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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large


Bill

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PARIS (AFP) - L'équipage du Ponant a mis en service plusieurs lances à incendie pour tenter de repousser les pirates somaliens qui prenaient d'assaut le voilier de luxe français armés de leurs Kalachnikov, a raconté le capitaine du voilier, Patrick Marchesseau, dans une vidéo.

"Tout a commencé vendredi, il y a une semaine (le 4 avril, ndlr) à 13H08 exactement, quand on a aperçu un bateau de pêche coréen ou taïwanais au large, stoppé droit sur notre route", a-t-il témoigné à bord du porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, en route pour Djibouti, après la libération des 30 membres d'équipage vendredi.

"On a pris soin de le contourner parce qu'on connaissait les risques dans la région mais, une fois largement passé, on a aperçu deux embarcations rapides avec des hommes armés qui arrivaient sur le Ponant", a poursuivi Patrick Marchesseau dans cette vidéo diffusée dimanche par le ministère français de la Défense.

L'équipage a "mis en service des lances à incendie pour essayer de repousser l'assaut" mais les pirates "sont arrivés très rapidement le long du bord" et "ont commencé à tirer" avec leurs Kalachnikov.

Selon lui, "ils n'ont pas saccagé le bâtiment" qui n'a pas subi de dégâts importants mis à part "beaucoup de pillages" et "deux vitrines cassées par accident" lorsque l'un des pirates "qui était en train de réviser son arme a tiré cinq coups".

Patrick Marchesseau a confié qu'il était parvenu à communiquer à l'insu de ses geôliers qui entendaient interdire "toute communication avec le monde extérieur" entre leur arrivée à bord et le lundi matin suivant. "J'ai réussi à établir un système de communication sans qu'ils ne s'en aperçoivent pour donner des informations sur notre condition à bord", a-t-il dit sans préciser le canal de communication employé.

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Extrait du "Journal du Dimanche" (13/04/2008) :

"Ils cinglent désormais vers Djibouti. Les ex-otages du Ponant embarqués à bord de la Jeanne-d'Arc devraient atteindre le "pays des Braves" lundi, vers 12 heures. Un avion, parti hier matin de Paris, assurera alors leur rapatriement sur le sol français. Leur bateau, un yacht de luxe appartenant à la CMA CGM, a été arraisonné vendredi 4 avril par des pirates alors qu'il entrait dans le golfe d'Aden, au large des côtes somaliennes. Plus lent que le bâtiment militaire français, Le Ponant devrait, lui, atteindre Djibouti dans la nuit de lundi à mardi. Le voilier est barré par un nouveau capitaine de la CMA CGM, accompagné de deux ex-otages - le maître de manoeuvre et un mécanicien - ainsi que de quatre militaires. Il est toujours escorté de près par le Commandant-Bouan, une frégate de la marine française.

"Les otages vont bien, ils n'ont pas subi de violences. Ils ont été nourris correctement, c'est même leur cuisinier qui préparait les repas", raconte Claude Vergez-Larrouget, le médecin-major de la Jeanne-d'Arc. "Notre fils a pu nous téléphoner cinq minutes ce [samedi] matin, témoigne Eve Stramba-Badiali, la mère de Timothée, 26 ans, l'officier mécanicien du bord. Il avait l'air bien, serein. Et puis on a vu qu'il avait bien fait son travail..." En allant acheter les journaux, samedi matin, Eve a découvert en une du Figaro la photo de son fils barrant l'air déterminé l'un des deux Zodiac, annexes du Ponant, qui ont permis vendredi aux ex-otages de procéder eux-mêmes à leur évacuation jusqu'au Jean-Bart. Ils ont ensuite rapidement été transférés sur la Jeanne-d'Arc qui avait installé à son bord un dispositif de réanimation et de chirurgie, si jamais les choses tournaient mal. Il n'a pas été nécessaire...

Une nuit, l'un des malfrats disparaît...

Vendredi 4 avril. Le Ponant, voilier de luxe long de 88 mètres, croise au large des côtes somaliennes, direction Alexandrie. En fin de matinée, douze pirates armés de kalachnikov et de lance-roquettes, arrivés sur deux petites embarcations à l'allure inoffensive, prennent d'assaut le navire. Alertées, les autorités françaises dépêchent sur place le Commandant-Bouan, une frégate de la Task Force 150 qui croise non loin de là. A son bord, le commandant Hervé Couble ne s'éloignera plus jamais de plus de 2 km de sa cible, qui met le cap sur la province du Puntland, repaire notoire de pirates. Un premier contact entre les deux navires est pris le dimanche 6 avril au matin. Derrière la radio, le capitaine du Ponant, Patrick Marchesseau: les trente membres de l'équipage vont bien, ils sont bien traités.

A ce moment-là, les pirates - qui ne donnent jamais leur nom, ni même leur prénom, et se présentent comme les "Somalian people" ou "Somalian milicians" - refusent de négocier: ils attendent leur chef qui, lui, parle anglais. Entre-temps, le capitaine du Ponant épate les militaires français par son sang-froid. "Il nous expliquait en anglais ce que voulaient les pirates, que l'on s'éloigne, par exemple, puis, entre deux phrases, il glissait rapidement, en français: 'ils sont nerveux' ou au contraire, 'ils sont tranquilles aujourd'hui'", explique le commandant Couble. La nuit, l'équipage est regroupé dans une salle de réception. Le jour, dans un premier temps, les captifs sont obligés de patienter sur le pont supérieur, en plein cagnard. Puis, à force de protestations, le capitaine obtiendra que les otages descendent à l'étage en dessous, sur un autre pont, mieux abrité.

De leur côté, les pirates semblent apprécier leur séjour à bord. Le premier soir, ils dévalisent le bar du Ponant... Les militaires français s'inquiéteront pendant toute la semaine de l'effet de l'alcool sur des esprits déjà échauffés. Une nuit, l'un des malfrats disparaît. Certains pensent qu'il est tombé à l'eau, ivre mort. "Ou peut-être a-t-il rejoint la côte", suggère une source informée.

Les pirates se demandent comment ils vont sortir de là

Une fois ancrés au large de Garaad, un village du sud du Puntland, à 850 km au nord de Mogadiscio, les pirates mettent le bateau à sac et filent revendre leurs trouvailles à terre. Pendant toute la semaine, des villageois, et non une ONG comme cela a pu être dit, apportent eau et poissons sur Le Ponant. Les pirates font de fréquents allers-retours à terre. Un "vaisseau mère" croise également au large, pensent les militaires; mais ils ne parviendront pas à le localiser. "Les bateaux des pirates et ceux des pêcheurs se ressemblent tous", constate l'amiral Gérard Valin, commandant à bord du Var, de la zone maritime de l'océan Indien.

Dimanche 6 avril. L'armateur prend contact avec les preneurs d'otages vers 21 heures. Un PC de crise est installé à Marseille dans l'ancien centre CMA CGM, un bâtiment blanc à deux pas du siège actuel. C'est Rodolphe Saadé, fils de l'armateur et directeur général de la CMA CGM, qui mène ces négociations en anglais, par radio, parlant avec les pirates plusieurs fois par jour. Il est conseillé par des experts du GIGN dépêchés dans la cité phocéenne. La négociation ne porte pas tant sur le montant de la rançon que sur le sort des preneurs d'otages. Ceux-ci sont particulièrement préoccupés par les conditions de l'échange: ils se demandent comment ils vont sortir de là alors que des navires de guerre français croisent dans la zone. Il y a aussi les clans rivaux qui lorgnent sur leur butin, et dont ils se méfient.

Véronique, la femme de Rodolphe, responsable des croisières au sein de l'entreprise familiale, se charge pour sa part des contacts avec les familles de l'équipage. Le père, Jacques Saadé, proche de Nicolas Sarkozy, le rencontre régulièrement à Paris. Il accepte immédiatement de payer une rançon, tandis que le Président n'en aime guère l'idée.

Au fil des jours, la force française se déploie autour du navire de croisière. Le Commandant-Bouan est rejoint par la frégate Jean-Bart, le pétrolier-ravitailleur Var, le navire-école Jeanne-d'Arc qui s'est dérouté d'un tour du monde, mais aussi six hélicoptères ainsi que des commandos marines parachutés en mer. Parmi eux, l'amiral Marin Gillier, en charge de l'opération tactique.

Une rançon proche de 2,5 millions de dollars

Mercredi 9 avril. Les négociations sont sur le point d'aboutir. L'armateur et les pirates semblent trouver un accord. "Une première tentative de libération a été envisagée le jeudi, révèle Hervé Couble. Mais les preneurs d'otages n'ont pas arrêté de changer d'avis." Le lendemain, Nicolas Sarkozy, qui avait promis aux familles de reprendre les choses en main à partir du jeudi si la situation ne se débloquait pas, ordonne à la cellule de crise interministérielle de chapeauter désormais l'opération. Le gouvernement somalien donne son feu vert. Les Saadé ne rompent pas pour autant le contact avec les ravisseurs. Les discussions s'accélèrent. Et les pirates, qui sont désormais dix-huit - sept sont montés à bord -, deviennent de plus en plus nerveux. "Ils nous répétaient sans cesse de ne pas nous approcher et, à la jumelle, on pouvait les voir, armés, encercler les otages", poursuit Hervé Couble.

Vendredi 11 avril. L'échange peut enfin avoir lieu: les militaires déclenchent l'opération "Thalathine" (trente, en somali, comme le nombre d'otages). Le rendez-vous est prévu sur l'eau. Trois pirates d'un côté, trois membres du GIGN de l'autre. Dans leurs mains, une rançon qui serait, selon nos informations, proche de 2,5 millions de dollars. Très rapidement, les otages, restés à bord du Ponant avec quelques ravisseurs, sont libérés. Le capitaine Marchesseau est le dernier à quitter le bateau. "Pour aller plus vite, nous lui avons demandé de sauter à l'eau", précise l'amiral Marin Gillier.

Les otages sont sauvés. La deuxième phase de l'opération peut commencer. Grâce à l'avion de surveillance Atlantique 2 qui patrouille à 10 km de là, les militaires français ne quittent pas les bandits des yeux. Ils repèrent certains d'entre eux dans Garaad. "Nous ne sommes pas tout de suite intervenus pour ne pas faire de blessés parmi les civils", indique l'amiral Gillier. Un gros 4X4 est détecté, qui quitte le village à vive allure. Le même qui a servi une heure plus tôt à récupérer la rançon. "C'est là que nous avons lancé l'embuscade", poursuit Gillier.

Probablement jugés en France

Tout va très vite. Un commando marine à bord d'un hélicoptère tire sur le moteur du 4x4, qui s'arrête net. "Les pirates n'ont pas compris ce qui se passait. Ils n'avaient pas vu l'hélico", sourit l'amiral. Les six hommes rechignent à se rendre. Premier tir de sommation. L'hélico se pose, trois militaires descendent à terre. Une ou deux rafales sont tirées en l'air. Les pirates sont plaqués au sol. Les mains ligotées dans le dos, ils sont embarqués dans l'hélico et transférés sur le Jean-Bart.

Ils seront interrogés par les gendarmes français et probablement jugés en France. Une première. Dans leur véhicule, les Français saisissent des kalachnikov (des AK-47 et AK-74), mais aussi une partie de la rançon, un tiers selon nos informations. Parmi les pirates, le passager avant de la voiture est légèrement blessé à un mollet. "Il a pris un éclat du moteur, il a depuis été opéré et va très bien", assure Marin Gillier, confirmant au passage que "personne n'a été tué durant l'opération". De son côté, le gouvernement de transition de Mogadiscio a appelé "les autres nations" à se joindre au combat contre les pirates au large de la Somalie. "Si chaque gouvernement mène des opérations comme celle des Français, je crois qu'on ne verra plus jamais de pirates dans les eaux somaliennes", a estimé son porte-parole, Abdi Haj Gobdon."

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Alors un coup y a des victimes, l'autre il n'y en a pas...halalalala les médias, faut vraiment se méfier de ce qu'ils disent, même quand c'est pour vous annoncer la météo!

Sinon, j'ai entendu ce matin sur RTL que les plongeurs du commando Hubert étaient l'oreille contre la coque pour écouter ce qui se passait et obtenir du renseignements...

Au temps de l'électronique des sats etc. ça fait sourire. Mais bon, on sait tous que le renseignements français est plus basique, plus près du terrain que celui des USA, mais aussi souvent plus efficace.

Sinon, les commentaires internationaux sont vraiment élogieux, quel que soit le coin du globe d'où ils proviennent. On y gagne un peu en prestige et on écarte un peu cette réputation de couards propagée par la FOX, SKY NEWS, et autres ramassis journalistiques.

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les médias, faut vraiment se méfier de ce qu'ils disent, même quand c'est pour vous annoncer la météo!

SURTOUT quand c'est la météo, malheureux... :lol:

Sinon, les commentaires internationaux sont vraiment élogieux, quel que soit le coin du globe d'où ils proviennent. On y gagne un peu en prestige et on écarte un peu cette réputation de couards propagée par la FOX, SKY NEWS, et autres ramassis journalistiques.

C'était mon point de vue depuis le début, essayer d'utiliser cette affaire pour remettre les pendules à l'heure sur nos capacités morales et physiques à utiliser la violence et pas seulement à raisonner, critiquer, et donner des leçons de morale à la Terre entière. C'est à la fois à usage externe ET interne, car le pessimisme franchouillard -qui nous plombe-, se soigne à coup de succès, pas de paroles.

Cerise sur le gâteau, on a dans cette opération exercé une violence maîtrisée, ce qui est toujours plus impressionnant que la violence aveugle, qui aurait consisté par exemple à pulvériser le 4x4...

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La merde audiovisuel de Murdoch n'est pas du journalisme (du moins j'espère).

Oui mais elle existe et c'est bien que l'on ait réagi alors que les Britanniques ne l'ont pas fait pour leurs marins prisonniers des Pasdarans, même si la situation tactique n'avait rien à voir. Cela refout les idées en place à certains.
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C'est vraiment une situation tres differente, les anglais ne pouvaient strictement rien faire d'autre que négocier et attendre, ils n'allaient pas déclencher une guerre pour ça.

Pour les pirates, la seul question c'était d'attendre le bon moment pour s'occuper d'eux sans risquer la vie des otages.

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C'est vraiment une situation tres differente, les anglais ne pouvaient strictement rien faire d'autre que négocier et attendre, ils n'allaient pas déclencher une guerre pour ça.

C'est clair, je raisonnais juste à la manière de FoxNews... =)
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Croient ils réellement aux bétises qu'ils racontent ?

Les journalistes peut-être pas. Mais pour les téléspectateurs, un mensonge répété 1000 fois devient une vérité, comme disait le père Hitler qui s'y connaissait... ;)

Un exemple de mensonge qui à force d'être asséné fait douter de plus en plus de gens: la conquête de la Lune par les Américains. C'est effarant le nombre de blaireaux qui doutent de cela et te demandent si c'est bien vrai!

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Jojo dis moi, les ricains sont vraiment allez sur la Lune? T'es sur que c'est pas fait en studio?  :lol:

Théorie du complot tout ça...encore un coup des chinois du FBI.

Pour répondre à Zamorrana, les médias que l'ont a évoqués, je les pense quant à moi convaincus des conneries qu'ils débitent, et fiers de la merde et des tensions qu'ils répandent/créent.

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Un exemple de mensonge qui à force d'être asséné fait douter de plus en plus de gens: la conquête de la Lune par les Américains. C'est effarant le nombre de blaireaux qui doutent de cela et te demandent si c'est bien vrai!

Vous dites cela, mais il avait un ancien membre de ce forum qui n'y croyait pas à la conquête de la Lune par les américains ... il a même ouvert un sujet pour cela :lol:

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Vous dites cela, mais il avait un ancien membre de ce forum qui n'y croyait pas à la conquête de la Lune par les américains ... il a même ouvert un sujet pour cela

Alors qu'il m'explique plusieurs choses:

1- Pourquoi les soviétiques qui ont vu forcément la supercherie, car ils faisaient la course à la Lune avec les Ricains, n'ont rien dit alors qu'ils avaient les moyens de savoir. Ils pouvaient marquer un gros point question propagande. N'oublions pas qu'on est en 1969, en pleine guerre du Vietnam.

2 - Une fusée Saturn V a bien décollé avec son équipage, tout le monde l'a vu. Si supercherie il  y avait eu il aurait fallu que la capsule apollo lancée par la fusée tourne autour de la Terre puis revienne en faisant semblant de revenir de la Lune. Au pire elle aurait fait un tour de la Lune sans se poser dessus. Quand on pense à la somme de complicités qu'une telle supercherie implique en nombre de personnes, comment dans un pays comme les USA ne se trouve-t-il personne pour vendre la mèche à la presse, après tout ce temps? Alors que celui qui le ferait a sa fortune assurée en millions de dollars?

3- D'où viennent les 300 kg de roches lunaires ramenées par les différentes missions apollo?

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Apparemment les pirates se sont scindés en deux groupes une fois à terre.

Les Français ont envoyé deux hélicos dont un avec tireurs d'élite sur au moins un des groupes qui fuyait la localité de Eyl dans le sud du Puntland (si j'ai bien compris parceque là encore les informations sont assez floues). Une des Gazelles a stationné en interception de la route des fuyard et a tiré dans le moteur (j'ai déjà eu l'occasion de tirer avec un Barret.50 et ce genre de tromblon est capable d'arrêter un camion... Bon, évidemment j'ai dû ensuite aller récupérer mon épaule qui était partie à vingt mètres derrière. Ici, les fusils utilisés ont probablement été leurs équivalents PGM-Hecate II, toujours en 12.7x99, ce qui implique des personnels spécifiques, formés à ce type d'arme - GIGN ?).

   

En fait le fusil était un McMillan.

C'est avec ce fusil qu'a été effectué en 2002 en Afghanistan un tir a 2430 mètres de distance dans les mains d'un caporal Canadien. (et au diable la convention de Genève, a t-il du se dire )

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En fait le fusil était un McMillan.

C'est avec ce fusil qu'a été effectué en 2002 en Afghanistan un tir a 2430 mètres de distance dans les mains d'un caporal Canadien. (et au diable la convention de Genève, a t-il du se dire )

Par rapport à la question que se posait Perry il faut dire que les Cocoys font ça à longueur d'année, en particulier contre les narco-traficants, et tirer sur un hors bord en mer ça n'a rien d'évident....

Les équipes MASA des Fusiliers Commandos de l'Air  sont aussi entraînées au tir à partir d'hélicos, eux c'est sur des aéronefs qu'ils sont censés tirer....

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Je voudrais pas faire le rabas joie, mais les pirates étaient 18 apparement. On a donc eu qu'1/3 des pirates et 1/3 de la rançon. je critique pas mais bon ça m'interesserait quand meme de savoir comment ça se fait.

En tout cas, c'est pas dit que ça dissuade des creves la faim: 2 chances sur 3 de devenir riche c'est pas mal, d'autant que ceux qui vont se retrouver au trou n'aurons jamais été aussi bien nourri de toute leur vie. Ils vont se prendre 10 ans ferme, dans 3-4 ans ils sont dehors et en pleine forme.

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Je voudrais pas faire le rabas joie, mais les pirates étaient 18 apparement. On a donc eu qu'1/3 des pirates et 1/3 de la rançon. je critique pas mais bon ça m'interesserait quand meme de savoir comment ça se fait.

En tout cas, c'est pas dit que ça dissuade des creves la faim: 2 chances sur 3 de devenir riche c'est pas mal, d'autant que ceux qui vont se retrouver au trou n'aurons jamais été aussi bien nourri de toute leur vie. Ils vont se prendre 10 ans ferme, dans 3-4 ans ils sont dehors et en pleine forme.

Piraterie c'est perpete, normalement.... Pour le reste, ça montre que la réalité diffère un peu des films d'Hollywood, avec des satellités qui sont capables de lire le code de carte bleu  :lol:

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mouai, enfin on va dire que l'honneur est sauf. C'est déja pas mal mais ont va pas faire une parade sous l'arc de triomphe non plus.

Pour résumer, de toutes les réactions vues sur ce forum et ailleurs, ont peut distinguer deux campsbien distincts:

A- ceux qui mettaient en priorité 1) la vie des otages, 2) la capture ou la mort des pirates,

B- ceux qui mettaient en priorité: 1) la capture ou la mort des pirates, 2) la vie des otages.

Avec toutes les nuances entre les deux, depuis les sensibles incapable d'affronter l'idée meme de violence jusqu'a ceux qui pensaient qu'il n'y avait qu'a torpiller tout ce beau monde et "dieu reconnaitra les siens".

Bon apparement nos politiques sont plutot dans la premiere cathégorie avec la priorité 2) pas trop loin derriere la priorité 1). C'est acceptable mais pas très rassurant amha

Au fait les Ukrainiens (il y avait 10 des leurs dans le bateau), ils en pensent quoi ?

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Au fait les Ukrainiens (il y avait 10 des leurs dans le bateau), ils en pensent quoi ?

Une Ukrainienne, six philippins, un camerounais ... mais j'ai aucune idée de ce qu'ils en pensent.

C Dans l'air spéciale "Le Ponant" ... ca lobbyise sec pour sauver les frégate et remplacer le porte hélicoptere :)

Le coup de l'amiral parachuté a la mer ca fait son petit effet :lol:

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_article=2723

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