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debonneguerre

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Et les pays qui font ça en sont où ?

Au niveau de l'ère de la charrette. C'est très courant en effet.

Et pour la guerre, moi, ça ne m'amuse pas du tout. Et encore une fois tu mélanges absolument tout sans jamais aller dans le détail des conséquences. Il n'y a aucun rapport entre honorer sa dette et amoureux une monnaie cohérente avec son environnement économique.

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La FED annonce aujourd'hui la fin du QE.

Il faudra voir les faits.

 

La fin du QE c'est un signal.

Pas sur que les marchés frémissent.

 

Le QE est-il mort... et enterré ?

 

Le doute est permis.

 

Fed : n’enterrez pas tout de suite le QE… ou la dette

 

Le Financial Times a annoncé la fin avant même qu’elle se produise. Lundi, il titrait : "RIP, QE… la mort discrète d’une politique monétaire américaine radicale".

Mais la Fed doit être prudente. Si elle annonce que l’assouplissement quantitatif est vraiment mort, elle déclenchera probablement des scènes indécentes, avec des gémissements et des pleurs sur les marchés. Les investisseurs ressentiront un profond sentiment de perte.

 

Le problème avec la mort, c’est qu’elle est permanente. Les morts le restent. Et si les investisseurs pensent que le QE ne se relèvera jamais, ils pourraient perdre espoir. Ou se sentir trahis. Rappelez-vous, la Fed a toujours été le boute-en-train de la fête. C’est le crédit des banques centrales qui a nourri l’expansion boursière des cinq dernières années. Si le QE s’en va fumer les mauves par la racine… il en ira très probablement de même pour le marché haussier. La fête est finie, en d’autres termes. Les prix des actions vont sans doute enfiler leur manteau, mettre leur chapeau et retourner là d’où ils viennent.

 

Une résurrection à prévoir…

 

(...)

 

C’est pour cette raison que nous ne jetterions pas tout de suite la première poignée de terre sur le cercueil du QE. Il n’est peut-être pas entièrement mort. Dès que les gros titres sonneront l’alarme — annonçant que le marché boursier a craqué… ou que l’économie coule — nous assisterons probablement à sa résurrection.

 

terminator.jpg

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Et en Europe, la France est la première concernée par cette remontée.

Pas vraiment. Elle est concernée au même titre qu'un certain nombre d'autres. Pourquoi à chaque fois charger la mule de façon gratuite. Tu aimes bien l'autoflagellation ?? adepte du french-bashing ? chantre de Zemour ?

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Et en Europe, la France est la première concernée par cette remontée.

 

L'avenir est toujours aussi difficile à prédire qu'il l'a toujours été  :) ... cela dit ce n'est pas encore le cas à date d'aujourd'hui. Voir l'historique de l'OAT 10 ans sur les 2 dernières années : il demeure au plus bas.

 

Les taux peuvent tout à fait remonter oui. Mais pourquoi la France serait-elle la première concernée ? Elle est plutôt au milieu du peloton pour ce qui est de l'endettement et du déficit public.

 

Ce que j'imagine est plutôt que les premiers pays à se trouver pris dans un mouvement haussier des taux - des pays plus fragiles que la France - pourraient avoir un effet déstabilisant sur l'ensemble, par l'intermédiaire des banques. Et notamment sur la France, vu son gros secteur bancaire, qui travaille sous garantie implicite de l'Etat. Ceci dans le cas où la planche à billets ne serait pas rendue disponible au profit des banques par la BCE, c'est-à-dire si ça "coinçait" trop du côté allemand et que Berlin bloquait.

 

Enfin on verra... pas mal de scénarios sont imaginables.

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Pas vraiment. Elle est concernée au même titre qu'un certain nombre d'autres. Pourquoi à chaque fois charger la mule de façon gratuite. Tu aimes bien l'autoflagellation ?? adepte du french-bashing ? chantre de Zemour ?

Parce que notre taille critique est telle qu'en cas de problème nous faisons tout exploser.

Et permet moi de rire quand quand je lis les dénonciations du French-bashing. Quand on en est à truquer nos comptes publics comme on l'a fait la semaine dernière, c'est qu'on est des "merdes". Et je reste soft.

Modifié par Serge
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Enfin on verra... pas mal de scénarios sont imaginables.

La réponse viendra du comportement de la FED.

De plus, depuis son QE, nous sommes entrés dans une phase de l'histoire économique qui est une inconnue totale. La seule certitude est qu'il y aura une correction. Le problème est sa manifestation. Correction violente et 2008 passera pour du pipi de chat. Correction lente sur plusieurs décennies.

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Parce que notre taille critique est telle qu'en cas de problème nous faisons tout exploser.

 

Ton lien de causalité est bizarre ou tu ne vas pas au bout de ton raisonnement.

On est plus exposé parcequ'on est gros c'est bien ce que je lis ?

Non sens à moi que tu ne sous entendes que l'on serait spécifiquement ciblé pour faire écrouler l'édifice

En gros tu n'es pas clair.....

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Je me suis mal exprimé.

Nous avons deux problèmes :

- l'environnement interne économique français est à bout de souffle. Et non contents, le gouvernement empire les choses avec son clientélisme et ses relances incessantes de la lutte des classes au lieux de laisser les individus reprendre leur liberté. Vu nos taux d'imposition, de redistribution et de dépense publique, nous sommes faibles.

- si la France flanche, sa part au sein de l'UE est telle que tout l'UE s'effondrera. C'est aussi le cas de l'Italie et l'Espagne mais dans ces deux cas, on est au courant. En France, nous sommes simplement dans un dénie de réalité.

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Les autorités ne seront pas prises par surprise puisqu'elles ont accès à toutes les données des services de l'état.

Les élus sont justes figés par une posture idéologique pour des raisons clientélistes. Ils vivent encore au temps de la lutte des classes, rien de plus. Ils souffrent d'une méconnaissance étendue dans tout ce qu'ils touchent.

Ils vivent surtout dans la conviction que l'Etat fait le pays, ce qui est absurde. L'Etat a des missions que lui seul peut exécuter (même si en fait c'est à nuancer) et il y a tout le reste où il n'a rien à faire.

Notre faiblesse, pour la France, tient à ce que nous faisons tout par redistribution et crédit. Aussi, en cas de choc, il n'existe pas de réserve pour lisser l'événement. C'est pour cela qu'il fait changer cette habitude pour passer à des mécanismes de capitalisations qui, par nature, son autrement plus robustes et ne déclenchent jamais de crises générales mais seulement sectoriel.

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Mais de ce fait, est-ce qu'il y a un "plan de secours" en cas de faillite de l'Etat (si les décideurs sont conscients de ce qui se prépare) ?

 

Sinon, un article intéressant sur l'économie numérique, peu créatrice d'emplois. La croissance ne viendra pas de là, c'est déjà sûr. 

 

Une conclusion très claire : "En fait, contrairement aux révolutions industrielles passées, l’économie numérique crée de la valeur, mais peu d’emplois."

Modifié par Kiriyama
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au lieux de laisser les individus reprendre leur liberté.

 

Serge, Serge, Serge.

Tu as toujours le même problème : tu avances des choses qui sont teintées d'idéologie ce qui noie ton discours dans des monçeaux de non sens.

Aussi, en cas de choc, il n'existe pas de réserve pour lisser l'événement. C'est pour cela qu'il fait changer cette habitude pour passer à des mécanismes de capitalisations qui, par nature, son autrement plus robustes et ne déclenchent jamais de crises générales mais seulement sectoriel.

 

faux et faux

Les réserves existent ne serait ce que sous forme du volume d'épargne des français. Après y accéder et l'utiliser est une autre chose.

Ensuite quand je lis que la capitalisation est autrement plus robuste, on dirait que tu as raté le match de 2008 (entre autre)

Que le gouvernement (celui ci et le futur) aient du pain sur la planche niveau réforme, on est d'accord (y compris réforme de mentalité) mais merci de ne trop en faire dans la manière dont tu présentes les choses.Ca décrédiblise ton discours. Parceque tu nous balance un point de vue extreme qui ne convainc que toi.....

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Les réserves existent ne serait ce que sous forme du volume d'épargne des français. Après y accéder et l'utiliser est une autre chose.

 

C'est là le danger que j'évoquais plus haut : le gouvernement peut décider d'aller se servir directement dans l'épargne des citoyens pour se renflouer.

Modifié par Kiriyama
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Serge, Serge, Serge.

Tu as toujours le même problème : tu avances des choses qui sont teintées d'idéologie ce qui noie ton discours dans des monçeaux de non sens.

faux et faux

Les réserves existent ne serait ce que sous forme du volume d'épargne des français. Après y accéder et l'utiliser est une autre chose.

Ensuite quand je lis que la capitalisation est autrement plus robuste, on dirait que tu as raté le match de 2008 (entre autre)

Que le gouvernement (celui ci et le futur) aient du pain sur la planche niveau réforme, on est d'accord (y compris réforme de mentalité) mais merci de ne trop en faire dans la manière dont tu présentes les choses.Ca décrédiblise ton discours. Parceque tu nous balance un point de vue extreme qui ne convainc que toi.....

T'écris ça et tu veux parler d'idéologie ?

2008 n'a rien à voir avec la capitalisation.

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Sinon, un article intéressant sur l'économie numérique, peu créatrice d'emplois. La croissance ne viendra pas de là, c'est déjà sûr. 

 

Une conclusion très claire : "En fait, contrairement aux révolutions industrielles passées, l’économie numérique crée de la valeur, mais peu d’emplois."

Si une industrie créé de la valeur, elle crée de l'emploi par la distribution de celle-ci dans les salaires et dividendes. Les salaires, plus haut, permettent aux employés du secteur d'acheter plus de services dans leur quotidien. Ils créent alors bien des emplois.
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C'est là le danger que j'évoquais plus haut : le gouvernement peut décider d'aller se servir directement dans l'épargne des citoyens pour se renflouer.

Capter l'épargne, c'est détruire l'économie.

L'épargne n'est pas stocker sous forme liquide dans un coffre géant comme chez Picsou. L'épargne individuelle est en fait transformé en capital aux entreprises. C'est pour cela qu'il y a rendement d'ailleurs.

Si le gouvernement en faillite chyprait l'épargne, ce processus de décollecte détruire du capital. Le résultat serait donc catastrophique.

Mais je ne doute qu'il y en ai un qui réponde "idéologie". Ce mot de la pensée magique contemporaine qui évite de développer des arguments, faire des démonstrations... Employer la raison en somme.

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Si une industrie créé de la valeur, elle crée de l'emploi par la distribution de celle-ci dans les salaires et dividendes. Les salaires, plus haut, permettent aux employés du secteur d'acheter plus de services dans leur quotidien. Ils créent alors bien des emplois.

 

Oui, mais la quantité d'emplois créés n'est plus en rapport avec les sommes d'argent (la valeur des entreprises).

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La capitalisation n'est rien d'autre que l'accumulation de capital. Cela ne va pas plus loin.

A l'échelle individuelle, c'est l'épargne.

La crise de 2008 est une crise de titrisation. Mécanisme qui mélange des actifs risqués (nommés à juste titre: actifs pourris) avec des actifs viables (en fait beaucoup moins risqués. L'absence de risque n'existant pas.). Ce mécanisme est nocif car il prend la moitié de l'un, le mélange avec la moitié de l'autre pour fabriquer un nouvel actif présenté comme sein alors qu'il est pour moitié pourri. Ce nouvel actif n'est en rien viable et c'est ce qui a exploser.

Ici, ces actifs pourris sont les prêts immobiliers faits à des ménages insolvables. Or, il y a un principe intangible "on ne prête qu'aux riches". Lire les correspondances entre Bastia et Proudhon à ce sujet.

Certains accuseront les banques américaines. Pourquoi pas ! Après tout, c'est elles qui l'on fait. Je réponds alors qu'elles doivent faire faillite.

Or, il y a un détail que beaucoup ignorent : pour exister, ce mécanisme de titrisation doit être était garanti par deux organismes financiers Fanny Mae et Freddy Mac. Ce soir, je reposterais les liens qui expliquent leur fonctionnement et surtout leur origine.

Si un libéral se permet de dire que 2008 n'a rien à voir avec le libéralisme, le capitalisme, c'est parce qu'il sait que F&F sont des outils de l'interventionnisme d'état américain. Et l'interventionnisme n'a, par définition, rien de libéral.

2008, c'est une triple crise :

- les subprimes (qui ne sont pas toutes détruites à ce jour, continuant leur effet toxique.) ;

- le surendettement des états ;

- et pour l'UE la crise de l'Euro (mais son importance est bien moindre).

L’épargne n'est pas forcement productive, notamment elle fait monter le prix de l'immobilier et la bourse. Si cette masse d'épargne était entièrement investie dans la production ou la consommation locale on serait en situation de plein emploi.

Réduit les impôts sur le capital et l'épargne ira dans le capital productif.

De plus, depuis Rome on sait qu'en période de taux bas les investisseurs arbitrent vers l'immobilier faisant monter ses prix.

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La fin programmée du secret bancaire est en marche (?) :

 

http://www.sudouest.fr/2014/10/30/secret-bancaire-80-pays-dont-la-suisse-s-associent-pour-y-mettre-un-terme-1720689-705.php

 

Quelque 5.800 milliards d'euros seraient dissimulés dans les paradis fiscaux, soit un manque à gagner de 130 milliards par an pour les administrations fiscales du monde entier,

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