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Akhilleus

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Il y a 3 heures, Gallium a dit :

Pragmatiquement, le coût du dispositif de maintient de "l'ordre" est faramineux, de l'ordre des millions d'euros, à comparer avec le coût d'une bassine, et surtout avec le coût des dégâts éventuels si l'état avait "laissé faire", bien moindre pour ce dernier (outre le coût humain évidemment). Laisser faire : quelques dégradations, des pompes endommagé, du géotextile déchiré, bref, des coûts relativement faible...

Assez largement d'accord sur le fond de ton propos. En revanche, concernant ce bilan chiffré, et sans contester les rapports de valeurs que tu évoques... ce n'est sans doute pas grand chose au regard des vandalisations et sabotages que l'on aura vraisemblablement sur les infrastructures eau, voire d'autres natures, dans les décennies à venir si l'on ne veut pas faire l'effort d'une gouvernance équitable, raisonnée et transparente. Quand on voit comment l'Etat - alors que l'on a réduit depuis longtemps les moyens des DDT et en particulier des polices de l'eau - peine à faire le suivi et le contrôle des prélèvements, galère à avoir une idée des communes ayant été en incapacité d'approvisionner la population en eau potable au cours de l'été dernier, refuse de s'affirmer comme un organisme de contrôle au sein du monde agricole, etc. ... j'ai peur que des hordes de forces de l'ordre soient bien insuffisantes.

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Il y a 4 heures, Banzinou a dit :

J'ai l'impression de lire nos tracts syndicaux avec les termes pompeux habituels

Il n'y a pas de haine ici, chacun doit mettre un peu d'eau dans son vin pour débattre.

 

Tu sais ce que tu vaux... le chien aboie, la caravane passe

Il peut malgré tout y avoir des ratés du côté des FdO, ou pas, le but c'est d'en parler

Si tu me connaissais tu saurais que je suis le mec le moins syndical du monde, et je ne nie pas qu'il y a des ratés, des erreurs et des gens qui bossent mal dans les fdo, à proportion du reste de la société. Mais les faits me donnent raison dans la suite des commentaires, avec une politisation et des trucs qui n'ont ni queue ni tête par des personnes pédantes qui mélangent tout et n'ont pas compris que ce n'était pas la défense d'un trou, de l'Elysée ou de l'assemblée nationale le problème. Tu auras beau leur expliquer 250 fois que tu as fait des centaines de manifs qui se sont très bien passées malgré la présence des forces de l'ordre (donc ça aurait dû dégénérer puisque la police "attaque" à chaque fois..) et que c'est toujours le choix de ceux qui ne veulent pas respecter les règles qui amènent à des incidents. Tu pourras toujours leur dire que quel que soit le bord politique des uns ou des autres, manifestants ou hommes de pouvoir, tu as toujours fait ton travail mais non il ne comprennent pas. Tu pourras toujours leur dire que pendant la manif pour tous tu as fait aussi ton travail en sécurisant Mme Taubira malgré la haine qu'elle nous porte et que si demain 10 000 skinheads attaquaient le QG de la LFI tu ferais aussi ton travail non ils ne veulent pas comprendre..bref..comme beaucoup de français il ne veulent une police ou une gendarmerie qui défendent que leurs opinions ou interêts. 

Dans mon message précédent j'au moins rappelé les conditions d'emploi de la force, et pas les supputations, et que malgré surement quelques erreurs commises les gendarmes (et quelques CRS en SMS) ont tenus face à des groupes armés, des gens qui se sont levé un matin pour aller tuer des flics. Une pensée pour les blessés.

Bien à toi.

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Il y a 11 heures, Niafron a dit :

A voir... là encore, la question de la chronologie va se poser, il va y avoir une enquête assez poussée j'imagine ( enfin j'espère ), sur ce point particulier, j'attendrais pour tirer des conclusions.

Le truc, c'est que les secours ont fini par intervenir alors qu'à priori les gendarmes eux étaient toujours sur leurs positions, donc, du point de vue du déploiement, rien n'avait changé ( sauf si les bléssés ont été déplacés, que les éléments les plus durs se soient repliés plus loins, etc... là encore, à déterminer par les enquêtes ).

Donc, à priori, c'est le fait que la situation se soit calmé qui a débloqué la situation.

Ce que disent les manifestants, c'est qu'alors qu'elle était déjà calme depuis un moment, le SAMU était toujours bloqué.

Après, "un moment", ça ne veut rien dire, il faudrait savoir combien de temps exactement pour vraiment se faire une idée.

Une zone d'exclusion n'est pas figée surtout dans ce genre de thématique, si la situation se calme elle peut redevenir contrôlée où on acceptera une prise en charge par les secours.

Après encore faut-il que les secours aient l'info à l'arrière. Et clairement avant de définir que la zone est de nouveau sécurisée, il va forcément se passer un certain temps, ne serait-ce que pour vérifier que les éléments hostiles ne reviennent pas cinq minutes après au même endroit. 

C'est toujours simple de refaire le match sur une table pépouse dans un bureau. Gérer la situation en direct live, c'est pas le même métier.  

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Il y a 2 heures, Manu10 a dit :

Tu pourras toujours leur dire que pendant la manif pour tous tu as fait aussi ton travail en sécurisant Mme Taubira malgré la haine qu'elle nous porte

précisément, et bien que je ne sois pas du bord de LMPT, le MO lors de cet épisode a parfois été franchement limite, comme disais Darmanin à l'époque ( ;) ): "Pour maîtriser des familles qui manifestent, les gaz lacrymogènes sont lancés, scandaleux. Je demande la démission du préfet de police." Je me souvient en effet d'une  utilisation franchement massive du gaz lacrymogène sur une foule majoritairement pacifique

Les forces de MO servent en effet ceux qui détiennent le pouvoir exécutif, c'est tout, et peu importe qui s'y trouve, c'est ainsi il faut le garder à l'esprit, et même dans les pires périodes de notre histoire, aucune remise en question dudit pouvoir par la majorité de ses membres.

Excusez moi de "politiser le débat" alors que le maintien de l'ordre est de fait un fait politique, rappeler les textes législatifs et réglementaires du MO, merci, mais c'est pas pour rien qu'on parle de "POLITIQUE de maintien de l'ordre", et que le président de la République lui même est intervenu pendant les débats sur le SNMO. Peut être que si tous les personnels avaient en tête juste trois articles de la DDHC (ou là qu'est que c'est "pédant" ça, ça éviterait 90% des bavures, des arrestations arbitraires, des ordres absurdes.

Il y a 2 heures, Manu10 a dit :

c'est toujours le choix de ceux qui ne veulent pas respecter les règles qui amènent à des incidents

Le maintien de l'ordre ça doit pas être être ultra rigide dès qu'il y a une action illégale, sinon on ouvrirait le feu sur ceux qui lancent des pierres (qui techniquement peut être considéré comme une tentative d'homicide sur PDAP) comme les Israéliens, mais bon, on aurait pu de pécheurs du coup... Ni de voir les manifestant, fussent ils en infraction comme des ennemis à neutraliser mais comme des "brebis égarés". Ca devrait être permettre que globalement il n'y ait pas trop de casse humaine et matériel, et oui, ce n'est que mon opinion personnel, puisque apparemment elle n'est pas partagé au plus haut sommet.

En plus c'est faux, de nombreux rassemblements pacifiques, qui jusqu'à la preuve du contraire tant qu'ils ne sont pas interdit ne sont pas illégaux, ont été "gazés" SANS sommation, de nombreuses personnes arrêtés pour RIEN (au sens propre hein)

Mais bon, je suppose que le conseil de l'europe, les médias britanniques conservateurs (encore choqués du MO désastreux au Stade de France), l'ONU, la défenseuse des droits, etc etc sont des gauchistes déconnectés de la réalité.

Voilà j'espère ne pas avoir été trop "politique" ou agressif, mais juste sachez que c'est une opinion franchement nuancés comparé à ce que j'entends de la part de personnes franchement pas radical pour un sou.

 

 

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Il y a 4 heures, Teenytoon a dit :

Une zone d'exclusion n'est pas figée surtout dans ce genre de thématique, si la situation se calme elle peut redevenir contrôlée où on acceptera une prise en charge par les secours.

Après encore faut-il que les secours aient l'info à l'arrière. Et clairement avant de définir que la zone est de nouveau sécurisée, il va forcément se passer un certain temps, ne serait-ce que pour vérifier que les éléments hostiles ne reviennent pas cinq minutes après au même endroit. 

C'est toujours simple de refaire le match sur une table pépouse dans un bureau. Gérer la situation en direct live, c'est pas le même métier.  

Ecoute, j'y étais pas, je suis comme nous tous, je me base sur les sources (contradictoires ) qui nous parviennent.

Donc, j'ai pas de vérité sur la question, maintenant, en essayant d'être le plus objectif possible, pour être honnête, je trouve que la version officielle schlingue.

L'avenire dira si c'est une impression justifiée ou pas, là de suite, j'ai pas grand chose à dire de plus.

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J'ai très souvent eu l'occasion d'être en salle de crise à Nantes, au commissariat central. J'y étais accompagné de différents corps de police, de gendarmes... et des pompiers.

Ceux-ci lorsqu'ils sont appelés déterminent de manière autonome si la situation leur permet d'intervenir en toute sécurité et, s'ils ont le moindre doute (donc en gros si l'intervention est dans le périmètre de la manifestation) , il se refère au DDSP qui va ou non assurer leur sécurité.

Pas de sécurité, pas d'intervention.

Et très régulièrement (NDDL, les gilets jaunes...), les pompiers ont attendus avant d'intervenir, y compris pour secourir des membres des FdO.

 

A priori, je ne suis pas choqué du délai d'inter sur ces affaires. Même si c'est triste.

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Le 01/04/2023 à 18:16, g4lly a dit :

 

Alors que ce trou est une plaie environnementale

C'est ce genre de certitude qui irrite et anime les extrême. Alors que la littérature scientifique est beaucoup plus réservée sur les conséquences (positives ou négatives) de ces "trous" (lire le BRMG par exemple, même avec des données pluviométriques actualisées).

Les contraintes données en contrepartie aux agriculteurs sont réelles (et indispensables) elles aussi, mais personne n'en parle.

Mais, une fois de plus, quand ça ne va pas dans le sens qu'on voudrait...

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4 hours ago, ogo said:

C'est ce genre de certitude qui irrite et anime les extrême. Alors que la littérature scientifique est beaucoup plus réservée sur les conséquences (positives ou négatives) de ces "trous" (lire le BRMG par exemple, même avec des données pluviométriques actualisées).

Les contraintes données en contrepartie aux agriculteurs sont réelles (et indispensables) elles aussi, mais personne n'en parle.

Mais, une fois de plus, quand ça ne va pas dans le sens qu'on voudrait...

C'est pas moi qui le dit c'est le gouvernement lui même qui s'inquiète pour l'approvisionnement en eau...

Or stoquer en surface favorise l'évaporation

Au delà du trou lui même on fustige l'agriculture intensive. Le trou en question sert l'agriculture intensive. Et fustiger l'agriculture intensive n'est pas le fait de trois radicaux. C'est mainstream et c'est la doctrine gouvernementale.

Au delà du trou lui même on fustige la production de mais immensément consommatrices d'eau qu'on a pas... Pareil d'un côté l'exécutif vend une agriculture adaptée au enjeux du climat... De l'autre il s'arcboute sur les pires pratiques du siècle dernier.

Ou est la cohérence.

A un moment il faut proposer au gens un minimum cohérence sinon tu ne fait rien d'autre que les rendre dingue.

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Pour le BRGM ... Il botte en touche ... Il se retrouve mêlé a une affaire dans laquelle il ne produit qu'un tout petit bout d'analyse technique, sans rapport avec les études d'impact ou autres anticipation des effets lié aux conséquences du réchauffement climatique.

https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/mauze-sur-le-mignon/bassines-des-deux-sevres-le-brgm-repond-aux-critiques

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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

Pour le BRGM ... Il botte en touche ... Il se retrouve mêlé a une affaire dans laquelle il ne produit qu'un tout petit bout d'analyse technique, sans rapport avec les études d'impact ou autres anticipation des effets lié aux conséquences du réchauffement climatique.

https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/commune/mauze-sur-le-mignon/bassines-des-deux-sevres-le-brgm-repond-aux-critiques

Je ne dis rien d'autre.

Là où je lis que le BRGM ne souhaite pas qu'on utilise son étude à tort et à travers, en particulier parce qu'elle n'est plus forcement à jour, tu nous dit aberration écologique, plaie écologique... Rien n'est aussi tranché dans cette étude.

Le lien que j'avais transmis ultérieurement (ok, un lien sur twitter ^^) analysait justement ces données et mettait en parallèle les dernières études climatologiques.

Je n'ai pas la vérité, juste je trouve que, trop souvent, on se retranche derrière des opinions très tranchés, soigneusement sélectionnées, pour justifier l'injustifiable.

Vouer aux gémonies l'agriculture intensive est du même ressort. Sans être parfaite (loin de là, nous sommes d'accord), ce modèle a été largement favorisé pendant des années et il parait difficile de s'en passer du jour au lendemain.

Les compensations qui accompagnent les aménagements comme les bassines existent. Elles impliquent de réelles efforts des agriculteurs concernés.

C'est insuffisant ? Peut-être... Mais dire que les bassines ne font que conforter et protéger un modèle d'agriculture destructeur est, pour moi, malhonnête.

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Il y a 5 heures, g4lly a dit :

C'est pas moi qui le dit c'est le gouvernement lui même qui s'inquiète pour l'approvisionnement en eau...

Or stoquer en surface favorise l'évaporation

Au delà du trou lui même on fustige l'agriculture intensive. Le trou en question sert l'agriculture intensive. Et fustiger l'agriculture intensive n'est pas le fait de trois radicaux. C'est mainstream et c'est la doctrine gouvernementale.

Au delà du trou lui même on fustige la production de mais immensément consommatrices d'eau qu'on a pas... Pareil d'un côté l'exécutif vend une agriculture adaptée au enjeux du climat... De l'autre il s'arcboute sur les pires pratiques du siècle dernier.

Ou est la cohérence.

A un moment il faut proposer au gens un minimum cohérence sinon tu ne fait rien d'autre que les rendre dingue.

parmi les choses que j'aimerai voir, c'est que l'arrosage débute le soir ou se passe en nuit afin de limiter l'évaporation due au soleil.

 

je pense que, humainement, c'est plus facile de profiter d'etre debout, la journée pour arroser que de devoir se décaler à la nuit...

 

l'interet est d'un gaspillage, d'un usage moindre de l'eau (à effet égal)

 

 

 

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Il y a 1 heure, ogo a dit :

Je ne dis rien d'autre.

Là où je lis que le BRGM ne souhaite pas qu'on utilise son étude à tort et à travers, en particulier parce qu'elle n'est plus forcement à jour, tu nous dit aberration écologique, plaie écologique... Rien n'est aussi tranché dans cette étude.

Le lien que j'avais transmis ultérieurement (ok, un lien sur twitter ^^) analysait justement ces données et mettait en parallèle les dernières études climatologiques.

Je n'ai pas la vérité, juste je trouve que, trop souvent, on se retranche derrière des opinions très tranchés, soigneusement sélectionnées, pour justifier l'injustifiable.

Vouer aux gémonies l'agriculture intensive est du même ressort. Sans être parfaite (loin de là, nous sommes d'accord), ce modèle a été largement favorisé pendant des années et il parait difficile de s'en passer du jour au lendemain.

Les compensations qui accompagnent les aménagements comme les bassines existent. Elles impliquent de réelles efforts des agriculteurs concernés.

C'est insuffisant ? Peut-être... Mais dire que les bassines ne font que conforter et protéger un modèle d'agriculture destructeur est, pour moi, malhonnête.

si je peux me permettre (je suis d'accord avec ton point de vue)

 

donc, abandonnons l'agriculture intensive française et préparons notre portefeuille pour payer le prix obligé par les producteurs qui nous vendrons leurs produits (lire avec pas forcément les memes normes, les memes engrais, surtout ceux que nous avons refusé).

 

en gros, c'est bien de vouloir faire de l'artisanal, mais, ça ne suffira pas ; la conséquence est un surcout qu'il faudra "vendre" et assumer quand il y aura des gilets jaunes aux ronds points parce qu'ils ne voudront pas payer 5 balles la baguette de pain.

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il y a 55 minutes, christophe 38 a dit :

donc, abandonnons l'agriculture intensive française et préparons notre portefeuille pour payer le prix obligé par les producteurs qui nous vendrons leurs produits (lire avec pas forcément les memes normes, les memes engrais, surtout ceux que nous avons refusé).

 

en gros, c'est bien de vouloir faire de l'artisanal, mais, ça ne suffira pas ; la conséquence est un surcout qu'il faudra "vendre" et assumer quand il y aura des gilets jaunes aux ronds points parce qu'ils ne voudront pas payer 5 balles la baguette de pain.

Si l'on avait habitué depuis plusieurs décennies les français à payer le prix réel que coûte leur alimentation, en intégrant notamment les coûts environnementaux, peut-être aurait-on vu partir moins d'argent dans la spéculation immobilière. Et sans doute les ménages n'auraient ils pas moins bien vécu au final.

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il y a 19 minutes, Skw a dit :

Si l'on avait habitué depuis plusieurs décennies les français à payer le prix réel que coûte leur alimentation, en intégrant notamment les coûts environnementaux, peut-être aurait-on vu partir moins d'argent dans la spéculation immobilière. Et sans doute les ménages n'auraient ils pas moins bien vécu au final.

pas faux...

 

 

et, si on préparait les consommateurs à payer leurs marchandises selon le cout carbone de la fabrication et du transport, en plus du cout "matière)..

ça pourrait donner une idée plus juste de la valeur de l'objet et "calmer" l'achat pour "exister".

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1 hour ago, christophe 38 said:

donc, abandonnons l'agriculture intensive française et préparons notre portefeuille pour payer le prix obligé par les producteurs qui nous vendrons leurs produits (lire avec pas forcément les memes normes, les memes engrais, surtout ceux que nous avons refusé).

en gros, c'est bien de vouloir faire de l'artisanal, mais, ça ne suffira pas ; la conséquence est un surcout qu'il faudra "vendre" et assumer quand il y aura des gilets jaunes aux ronds points parce qu'ils ne voudront pas payer 5 balles la baguette de pain.

Ce qui pose probleme n'est pas le projet ... le probleme c'est l'incohérence du discours public qui maintient gratuitement les français dans des discours de double contrainte pathogène.

C'est toute la "limite du en même temps" ...

Produire un discours écologiste volontairement culpabilisateur le lundi pour activité l'anticipation anxieuse ... puis le lendemain favoriser les pratiques qu'on dénigrait la veille ... et ainsi de suite.

On à la même chose avec les retraites.

  • D'un coté on explique au français qu'il ne produisent pas assez de richesse et que donc il va falloir qu'il travaillent plus pour en produire plus.
  • De l'autre on explique aux mêmes français que la seul issues climatique est dans la "décroissance", la frugalité etc. etc.

Nécessairement ce double discours crée des tensions ingérable à terme ...

... un parent qui utiliserait ces méthodes d'éducation pour ses mômes, serait poursuivi pour maltraitance et les gamins serait placé.

Évidement les FdO se retrouve au milieu de ce drame familiale ... et évidement c'est ingérable ... d'autant qu'à la fin aussi bien le père que les gosses dans un conflit de loyauté vont se retourner contre eux ...

Si cette situation te convient et que tu penses que d'essayer de gérer séquentiellement chaque petite tache une par une sans projet globale et collectif à un sens ... tout va alors très bien.

Mais à mon sens c'est une stratégie qui nous emmène brutalement dans le mur, aussi bien démocratiquement/politquement, qu'environnementalement.

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Il y a 15 heures, g4lly a dit :

Ce qui pose probleme n'est pas le projet ... le probleme c'est l'incohérence du discours public qui maintient gratuitement les français dans des discours de double contrainte pathogène.

C'est toute la "limite du en même temps" ...

Produire un discours écologiste volontairement culpabilisateur le lundi pour activité l'anticipation anxieuse ... puis le lendemain favoriser les pratiques qu'on dénigrait la veille ... et ainsi de suite.

On à la même chose avec les retraites.

  • D'un coté on explique au français qu'il ne produisent pas assez de richesse et que donc il va falloir qu'il travaillent plus pour en produire plus.
  • De l'autre on explique aux mêmes français que la seul issues climatique est dans la "décroissance", la frugalité etc. etc.

Nécessairement ce double discours crée des tensions ingérable à terme ...

... un parent qui utiliserait ces méthodes d'éducation pour ses mômes, serait poursuivi pour maltraitance et les gamins serait placé.

Évidement les FdO se retrouve au milieu de ce drame familiale ... et évidement c'est ingérable ... d'autant qu'à la fin aussi bien le père que les gosses dans un conflit de loyauté vont se retourner contre eux ...

Si cette situation te convient et que tu penses que d'essayer de gérer séquentiellement chaque petite tache une par une sans projet globale et collectif à un sens ... tout va alors très bien.

Mais à mon sens c'est une stratégie qui nous emmène brutalement dans le mur, aussi bien démocratiquement/politquement, qu'environnementalement.

je dirai que le probleme est "révolutionnaire" :

le Français (mais, je pense qu'il n'est pas le seul) a besoin de rever, de penser qu'il va vers un avenir meilleur.

Donc, lui parler comme à un gamin que l'on punit, le punir avec des restrictions (de consommation, de vols en avion, de rouler en voiture), ça ne passera pas, surtout que ce programme n'est pas temporaire (comme les confinements covid, avec un début et une fin).

je pense que le "jeu" du pouvoir, c'est de donner un peu et d'essayer d'en retirer ailleurs (le "en meme temps" ?)

 

travailler pour l'écologie, réduire notre impact, c'est de la décroissance économique, du chomage, du déclin, passera pas.

 

(as tu lu le monde sans fin ? voir tes mp).

Je ne vois pas un politique, quelque soit sa couleur, dire aux gens de rester à la maison sans travail et sans salaire, pour combattre le réchauffement, ou de dire aux citoyens de ne plus partir en vacances en voiture ou en avion..

le pays saute.

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beuar

 

 

je ne remets pas 100 balles dans le nourrin ;

le lien, ici, nous parle des PMC dans le maintien de l'ordre.

 

En gros, et tres schématiquement, un membre des FdO utilise une arme de paint ball, avec ses billes.

Les billes contiennent une substance qui ne se voit qu'aux UV, qui "tient" environ 5 jours, sur les vetements ou sur la peau.

Elle est codée et ce codage permet de dire quand elle a été tirée, donc de "situer" celui qui le revele dans une action ; imaginons un maintien de l'ordre qui dégénère, sur une longueur de X km ; plusieurs membres des FdO peuvent utiliser "l'outil" et marquer des violents qui pourront etre controlés plus tard, découverts et interpellés. Dans le dispositif policier, il est possible de savoir qui a tiré et à quelle heure, donc, de "placer" le receveur de la mun' sur le terrain.

https://www.ouest-france.fr/societe/gilets-jaunes/gilets-jaunes-c-est-quoi-les-pmc-ces-produits-codes-qui-vont-marquer-les-manifestants-6273201

https://www.lexpress.fr/societe/cinq-questions-sur-les-pmc-ces-produits-que-la-gendarmerie-pourra-utiliser-lors-du-1er-mai_2075638.html

https://www.leparisien.fr/faits-divers/les-produits-marquants-nouvelle-arme-pour-suivre-les-casseurs-a-la-trace-19-03-2019-8035257.php?ts=1680873474579

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La Brav-N, branche nautique de la Brav-M, sera présente à l’ouverture des JO 2024

https://www.lepoint.fr/societe/la-brav-n-branche-nautique-de-la-brav-m-sera-presente-a-l-ouverture-des-jo-2024--07-04-2023-2515401_23.php

 

 

je ne comprends pas pourquoi ils reprennent l'appellation BRAV, car en lisant leurs missions, ça semble être tout le contraire (prévention et sauvetage)

"aura pour rôle d'intervenir en bateau sur la Seine en cas d'incident ou de menace sur les berges. Avec pour objectif principal d'éviter tout mouvement de panique vers l'eau parmi la foule."

Et je vois que ce n'est pas obligatoire de savoir nager, ridicule, surtout lorsqu'on voit les tests de la brigade fluviale de la PP

Ils n'ont pas réussi à trouver trente gugus chez les CI qui savent nager ?

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Le 03/04/2023 à 08:55, ogo a dit :

les pompiers ont attendus avant d'intervenir,

Tu dis toi-même :

Citation

et, s'ils ont le moindre doute (donc en gros si l'intervention est dans le périmètre de la manifestation) , il se refère au DDSP qui va ou non assurer leur sécurité.

Pas de sécurité, pas d'intervention.

Ce n'est donc pas une lubie des secours qui décident ou non d'y aller. En temps de crise c'est la DDSP qui met ou non des moyens a dispo pour sécuriser les secours. 

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Les procédures, en tout cas, sont claires. C'est la DDSP ou la gendarmerie qui définit si on y va ou pas.

La question est : Est-ce que le périmètre est sécurisé ?

Oui-> On y va.

Non -> Est-ce que tu as du personnel pour assurer notre sécurité ?

Oui -> On y va

Non -> Tu me tiens au courant quand ce sera bon.

Là-dedans les secours n'ont aucune autonomie de décision, c'est le COPG et pas le COS qui est décisionnaire de ce qui se passe en zone d'exclusion et en zone contrôlée pour les opérations de maintien de l'ordre, NoVi Alpha et autres opérations où les secours ne sont pas force menante mais sont force concourante.

*DDSP Direction départementale de la sécurité publique.

*COPG : Commandant des opérations de police et de gendarmerie

*COS : Commandant des opérations de secours

*NOVI Alpha : Plan ORSEC nombreuses victimes attentat 

Modifié par Teenytoon
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il y a une heure, Teenytoon a dit :

Les procédures, en tout cas, sont claires. C'est la DDSP ou la gendarmerie qui définit si on y va ou pas.

La question est : Est-ce que le périmètre est sécurisé ?

Oui-> On y va.

Non -> Est-ce que tu as du personnel pour assurer notre sécurité ?

Oui -> On y va

Non -> Tu me tiens au courant quand ce sera bon.

Là-dedans les secours n'ont aucune autonomie de décision, c'est le COPG et pas le COS qui est décisionnaire de ce qui se passe en zone d'exclusion et en zone contrôlée pour les opérations de maintien de l'ordre, NoVi Alpha et autres opérations où les secours ne sont pas force menante mais sont force concourante.

*DDSP Direction départementale de la sécurité publique.

*COPG : Commandant des opérations de police et de gendarmerie

*COS : Commandant des opérations de secours

*NOVI Alpha : Plan ORSEC nombreuses victimes attentat 

re,

 

 

pour aller dans ton sens (désolé, ça sera un peu long, mais, ça illustre...)

Avant l'an 2000, je fréquentais (je m'entrainais) à coté de collegues de la BRI et du RAID.

Un entrainement avait eu lieu peu avant et nous en avons parlé (je n'y étais pas).

 

Le theme : le prefet organise une sauterie d'une centaine de personnes, des élites, dans une maison, un peu à l'écart (au milieu de nulle part... pas facile pour progresser discretement).

la sauterie a démarrée et une attaque terroriste a lieu ; dedans, les invités sont pris en otage, il y a des morts et des blessés.

La police est avisée et les groupes arrivent sur place avec les medecins.

 

un des otages réussi à sortir, mais, à 15-20 m de la maison, en direction des gentils, se fait tirer et tombe ; il est vivant et peut parler.

le (jeune) medecin propose d'y aller..... et y va, se sentant protégé d'invincibilité avec sa blouse blanche et son stéto.

Ce qui devait arriver, arriva ; il est tiré tete et meurt (fictivement bien sur) ; reaction des policiers présents vers les soignants : "qui veut y aller ? Personne ?  c est normal, ce n est pas comme ça qu'il faut proceder"

 

les collegues demandent au blessé le siege de sa blessure... jambe droite, répond il . "Donc, tu peux ramper ? viens "

PAN ! fin du ramping

 

bon, va falloir y aller... et l'entrainement s'est poursuivi..

 

le but etait de travailler l'interaction avec les blancs et leur montrer ce qu'on pouvait faire  (il n'y avait pas de blindé pour s'interposer entre le feu et le blessé et le but n'etait pas là : il était de ne pas y aller, pour les blouses blanches tant qu'elles ne sont pas en sécurité (parce que faire venir un autre medecin de loin, ça prend du temps et c'est une vie perdue)

 

 

donc, quand on voit qu'à Ste SOLINE les medecins mili ont été attaqués, que dire si un hélico arrivait.... il prendrait des pierres, des cocktails molotof ou des mortiers... donc des morts et du dégat... presque garantis.

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Il y a 2 heures, Banzinou a dit :

La Brav-N, branche nautique de la Brav-M, sera présente à l’ouverture des JO 2024

https://www.lepoint.fr/societe/la-brav-n-branche-nautique-de-la-brav-m-sera-presente-a-l-ouverture-des-jo-2024--07-04-2023-2515401_23.php

 

 

je ne comprends pas pourquoi ils reprennent l'appellation BRAV, car en lisant leurs missions, ça semble être tout le contraire (prévention et sauvetage)

"aura pour rôle d'intervenir en bateau sur la Seine en cas d'incident ou de menace sur les berges. Avec pour objectif principal d'éviter tout mouvement de panique vers l'eau parmi la foule."

Et je vois que ce n'est pas obligatoire de savoir nager, ridicule, surtout lorsqu'on voit les tests de la brigade fluviale de la PP

Ils n'ont pas réussi à trouver trente gugus chez les CI qui savent nager ?

https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/jo-paris-2024-la-brav-n-cousine-de-la-brav-m-naviguera-sur-la-seine-pour-la-ceremonie-douverture-07-04-2023-Q7KJQ7QQZVHWRJ3BZ4ZPE3KK2I.php?ts=1681033686356

JO Paris 2024 : la Brav-N, cousine de la Brav-M, naviguera sur la Seine pour la cérémonie d’ouverture

INFO LE PARISIEN. Une déclinaison nautique des brigades de répression de l’action violente motorisées a été créée il y a deux ans. Elle aura pour mission de se projeter en bateau depuis la Seine en cas de menace sur les berges.

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Les membres de la Brav-N sont conduits sur la Seine par un agent de la Brigade fluviale. Capture

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Par Jean-Michel Décugis 

Le 7 avril 2023 à 15h50

L’information est restée secrète sans doute pour ne pas alimenter les polémiques. Selon nos informations, il y aura une Brav-N, N pour « nautique », le jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques sur la Seine. Une déclinaison des Brav-M, ces brigades de répression de l’action violente motorisées dont l’emploi est controversé depuis les manifestations contre la réforme des retraites. Le concept est né il y a plus de deux ans, avant même de savoir que la cérémonie d’ouverture se déroulerait sur l’eau et non comme traditionnellement dans une enceinte fermée.

La mission de la Brav-N, le jour de la cérémonie, ne sera pas d’intervenir en cas d’attentat — ce rôle sera rempli par le GIGN et le Raid — mais de se projeter en bateau depuis la Seine en cas d’incident ou de menace sur les berges. Son but sera d’éviter tout mouvement de panique vers l’eau parmi la foule, auquel une intervention depuis les berges conduirait immanquablement. En clair, la Brav-N ne s’inscrit pas dans un schéma de maintien de l’ordre mais plutôt de gestion de crise. En cas d’accrochage de banderoles hostiles par exemple, c’est une autre unité qui interviendra : la brigade d’intervention (BI), dont les policiers spécialisés dans la varappe sont basés dans le XIIe arrondissement.

 

Selon nos informations, le jour de la cérémonie, deux sections de Brav-N devraient être présentes sur la Seine, soit six groupes de six hommes, chaque groupe étant sur une barge. En tout, six bateaux en métal fabriqués aux Pays-Bas, dotés de moteurs surpuissants et dont le coût total s’élèverait à près de 700 000 euros (115 000 euros pièce) sont prévus. Les 36 policiers présents seront issus des six compagnies d’intervention (CI) de la Direction de l’ordre public et de la circulation (DOPC) de Paris, qui compte au total 1 200 hommes. Chacun d’entre eux s’est porté volontaire et a reçu une formation pour pouvoir intégrer la Brav-N. À ce jour, le choix des deux sections qui seront en opération sur la Seine lors la cérémonie d’ouverture n’est pas encore déterminé.

Pas obligatoire de savoir nager

Selon des sources internes, il ne serait pas obligatoire pour ces policiers de savoir nager. Il a été prévu pour chacun un gilet de sauvetage harnaché autour du cou comme une collerette et relié à une ficelle que l’on tire pour gonfler la bouée. En revanche, la tenue de la Brav-N est comparable à celle de la Brav-M : casque, gilet tactique, arme de poing (SIG-Sauer), matraque télescopique et bouclier.

Voilà plus d’un an et demi que les policiers de la Brav-N s’entraînent assez régulièrement sur la Seine dans l’indifférence des badauds et plaisanciers qui les confondent avec ceux de la brigade fluviale, passée il y a deux ans sous la direction de la DOPC. Les conducteurs des bateaux de la Brav-N sont d’ailleurs des membres de la fluviale dont la mission est de faire respecter les règles de navigation sur le fleuve et de porter secours aux personnes qui chutent dans la Seine. Lundi dernier encore, un exercice de la Brav-N a eu lieu sur la Seine. « Ils s’exercent essentiellement pour l’instant à monter sur l’embarcation ou à en descendre le plus rapidement possible, et à intervenir sur les berges », rapporte une source en interne.

À lire aussiUne journée dans le sillon de la brigade fluviale de Paris

Lors de ses premiers entraînements, la brigade a essuyé quelques soucis. Deux bateaux chargés de ses membres ont été accidentés à la suite d’une fausse manœuvre provoquée par le bouclier d’un des policiers qui aurait heurté la manette de démarrage du bateau.

 

Selon nos informations, la Brav-N ne devrait intervenir lors des JO que le jour de la cérémonie. En revanche, la Brav-M sera susceptible d’intervenir tout au long des JO en cas d’actions violentes, tout comme d’autres de ses déclinaisons comme la Brav dont les policiers circulent en minicar ou ceux de la Brav-L qui se déplacent en véhicule léger (voiture). Déjà opérationnelles lors des manifestations, celles-ci sont passées inaperçues, la Brav-M focalisant jusque-là toutes les attentions.

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