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F-22


rayak

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On est encore très loin de savoir faire des ordi aussi puissants que des cerveaux. Très Très loin. On commence à peine à comprendre comment marche vaguement le cerveau.

Et c'est pas parce qu'on est capable de fabriquer ce qui ressemble à un neurone qu'on est capable de fabriquer un cerveau ou qqch qui y ressemble.

C'est comme si on disait que comprendre comment fonctionne un atome permet de comprendre comment fonctionne une voiture...

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Ils ont mieux les USA, un F22 équipé d'un ordinateur neuronal, ce qui veux dire:

Des recherches sont effectué pour doté les F22 d'un cerveaux, ce sont des recherches sur des ordinateurs combinant des neurones et des puces aux siliciums, le tout noyés dans un gel. Ce gel lui permet de s'affranchir des chocs et des G.

L'ère des machines s'approchent à grand pas et les pays les plus riches enverrons des terminators pour les missions de l'Onu aux lieux de gaucher la précieuse vie de nos soldats. 

tu la trouvé ou cette info !
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:lol: :lol: :lol:

Quand tu as dit ça au début, je me suis dit "il parle quand même pas de ça ?"

Ha ben si...  :lol:

Ces recherches n'ont absolument pas pour but de créer un ordinateur neuronal pour F-22. Ils ont juste fait tourner un simulateur d'avion pour montrer que leur technologie de contrôle de neurones fonctionnait. En l'occurrence, un simple simulateur commercial grand public, pas un vrai simulateur. Le choix d'un simulateur de F-22 n'a été fait que parce que ça fait mieux dans les médias, mais ça n'a aucun rapport avec une éventuelle application.

Tout ce qu'a fait le système dans ce cas, c'est remplacer le joystick, et le but n'est pas de créer un "ordinateur neuronal" mais simplement d'étudier les interactions des neurones.

@+, Arka

PS : Chic, des biotechnologies, je peux pas souvent parler de ma spécialité ici =)

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Quand tu as dit ça au début, je me suis dit "il parle quand même pas de ça ?"

Ha ben si...  :lol:

Ces recherches n'ont absolument pas pour but de créer un ordinateur neuronal pour F-22. Ils ont juste fait tourner un simulateur d'avion pour montrer que leur technologie de contrôle de neurones fonctionnait. En l'occurrence, un simple simulateur commercial grand public, pas un vrai simulateur. Le choix d'un simulateur de F-22 n'a été fait que parce que ça fait mieux dans les médias, mais ça n'a aucun rapport avec une éventuelle application.

Tout ce qu'a fait le système dans ce cas, c'est remplacer le joystick, et le but n'est pas de créer un "ordinateur neuronal" mais simplement d'étudier les interactions des neurones.

@+, Arka

PS : Chic, des biotechnologies, je peux pas souvent parler de ma spécialité ici =)

Pourquoi ne pas avoir choisie un autre type d'avion, pourquoi la Darpa fait des recherches dessus?

C'est juste pour faire jolie ou pour crée un process?

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Pourquoi ne pas avoir choisie un autre type d'avion, pourquoi la Darpa fait des recherches dessus?

C'est juste pour faire jolie ou pour crée un process?

Juste pour faire joli (et parce que les simulateur commerciaux metant un scène un F-22 sont aussi parmi les moins réaliste et donc les plus simple à contrôler)

@+, Arka

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Heu je voulais te demandé vus que t es du domaine arka, c est possible actuellemant de faire ce genre de melange, solution de gel contenant puce+ neurones ? lol ca me semble un peut cocktail tout ca...

Oui, et non, ça dépend ce que tu entend par là :

Les études sur les neurones se font parfois via du matériel électronique qui sont mis en contact avec des neurones, on peux donc dire que d'une certaine manière des puces et des neurones sont mit ensemble dans un "gel" en l'occurrence un milieu nutritif, car un gel, en biologie, ça sert pas à grand chose, et ce milieu n'a pas pour but de permettre d'encaisser des G et des chocs, juste de nourrir le(s) neurone(s) pendant le peu de temps où ils vont survivre hors d'un corps (parce que bon, un neurone, ça a pas une durée de vie prodigieuse in-vitro).

Mais il ne s'agit que d'un moyen permettant l'obtenir en contact entre le ou les neurones et le système de mesure, ce n'est pas une finalité. Il ne s'agit pas d'un ensemble cohérent de systèmes de calculs différents dont l'efficacité serait au final boosté. D'ailleurs, dans l'état actuel des choses, on ne peux pas fabriquer un calculateur avec des neurones, tout simplement parce que l'on ne comprend pas encore pleinement le fonctionnement des neurones en réseau. Il existe des système simplifiés, mais qui n'existent que pour des simulations informatiques (non, je suis injuste, parfois des systèmes informatique bien réel sont doté d'une structure dites neuronales pour résoudre des problèmes, mais ces systèmes bien qu'inspiré du fonctionnement des neurone, en restent très éloigné quand au fonctionnement réel qui est quelque chose d'extrèmement complexe).

@+, Arka

  • Merci (+1) 1
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Yes Arka, j'ai plein de question à poser sur la mitochondrie, les nucléosomes, les complexes southern/western blot...  =D

Plus sérieusement, pourquoi ne pourrait-on pas faire une sorte d'avion télécommandé (c'est-à-dire reconstitution du cockpit en intégral en numérique) de la trempe du F-22 (Cela permettrait un emport plus grand en soute en supprimant le cockpit et éviterait de perdre des pilotes, d'encaisser un nombre de G beaucoup plus grand...).

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Dans l'état actuel des choses, on ne peux pas fabriquer un appareil automatique faisant de l'air-air. À vrai dire, même les quelques appareils d'attaque au sol automatique ne le sont pas pleinement (il y a un opérateur derrière) et l'attaque au sol est quelque chose qui demande une réactivité bien plus faible que l'air-air.

@+, Arka

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El problème dans ce cas c'est que la liaison, en général satellitaire pour des appareils de se gabarit, impose des délaits de transmitions totalement incompatible avec le combat aérien.

@+, Arka

Pour donner une idée le délai de transmission physique aller retour avec un seul saut satellite ... soit environ 144 000 km ... a la vitesse de la lumière - grosso modo la vitesse des onde électromagnétique dans le vide - est d'une demi seconde ...

Donc entre le moment ou le censeur du drone reçoit quelques chose et le moment ou la réponse du centre de contrôle lui revient ... il s'écoule au moins une demi seconde. soit au moins une demi seconde de plus qu'avec le pilote dans l'avion ... et cette demi seconde c'est sans compter la latence des engin de transmission qui servent de relai au niveau du drone au niveau du satellite et au niveau de la commande ... le tout fois deux ... Au final on doit arriver a pas loin d'une seconde de latence technique en plus par rapport a un pilote dans l'avion.

Pour du CAS ou du combat aérien pour le moment c'est rédhibitoire. Pour des missions plus calme ou plus prévisible c'est envisageable.

On peu ajouter comme probleme le brouillage/panne soit du relai soit du drone lui même ... qui impose un mode autonome au drone en plus du mode piloté.

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Oui, ce que j'évoque c'est justement un semi-drone ("télécommandé mais sans pilote dedans).

El problème dans ce cas c'est que la liaison, en général satellitaire pour des appareils de se gabarit, impose des délaits de transmitions totalement incompatible avec le combat aérien.

Pour donner une idée le délai de transmission physique aller retour avec un seul saut satellite ... soit environ 144 000 km - est d'une demi seconde ...

Si le problème pour concevoir un "semi-drone télécommandé à distance et sans pilote dedans", c'est le fait que la liaison par satellite entraîne un délai de latence d'une demi-seconde, alors il suffit de rapprocher le semi-drone de l'endroit depuis lequel on le "pilote à distance", non ?

On peut imaginer au moins trois types de semi-drones dédiés au combat :

  • Un appareil de supériorité aérienne type F-22. On pourrait le contrôler depuis un autre appareil qui resterait un peu en retrait, hors de portée des chasseurs adverses, comme le font les AWACS et J-STAR, et la liaison se ferait directement entre les deux appareils par ondes radio. Ou alors ne pourrait-on pas effectuer une liaison satellite avec des satellites en orbite basse (entre 200 et 2000 km d'altitude) ?
  • Un appareil de CAS type A-10 : il suffit de prévoir une station de contrôle depuis un véhicule blindé par exemple, à quelques km de la zone de combats. Eventuellement une première station de contrôle se charge d'amener l'appareil depuis sa base aérienne à la zone de combat, par liaison satellite, jusqu'à ce que la station de contrôle du véichule blindé prenne le relais sur place pour les manoeuvres de combat.
  • Un appareil de CAS beaucoup plus petit, à autonomie réduite, et lancé depuis un véhicule, qui accompagne une unité de combat ou un convoi : si une attaque survient, le semi-drone est lancé et piloté depuis son véhicule lanceur, pendant le temps de l'attaque.
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Si le problème pour concevoir un "semi-drone télécommandé à distance et sans pilote dedans", c'est le fait que la liaison par satellite entraîne un délai de latence d'une demi-seconde, alors il suffit de rapprocher le semi-drone de l'endroit depuis lequel on le "pilote à distance", non ?

En fait pour faire du "au dela de l'horizon" il faut un ou plusieurs relai. Le plus simple c'est le satellite de communication géostationnaire qui traine a 36 000 kilometre au dessus du champ de bataille.

Apres il existe d'autre type de relai possible comme un autre avions a haute altitude et longue endurance comme les "planeurs" stratosphérique, ou d'autre drone HALO équipé communication, mais c'est tout de suite plus compliqué a mettre en oeuvre sur le terrain. La latence des com tombe a des valeur raisonnable ... mais a mon avis encore incompatible avec du combat air air ... pour dispenser des munition guidé par contre pas de probleme, pareil pour la reco etc. Reste qu'il faut toujours prevoir le coup de la rupture de com' par panne ou brouillage externe et donc conserver un mode full auto au drone ... donc on en reviens au probleme d'autonomie des drone. Ca c'est dans le cadre d un usage massif ... si c'est quelques drone par ci par la les probleme d'insertion dans le traffic etc pose moins de probleme.

On peut imaginer au moins trois types de semi-drones dédiés au combat :

  • Un appareil de supériorité aérienne type F-22. On pourrait le contrôler depuis un autre appareil qui resterait un peu en retrait, hors de portée des chasseurs adverses, comme le font les AWACS et J-STAR, et la liaison se ferait directement entre les deux appareils par ondes radio. Ou alors ne pourrait-on pas effectuer une liaison satellite avec des satellites en orbite basse (entre 200 et 2000 km d'altitude) ?

Le controle avion vers avions est la methode envisagé sur les projet UCAV ... dans le sens controle on entend plutot des ordres précis ... comme ce qu'on donnerai a un chien de travail. l'execution des ordre ce faisant grace a IA du drone ... genre largue une GBU sur le point X Y altitude bidule vecteur d'approche machin.

On peu imaginer le meme genre d'ordre pour le combat BVR ... mais c deja plus compliqué.

Pour la ComSat basse altitude ... je suis dubitatif a cause des coute et de la complexité du roaming ... il faut en effet sauter d'un satellite a un autre les temps de passage des satellite etant souvent des quelques dizaine de minutes pas plus. On gere ca pas trop mal avec les GSM et autres meme, mais je suis pas sur que pour de l'aero on accepte une QOS pas absolument garantie.

  • Un appareil de CAS type A-10 : il suffit de prévoir une station de contrôle depuis un véhicule blindé par exemple, à quelques km de la zone de combats. Eventuellement une première station de contrôle se charge d'amener l'appareil depuis sa base aérienne à la zone de combat, par liaison satellite, jusqu'à ce que la station de contrôle du véichule blindé prenne le relais sur place pour les manoeuvres de combat.

  • Le plus simple pour de CAS NLOS ... c'est d'utiliser un relai terrestre effectivement ou aero avec un autre drone relai plus petit. Mais la aussi ... il faut que le "pilote" puisse compter sur l'IA du drone pour rentre la tache de pilote facile dupuit une console informatique qui est tres tres différente du ressenti du cockpit. On risque d'avoir un pilotage tres assisté ... presque typé arcade ... ou le pilote et l'opérateur reco/armement peuvenet se concentrer sur la tactique et laisser le pilotage pur au drone.

  • Un appareil de CAS beaucoup plus petit, à autonomie réduite, et lancé depuis un véhicule, qui accompagne une unité de combat ou un convoi : si une attaque survient, le semi-drone est lancé et piloté depuis son véhicule lanceur, pendant le temps de l'attaque.
  • La on a l'idée de drone jetable ... en gros des drone/missile qui servent de guet aerien ... le temps qu'il faut et qu'on peut jeter sur une cible si besoin en attendant la cavalerie.

    Pour ca un Humvee avec un container netfire sur son plateau fait l'affaire ... c'est cher mais ca donne 15 drone avec une capacité de guet d'une bonne heure et la puissance d'un hellfire. On peu imagine le meme principe plus typé guet et moins armé. Ou un projet du meme type avec des drone non armé récupérable ... et des drone kamikaze jetable mais sans le loitering.

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    La modération annonce le bannissement de Tibère2 pour référence à une film abominable  =D

    allez, on revient au F22, il doit déjà y avoir des sujets sur les avions sans pilotes et les contraintes qui découlent de tels appareils.

    Lol !

    Si tu dis que ce film est une daube, c'est bien que tu as fait l'effort de le regarder ! :O

    Par contre la plastique de la pilote femme n'est pas du tout abominable, là ce n'est pas du virtuel   =D

    Fin du Hs.

    ;)

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    Il y a une discussion interessante sur MP.net dans le topic EF2000 a propos du EF2000 VS. F22 et ca a tourner en Eurocanards + Meteors contre F35 et F22 avec Aim 120... Et beaucoup pensent que le "network intergration" des Eurocannards est bien meilleure que celle des jets US.

    Puis quelq un a poster cet articles:

    F-22 and F-35 Suffer From Network Gaps

    http://www.aviationweek.com/aw/generic/story_generic.jsp?channel=dti&id=news/DTINETS.xml&headline=F-22%20and%20F-35%20Suffer%20From%20Network%20Gaps

    Quand je vous disai que le F22 avait des carrences en L16 :)

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    • 2 weeks later...

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