penaratahiti Posté(e) le 14 avril 2016 Share Posté(e) le 14 avril 2016 il y a 6 minutes, Henri K. a dit : Le choix est très judicieux, bien calculé entre l'utilité et la minimisation de tension : La priorité saute aux yeux. Henri K. Effectivement on est clairement dans la posture pour rassurer les Philippines, sans montrer le moindre danger ou agressivité (en tout cas pas d'escalade) au-delà justement de ce point de tension qu'est le Massif de Scarborough entre les Philippines et la Chine (enfin c'est mon interprétation). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 14 avril 2016 Share Posté(e) le 14 avril 2016 Il est vrai que les A-10 ont servit au large des cotes libyenne en 2011 mais la lutte antinavire à coup de Hellfire, coment dire... Sinon, ce n'est leur premier déploiement la bas, voir la vidéo d'une simulation de combat entre un SIAI Marchetti S.211 philippin et une paire de A-10 : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 2 mai 2016 Share Posté(e) le 2 mai 2016 (modifié) J'ai trouvé intéressants certains billets du fauteuil de Colbert sur : l'orientation stratégique de la PLAN (ou MAPL en français :)) http://lefauteuildecolbert.blogspot.fr/2016/04/entretien-avec-paul-mullie-la-mapl-dans.html#more et le sens stratégique du "collier de perle": http://lefauteuildecolbert.blogspot.fr/2016/04/entretien-avec-paul-mullie-les.html#more En particulier, je me permet de zoomer la carte de l'article, qui résume magistralement en 1 diagramme, les problématiques des lignes d'approvisionnement chinoises (incluant et au-delà de la Mer de Chine méridionale): L'importance stratégique de cette mer et des détroits pour la Chine et le Japon Les tentatives pour réduire le risque de blocus (pipelines alternatifs, "nouvelle" route de la soie) La position stratégique de l'Inde pour contrôler l'accès au Moyen Orient. Et les bases / escales chinoises du "collier de perle" + les forages offshores de la région Un vrai "dessous des cartes" pour dépasser les prétextes à 2 centimes de (tous) les camps de la région. Modifié le 2 mai 2016 par rogue0 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Daj Posté(e) le 7 mai 2016 Share Posté(e) le 7 mai 2016 La musique adoucie les mœurs, un peu de douceurs (De Soft power tout du moins) dans ce monde de brute http://www.lapresse.ca/international/asie-oceanie/201605/05/01-4978344-deploiement-dartistes-en-mer-de-chine-meridionale.php Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 mai 2016 Share Posté(e) le 7 mai 2016 On 14/04/2016 at 4:00 PM, collectionneur said: Il est vrai que les A-10 ont servit au large des cotes libyenne en 2011 mais la lutte anti-navire à coup de Hellfire, comment dire... Les A-10 peuvent emporter 6x AGM-65 ... missile dont se servent les P3 en "mode" anti navire contre les navires ne nécessitant pas de harpoon. Avec une charge militaire explo/frag de 140kg ca commence a faire serieux bobo meme si le missile ne porte qu'a 20 ou 25km. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Urgan Posté(e) le 7 mai 2016 Share Posté(e) le 7 mai 2016 17 marins chinois disparus après une collision avec un cargo en mer de Chine. Les gardes-côtes chinois en ont récupérés 2. http://www.europe1.fr/international/17-disparus-apres-une-collision-en-mer-de-chine-2738953 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 22 mai 2016 Share Posté(e) le 22 mai 2016 Un dossier de RFI avec retour sur la "poldérisation" de différents îlots en mer de Chine, par les chinois et les autres ; photos avant/après. http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20160521-spratleys-vietnam-chine-polders-iles-artificielles-recifs-sable-terre-strate 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
die kraft Posté(e) le 23 mai 2016 Share Posté(e) le 23 mai 2016 ça se chatouille en mer de chine ... http://www.mondialisation.ca/linterception-dun-avion-espion-montre-a-quel-point-les-etats-unis-cherchent-la-confrontation-en-mer-de-chine-meridionale/5526464 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 23 mai 2016 Share Posté(e) le 23 mai 2016 Harg, je ne savais pas que les USA avez des prétentions territoriales ! Pitié, il y a d'autres sites bien plus neutres que la ''mondialisation'' Sinon, Obama lève l'embargo sur les armes concernant le Vietnam :) Bientôt une alliance militaire après économique avec Hanoi ? Ceux qui ont manifesté dans leur jeunesse contre la guerre du Vietnam doivent être déboussolés. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
die kraft Posté(e) le 24 mai 2016 Share Posté(e) le 24 mai 2016 des sites bien plus neutre ...moi j aime bien grenouiller sur tout les sites afin de me faire une idée ,et je ne prend pas pour argent comptant tout ce que l'on me sert .. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bat Posté(e) le 24 mai 2016 Share Posté(e) le 24 mai 2016 Il y a 10 heures, collectionneur a dit : Ceux qui ont manifesté dans leur jeunesse contre la guerre du Vietnam doivent être déboussolés. Pas spécialement: ces manifestants scandaient "don't kill our brothers" et ce genre de choses. Ceux que ça doit plus perturber, c'est ceux qui pensent qu'il fallait défoncer les Viets pour protéger l'Amérique du péril rouge. Car les Viets communistes, bah ils sont toujours là et c'est avec eux que parle Washington. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dany40 Posté(e) le 24 mai 2016 Share Posté(e) le 24 mai 2016 "L'ennemi de mon ennemi est mon ami " .... Avec "diviser pour mieux régner " c'est un des proverbes préfèré de la politique extérieure US ... Un grand classique rien de surprenant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 23 juin 2016 Share Posté(e) le 23 juin 2016 (modifié) Je remonte ce fil pour livré le résumé si joint de la brouille entre Pékin et Djakarta sur les iles Natuna qui ne SONT PAS DES CAILLOUX mais un vrai archipel avec des dizaines de milliers d'habitants : http://www.opex360.com/2016/06/21/pekin-lorgne-sur-archipel-indonesien-situe-en-mer-de-chine-meridionale/ http://www.persee.fr/doc/arch_0044-8613_1990_num_39_1_2619 Se mettre à dos l'un de leurs principaux clients en Asie (contrat pour un TGV) et qui à une armée qui à montrer qu'elle n'hésite pas à faire des petites tours chez ses voisins ? Ils sont en quoi en tète les dirigeants chinois ? Modifié le 23 juin 2016 par collectionneur 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 23 juin 2016 Share Posté(e) le 23 juin 2016 Le 23/05/2016 à 23:43, collectionneur a dit : Pitié, il y a d'autres sites bien plus neutres que la ''mondialisation'' En effet. L'objectif du site est tellement rabâché dans les articles que je n'arrive plus à y faire la part des choses entre les faits et les interprétations. Le 24/05/2016 à 09:56, Bat a dit : Ceux que ça doit plus perturber, c'est ceux qui pensent qu'il fallait défoncer les Viets pour protéger l'Amérique du péril rouge. Car les Viets communistes, bah ils sont toujours là et c'est avec eux que parle Washington. Des communistes au Vietnam? Pas vu. Ils ont dû se dissoudre dans l'argent, et en garder plus que l'étiquette sur les documents :p 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 23 juin 2016 Auteur Share Posté(e) le 23 juin 2016 (modifié) Par pitié, j'aimerais que les gens parlent en sachant de quoi ils parlent. Primo, la Chine n'a jamais remis en question la souveraineté indonésienne sur les îles Natuna. Le Ministère des affaires étrangères chinois a encore rappelé qu'il n'existe pas de point de discussion sur ces îles car elles appartiennent à l'Indonésie, c'était en Novembre 2015. Point à la ligne. En revanche c'est la Malaisie qui réclament la souveraineté des Natuna. Comme quoi.. Secondo, l'embrouille est qu'il y a eu des pêcheurs chinois qui se font tirer dessus et blessés par les bâtiments de la marine indonésienne, très probablement que les pêcheurs sont entrées dans une zone exclusive indonésienne mais à vérifier, et comme ils appellent à l'aide à la garde-côtes chinois, au moins un patrouilleur de garde-côtes chinois est arrivé sur place pour s'y opposer et sauver ce qu'ils peuvent, et donner ce qu'on a vu en photo : Après il y a des protestations chinoises, non pas parce qu'ils réclament la terre des Natuna, mais parce que les ressortissants chinois se font tirer dessus. Dans cette région tout le monde tire un peu près sur tout le monde, il y a quelques semaines les Indonésiens ont ouverts le feu sur les pêcheurs d'un autre pays que la Chine, pour autant il n'y a pas tant de réactions. Je conseille toujours les gens de ne pas partir avec un à priori, c'est simple d'avoir dès la première lecture un "méchant" en tête. Non, pour moi personne n'est méchant ni gentil, il n'y a que des intérêts et des positions qui divergent. Garder une certaine objectivité quand on lit les histoires dans cette région est plus que nécessaire car les informations sont très filtrées/limitées et surtout il y a tout qui se mélange depuis des années et des années. Henri K. Modifié le 23 juin 2016 par Henri K. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 23 juin 2016 Share Posté(e) le 23 juin 2016 (modifié) Sauf que c'est la deuxième fois en quelques semaines et qu'auparavant, c'est un garde cote qui avait empêché la police indonésienne de faire son travail sans échange tir d'ailleurs. Modifié le 25 juin 2016 par collectionneur Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 23 juin 2016 Auteur Share Posté(e) le 23 juin 2016 (modifié) il y a 12 minutes, collectionneur a dit : Sauf que c'est la deuxiéme en quelques semaines et qu'auparavant, c'est un garde cote qui avait empêché la police indonésienne de faire son travail sans échange tir d'ailleurs. Dans ce que je vois il y a au moins un incident par semaine dans la région, et cela ne concerne pas uniquement la Chine. J'ai arrêté de tracer et de suivre par que 2ème 3ème énième, dans 20 ans ce sera toujours la même histoire. On parie ? Il y a 20 ans, la Chine par exemple, contrôle le même nombre d'atolls que maintenant, les autres pays sont un peu près pareil. La ligne en leuf traits du point de vue chinois n'a pas changé d'un poil. La seule chose qui a changé c'est que les bungalows avec 3 tiges de bambou sont d'un coup devenus les fortifications en bêton et les pistes de 3000m, ah oui ça ça pique. Parce que les autres n'ont pas forcément les moyens pour faire autant que la Chine, surtout les technologies et le pognons qui vont avec, donc une certaine "équilibre" a été brisée. Mais ce n'est pas pour autant que les autres que la Chine ne vont pas dans ce sens, seulement ils vont beaucoup plus lentement. Rien que l'investissement en $$ ça fait plier du monde. Savez vous quel est le coût par m² pour ces travaux que la Chine entame sur 7 îlots simultanément ? Ça coûte plus cher que le prix immobilier dans le 3ème anneau de la ville de Pékin, je vous laisse chercher. Henri K. Modifié le 23 juin 2016 par Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
true_cricket Posté(e) le 23 juin 2016 Share Posté(e) le 23 juin 2016 Il y a 2 heures, Henri K. a dit : Secondo, l'embrouille est qu'il y a eu des pêcheurs chinois qui se font tirer dessus et blessés par les bâtiments de la marine indonésienne, très probablement que les pêcheurs sont entrées dans une zone exclusive indonésienne mais à vérifier, et comme ils appellent à l'aide à la garde-côtes chinois, au moins un patrouilleur de garde-côtes chinois est arrivé sur place pour s'y opposer et sauver ce qu'ils peuvent, et donner ce qu'on a vu en photo : Même en France on tire sur les pêcheurs illégaux qui refusent d'obtempérer. Ce n'est pas spécifique à la Mer de l'Est. Il y a 2 heures, Henri K. a dit : Après il y a des protestations chinoises, non pas parce qu'ils réclament la terre des Natuna, mais parce que les ressortissants chinois se font tirer dessus. Dans cette région tout le monde tire un peu près sur tout le monde, il y a quelques semaines les Indonésiens ont ouverts le feu sur les pêcheurs d'un autre pays que la Chine, pour autant il n'y a pas tant de réactions. Je conseille toujours les gens de ne pas partir avec un à priori, c'est simple d'avoir dès la première lecture un "méchant" en tête. Non, pour moi personne n'est méchant ni gentil, il n'y a que des intérêts et des positions qui divergent. Garder une certaine objectivité quand on lit les histoires dans cette région est plus que nécessaire car les informations sont très filtrées/limitées et surtout il y a tout qui se mélange depuis des années et des années. Sauf que.... les pêcheurs chinois semblent se sentir pousser des ailes, ou bien sont poussés en ce sens par leur gouvernement. le résultat est qu'ils se font tirer dessus un peu partout dans le monde pour toujours le même motif : pêche illégale, et refus de laisser l'accès du navire aux polices/gardes-côtes locales, et tentative (ou réussite) de fuite. J'ai trouvé des archives parlant d'au moins de : Argentine, Corée du Sud, Indonésie, Gambie, Guinée, Guinée-Bissau, Mauritanie, Sénégal,Sierra Leone, Afrique du Sud, Cameroun. Il y a 2 heures, Henri K. a dit : Il y a 20 ans, la Chine par exemple, contrôle le même nombre d'atolls que maintenant, les autres pays sont un peu près pareil. La ligne en leuf traits du point de vue chinois n'a pas changé d'un poil. La seule chose qui a changé c'est que les bungalows avec 3 tiges de bambou sont d'un coup devenus les fortifications en bêton et les pistes de 3000m, ah oui ça ça pique. Parce que les autres n'ont pas forcément les moyens pour faire autant que la Chine, surtout les technologies et le pognons qui vont avec, donc une certaine "équilibre" a été brisée. C'est surtout le fait que la Chine se dore de points d'action qui lui permettront ensuite de faire ce qu'elle veut dans la zone qui affole les voisins et leurs soutiens. Que l'Indonésie/Malaisie/Vietnam/Brunei envisage de restreindre le trafic maritime, et al seule chose qui arrivera sera la faillite économique du pays après un boycott mondial instauré à l'ONU. Mais si c'est la Chine qui le fait... Et bien personne n'aura aucun moyen de rétorsion viable. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 23 juin 2016 Auteur Share Posté(e) le 23 juin 2016 Il y a tirer par les bâtiments de la marine, et tirer par les forces de l'ordre. L'ampleur est différente. Mais passons, et je ne discute même pas si les pêcheurs chinois sont poussés ou pas par leur gouvernement, ou attirés simplement par là où il y a des poissons en dehors des zones d'interdiction de pêche instaurées par le gouvernement chinois pour éviter la surpêche. Pendant que j'y pense, on est plein dedans en ce moment même dans cette période jusqu'au début Août. Et, fortification ou pas, est-ce que quelqu'un peut me citer une fois, une seule suffit dans l'histoire, que la Chine ou un autre pays a interdit, ou juste restreint, le trafic maritime dans la zone ? D'ailleurs ça me fait penser à un journaliste US qui posait un peu près la même question cette année au porte-parole de département de state, ce dernier a été un peu squeezé et ne savait pas quoi répondre. Ouvrez Google Earth, mettez 12 nm autour des îlots contrôlés par les Chinois et même par tous les autres pays, on se rend compte vite fait que c'est la grosse connerie les opérations pour défendre la FON (Freedom of navigation) de l'US Navy... et ce sans vouloir défendre quiconque. La FON est pour moi une excuse détournée pour dire à la Chine (et aux autres si l'on croit aux Américains) que nous ne sommes pas d'accord que vous êtes proprios de ces îlots, sans avoir les c...... de le dire comme ça et officiellement. Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 25 juin 2016 Share Posté(e) le 25 juin 2016 Voilà une proposition de stratégie pour les US/Japon/Corée pour contrer le concept AD/AA chinois en mer de chine du sud, par James Holmes, prof au Naval War College (encore un !).http://thediplomat.com/2016/06/defeating-chinas-fortress-fleet-and-a2ad-strategy-lessons-for-the-united-states-and-her-allies/ Je la trouve intéressante, car l'analyse couvre des aspects techniques et politiques, malgré certains aspects dépassés ou peu convaincants: Assimiler la flotte chinoise à une Fortress Fleet (version étendue de la "Fleet in being") est de moins en moins vrai. Au fur et à mesure de la transition vers des missions de haute mer, et de projection de force (aucune mention du CVBG dans l'article). L'équation de Kissinger sur la dissuasion est un bon point à rappeler : dissuasion = capacité militaire * volonté politique interne (de s'en servir) * crédibilité / respect / crainte des adversaires. Les US et alliés locaux peuvent assez facilement améliorer le 1er facteur. Ca se gâte déjà pour le second (volonté politique des alliés locaux ? pour l'ASEAN ahem ...) Et le 3ème point, ça me parait difficile : la RPC acceptera difficilement d'être dissuadée (sauf immense déploiement de force): vu les crises probables, soit le sujet sera considéré comme vital (Taiwan), soit la fierté nationale / politique intérieure / rentrera en jeu. Révélation Defeating China's Fortress Fleet and A2/AD Strategy: Lessons for the United States and Her Allies China’s built a fortress fleet to operationalize its A2/AD ambitions. How can the U.S. and her allies counter this? By James R. Holmes June 20, 2016 To borrow from the strategist Obi-wan Kenobi: Japan and South Korea have the mixed fortune to inhabit a wretched hive of scum and villainy, populated by the likes of China and North Korea. The same goes for U.S. forces based in Northeast Asia. We are all in this together. But how does an alliance like ours uphold freedom of the sea and other important interests in such a neighborhood? How do you deter an ambitious, seafaring great power like China that wants to abridge freedom of the sea, when your navy and its supporting ground and air forces lie constantly within effective weapons range? Can you deter such a power? Henry Kissinger says Yes. You can make a believer out of your opponent by amassing impressive capabilities—capabilities meaning not just widgets but the obvious ability to use them effectively for operational and strategic gain. And you make him a believer by convincing him of your resolve to use those capabilities to defeat his aims should he do things you want to deter. Enjoying this article? Click here to subscribe for full access. Just $5 a month. Deterrence is thus a product of multiplying capability by resolve by belief. That’s Kissinger’s equation. As we remember from grade-school algebra, if any variable in a series of variables multiplied by one another is zero, so is the product. If any one of Kissinger’s three factors is zero, so is deterrence. Maximize all three and you have a fighting chance to deter. Let summarize the strategic predicament facing our three countries, then briefly go through those three elements of deterrence—capability, resolve, and belief—and close by sketching one of many prospective strategic courses of action the U.S.-Japan-South Korea alliance could embrace to deter a China that seems bent on remaking the Asian maritime order to our—and the region’s—detriment. Let’s first review the maritime strategic situation. China has constructed a “fortress fleet,” and this represents savvy strategy on its part. Fortress fleet is an obscure term but not a new one. A bit over a century ago, naval historian Alfred Thayer Mahan, the second president of the Naval War College and probably history’s most influential proponent of sea power, savaged the imperial Russian Navy for operating such a fleet—for deploying a fleet, that is, that sheltered timidly under the guns of Port Arthur for protection against the big, bad Imperial Japanese Navy commanded by Admiral Tōgō. The logic of a fortress fleet is straightforward. Forts and other land bases generally outgun fleets. If a hostile fleet comes with range, the fort’s gunnery can pound it. A battleship or a cruiser—the capital ships of yesteryear—is a big gun platform by naval standards, but it’s small by contrast with a fortress that can sprawl out on shore. Forts house bigger weapons boasting greater range and more ammunition. So if a fleet enjoys fire support from a fort, it can hope to withstand or even defeat a stronger foe. That’s what Russian commanders tried to do during the Russo-Japanese War of 1904-5. When the Russian squadron stayed close to Port Arthur, Tōgō’s fleet typically kept its distance to avoid getting whacked. When the Russians ventured beyond range of Port Arthur’s gunners, they lost—catastrophically so. Two Russian fleets were reduced to artificial reefs by the end of the conflict. So there’s safety in fire support. But merely existing is not a navy’s purpose. A century ago artillery had extremely short effective firing ranges, measured in just a few miles. Staying within reach of shore fire support thus meant staying within a very cramped sea area—and surrendering the high seas to the enemy. A fortress fleet could stay safe, then, but if it did it accomplished next to nothing of value. That’s why Mahan blasted Russian commanders for pursuing a “radically erroneous” naval strategy against Japan. Does his critique hold up today? No. I think the day of the fortress fleet has come, courtesy of extended-range, precision, guided-missile technology. Ask yourself: what if the guns of Port Arthur could have rained accurate fire on ships throughout the Yellow Sea or beyond? How would the Russo-Japanese War have turned out if Tōgō had had to worry about getting pummeled as soon as he left port? That would have put a different complexion on things. Technology has granted China’s navy the luxury of operating within range of shore fire support throughout vast sea areas. No longer are ships confined within a short radius of a single point along the coast. Assuming they fulfill their hype, systems like the DF-31D and DF-26 anti-ship ballistic missiles will provide protective cover for PLA Navy warships operating well beyond the first island chain—beyond the second island chain if the DF-26 reaches the upper limit of its estimated firing range. In other words, PLA weaponry can, at least hypothetically, strike at enemy fleets throughout the waters Beijing cares about most—the Western Pacific and China seas. And that’s not all. PLA ASBM batteries are mobile. They’re mounted on trucks. Latter-day “fortresses” can be positioned up and down Chinese shorelines, and repositioned to concentrate fire near potential trouble spots. The imperial Russian Navy had Port Arthur, a single point on the Liaotung Peninsula that could sweep a small offshore area clear of hostile vessels. The PLA Navy has Fortress China, which adjoins all of the embattled expanses just offshore. One imagines this technological progress would give Mahan pause. I doubt the prophet of sea power would castigate China for radically erroneous strategy, the way he did Russia. China has the long arm of advanced weaponry. It can operate a free-range navy while still reaching out from land to smite China’s foes. Weapons technology has superseded Mahan’s critique. I need not remind anyone here what this means in geographic terms. Korea is a half-island appended to continental Asia. Japan is an archipelago five hundred or fewer miles offshore, depending on the latitude. Japanese and Koreans live within the anti-access/area-denial zone, as do the U.S. Seventh Fleet and affiliated joint forces. How do you deter a China that has such an arsenal at its disposal, when you’re permanently in close quarters with it? For one thing, let’s construe “capability” broadly rather than limit it to weapons, tactics, and operational methods. Anti-access/area denial is about more than guns and ammo. It is a strategy if not a grand strategy. China gets this. For instance, it harnesses not just strategic rocket forces and PLA Navy and Air Force assets to deter and coerce, but also psychological, media, and legal operations—its so-called three warfares. Beijing wages the three warfares 24/7/365 to shape opinion in its favor, with the goal of disheartening potential opponents or convincing them the costs of bucking China’s will would be unbearable. There’s wisdom in China’s methods, however much we might deplore China’s aims. We should reciprocate—taking stock of all the resources we can pool as an alliance, not just our military forces. In Kissinger’s lingo, these are all elements of capability. Let’s leave no implement—diplomatic, economic, or military—on the shelf in this high-stakes competition. Unity—what Kissinger calls will—is one of these implements. Carl von Clausewitz, the grand wizard of all things military, reminds us that the “community of interest” constitutes the “center of gravity” for multinational consortiums. Disrupt the community of interest through an effective military blow, the compelling threat of such a blow, or political means, and you splinter the alliance into manageable bits. China’s approach to diplomacy is reminiscent of Sun Tzu’s Hegemonic King, who overawes outmatched neighbors into not combining against him, then deals with them piecemeal. It doubtless pleases Beijing when diplomats from smaller neighbors utter sentiments like, “When the dragon roars, the little countries need to stay away from the fire coming out of its mouth.” That’s how one ASEAN diplomat explained ASEAN’s retraction of a strong statement against Chinese lawlessness in the South China Sea last week. Let’s firm up our allied unity—and deny China the easy victory promised by its Hegemonic King strategy. If our alliance maintains solidarity while deploying formidable diplomatic, economic, and military means, we will stand a good chance of making believers out of China. It’s doubtful Beijing will ever formally relinquish such goals as Taiwan, the Senkaku Islands, or its claims to sovereignty over sea and sky. Nor is it likely to dismantle its fortress-fleet strategy, or the navy that takes refuge underneath. But we gain time if we deter China. And if we gain enough time, good things may happen. China may mellow, postponing a reckoning on contentious matters into the indefinite future. Stringing out the strategic competition may be the best we can achieve. Up to now I’ve spoken in general terms about allied power and purpose. What about strategy? Others here are far better qualified than I to comment on how the allies can preserve and deepen their sense of common purpose—their community of interest. Such diplomatic endeavors are of fundamental importance to our cause. Since time is short, however, let me stick to the naval and military dimensions for now and we can widen the aperture during the Q&A if you so desire. How do you blunt a fortress-fleet strategy? Well, for one thing, we can take the fleet out of fortress fleet. The PLA may operate ASBMs, but the allies have anti-ship capability of their own. We have systems that can span the waters we care about, and our reach will only grow in the coming years as we distribute lethality throughout our fighting forces. We could, say, deploy mobile batteries of anti-air and anti-ship missiles along the island chain, turning geography to advantage. Ground-pounders thus could assail shipping that attempts east-west movement from the China seas into the Western Pacific and back. The Ryukyus and other island groups would become de facto missile emplacements—hard to root out short of amphibious assault. Offensive sea mines in the straits would complete the offshore cordon, while submarines lurking behind the island chain would provide mobile striking forces to plug gaps should PLA Navy surface or undersea forces stage a breakout anyway. Meanwhile, a few allied subs could slip into the Yellow and East China seas to raid shipping from below. In short: the ROK Navy, JMSDF, and U.S. Navy could bottle up China’s navy within the first island chain while making the waters within dangerous indeed. If China’s A2/AD strategy constitutes Beijing’s challenge, joint and combined island warfare—or, in peacetime, the imposing threat thereof—would constitute the allied reply. The result would be a kind of mutually assured sea and air denial—in other words, a form of conventional deterrence. Over time, considering China’s reliance on seaborne imports of natural resources and exports of finished goods, blockading China from afar would probably hurt them more, economically and militarily, than it would hurt us. That’s the hardware part. Lifting our gaze, the allies could negotiate a geographic division of labor to execute such a strategy. Japan could apply its efforts mainly along a southwestern axis, minding the islands and straits between the home islands and Taiwan. Korea could look eastward and northward, closing the Tsushima Strait to north-south Chinese movements while policing the Sea of Japan in case of a breakthrough. Such a partition of duties would let each partner harness its competitive advantages, operate on the ground it knows best, and, in the case of Japan, continue what it’s already doing as it fields a dynamic defense force to guard or recover the Ryukyus. Japan and Korea, then, can help the United States by helping themselves. To the extent that Tokyo and Seoul can manage events in Northeast Asia, they will free up U.S. joint forces for operations to the south—letting them tighten the cordon around the South China Sea, take down China’s manufactured islands, or whatever. Such a strategy would pay off in a wider strategic competition or war. And it would send a message. China is prone to hubris, or overweening pride. It believes History with a capital H is on China’s side, and will remain there. But if the allies work out a counterstrategy, field the implements necessary to execute it, and conspicuously practice executing it, they can sow doubt in Chinese minds. They can counteract hubris, reminding Beijing of what the ancient Greeks knew: that the gods punish outrageous human arrogance. Nemesis, or divine retribution, follows hubris inexorably. Pride goes before a fall. In so doing, the allies can deflate China’s confidence in its fortress-fleet strategy. And Kenobi, Kissinger, and Mahan—wherever they are—will smile. James Holmes is Professor of Strategy at the Naval War College. This is a slightly revised version of remarks delivered at a U.S.-Japan-Korea Trilateral Dialogue Workshop, Carnegie Endowment for International Peace, Washington, DC, June 17, 2016. The views voiced here are his alone. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 1 juillet 2016 Share Posté(e) le 1 juillet 2016 Le tribunal de la Haye saisit de la question suite a une plainte des Philippines rendra son verdict le 12 juillet : http://www.meretmarine.com/fr/content/la-cour-de-la-haye-saisie-sur-les-conflits-territoritoriaux-en-mer-de-chine-du-sud Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 4 juillet 2016 Auteur Share Posté(e) le 4 juillet 2016 (modifié) Selon l'alerte de navigation chinoise MSA-2016-14163 / 琼航警0048 publiée par l'Administration de la sûreté maritime de Haïnan, un exercice naval aura lieu du 5 au 11 Juillet 2016 dans le Sud-Est de l'île de Haïnan. On peut visualiser ici la zone associée qui sera interdite aux navires non cernés, elle représente environ 106 000km² et englobe la quasi-totalité des îles Paracels, contrôlées entièrement par la Chine depuis 1974 mais revendiquées encore par le Viêt Nam et le Taïwan, et dans les années 50' par la France qui avait envoyé des troupes débarquées sur certains îlots. La zone de l'exercice naval chinois du 5 au 11 Juillet : selon certaines sources chinoises, les trois flottes enverront un nombre important de navires de guerre pour y participer. A noter qu'en Septembre 1958, le chef de l'état du Viêt Nam du Nord avait accepté la souveraineté de la Chine dans les Paracels, et ce jusqu'en 1974 quand Viêt Cong finit de conquérir tout pays. La Bataille des îles Paracels en 1974 entre la marine chinoise et la marine vietnamienne du Sud a permis à la Chine d'affirmer sa présence sur l'ensemble de ces îles jusqu'à présent. Phạm Văn Đồng, premier ministre du Viêt Nam du Nord en 1958, envoie une lettre à son homologue chinois et notifie que le Viêt Nam du Nord accepte la déclaration de souveraineté de la Chine dans la région. Cet exercice naval de la marine chinoise qui survient avant la tombée du verdict de la Cour d'arbitrage de La Haye le 12 Juillet, bien que la Chine ne reconnaît pas les compétences de cette Cour dans l'affaire, a suscité quelques réactions notamment côté américain, qui pensent qu'il s'agit d'un message envoyé aux pays de la région. J'ignore si la Chine veut envoyer un message à quiconque avec cet exercice naval, sachant que depuis 2012 la marine chinoise mène souvent des exercices d'envergure dans la région à partir du mois de Juin jusqu'en Septembre, mais personnellement je penche plutôt vers l'hypothèse que les flottes chinoises vérifient leur capacité à protéger et à escorter les SNLE de Type 094 pour entrer dans le Pacifique de l'Ouest, en empruntant le détroit de Bashi. L'incident qui a eu lieu en Août 2014 entre un P-8 de l'US Navy et un avion de chasse J-11BH de la marine chinoise est directement lié à l'accès des SNLE chinois dans le Pacifique de l'Ouest. Et les sources internes chinoises indiquent que toute la partie à l'Est de l'île de Haïnan est souvent sujet de rencontres peu amicales pour la marine chinoise, sans donner plus de détails. Quoiqu'il en soit, la diffusion sélective des informations de certains médias fait que l'on a oublié de mentionner aussi que, depuis le 21 Juin, le Viêt Nam a entamé une vaste opération de sondages sous-marins dans la mer de Chine méridionale pour une durée indéterminée, annoncée à travers la notification HYDROPAC 1862/16. Cette zone se trouve justement entre la zone de l'exercice naval chinois et les îles fortifiées chinoises dans les Spratleys. L'exercice chinois (en jaune), l'opération vietnamienne (en rouge), et les Spratleys Le mois de Juillet s'annonce très festif, dans tous les sens du terme... Henri K. Modifié le 4 juillet 2016 par Henri K. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 5 juillet 2016 Auteur Share Posté(e) le 5 juillet 2016 (modifié) En faisant mon suivi journalier de NOTAMs ce matin, deux entre eux nous apprennent peut-être un peu plus sur le contenu de l'exercice naval chinois qui aura lieu du 5 au 11 Juillet autour des îles Paracels, dans la mer de Chine méridionale. Le NOTAM A1606/16 interdit l'accès aérien à une zone 97 000km² sous le plafond de 28 000m, du 8 au 10 Juillet. Cette zone se superpose pratiquement avec celle en mer que j'ai parlé hier. On peut les voir ici : En jaune la zone aérienne délimitée par le NOTAM A1606/16 sous 28 000m d'altitude, en blanc celle de MSA-2016-14163 / 琼航警0048 sur mer Le NOTAM A1607/16, quant à lui, ferme quelques couloirs aériens et déroute d'autres vols sur la même période que l'A1606/16 : Le NOTAM A1607/16 L'élément qui a attiré mon attention est sur le plafond de 28 000m d'altitude. Il est bien plus élevé que n'importe quel avions de chasse chinois peut atteindre, il est donc logique de penser que non seulement les forces aériennes vont participer à l'exercice, mais des missiles Sol-Air et/ou Surface-Air vont être tirés. Mais, lesquels ? L'exercice est à priori mené par la marine chinoise, même s'il n'est pas exclus que les autres forces d'armées comme l'armée de l'air ou l'armée de terre puissent y participer, mais les seuls points "à terre" qu'on voit sur les zones de l'exercice se situent sur les îles Paracels, et c'est la marine qui s'occupe de leur défense. Il faut donc orienter la question sur les missiles Surface-Air de la marine chinoise, à savoir le H/HQ-7, HQ-9, H/HQ-9, H/HQ-10, HQ-16 et HQ-61. Les seuls qui sont capables d'atteindre, ou presque, les 28 000m ce sont le HQ-9 et H/HQ-9. J'en déduis donc que du 8 au 10 Juillet, la marine chinois va procéder à des tirs réels de HQ-9 depuis les îles Paracels, et/ou de H/HQ-9 depuis les destroyers de Type 052C et Type 052D. Le média Fox News a publié un article en Février cette année qui dit que la Chine a déployé les batteries de HQ-9 ainsi que les missiles de défense côtière YJ-62 sur Woody Island, qui détient la plus grande installation chinoise sur les îles Paracels. On peut donc imaginer que c'est là où les missiles partiront. L'information du déploiement et cet exercice de tir me poussent d'avantage vers l'hypothèse que la marine chinoise continue à sécuriser l'accès vers la zone de patrouille de ses forces de dissuasion nucléaire dans le Pacifique de l'Ouest, à travers le détroit de Bashi. Les HQ-9 déployés à Woody Island constituent une excellente défense anti-aérienne sur un poste avancé et protègent le départ des SNLE chinois depuis la base de Sanya, situé au Sud de l'île de Haïnan, des regards indiscrets notamment de l'US Navy en provenance des Philippines. La portée oblique de HQ-9 à 200km (en rouge) oblige les forces ASW aériennes américaines à contourner la zone, et à parcourir une plus grande distance donc moins de temps en air, pour pouvoir détecter le départ des SNLE chinois depuis la base de Yalong. En vert la route de navigation possible d'un SNLE de Type 094. Le plafond limité à 28 000m me laisser penser également que l'une des priorités de ces tirs est pour évaluer la couche haute du domaine de vol du missile (la zone JORQ sur le schéma en bas), donc non pas pour contre les cibles volant à basse altitude comme les missiles de croisière en phase terminale, mais plutôt les engins de reconnaissance comme les HALE et les spécifiques... Domaine de vol d'un missile SAM On attendra bien évidemment les publications officielles pour confirmer tout ceci. Henri K. Modifié le 5 juillet 2016 par Henri K. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mayamac Posté(e) le 5 juillet 2016 Share Posté(e) le 5 juillet 2016 Henri K a un petit côté Sherlock Holmes ... J'ajoute tout de suite avant une mauvaise interprétation de mon propos que je dis cela sans ironie car le travail fait par Henri K est impressionnant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 9 juillet 2016 Auteur Share Posté(e) le 9 juillet 2016 100 Navires de guerre chinois dans un exercice en mer de Chine méridionale http://www.eastpendulum.com/100-navire-de-guerre-chinois-mer-de-chine-meridionale Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant