaire qui est plus faible certes mais très mobile et c'est le tempo qu'on lui a imposé qui ne lui a jamais permis de reprendre son souffle. C'est du très beau boulot cette opération Serval. A ranger dans les opérations militaires asymétriques exemplaires, non pas par le risque de défaite et de grosses pertes, mais par la souplesse et la rapidité manœuvrière sur le terrain. Je suis d'accord avec JDM.
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Attends, faut pas s'énerver,  :lol: ne prend pas l'article au pied de la lettre. Par "blitzkrieg" il entend non pas des millions d'hommes, des milliers de chars, une percée au centre etc., mais une guerre, quelle qu'elle soit, qui est menée très rapidement et qui bouscule l'adversaire en très peu de temps. Serval correspond à cela. Après le coup d'arrêt très rapide du début à base d'hélicos et d'avions l'on aurait pu avoir une lente montée en puissance des troupes arrivant à Bamako, puis une fois de gros effectifs rassemblés au sud, avoir une avancée méthodique et prudente, genre rouleau compresseur, ligne après ligne, avec des pauses longues entre chaque avancée. Ce ne fut pas le cas. Ce fut même tout le contraire. Tout le monde a été surpris, moi le premier, par la rapidité de l'avancée après la petite pause à Diabali. Après coup on dit oui c'est normal, mais au moment de faire c'est plus compliqué et il y a eu une prise de risque calculée et gagnante quant à la sécurité de nos arrières.  On a tout, de l'intox permanente, des frappes ciblées meurtrières, des lâchers de paras, des posés d'assaut par avions gros porteurs ou hélicos, des raids blindés, des infiltrations de forces spéciales, des débordements systématiques par la 3° dimension, des drones qui filment, des AT2 qui bombardent,, etc. C'est face à un adversaire qui est plus faible certes mais très mobile et c'est le tempo qu'on lui a imposé qui ne lui a jamais permis de reprendre son souffle. C'est du très beau boulot cette opération Serval. A ranger dans les opérations militaires asymétriques exemplaires, non pas par le risque de défaite et de grosses pertes, mais par la souplesse et la rapidité manœuvrière sur le terrain. Je suis d'accord avec JDM.

Oui, mais le mot est maladroit. Faut quand même relever ce passage qui ferait presque office de citation d'officiers Allemands en 40

Comme le dit un proche du ministre de la défense «  l’idée est de tuer le maximum de ces connards ». Dans le temps le plus bref possible. Vous avez dit Blitzkrieg ?

Par ailleurs, les raisons (au demeurant très pertinentes) que tu soulignes ne sont pas celles qu'il avance (même si elles sont complémentaires). En parlant de blitz, il se raccroche à une notion de guerre conventionnelle "classique" dans une analyse sur un conflit asymétrique par excellence. C'est un peu bancal et l'utilisation de la référence presque de mauvais gout et pas très pertinente car il aurait pu écrire quasiment la même tribune en employant le "shock and awe" à la place du "blitzkrieg". Il a la stature pour inventer, définir cette nouvelle notion tactique dans le cadre de ce type de conflit. Mais il n'est pas allé au bout de cette logique, préférant des sentiers déjà battus et rebattus.

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Sans doute mais j'attendrai de voir pour la classer, J'avais quatre ans au début mais la guerre en afghanistan n'avait pas bien commencé ???

Le voyage du Président de la République au Mali, le 2 février, a marqué symboliquement la fin de de la phase de reconquête des villes du fleuve Niger et la scission de l’opération française en deux directions nettement séparées : stabilisation et, faute de meilleur qualitatif, contre-terrorisme.

On se retrouve donc dans une situation similaire à celle de l’Afghanistan au-début de 2002 lorsque, après avoir chassé d'Afghanistan les milices des Taliban, les Américains poursuivaient le combat le long de la frontière avec le Pakistan tandis que se constituait une force de stabilisation à Kaboul.  L’avenir s’annonçait favorable jusqu’à ce que plusieurs erreurs stratégiques soient commises.

La première fut d’avoir confondu l’hôte et le parasite, c’est-à-dire les Taliban et Al Qaïda, et d’avoir persisté à combattre les premiers tandis que les seconds avaient quitté le pays et continuaient à agir en réseau transnational. Les Taliban, organisation tellurique renforcée par le Pakistan et, indirectement, par la présence même de la Coalition, s’est finalement réimplantée dans les provinces pashtounes jusqu’à engluer les forces étrangères. La seconde fut d’avoir engagé un projet très ambitieux de transformation du pays tout en le faisant reposer sur des bases fragiles comme l’alliance initiale avec les seigneurs de guerre ou la mise en place d’une constitution à l’américaine paralysante. L’aide économique, à la fois massive et dispersée, à autant permis le développement de la corruption (et donc rendue encore plus séduisante l’offre administrative talibane « honnête ») que de celui des services sociaux ou éducatifs. La compensation de ces erreurs initiales a alors imposé un engagement croissant de ressources afin de tenter de dépasser les effets négatifs que cette même fuite en avant engendrait. Cette spirale afghane est actuellement dans l’esprit de tous même si personne ne l’évoque ouvertement pour le Mali.

http://lavoiedelepee.blogspot.fr/search?updated-min=2013-01-01T00:00:00-08:00&updated-max=2014-01-01T00:00:00-08:00&max-results=14
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Attends, faut pas s'énerver,   ne prend pas l'article au pied de la lettre. Par "blitzkrieg" il entend non pas des millions d'hommes, des milliers de chars, une percée au centre etc., mais une guerre, quelle qu'elle soit, qui est menée très rapidement et qui bouscule l'adversaire en très peu de temps. Serval correspond à cela. Après le coup d'arrêt très rapide du début à base d'hélicos et d'avions l'on aurait pu avoir une lente montée en puissance des troupes arrivant à Bamako, puis une fois de gros effectifs rassemblés au sud, avoir une avancée méthodique et prudente, genre rouleau compresseur, ligne après ligne, avec des pauses longues entre chaque avancée. Ce ne fut pas le cas. Ce fut même tout le contraire. Tout le monde a été surpris, moi le premier, par la rapidité de l'avancée après la petite pause à Diabali. Après coup on dit oui c'est normal, mais au moment de faire c'est plus compliqué et il y a eu une prise de risque calculée et gagnante quant à la sécurité de nos arrières.  On a tout, de l'intox permanente, des frappes ciblées meurtrières, des lâchers de paras, des posés d'assaut par avions gros porteurs ou hélicos, des raids blindés, des infiltrations de forces spéciales, des débordements systématiques par la 3° dimension, des drones qui filment, des AT2 qui bombardent,, etc. C'est face à un adversaire qui est plus faible certes mais très mobile et c'est le tempo qu'on lui a imposé qui ne lui a jamais permis de reprendre son souffle. C'est du très beau boulot cette opération Serval. A ranger dans les opérations militaires asymétriques exemplaires, non pas par le risque de défaite et de grosses pertes, mais par la souplesse et la rapidité manœuvrière sur le terrain. Je suis d'accord avec JDM.

Ouais, faudrait se mettre dans l'idée, à défaut d'avoir lu Frieser et de savoir que la Blitzkrieg n'a jamais existé comme concept militaire ou ensemble doctrinal (ou même tactique), que le mot "blitzkrieg" est juste un terme de communication pour dire, essentiellement "on fonce et on emballe l'affaire rapidos". Aucune tactique spécifique, aucun concept militaire simple ou compliqué, aucune alchimie géniale de l'art de la guerre, juste un tic de langage et un outil de communication pour se donner un semblant de style à peu de frais (après tout, le terme a été inventé par un écrivain raté, Goebbels, pour des besoins de com), et dire qu'on va vite et que c'était fait exprès et prévu d'avance parce qu'on est géniaux :lol:. "On" étant ici le belligérant faisant sa com.

Pour connaître les résultats concrets de l'opération sur l'adversaire, et non seulement sur les positions reprises: a t-on une évaluation fiable du dommage causé au potentiel de guerre disponible du dit adversaire? Et sur sa capacité à le renouveler?

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Ouais, faudrait se mettre dans l'idée, à défaut d'avoir lu Frieser et de savoir que la Blitzkrieg n'a jamais existé comme concept militaire ou ensemble doctrinal (ou même tactique), que le mot "blitzkrieg" est juste un terme de communication pour dire, essentiellement "on fonce et on emballe l'affaire rapidos". Aucune tactique spécifique, aucun concept militaire simple ou compliqué, aucune alchimie géniale de l'art de la guerre, juste un tic de langage et un outil de communication pour se donner un semblant de style à peu de frais (après tout, le terme a été inventé par un écrivain raté, Goebbels, pour des besoins de com), et dire qu'on va vite et que c'était fait exprès et prévu d'avance parce qu'on est géniaux :lol:. "On" étant ici le belligérant faisant sa com.

Pour connaître les résultats concrets de l'opération sur l'adversaire, et non seulement sur les positions reprises: a t-on une évaluation fiable du dommage causé au potentiel de guerre disponible du dit adversaire? Et sur sa capacité à le renouveler?

On est d'accord tu le sais bien, sur le terme de blitzkrieg, c'est ce que je dis d'ailleurs, en gros ça veut rien dire d'autre que guerre rapide, qui ne "s'enlise" pas... :lol: Moi je ne me focalise pas sur ce terme, mal choisi c'est vrai, mais sur l'idée générale d'une opération pour le moment exemplaire dans sa conduite sur le terrain.
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La Lybie, ça fait loin quand même en pickup depuis le Mali. Il y a au moins 1000km de désert à parcourir, le long de la frontière Niger/Algérie. Ils bougent bien, ils sont vraiment dans leur élément.

Je suis d'accord que les "routes" de la région sont très loin de valoir nos autoroutes, mais 1 000 km en véhicule motorisé c'est pas grand chose.

Je ne connais pas l'état des routes, mais je pense qu'un jour devrait suffire. Éventuellement 2 mais pas plus. On parle de pick up, il doit être assez facile d'embarquer des bidons permettant d'avoir une autonomie suffisante.

Les distances sont peut-être impressionnantes, mais de nos jours il est assez facile/rapide de passer d'un bout à l'autre d'un pays.

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JMT a dit "typiques", pas "atypiques", non ?

C'est un lance-grenades HK AG-36 ou AG-C. La forme de la poignée et la grosse détente sont caractéristiques.  ;)

J'avais pourtant lu "atypiques" au départ, mais je peux me tromper ou mon cerveau m'a joué un mauvais tour.Ce qui par la suite m'a fait tilter sur l'unité, mais comme ECPAD parle de forces spéciales.On va s'en tenir à ça.

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Je suis d'accord que les "routes" de la région sont très loin de valoir nos autoroutes, mais 1 000 km en véhicule motorisé c'est pas grand chose.

Je ne connais pas l'état des routes, mais je pense qu'un jour devrait suffire. Éventuellement 2 mais pas plus. On parle de pick up, il doit être assez facile d'embarquer des bidons permettant d'avoir une autonomie suffisante.

Les distances sont peut-être impressionnantes, mais de nos jours il est assez facile/rapide de passer d'un bout à l'autre d'un pays.

même si il bouge bien ,sa doit pas non plus être facile avec la surveillance qui est faîte ,même si je sais qu'on ne peu pas tout surveillé en terme de moyens ,mais sa doit mettre la pression aux barbus quand même .

donc ils doivent pas forcément courir aussi vite je dirais  =)

Comme le dit un proche du ministre de la défense «  l’idée est de tuer le maximum de ces connards ». Dans le temps le plus bref possible. Vous avez dit Blitzkrieg ?

moi je retiens surtout sa ,l'idée de tuer le maximum de ces connards  =D :lol: :lol: ,j'aime bien la formule  =).

sauf qu'à côté de sa on fait chier pour un foulard quand un proche du ministre de la défense dit de manière pas fine sa pensé  ...

s'est marrant là sa ne choque pas ...

faudrait lui collé 40 jours tient ...

vu que l'exemple vient d'en haut ,je lui en collerais 40 de + tient même si j'aime cette formule qu'il a dit .

perso je suis d'accord avec se que dit se proche du ministre de la défense ,mais de l'autres s'est à y perdre la tête quand on voit la moral qu'on veut instaurer dans la communication ...

si je veux jouer sur les mots ,ben il n'avait qu'à dire :l'idée est de détruire l'ennemi .

sa faisait plus soft vu qu'ils aiment bien se style de communication ,mais le légionnaire et son foulard on le fait chier ...

deux poids deux mesures on dirait ,s'est vrai que sa va passé inaperçus car s'est pas une photo ,mais bon ...

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La Lybie, ça fait loin quand même en pickup depuis le Mali. Il y a au moins 1000km de désert à parcourir, le long de la frontière Niger/Algérie. Ils bougent bien, ils sont vraiment dans leur élément.

http://www.valeursactuelles.com/%E2%80%9C-mali-n%E2%80%99-pas-l%E2%80%99afghanistan-d%C3%A9serts-sont-incontr%C3%B4lables%E2%80%9D20130206.html

Citation

"Les déserts sont des océans, incontrôlables par nature, mais où on ne peut vivre et se déplacer indéfiniment sans passer par un détroit ou toucher un port pour recompléter ses ressources. Ce sont ces points de passage et ces zones refuges qu’il faut parvenir à identifier pour empêcher l’adversaire d’en disposer librement."

Mince, un peu plus haut je m'inquiétais que les responsables en charge (du coté politique et diplomatique il est vrai) ne connaissent pas la région et soient pour tout dire incultes sur le sujet.

Et là, j'apprends que le général commandant Serval lit L'islam noir de Monteil, et il file la métaphore maritime initiée par Lawrence d'Arabie dans son bouquin sur La révolte dans le désert. Au temps pour moi.

Lawrence, c'est certes un peu un passage obligé pour tout officier appelé à un commandement sur un théâtre désertique, mais bon, quand même. Saint-Quentin avait en plus été remarqué à l’École de guerre pour ses écrits... Un officier cultivé, écrivain et stratège, du tout bon.

Du coup je suis largement optimiste pour la suite. =)

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Et en plus depuis  Lawrence d'Arabie on a quant même largement perfectionné l'aviation de reconnaissance, inventé le radar SLR, GMTI, le satellite, les camera IR etc.. Ce qui doit permettre de suivre à la trace bon nombre d'adversaire. Même avec Google Earth on peut faire une partis du boulot, un 4x4 ça laisse de belles traces dans le désert.

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Et en plus depuis  Lawrence d'Arabie on a quant même largement perfectionné l'aviation de reconnaissance, inventé le radar SLR, GMTI, le satellite, les camera IR etc.. Ce qui doit permettre de suivre à la trace bon nombre d'adversaire. Même avec Google Earth on peut faire une partis du boulot, un 4x4 ça laisse de belles traces dans le désert.

certes ,mais si on peu faire une partie du boulot avec google ,je pense qu'on devrait tous filé un coup de main à nos militaire non ?  ;)

faut pas se leurré ,sa reste immense à surveillé un désert quand même  ;)

on a la technologie mais sa ne peu pas tout contrôlé  ;)

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http://lemamouth.blogspot.fr/2013/02/serval-lactu-de-nos-allies.html

Les Danois et les Allemands se font cartonner par des piafs en vols, les Américains font faux bonds avec leurs ravitailleurs pour les mêmes raisons que nous, et les Italiens font la paperasse administrative pour qualifier leur ravito pour nos chasseurs.

J'imagine bien que ce sont là les aléas des OPEX et donc j'ai envie d'en rire plutôt que d'en pleurer  :happy:

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Dans le désert, sans eau on va pas loin.  Alors on peut le comparer à l'océan, mais il faut de temps en temps s'approvisionner comme en mer. Plutôt que fouiller ses immensité autant essayer de savoir où il peuvent se ravitailler. Enfin c'est ce que je ferais.

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Et en plus depuis  Lawrence d'Arabie on a quant même largement perfectionné l'aviation de reconnaissance, inventé le radar SLR, GMTI, le satellite, les camera IR etc.. Ce qui doit permettre de suivre à la trace bon nombre d'adversaire. Même avec Google Earth on peut faire une partis du boulot, un 4x4 ça laisse de belles traces dans le désert.

Bien sûr. Un peu comme le porte-avions a révolutionné la guerre maritime.  =)

Pour continuer la comparaison.

Sinon, il commande bien au niveau opératif, Barrera s'occupant du niveau tactique si j'ai bien compris, et Castres du niveau stratégique.

D'ailleurs sa réflexion dans l'article est bien opérative, il cherche à détruire le système adverse (en occupant les "ports" et les "détroits" pour détruire sa capacité de ravitaillement, et donc sa mobilité, cœur du système adverse). Barrera lui s'occupe de remporter les "batailles" de Gao, Tombouctou, Kodal, Tessalit etc..

A noter qu'on a donc ouvertement adopté l'art opératif au point d'avoir un Etat-Major dédié derrière Saint-Quentin j'imagine, c'est récent au fait ? C'était déjà le cas pour la Lybie, pour la Côte d'Ivoire ?

C'est réconfortant de voir que la réflexion sur la stratégie évolue dans l'armée française.

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