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[Somalie] Piège en haute mer pour des pirates au large


Bill

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http://www.lefigaro.fr/international/2009/11/25/01003-20091125ARTFIG00133-les-pirates-ouvrent-un-deuxieme-front-en-afrique-.php

Le Figaro : Alors que les attaques se multiplient au large de la Corne de l'Afrique, c'est dans les eaux du Bénin, dans le golfe de Guinée, qu'un pétrolier a été braqué mardi.

Des pirates viennent de mener une attaque sanglante contre un pétrolier au large du Bénin, face aux côtes de l'Afrique de l'Ouest qui, jusqu'à présent, paraissaient relativement épargnées. Dans le golfe de Guinée, et plus précisément au large du Nigeria, proche du Bénin, de telles attaques ne sont certes pas rares, mais elles ne causent généralement pas de victime.

Le Cancale Star, pétrolier de 230 mètres de long ayant son port d'attache à Monrovia (Liberia), a été attaqué à 18  milles nautiques des côtes béninoises, dans la nuit de lundi à mardi. Le commando de six ou sept hommes a ouvert le feu lors de l'assaut. Le responsable des machines, de nationalité ukrainienne, a été tué. Selon un médecin dépêché à bord et cité par l'AFP, il y a eu en outre «quatre blessés dont un par éclat de balle». Parmi les blessés figure l'adjoint du commandant.

Le commando, après avoir fait main basse sur l'argent gardé dans le coffre du navire, a pris la fuite. Un des assaillants a toutefois été maîtrisé par l'équipage et est désormais aux mains des forces de polices béninoises. Il serait de nationalité nigériane, et viendrait de la ville de Badagry, très proche de la frontière béninoise.

Dans son dernier rapport, le bureau maritime international (IMB) a relevé 306 attaques en mer de janvier à septembre 2009, alors qu'il en avait dénombré 293 sur toute l'année 2008. Les attaques avec des armes à feu ont également augmenté, de plus de 200 %.

Le cas du Nigeria :

Des pirates qui avaient attaqué l'Alvares Cabral au large de la Somalie sont surveillés par des soldats portugais, le 19 novembre 2009. Crédits photo : AFP

Quasiment la moitié des actes de piraterie dans les mers du globe sont menés au large de la Somalie, dans le golfe d'Aden, le long des côtes du Kenya et désormais jusqu'aux Seychelles où s'aventurent les commandos somaliens. Mais l'IMB souligne que la situation au Nigeria n'en demeure pas moins «préoccupante». L'IMB indique qu'il n'a pas pris en compte 50 % des attaques dénoncées par les compagnies pétrolières rançonnées par les bandes armées de rebelles sévissant dans le delta du Niger riche en pétrole. Peut-être l'IMB devra désormais également surveiller les pirates nigérians, si ceux-ci se décident à attaquer les pétroliers hors des frontières maritimes de leur pays.

La situation au large des côtes de l'Afrique de l'Ouest ne peut cependant être comparée à celle qui prévaut de l'autre côté du continent, au large de la Corne de l'Afrique, où les pirates somaliens ont déclaré une véritable guerre aux marines du monde entier. Évidemment, s'il devait être rapidement suivi d'autres dans les mêmes eaux, cet assaut contre le Cancale Star au large du Bénin ne manquerait d'inquiéter armateurs et forces de sécurité internationales confrontés à une augmentation croissante des actes de piraterie sur les mers du globe depuis le début du millénaire.

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http://bruxelles2.over-blog.com/article-creation-d-une-unite-speciale-anti-pirates-aux-seychelles-tazar-40203774.html

Création d'une unité spéciale anti-pirates aux Seychelles: Tazar

Les forces armées des Seychelles ont présenté, cette semaine, la nouvelle unité - dénommée "Tazar" spécialement dédiée à la lutte - et de protection du territoire. Décidée en juin, cette création s'intègre dans une restructuration de plus grande ampleur de modernisation des forces seychelloises et des gardes-côtes de l'archipel. Les hommes de cette unité ont d'ailleurs suivi des entraînements de commando, de protection des personnalités VIP, anti-terroristes ou d'opérations spéciales maritimes, rapporte la presse seychelloise. Certains d'entre eux reviennent tout juste d'un entraînement spécial avec les forces indiennes (y participaient coté indien le 4e régiment de Gurkhas spécialisées dans le contre-terrorisme et les forces spéciales du régiment parachutiste). L'armée indienne est depuis longtemps étroitement associée à la mise sur pied des forces seychelloises. A la présentation aux armes, le haut commissaire indien, Asit Kumar Nag, ainsi que des officiers de l'armée indienne étaient présentes, et des officiers français (NB : un officier français participe régulièrement aux travaux du comité de haut niveau de lutte contre la piraterie des Seychelles, et certaines formations ont été dispensées par les officiers français).

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http://www.marine-marchande.com/v2/information/information_maritime-20091129-5058.php3

ATHENES, 29 nov 2009 (AFP) - Les pirates somaliens ont capturé dimanche un cargo grec, le Maran Centauros, avec 28 marins à bord dans l'océan Indien, à 730 milles marins à l'est des côtes de Somalie, a-t-on appris auprès du ministère de la Protection du citoyen.

Selon le capitaine grec du bateau qui avait informé les autorités grecques par téléphone de cet incident, neuf pirates armés avaient attaqué le cargo et le conduisaient vers les eaux somaliennes.

Tous les marins à bord sont en bon état de santé, a affirmé le capitaine.

Parmi les 28 marins à bord, figurent 16 Philippins, neuf Grecs, deux Ukrainiens et un Roumain.

Le bateau, battant pavillon grec, avait appareillé de Koweït et se dirigeait vers les Etats Unis, selon les premières informations.

Plusieurs bateaux grecs ont été attaqués ces derniers mois par des pirates somaliens dans l'océan Indien. Les pirates, qui détiennent depuis plus de six mois le MV Ariana et son équipage ukrainien, avaient admis vendredi ne pas l'avoir libéré contrairement à ce qu'ils affirmaient jeudi, en faisant porter la responsabilité sur le propriétaire grec du navire.

(Copyright AFP)


En fait c'est pas un cargo mais un super tanker !!!

http://news.google.com/news/url?fd=R&sa=T&url=http%3A%2F%2Fwww.romandie.com%2Finfos%2Fafp%2Fdisplay.asp%3Fid%3D091130124033.ku698gd8.asp&usg=AFQjCNEMTuW42NPE6FrfOYdSyLzdSa7h2w

NAIROBI - Le superpétrolier grec Maran Centaurus, capturé dimanche par des pirates somaliens à l'est des Seychelles, faisait route lundi vers les côtes somaliennes, a rapporté un responsable du Programme d'assistance aux marins.

Le Maran Centaurus "fait route vers la Somalie. Il pourrait arriver ce (lundi) soir ou demain (mardi) matin", a expliqué à l'AFP le représentant pour le Kenya du Programme d'assistance aux marins, Andrew Mwangura, basé à Mombasa (sud-est).

De son côté, Atalante, l'opération européenne de lutte antipiraterie a précisé dans un communiqué que le navire se dirigeait vers les localités côtières somaliennes d'Harardhere ou d'Hobbyo, deux repaires de pirates.

Selon M. Mwangura, le navire, qui appartient à la catégorie des "Very Large Crude Carrier" (VLCC - superpétrolier transporteur de brut), a été capturé à 585 milles nautiques au nord-est des Seychelles, dans une zone où six attaques de pirates ont été recensées ces sept derniers jours.

Le navire, chargé de brut selon M. Mwangura, était parti de Jeddah en Arabie Saoudite et devait gagner la Nouvelle-Orléans aux Etats-Unis.

Selon M. Mwangura, le superpétrolier constituait une proie relativement aisée pour les pirates : "Le navire est chargé; il va lentement et il est bas sur l'eau", facilitant l'abordage.

(©AFP / 30 novembre 2009 13h40)

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http://www.dailymail.co.uk/news/article-1231775/Royal-Marines-rescued-pirate-hostages-order-attack-came.html#ixzz0YM7xejeE

Royal Marines could  have rescued pirate hostages, but the order to attack never came

The disturbing truth behind the Royal Navy’s failure to prevent Somali pirates kidnapping a British couple from their yacht can be revealed today.

An investigation by The Mail on Sunday demolishes accounts by the Ministry of Defence and the head of the Navy which suggest that a naval vessel at the scene had no rescue force available.

In fact, far from being a toothless bystander, the Royal Fleet Auxiliary ship Wave Knight was within seconds of unleashing a crack team of 20 lethally armed Royal Marines.

So close to freedom: The Chandlers are still in captivity. They have been filmed saying they were 'unharmed' but that their captors were losing patience

Wave Knight’s crew have been so angered by the official portrayal of events that one witness has given us a career-risking statement.

His evidence raises troubling questions about Government and military policy on piracy. And many people will want to know why an elite commando troop, mustered in black combat fatigues only yards from the kidnappers, was not permitted to put its air and seaborne assault training into action.

The astonishing stand-off occurred on day six of the hostage crisis as the pirates attempted to transfer Paul Chandler, 59, and his wife, Rachel, 55, to their mother ship.

Witness: The military ship RFA Wave Knight which allegedly watched as the Chandlers were taken captive by Somalian pirates

The Chandlers had been seized early on October 23 as they tried to sail their yacht, Lynn Rival, from the Seychelles across the Indian Ocean to Tanzania.

The couple no doubt believed their voyage was safe. In the past, Somali pirates have operated closer to their home ports some 1,000 miles north.

But increasing anti-piracy patrols by Nato and other navies have pushed them south to seek new hunting grounds, and armed pirates aboard at least two fast motorised skiffs ambushed them only 150 miles into the trip.

The Chandlers, from Tunbridge Wells, Kent, managed to send out a distress call but were quickly overpowered.

The Chandlers' yacht, lashed to the deck of the Wave Knight

Realising it would take too long and be too risky to sail Lynn Rival back to northern Somalia, the kidnappers radioed for support from one of the country’s most notorious pirate ‘nests’ – Haradheere.

Within 72 hours, accomplices were sailing south in the 24,000-ton container vessel Kota Wajar, itself hijacked while en route from Shanghai to Kenya on October 15.

On October 26, the commander of Wave Knight, Captain Clarke, was briefed on the crisis. Intelligence sources had uncovered Kota Wajar’s role as mother ship to the kidnappers and she was being tracked.

As the closest Royal Navy ship available, Wave Knight was ordered to find her and slow her down by any means. A Wave class supply ship, she is mostly crewed by 75 civilians working under military discipline.

'They had just trained for exactly this scenario'

However, crucially, Captain Clarke had on board the Marines, a Merlin helicopter and firepower in the form of 30mm and 50mm cannons. Around 25 Royal Navy sailors were also present.

The MoD’s first version of events avoided mentioning any chase, confrontation or rescue plan. This was all air-brushed out of the official picture – along with the Marines.

Indeed, the MoD at first acknowledged simply that an unnamed Royal Navy vessel had come across the Chandlers’ empty yacht. Only after the Daily Mail revealed that Wave Knight was almost alongside the Chandlers, her crew watching as the couple were hustled aboard the Kota Wajar, did the MoD change stance.

The yacht belonging to Paul and Rachel Chandler being unloaded at Portland Port in Dorset

A second, carefully worded statement then claimed that ‘everything possible was done without further endangering the lives of Paul and Rachel Chandler’.

It added: ‘We do not comment on operational detail but RFA Wave Knight did very well under the circumstances.’

Days later, the head of the Navy, Admiral Sir Mark Stanhope, went further, insisting that Wave Knight’s ‘sailors with pistols couldn’t do the job of ensuring the safety of the Chandlers’.

And even last week he insisted that everything possible had been done to rescue the Chandlers.

In a speech at Chatham House, he said: ‘Wave Knight did exactly the right thing... Had there been an opportunity to intervene, while being sure of guaranteeing Paul and Rachel Chandlers’ safety, they would have done so.’

In fact, according to our source, these official explanations are travesties of the truth. His account states that Wave Knight left her British base at Bahrain around October 14 and headed south into the Gulf of Aden’s so-called ‘pirate alley’.

Her role included servicing and refuelling ships from Nato’s task force but she was also fully equipped for boarding operations.

As news of the Chandlers’ kidnap spread around the world, the crew kept in touch with developments via news websites. On October 26, Captain Clarke issued a loudspeaker announcement, or ‘information pipe’, explaining that they were heading south – away from traditional pirate waters. Although he didn’t mention the Lynn Rival by name, our source says it was obvious to the crew that a rescue attempt was ‘on the cards’.

The 31,500-ton Wave Knight sighted the Kota Wajar on the evening of October 28 and immediately tried to intimidate her by closing to less than 100 yards. At this point the Lynn Rival was not in sight so there were no hostages on board the pirate ship.

The supply ship was ‘closed up’ for action – meaning that all hatches, doors and gun emplacements were sealed with personnel out of sight. Lights were extinguished except for the powerful searchlights raking back and forth across the Kota Wajar’s hull.

At first the pirates appeared to be unconcerned. Their vessel was, in the source’s words, ‘lit up like a Christmas tree’ for the first 30 minutes.

But suddenly it, too, snapped out its lights and the two ships steamed alongside each other in darkness.

Paul and Rachel Chandler

Kidnapped: Paul and Rachel Chandler were sailing around the world when their boat was hijacked by Somalian pirates

But Wave Knight’s tactics had no effect. Even warning bursts from one of her two bridge cannons, which fire 30mm shells with the power to penetrate the hull of a small air or sea craft, failed to alter the pirates’ course or speed.

The cannons have a range of about a mile and can fire up to 1,000 rounds a minute travelling at 600 yards per second. Undeterred, the pirates returned fire using small arms and the cat-and-mouse confrontation continued.

According to the source, it now became clear that the Marines were preparing for action. They had just completed two weeks of intensive training for precisely the scenario they faced – an air and seaborne assault on a pirate vessel.

'In horror and disbelief, Wave Knight’s crew watched as a line was thrown from the Lynn Rival'

The Wave Knight and the Kota Wajar were still some distance from the Lynn Rival and Chandlers, so there was no danger of the hostages being caught in crossfire.

Like all the ship’s military personnel they had been on a state of permanent readiness, known as ‘Alert 60’, for two weeks. This required that they could muster within an hour.

Twice that night, between 10pm and 1am, they went a step further. On each occasion the codeword indicating imminent action – Quickdraw – was repeated over the ship’s intercom.

Each time the Marines gathered quickly on deck, their all-black fatigues, balaclavas, night-vision goggles and carbines a picture of professional menace.

Close by, Royal Navy aircrew sat at the controls of the Merlin awaiting their start-up order.

wave knight

This picture taken from the Wave Knight shows the Chandlers' yacht drifting - and HMS Cumberland, which arrived too late

The ship’s gun teams – who are also armed with general purpose machine guns firing 7.62mm rounds at up to 950 per minute with a range of 4,000 yards – stared out at target areas on the Kota Wajar.

But on each occasion the assault team – part of the Royal Marines Fleet Protection Group based at Faslane on the River Clyde – was stood down.

According to our source the pirates, still apparently believing that they were up against a mere supply ship, appeared almost contemptuous when they finally drew alongside the Chandlers’ yacht and hailed the kidnappers on board.

In horror and disbelief, Wave Knight’s crew watched as a line was thrown from the Lynn Rival. The yacht was then casually hauled in and moored alongside the Kota Wajar together with the pirate skiffs.

Throughout this 20-minute period, the Chandlers and their captors could be fleetingly glimpsed as shadows and silhouettes in the supply ship’s searchlight.

Although the Wave Knight remained darkened, it is inconceivable that the couple could have mistaken it for anything other than a naval vessel and perhaps dared to hope a rescue was imminent.

In the sweltering night, illuminated only by the stars and sweeps of the Wave Knight’s searchlights, the Chandlers could be seen climbing a ladder on the side of the Kota Wajar, with pirate guards above and below them.

Then they disappeared into the ship’s hull. The Kota Wajar turned and steamed slowly north with its hostages.

It was, according to our source, a surreal moment. Having been feet away, poised for a dramatic rescue, some of the world’s most feared fighting troops were now being ordered to pack their kit and go to bed.

A pursuit of the Kota Wajar was, apparently, deemed pointless.

The source added: ‘The mood among the Marines was one of intense anger and frustration. These guys were right up for it – absolutely champing at the bit. It was precisely the situation they had trained for.

‘We had all watched them practising rapid-roping [descending at speed on ropes from a helicopter] and sea-borne assaults. They knew exactly what to do. They were poised there like a bunch of Ninjas and the adrenaline was pumping.

‘They couldn’t believe the orders to stand down. The anger was obvious. I heard one joke later that they had all the gear while Northwood [uK command HQ] had no idea. We had a chance to strike a real blow at the pirates and send a message that you don’t mess with the Royal Navy.

marine

Ready for action: Royal Marines were poised to stage a dramatic rescue but were stood down

‘Judging by its actions, the Kota Wajar had no idea who we had on board. They thought we were just a supply ship. There was a great opportunity to take them by surprise.’

The source recalled seeing the silhouettes of the pirates and the Chandlers being taken off the yacht.

‘The Marines were saying, “Now’s the time. Surely it’s got to be now.” But the order never came.

‘The Kota Wajar just sailed off slowly as if to say, “You can’t touch us now. We’ve got the hostages.” They knew they’d won.’

The crew member added: ‘The Marines were more than capable of seizing the Kota Wajar way before she got near the Chandlers.

‘At that time there were no hostages on board. You can argue that the Chandlers would still have been at risk from the pirates on their yacht. But we would have been in a strong position, having taken the Kota Wajar.

‘If the pirates had killed the Chandlers they would have had nothing and would have been totally exposed. It’s more likely that they would have negotiated a hostage exchange for their mother-ship and crew.

‘No rescue was without risk. But the Marines were in a great position and were never allowed to exploit it.’

The crew member is unsure precisely what weapons the Marines were carrying. But the Fleet Protection Group’s standard issue includes SA80 assault rifles, SA80A2K carbines, MP5a3 9mm sub-machine guns and high-power 9mm Browning pistols.

It can also deploy specialist marksmen known as Maritime Sniper Teams, skilled at ‘slotting’ enemy forces from distance. It is unclear whether an MST was present.

'A 20-strong SBS team arrived two hours late'

As dawn broke, the crew of the Wave Knight sighted their flagship, HMS Cumberland. The frigate had arrived some two hours after the Kota Wajar’s departure.

Between the two vessels the abandoned Lynn Rival drifted ghost-like on the breeze. She was eventually hauled on to Wave Knight.

According to our source, the Navy’s refusal to attempt a rescue of the Chandlers appears to have been at least partly influenced by plans for a covert operation involving HMS Cumberland and a Special Boat Service troop.

He says the idea was to parachute 20 SBS men from a military transport plane into the sea off the Somali coast. They were to be picked up by Cumberland – whose movements throughout have never been revealed – to lead a rescue attempt.

Paul Chandler

Sailing enthusiasts: The Chandlers are believed to have been captured by Somali pirates while sailing between the Seychelles and Tanzania

However, the source claims the plan went disastrously wrong from the off. He says the SBS team, assembled at RAF Brize Norton, was delayed for around six hours due to ‘unforeseen events’. By the time Cumberland picked them up from the drop zone they were at least two hours behind the action.

Wave Knight ferried the SBS team – complete with parachutes, arms and equipment – 1,000 miles north to the Omani port of Salalah. It was during this trip, says the source, that nuggets of information emerged from the SBS men in Wave Knight’s mess rooms.

They were, he says, appalled at the lack of flexibility among senior commanders to adapt the rescue plan and send in the Marines.

Within hours this sense of frustration was heightened further. The source says that en route to Oman, the supply ship came across another pirate vessel – little more than the size of a tug – which opened fire on them.

'It makes you wonder, what is the Royal Navy for?'

By now Wave Knight had 20 Marines and 20 SBS soldiers on board – arguably the most lethal assault force of any Nato vessel in the anti-piracy operation. The pirates had no known hostages aboard.

An assault party was placed on ‘Quickdraw’ alert and expectation rose among the crew that at last action was imminent.

Our source said: ‘We thought it was inevitable. Pirates had fired first at a Royal Navy ship. If this doesn’t satisfy the Rules of Engagement, then what does?

The pirates wouldn’t have done that to an American ship because the Americans shoot back – with interest.

We had all the firepower and expertise we needed several times over. Yet again the order came to stand down. It makes you wonder, what is the Royal Navy for?’

Lynn Rival

Deserted: The Chandlers' 38ft yacht Lynn Rival, pictured here being fixed before their ill-fated trip, was found abandoned by Royal Navy forces patrolling the pirate-infested waters off Somalia

The SBS force was flown off Wave Knight by helicopter on November 1, landing in Salalah. A military transport plane immediately returned them to the UK.

Frustration among Wave Knight’s crew was not lost on senior commanders and early that morning Captain Clarke included a long, personal communique to the entire company in his Daily Orders.

The document confirms the presence of Royal Marines but refers to the SBS only as ‘embarked forces’. It is headed: ‘Command Aim TLC [Tender Loving Care] for embarked forces and make preparations for the safe and timely disembarkation of RM [Royal Marine] passengers and 814 Sqn Det [Merlin helicopter crew].’

The captain passed on congratulations from commanders at Northwood, near London, the Navy’s operational HQ and home of the Armed Forces Permanent Joint Headquarters, which controls all UK overseas operations.

They emphasised that the ship’s conduct was a ‘success story’, despite Northwood’s refusal to sanction a Marine rescue attempt.

After disembarking the SBS, Wave Knight headed back to the UK Maritime Component Command base in Bahrain, where 25 Royal Navy crew were landed.

The ship went on to Cyprus, where most of the Marines were dropped off for a week’s leave before being re-deployed or returning to their families.

She then returned to the UK, docking last Thursday in Portland, Dorset, with only her 75 civilian crew aboard.

Paul and Rachel Chandler

Adventurers: Rachel and Paul had embarked on numerous trips aboard their yacht, Lynn Rival

The Lynn Rival, which had been stashed on Wave Knight’s deck as our exclusive picture shows, was craned into the sea, then lifted on to a lorry and transported under cover to an unknown destination.

The Mail on Sunday’s revelations are certain to increase pressure on Admiral Stanhope to explain why he made an apparently misleading statement to The Times – an interview reprinted by other newspapers – on November 18.

His quote reads: ‘Two dead Chandlers would not have been good, and we wouldn’t have wanted to be part of that... It’s a huge piece of water and the fact that Wave Knight found the yacht was impressive, but we were not in a position to engage [the pirates]. We were too late for that.

‘You need special expertise to deal with hostage rescue, and we didn’t have that expertise [on board].

‘Sailors with pistols couldn’t do the job of ensuring the safety of the Chandlers. It was highly frustrating. There were broad rules of engagement that had to be followed, and it was a fairly easy decision to make because the security of the Chandlers was the most important thing.’

He added: ‘What could it [Wave Knight] do under the circumstances? Wave Knight is not a warship. There was only a flight [helicopter crew and engineers] on board, and as soon as they got close, the pirates threatened the hostages. They did the best they could, but the security of the Chandlers was the overriding factor.’

Last Friday he repeated his view in a speech at Chatham House, London, saying: ‘The sailors did a tremendous job in finding the Chandlers’ yacht in the first place. But once you have a hostage situation your military options, as most people would understand, are inevitably limited.

‘Had there been an opportunity to intervene, while being sure of guaranteeing the Chandlers’ safety, they would have done so. The decision not to was undoubtedly the right one.’

A senior Royal Navy source insisted last night that there were ten Marines on board Wave Knight, not 20.

An MoD spokesman said: ‘The First Sea Lord has always been clear that Wave Knight and those in command of this mission did exactly the right things.

‘As in all situations of this sort they had to balance capabilities and possible actions against the risk to life.

‘They did everything that they could in that operation and, could action have been taken, with a guarantee on the safety of the Chandlers, they would have done so.

‘Previous statements have only concerned detail that is already in the public domain, or would not be of use to the pirates we are trying to counter. We will not comment further on this detail. Discussing our capabilities in this way could reveal valuable information.’

For the Royal Marines and crew of the Wave Knight, those words surely carry a hollow ring.

As for the Chandlers, whose lives are being ransomed in Somalia for £4million, the agonising memory of October 28 is unlikely to fade soon.

They saw the Navy come to their rescue and then sink their hopes.

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Le Maran Centaurus n'est pas un petit jouet, il fait dans les 300 000 t. et 332 mètres de long >:( :

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hw2yHYH4mqPJo3Lr78m8QNHCznKQ

http://www.google.com/hostednews/afp/media/ALeqM5ikZ3_x3hU0ZSa15LMAav2ucX6Yqw?size=l

Et un autre pétrolier allant du Soudan en Chine à réussi à déjouer une attaque :

http://www.marine-marchande.com/v2/information/information_maritime-20091201-5064.php3

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Affrété par la France pour le transport de matériels militaires, le roulier MN Eclipse, de la Compagnie Maritime Nantaise, a été attaqué par des pirates. L'assaut s'est produit jeudi dernier, alors que le navire se trouvait en océan Indien. Composée de fusiliers marins, l'Equipe de Protection Embarqué (EPE) présente sur l'Eclipse a repoussé l'attaque des pirates, qui voulaient aborder le roulier à partir d'une embarcation rapide. En fuite, les pirates ont été activement recherchés. Pistés par un avion de patrouille maritime, ils ont été finalement interceptés par la frégate grecque Adrias.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=111806

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« J'ai investi l'équivalent du prix d'un lance-roquettes. Ça m'a déjà rapporté 75 000 $ (49 840 €) en 38 jours, explique Sahra Ibrahim, une jeune divorcée de 22 ans. Maintenant, j'attends de recevoir la part qui me revient de la rançon d'un thonier espagnol. » Impressionnant retour sur investissement, un lanceur RPG-7 se négociant, en Somalie, aux alentours de 5 000 $ (3 322 €) et sa grenade à moins de 100 $ (66 €)l'unité.

À Haradheere, à 400 km au nord de Mogadiscio, personne ne regrette d'avoir investi dans la première coopérative maritime dont l'objet social est le financement de la piraterie. « Pendant la mousson, quand on ne pouvait pas prendre la mer, on a décidé de mettre en place cette structure mutualiste pour financer nos activités, acheter des armes et du matériel et permettre à tout le monde de bénéficier d'une part du butin, explique Mohammed, un ex-pirate reconverti dans la gestion de la coopérative. On a fait de la piraterie une activité communautaire. »

Signe que les affaires sont florissantes, Haradheere, que l'on décrivait autrefois comme un village de pêcheurs, voit fleurir... des embouteillages ! Les 4x4 y sont plus nombreux que les barques. Tout le monde profite de la manne, même les écoles publiques et l'hôpital puisque les autorités locales touchent aussi une part du butin sur chaque prise.

Et pour ceux qui ne peuvent pas investir, le travail ne manque pas. « Je ne voulais pas mourir sous les bombes à Mogadiscio, explique Abdirahman Ali. J'ai choisi de venir ici et j'ai un travail stable. » Il monte la garde sur un chalutier thaïlandais. Et touchera les dividendes de la rançon.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Des-pirates-ont-cree-leur-cooperative-_3637-1178478_actu.Htm

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Chez corlobe une traduction d'une interview du WP

http://www.corlobe.tk/article17239.html

Les forces navales internationales ne seront jamais capables de sécuriser complètement l’immense étendue d’océan où les pirates somaliens attaquent des navires au large de l’Afrique de l’Est, a expliqué mardi le commandant de l’opération européenne Atalante.

Au cours l’une des dernières attaques, les pirates ont capturé un pétrolier grec, le Maran Centaurus, alors qu’il transportait 275.000 t de pétrole brut.

Le commandant de l’opération Atalante indique que le Maran Centaurus naviguait à l’est d’une zone que l’Union Européenne conseille d’éviter, donc il ne pouvait pas forcément s’attendre à être attaqué. Les pirates retiennent maintenant 11 navires et 264 membres d’équipage, indique le contre-amiral Peter Hudson.

"La nouvelle de cette attaque illustre parfaitement les problèmes que pose la protection et la surveillance d’une zone qui couvre plusieurs millions de km²," explique Hudson, qui commande l’opération européenne Atalante de lutte contre la piraterie.

Hudson précise que le fait que les pirates attaquent désormais des navires jusqu’à 1.000 nautiques (1.850 km) des côtes constitue un défi important, et que la force européenne ne peut pas protéger complètement une zone aussi grande. La stratégie de la force européenne dans le golfe d’Aden est d’augmenter le temps qu’il faut aux pirates pour monter à bord afin qu’un navire ou un hélicoptère puisse être envoyé sur place.

"La difficulté dans une région aussi grande que l’océan Indien, avec le faible nombre de moyens dont nous disposons, est que les pirates peuvent tenter leur chance jusqu’à ce qu’ils arrivent à monter à bord, parce qu’il n’y a rien pour les en empêcher," explique-t-il.

Hudson précise que les pétroliers comme le Maran Centaurus peuvent être des cibles tentantes.

"Ils sont gros, pas très rapides, sont bas sur l’eau... Donc un pirate déterminé peut réussir," a expliqué Hudson lors d’un voyage au Kenya.

Et à cause des produits inflammables, les pétroliers ne peuvent embarquer d’équipes de protection embarquées.

Hudson prévient que le problème de la piraterie ne sera pas résolu "en parcourant l’océan Indien et en capturant des pirates. La solution à long-terme est à terre, en Somalie."

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En attendant une réponse à terre pour les navires lents et particulièrement vulnérable comme les pètrolier une solution le convoi avec une escotre qui ouvre le feu avant que les pirates soient à portè de RPG ou assimilè

Le probleme c'est qu'un convoi c'est long tres tres long et que pour couvrir sérieusement le tout il faut un bateau escorteur par bateau escorter.

C'est faisable avec pléthore de semi-rigide et des guetteurs du les bateau escorté ... mais c'est tres lourd !

Faut voir qu'il y a pas loin d'un kilomètre mini entre deux navire marchand qui se suivent les convoi peuvent s'étirer sur plusieurs dizaine de kilomètre !!! et comme il faut moins de 5 minutes entre la détection  et la prise de contrôle par les pirates ...

L'idéal pour ca c'est un BPC ... avec le radier plein de semi-rigide ou de petit patrouilleur, et une floppé de petit hélico sur le pont avec un 20mm de sabord :) et suffisament de fusilier pour assurer la veille 24/7

Encore faut il que les navires marchands puissent attendre la formation de convoi et accepte de filer seulement la vitesse du plus lent du convoi ...

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Je te rejoins assez G4lly . Mais un jour ou l'autre il faudra vraiment regler ce problème .

Soit on oblige simplement les navires à voguer en convoi (qui bien que non réellement "safe" sont mieux que des navires isolés ) qui sont plus facilement défendable .

Soit on le fait à la Kotai , et à coup de force Spéciale on réduit les gens qui vivent sur notre dos . Des sanctions contre les Armateurs payant des rançons, et le systématique retour de certains des pirates capturés seraient une autre voie .

Pourquoi le retour de certains pirates ? Car si sur six capturés , l'un est libéré, il racontera que s'attaquer à tel vaisseau , de telle nationalité ce n'est pas intéressant .

S'ils disparaissent tous, les Pirates risquent de durcir leurs assauts . S'ils reviennent tous , les Pirates comprendront qu'il n'y a rien qui les empêche de travailler .

Une execution sommaire de tout pirate pris la main dans le sac serait une autre idée , mais il y a quand même un paquet d'otage , c'est vraiment pas la bonne voie .

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La solution la moins chère est quand même la présence de soldats sur les navires civils comme on fait sur les thoniers français.

Pas besoin de mobiliser des patrouilleurs, frégates ou BPC : des hommes à bord sont indispensables pour les navires lourds (pétrolier, gaziers, paquebot, gros cargos...). pour les autres on continue les convois.

En revanche, il faut être sans pitié et tirer à vue, seule façon de dissuader les attaques et le recrutement des pirates. Quand ils s'apercevront à terre que les navires ne reviennent pas, ils commenceront à envisager une autre carrière !

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Pas besoin de mobiliser des patrouilleurs, frégates ou BPC : des hommes à bord sont indispensables pour les navires lourds (pétrolier, gaziers, paquebot, gros cargos...). pour les autres on continue les convois.

Puisqu'on te dit qu'on peut pas utiliser d'arme a feu depuis les pétrolier ou méthanier !!!

Ajoute a cela le probleme de pavillon ... qui complique l'emport de troupe "étrangère"...

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Puisqu'on te dit qu'on peut pas utiliser d'arme a feu depuis les pétrolier ou méthanier !!!

J'imagine bien les commandos avec des sarbacanes, des arbalètes et des carabines à air comprimé, sur les transports d'hydrocarbure !  :lol:

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ou alors, on développe une nouvelle arme:

une roquette (genre les Laser développées pour les hélicos d'attaque) guidée par laser à allumage différé: la roquette est lancée via une baliste (une grande arbalète) et, une fois à distance de sécurité (20 ou 30 m minimum), il y a allumage de la charge propulsive.

la roquette serait, de plus, muratisée pour éviter tout problème...

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la roquette est lancée via une baliste

Au réarmement du ressort par l'allumage de la charge propulsive près, on va ré-inventer le PIAT. :lol:

Je crois qu'il vaut mieux prendre comme principe intangible que pyrotechnie et hydrocarbures NE DOIVENT PAS se trouver sur le même navire.

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Les convois sur le détroit ça marche.... C'est pourquoi les pirates vont plus loin à l'est et au sud...

Faut le dire vite ... y a eu plusieurs attaque réussie de navire inséré dans un convoi, les délai d'inter étant long sur un convoi de plusieurs kilometre. A par les navire avec des équipe de protection y a pas de garanties de pas se faire pirater.

M'enfin effectivement comme le risque de se faire attraper - soit par l'helico soit par l'équipe de protection, soit de se faire poursuivre par les patmar - est plus grand les pirates préfèrent tout de même attaquer des des navires isolés plus loin. Là ils ont tout le temps pour pirater n'importe quel bateau, et une fois a bord il sont peinard vu qu'il y a pas de politique globale d'interdiction des navires piratés. Et si ca foire ... ils ont tout le temps de disparaître :)

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L'armateur français CMA-CGM étudie l'embarquement de gardes armés à bord de ses cargos.

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-12-07/l-armateur-francais-cma-cgm-etudie-l-embarquement-de-gardes-armes/1648/0/402505

"..... M. de Saqui de Sannes a estimé que les risques pris par les porte-containers de la compagnie de navigation lorsqu'ils traversent le golfe d'Aden ou s'approchent des côtes africaines deviennent trop importants. Il a notamment précisé que les conseils de sécurité donnés par la marine nationale, consistant à faire traverser le golfe d'Aden à pleine vitesse par les cargos, représentaient pour chacun d'entre eux une consommation supplémentaire de 60 tonnes de fuel par voyage, soit 20 millions de dollars annuels pour la CMA-CGM. Les primes de risque versées aux équipages s'élèvent à 3.500 dollars par voyage. La route de contournement imposée pour se rendre dans les ports d'Afrique de l'Est (Seychelles, Kenya et Tanzanie) représente un surcoût de 5 millions de dollars par an et les primes d'assurances pour le golfe d'Aden s'élèvent à 0,5 % de la valeur du navire pour chaque voyage. Or la compagnie y passe 720 fois par an... Et l'orateur de préciser : "Oui, nous affectons une surcharge piraterie à nos clients. Mais ce qu'ils regardent, c'est le chiffre en bas à droite de la facture...". Pour l'ancien général, la solution existe. Elle consiste à "se tourner vers des sociétés de sécurité privées, labellisées par les autorités françaises, dont les compétences seraient vérifiées chaque année". Et de citer les personnels des fusiliers marins ou de la gendarmerie partis en retraite, qui feraient d'excellentes sentinelles à bord des navires..... ".

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http://www.cedoc.defense.gouv.fr/article.php3?id_article=1674

Lors d’une journée d’étude consacrée à la piraterie, organisé le 7 décembre 2009 par la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), M. le général de division (2S) Pierre de Saqui de Sannes, conseiller institutionnel France, Afrique et Moyen-Orient chez CMA-CGM, a annoncé que l’armateur français étudie la possibilité d’embarquer à bord de ses navires des « hommes en armes fournis par des sociétés militaires privées ».

Les sociétés militaires et de sécurités privées voient une opportunité dans l’augmentation de l’insécurité en mer, ce qui les pousse à rechercher des marchés dans le domaine maritime. Cette tendance relance le débat sur le mercenariat en mer. L’étude du Centre d’enseignement supérieur de la Marine, Insécurité maritime entre forces navales et privatisation, apporte un éclairage historique, juridique et économique sur ce phénomène.


Insécurité maritime : entre forces navales et privatisation (pdf)

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