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Frappes aériennes sur le Mali


DarkSablo

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Tiens, sur "le mammouth", on indique les F1 du Savoie on fait une passe canon sur un Bmp-3 pirate (il y a peut être une erreur d'identification, je ne pense que le Mali a ce type de blindé).

le F1CR est aussi le seul à pouvoir tirer la bombe airburst, qu'il a emporté en quatre exemplaires début février.

cité sur la même source, une idée du pourquoi cette exclusivité ?
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Je parie que c'est tout simplement parce que les moyens (financiers, humains, techniques, etc.) dédiés à l'intégration d'armements sur les différentes plateformes de l'AdA sont limités et qu'il n'a pas été jugé prioritaire voir même nécessaire de l'intégrer sur 2000D ou Rafale.

D'ailleurs, comme il me semble avoir entendu le chiffre de plus de 200 bombes larguées, est-ce vraiment utile de l'intégrer sur de nouvelles plateformes ?

Après tout, ça ne représente que 2% des bombes larguées dans ce théâtre.

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http://www.opex360.com/2013/02/18/serval-en-un-mois-laviation-francaise-a-effectue-pres-de-1-000-sorties-aeriennes/

Image IPB

posté sur l'autre post "MALI"

il me vient une question : les BGL doivent "accrocher" la tâche laser pour être guidée dessus , quand la bombe est dans une soute ca fonctionne comment ? Il faut ouvrir la soute et "choper" la tache puis larguer? Ou on largue et la bombe ce débrouille ?

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Solution N°2. A condition d'être dans la zone qui doit être assez petite pour les Atl 2.

merci !

mais alors dans ce cas là comment faire du multicibles ?

et il suffit alors a la cible d illuminer une zone non essentielle pour que les bombes ennemi filent vers ce point ?

j'avoue ne m'être jamais posé ces questions ! :-[

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merci !

mais alors dans ce cas là comment faire du multicibles ?

Si il n'y a qu'un cibleur laser, c'est du coup par coup.

et il suffit alors a la cible d illuminer une zone non essentielle pour que les bombes ennemi filent vers ce point ?

j'avoue ne m'être jamais posé ces questions ! :-[

Non, car il y a échange codé entre le porteur de la bombe et le porteur du laser ce qui fait que la bombe est guidée que par le laser ami(qu'il soit d'un pod aéroporté, d'un TACP, d'un drone). Il est peut-être possible de pirater le signal mais le temps serait bien trop court pour cela et encore faudrait-il avoir le matos.

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http://www.opex360.com/2013/02/18/serval-en-un-mois-laviation-francaise-a-effectue-pres-de-1-000-sorties-aeriennes/

Image IPB

posté sur l'autre post "MALI"

il me vient une question : les BGL doivent "accrocher" la tâche laser pour être guidée dessus , quand la bombe est dans une soute ca fonctionne comment ? Il faut ouvrir la soute et "choper" la tache puis larguer? Ou on largue et la bombe ce débrouille ?

A la base, les BGL sont des bombes. On doit donc les larguer approximativement sur une trajectoire balistique qui les amène sur la cible.

Dans cette zone, elles vont accrocher la tâche laser. Comme leur capteur a un angle limité, la bombe doit arriver dans le cône de même angle partant de la cible vers le haut. je crois donc que l'on dit qu'il faut mettre la bombe dans le panier par analogie avec le basket ...

Je ne connais ps trop les détails, mais je crois que la tâche laser de désignation clignote en respectant un certain code connu de la bombe. Je ne sais pas si c'est réglé avant le vol ou échanger en vol entre le pod et la bombe. Sinon, un système de défense très simple serait évidemment de faire une tâche laser à côté de la cible voir tout simplement un leurre émettant sur la même fréquence.

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Apparement ils ont des stratégies contre les drones

http://www.opex360.com/2013/02/24/mali-comment-les-jihadistes-esperent-echapper-aux-drones/

Ce nouveau document … montre que nous n’avons plus affaire à un problème isolé et local, mais à un ennemi qui arrive par delà les continents à partager des conseils”, a déclaré Bruce Riedel, l’actuel directeur de l’Intelligence Project à la Brookings Institution, après avoir passé 30 ans à la CIA. ”

“Ce ne sont pas des techniques stupides. Elles montrent que les jihadistes agissent très astucieusement”, a estimé le colonel Cédric Leighton, un ancien de l’US Air Force qui a contribué au programme de drones Predator. “En agissant de la sorte, ils gagnent un peu de temps. Et dans ce type de conflit, le temps est l’une des clés. Ils vont l’utiliser pour passer d’une région à une autre et le faire très rapidement”, a-t-il expliqué.

http://hosted.ap.org/specials/interactives/_international/_pdfs/al-qaida-papers-drones.pdf

The Al-Qaida Papers - Drones

This document is one of several found by The

Associated Press in buildings recently occupied by

al-Qaida fighters in Timbuktu, Mali. Below are the

original in Arabic and a translation in English.

extraits:

These tactics are:

1 – It is possible to know the intention and the mission of the drone by using the Russianmade

“sky grabber” device to infiltrate the drone’s waves and the frequencies. The device

is available in the market for $2,595 and the one who operates it should be a computerknow-

how.

2 – Using devices that broadcast frequencies or pack of frequencies to disconnect the

contacts and confuse the frequencies used to control the drone. The Mujahideen have had

successful experiments using the Russian-made “Racal.”

3 – Spreading the reflective pieces of glass on a car or on the roof of the building.

4 – Placing a group of skilled snipers to hunt the drone, especially the reconnaissance

ones because they fly low, about six kilometers or less.

5 – Jamming of and confusing of electronic communication using the ordinary water-lifting

dynamo fitted with a 30-meter copper pole.

6 – Jamming of and confusing of electronic communication using old equipment and

keeping them 24-hour running because of their strong frequencies and it is possible using

simple ideas of deception of equipment to attract the electronic waves devices similar to

that used by the Yugoslav army when they used the microwave (oven) in attracting and

confusing the NATO missiles fitted with electromagnetic searching devices.

7 – Using general confusion methods and not to use permanent headquarters.

8 – Discovering the presence of a drone through well-placed reconnaissance networks and

to warn all the formations to halt any movement in the area.

9 – To hide from being directly or indirectly spotted, especially at night.

10 – To hide under thick trees because they are the best cover against the planes.

11 – To stay in places unlit by the sun such as the shadows of the buildings or the trees.

PAGE 2

12 – Maintain complete silence of all wireless contacts.

13 – Disembark of vehicles and keep away from them especially when being chased or

during combat.

14 – To deceive the drone by entering places of multiple entrances and exits.

15 – Using underground shelters because the missiles fired by these planes are usually of

the fragmented anti-personnel and not anti-buildings type.

16 – To avoid gathering in open areas and in urgent cases, use building of multiple doors

or exits.

17 – Forming anti-spies groups to look for spies and agents.

18 – Formation of fake gatherings such as using dolls and statutes to be placed outside

false ditches to mislead the enemy.

19 – When discovering that a drone is after a car, leave the car immediately and everyone

should go in different direction because the planes are unable to get after everyone.

20 – Using natural barricades like forests and caves when there is an urgent need for

training or gathering.

21 – In frequently targeted areas, use smoke as cover by burning tires.

22 – As for the leaders or those sought after, they should not use communications

equipment because the enemy usually keeps a voice tag through which they can identify

the speaking person and then locate him.

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  • 2 weeks later...

L'action de nos armées au Mali reçoit un  large appui depuis nos bases métropolitaines.

Ainsi, même celles qui ne paraissent pas en première ligne sont aussi impliquées. Ainsi, ce sont presque 50 personnels de la BA 705 de Tours (dont l'action la plus visible est la formation et la sélection des futurs pilotes de chasse) qui ont été mobilisés et envoyés outre-mer pour ces opérations.

On y trouve des moniteurs, des contrôleurs, des mécaniciens, mais aussi des logisticiens et un financier/commissaire. Certains sont détaches à Ndjamena, d'autres à Bamako, selon les besoins.

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