MoX Posté(e) le 1 mars 2022 Share Posté(e) le 1 mars 2022 (modifié) il y a 5 minutes, Bechar06 a dit : Je me demande encore pourquoi on a abandonné définitivement les niveaux intermédiaires des Ariane, en https://fr.wikipedia.org/wiki/Ariane_(fusée) les capacités des diverses Ariane 1, 2, 3, 4 l' Ariane 4 notamment ( En orbite géostationnaire : de 2,1 T à 4,9 T ) contre Soyouz ( 3,3 T depuis Kourou ) Sans aucun doute une approche économique ou comptable - réductrice - Avec des Soyouz pour une bouchée de pain .. et l'idée - généreuse - de collaborer avec la Russie Mais voilà encore un abandon de souveraineté - européenne - puisque que maintenir une double filière Ariane <5 aurait coûter sans doute + cher - même en les modernisant à petit rythme - Problème de carburant aussi : A4 ce sont des moteurs hypergoliques, leurs carburants sont toxiques (hydrazine et dérivés) Modifié le 1 mars 2022 par MoX Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vince88370 Posté(e) le 1 mars 2022 Share Posté(e) le 1 mars 2022 il y a une heure, Bechar06 a dit : Je me demande encore pourquoi on a abandonné définitivement les niveaux intermédiaires des Ariane, en https://fr.wikipedia.org/wiki/Ariane_(fusée) les capacités des diverses Ariane 1, 2, 3, 4 L'ESA avait besoin d'une fusée capable d'envoyer en orbite une navette spatiale. Ariane 5 a été développé dans se but en ne pensant pas forcément au lancement client privé à se moment la y avait pas une concurrence folle les prix haut permettaient de couvrir les lancements Ariane 5 même si on n'était pas à la charge Max.. Maintenant avec les entreprises privés qui casse les prix la moindre tonne compte donc Ariane 5 est dans les choux sur beaucoup de lancement... Après on parle beaucoup de la fin de Soyouz en guyane mais y a un gros dossier qui est en suspens c'est la mission Exomars. Le lancement était prévu pour cette année en avril les an-124 était réservés tout était près pour le départ en Russie lancement sur proton. L'ESA peut remplacer le lanceur en terme de capacité Ariane 5 est équivalente à proton. Le problème c'est que les Russes fournissait également l'atterrisseur c'est un point noir de l'ESA elle a déjà essayé de construire seul un Atterisseur qui a été un échec totale avec Schiaparelli. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 1 mars 2022 Share Posté(e) le 1 mars 2022 Il y a 2 heures, Vince88370 a dit : L'ESA avait besoin d'une fusée capable d'envoyer en orbite une navette spatiale. Ariane 5 a été développé dans se but en ne pensant pas forcément au lancement client privé à se moment la y avait pas une concurrence folle les prix haut permettaient de couvrir les lancements Ariane 5 même si on n'était pas à la charge Max.. Maintenant avec les entreprises privés qui casse les prix la moindre tonne compte donc Ariane 5 est dans les choux sur beaucoup de lancement... Après on parle beaucoup de la fin de Soyouz en guyane mais y a un gros dossier qui est en suspens c'est la mission Exomars. Le lancement était prévu pour cette année en avril les an-124 était réservés tout était près pour le départ en Russie lancement sur proton. L'ESA peut remplacer le lanceur en terme de capacité Ariane 5 est équivalente à proton. Le problème c'est que les Russes fournissait également l'atterrisseur c'est un point noir de l'ESA elle a déjà essayé de construire seul un Atterisseur qui a été un échec totale avec Schiaparelli. Faut pas non plus aller trop loin. L'Europe peut faire, il faut juste les €. Tu connais le taux de réussite atterrissage sur Mars ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vince88370 Posté(e) le 1 mars 2022 Share Posté(e) le 1 mars 2022 (modifié) Il y a 3 heures, gargouille a dit : Faut pas non plus aller trop loin. L'Europe peut faire, il faut juste les €. Tu connais le taux de réussite atterrissage sur Mars ? Si l'Europe a demandé de l'aide à la NASA et ensuite à roscosmos c'est que les financements n'étaient pas là... Actuellement l'ESA doit rattraper son retard sur les lanceurs privés en développement à la fois Ariane 6 et Ariane next... Certains on sûrement aussi oublier que le 4 ème étage de Vega est ukrainien elle aussi est sûrement cloué au sol pour un moment... Mais bon un Rover et un orbiter à plusieurs millions qui dorment dans un hangar n'est guère plus rentable. Après pour le taux de réussite 17 lancement 11 réussite après faut faire attention 3 tentative sont de l'ex URSS qui était réputé pour essayer plutôt que de faire un truc bien dès le départ.. Ils ont explosé un nombre énorme de fusée pour mettre au point la bonne... On vois que côté us très peux d'échec et dans les échecs sont comptées pannes des Rovers les Chinois pour l'instant 100% de réussite... Modifié le 1 mars 2022 par Vince88370 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 1 mars 2022 Share Posté(e) le 1 mars 2022 (modifié) Il y a 4 heures, Vince88370 a dit : Si l'Europe a demandé de l'aide à la NASA et ensuite à roscosmos c'est que les financements n'étaient pas là... Actuellement l'ESA doit rattraper son retard sur les lanceurs privés en développement à la fois Ariane 6 et Ariane next... Certains on sûrement aussi oublier que le 4 ème étage de Vega est ukrainien elle aussi est sûrement cloué au sol pour un moment... Mais bon un Rover et un orbiter à plusieurs millions qui dorment dans un hangar n'est guère plus rentable. Après pour le taux de réussite 17 lancement 11 réussite après faut faire attention 3 tentative sont de l'ex URSS qui était réputé pour essayer plutôt que de faire un truc bien dès le départ.. Ils ont explosé un nombre énorme de fusée pour mettre au point la bonne... On vois que côté us très peux d'échec et dans les échecs sont comptées pannes des Rovers les Chinois pour l'instant 100% de réussite... Donc faire un atterrisseur ce n'est pas un pont noir pour l’Europe, qu'une question de choix. Il n'y a pas de lien entre un lanceur et un atterrisseur. De plus il semblerait que Beagle 2 a correctement atterri sur Mars, donc Europe (les Grands Bretons y étaient alors) 100% de réussite. Modifié le 1 mars 2022 par gargouille Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 3 mars 2022 Share Posté(e) le 3 mars 2022 Communication du CNES (j'ai l’impression qu'il manque une page) : 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Vince88370 Posté(e) le 4 mars 2022 Share Posté(e) le 4 mars 2022 (modifié) Le 01/03/2022 à 19:14, gargouille a dit : De plus il semblerait que Beagle 2 a correctement atterri sur Mars, donc Europe (les Grands Bretons y étaient alors) 100% de réussite Beagle 2 n'a pas fonctionné. Le dysfonctionnements peut très bien être du à un atterisage un peux trop mouvementé qui aurai endommagé Beagle 2... C'est sa les joies de mars ont ne sais jamais vraiment ou était le problème. Beagle c'était un simple atterisseur de 30 kg en descente freiné par des parachute et amorti sur des cousins... Exomars le module d'atterissage fair 2 t c'est plus des cousins qui amortisse mais des propulseur qui freine c'est plus la même chose... Les Rovers les russes eux en ont déployé sur la lune certe la Lune mais c'est toujours mieux que l'ESA qui en à jamais déployer. Ils ont choisi les 2 pays qui avait posé des Rovers sur la lune étonnant non Et Beagle était partie sur une fusée Soyouz, les Russes était déjà dans la boucle alors que comme pour Exomars le lanceur européenne aurait pu suffire Ariane 4 avait des capacités identique à Soyouz. C'était la fin d'Ariane 4 mais elle aurai très bien pu faire un lancement de plus. Modifié le 4 mars 2022 par Vince88370 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 4 mars 2022 Share Posté(e) le 4 mars 2022 Il y a 2 heures, Vince88370 a dit : Beagle 2 n'a pas fonctionné. Le dysfonctionnements peut très bien être du à un atterisage un peux trop mouvementé qui aurai endommagé Beagle 2... C'est sa les joies de mars ont ne sais jamais vraiment ou était le problème. Beagle c'était un simple atterisseur de 30 kg en descente freiné par des parachute et amorti sur des cousins... Exomars le module d'atterissage fair 2 t c'est plus des cousins qui amortisse mais des propulseur qui freine c'est plus la même chose... Les Rovers les russes eux en ont déployé sur la lune certe la Lune mais c'est toujours mieux que l'ESA qui en à jamais déployer. Ils ont choisi les 2 pays qui avait posé des Rovers sur la lune étonnant non Et Beagle était partie sur une fusée Soyouz, les Russes était déjà dans la boucle alors que comme pour Exomars le lanceur européenne aurait pu suffire Ariane 4 avait des capacités identique à Soyouz. C'était la fin d'Ariane 4 mais elle aurai très bien pu faire un lancement de plus. Et Titan ! Bref en Europe on peut faire, nous sommes bien les premier a avoir fabriqué et utilisé un système d’amarrage automatique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Métal_Hurlant Posté(e) le 11 mars 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 mars 2022 https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/la-guerre-en-ukraine-revele-crument-les-lacunes-de-l-autonomie-de-l-industrie-spatiale-europeenne-905748.html La guerre en Ukraine révèle crûment les lacunes de l'autonomie de l'industrie spatiale européenne La guerre en Ukraine pointe de façon très cruelle les failles dans la stratégie d'autonomie d'accès à l'espace de l'Europe. La filière spatiale européenne est aujourd’hui à risque au moment de la transition critique entre Ariane 5 et Ariane 6. Plus d'avions russes ou ukrainiens Antonov pour transporter les satellites d'Airbus et de Thales Alenia Space (TAS), plus de lanceur Soyuz pour mettre ces satellites en orbite, plus de moteurs pour propulser ces satellites et le lanceur italien Vega C... Les dépendances de l'industrie spatiale européenne à des fournisseurs russes et ukrainiens sont mises cruellement en évidence avec la guerre en Ukraine, qui révèle des trous dans l'autonomie de la filière spatiale européenne. Et la souveraineté en matière d'accès à l'espace de l'Europe est aujourd'hui cruellement malmenée en raison des sanctions internationales imposées sur l'industrie spatiale russe à la suite de l'invasion de l'Ukraine par la Russie. D'autant que Moscou a accentué certaines de ces lacunes en imposant elle aussi des mesures de rétorsion à l'Europe dans le domaine spatial, notamment avec le départ des équipes opérationnelles de Soyuz à Kourou. Un accès au pas de tir dépendant des Russes et Ukrainiens L'accès souverain européen à l'espace commence par le transport des satellites vers le pas de tir. Or, l'Europe spatiale, notamment les constructeurs de satellites Airbus et Thales, est en situation de dépendance vis-à-vis de l'Ukraine, et surtout de la Russie. La vingtaine d'An-124 (Antonov) disponibles dans le monde est détenue par seulement trois compagnies, selon un rapport parlementaire du député François Cornut-Gentille : une ukrainienne (Antonov Airlines ADB) et deux russes (une privée, Volga-Dniepr, et une société publique, Flight Unit FU-224, une émanation du ministère de la Défense russe). En outre, le plus gros avion du monde, le cargo Antonov-225 ukrainien, a été détruit au début de la guerre russo-ukrainienne par des frappes russes sur un aéroport près de Kiev, selon la société publique ukrainienne, Ukroboronprom. Airbus Space et Thales Alenia Space cherchent donc des solutions de remplacement, qui seront forcément plus chères. Ils étudient notamment le transport de leurs satellites dans des Beluga fabriqués par Airbus mais dont les soutes ne sont pas pressurisées. L'avionneur est donc en train de développer un système pour gérer la température et l'atmosphère dans la soute des Beluga pour éviter la formation de la condensation et maintenir une température stable. Ce qui protégera les satellites pendant le vol. Ce service de transport de satellites devrait être opérationnel début 2023. Cela rentre dans la stratégie de l'avionneur de lancer un nouveau service de fret aérien utilisant sa flotte de cinq Beluga ST pour offrir aux sociétés de fret et à d'autres clients une solution à leurs besoins en transport de fret hors gabarit. La flotte actuelle de Beluga est en train d'être remplacée par six Beluga XL de nouvelle génération, dont quatre sont déjà en service. Seul le laboratoire spatial européen Colombus (13 tonnes) a effectué en 2006 un vol de Brême vers le Centre spatial Kennedy en Floride en Beluga. Les deux constructeurs étudient également le transport par bateau mais ce type de transport devra être qualifié pour transporter des satellites, dont le roulis des bateaux pourrait avoir une incidence sur les capteurs des satellites. Airbus a déjà expérimenté en 2018 : trop fragile pour prendre l'avion, c'est en bateau que le satellite Aeolus, consacré à l'étude des vents, a rallié la Guyane. Europe : un accès à l'espace en question L'Europe est dans une situation extrêmement délicate concernant l'accès à l'espace. La guerre en Ukraine arrive au plus mauvais moment pour l'ESA et Arianespace avec l'arrêt des opérations commerciales du lanceur Soyuz à Kourou et à Baïkonour, où est lancé une grande partie de la constellation OneWeb. Soit au moment de la très délicate période de transition entre Ariane 5 et Ariane 6. Un véritable cauchemar pour l'Europe spatiale et Arianespace. Car il n'y a plus de places à commercialiser sur les cinq vols restants d'Ariane 5 prévus en 2022 et 2023 et des incertitudes majeures existent sur l'arrivée d'Ariane 6 en 2022 et, surtout, sur la réussite de ce nouveau lanceur. Trois satellites vont rester à quai cette année : deux satellites de la constellation Galileo en avril, le satellite espion français CSO-3 programmé en décembre et enfin le programme russo-européen, ExoMars, qui devait être lancé par un lanceur Proton depuis Baïkonour. "Les sanctions et le contexte plus large rendent un lancement (d'ExoMars) en 2022 très improbable", a expliqué l'ESA dans un récent communiqué. Par ailleurs, l'italien Avio, maître d'oeuvre des lanceurs Vega et Vega C, fait fabriquer le moteur de l'étage supérieur AVUM (Attitude and Vernier Upper Module) de Vega et Vega C en Ukraine par la société Youjnoye à Dnipro. Selon nos informations, le motoriste italien aurait sécurisé trois moteurs, qui sont en Italie, mais trois autres étaient en cours de fabrication par Youjnoye avant le début des hostilités. Les Italiens ont exprimé le vœu (pieux ?) d'aller les récupérer. Mais, selon des sources françaises, cette usine aurait été bombardée. Ce que dément Avio. En outre, selon une note de la FRS (Fondation pour la recherche stratégique), les quatre réservoirs de l'étage supérieur AVUM associés au moteur RD‑869/VG143, sont fabriqués par la société russe Babakine (localisée à Khimki dans la banlieue de Moscou), une des divisions de la NPO Lavotchkine. "Il faut noter cependant qu'ArianeGroup a également la capacité de produire ces réservoirs", a pondéré la FRS. Mais Avio, Arianespace et l'ESA vont devoir répondre assez vite à ce point critique. Car le manifeste de Vega C est rempli à ras bord (15 lancements en 2002, 2023 et début 2024) avec un premier vol de Vega C prévu en mai (LARES 2 de l'agence spatiale italienne). Puis les satellites d'observation d'Airbus, Pléiades Neo 5 et 6 prendront place à bord du lanceur en juillet ou en août prochain. Enfin, en septembre, ce sera au tour du satellite d'observation de la Terre coréen du Kari, Kompsat 7, puis du satellite d'observation thaïlandais THEOS 2 HR avant la fin de l'année. Bref, Arianespace va devoir lever beaucoup d'incertitudes avec ses clients... D'autant que jusqu'à maintenant, Soyuz était considéré comme le back-up naturel d'Ariane 6, voire de Vega C. Les nouveaux petits lanceurs (Isar, RFA One) pourraient être des "roues de secours" finalement bienvenues. Des satellites propulsés par des moteurs russes Nouveau coup dur pour les constructeurs de satellites européens. La plupart des satellites dotés d'une propulsion électrique d'Airbus et de TAS est motorisée par la société russe Fakel, spécialisée dans la propulsion électrique des engins spatiaux et installée dans l'oblast de Kaliningrad. Ce moteur permet aux satellites, après avoir été injectés à 500 km d'altitude, de rejoindre par eux-mêmes leur orbite finale. Pour autant, Airbus et TAS disposent d'un back-up avec Safran, mais qui ne les satisfait qu'à demi. Car les propulseurs plasmiques de Safran, notamment le PPS®5000, sont considérés comme "plus chers et moins performants", explique-t-on à La Tribune. En outre, Safran pourrait avoir dû mal à augmenter ses cadences pour répondre à l'ensemble de la demande de la filière. "La solution Safran n'est pas la panacée mais elle a au moins le mérite d'exister", résume-t-on à La Tribune. Autre problème pour les constructeurs de satellites, le gaz rare Xenon, dont la Russie est un producteur significatif. Airbus et Thales, qui se fournissent chez Air Liquide, ont été alertés par une possible pénurie. Le conflit en Ukraine a "des répercussions sur l'approvisionnement du marché mondial. Air Liquide dispose de plusieurs sources d'approvisionnement dans différentes zones géographiques et travaille activement à la diversification de ses sources", a expliqué à La Tribune Air Liquide, qui "travaille en étroite collaboration avec ses clients pour assurer leur approvisionnement et proposer des alternatives lorsque cela est possible". Michel Cabirol 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 mars 2022 Share Posté(e) le 12 mars 2022 "L'Europe! L'Europe! L'Europe!" 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 21 mars 2022 Share Posté(e) le 21 mars 2022 (modifié) Au moment même où il faudrait ... L'Allemagne est bien en Europe, membre de l'UE, membre du consortium Arianespace ... Oui ? Ah bon ... Citation EXCLUSIF Le constructeur de satellites allemand OHB, actionnaire minoritaire d’Arianespace, fait campagne en coulisses pour que les prochains satellites Galileo soient lancés par des Falcon 9 de SpaceX, plutôt que par Ariane https://www.challenges.fr/entreprise/ariane-6-le-coup-de-poignard-de-l-allemand-ohb-qui-pousse-spacex_805619 Édit, j'ai oublié : et ... Modifié le 21 mars 2022 par jojo (lo savoyârd) 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OhneFear Posté(e) le 21 mars 2022 Share Posté(e) le 21 mars 2022 Du fait de la brouille avec Roscomos il semble qu'Arianespace ait perdu le contrat Oneweb. https://oneweb.net/resources/oneweb-resume-satellite-launches-through-agreement-spacex 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 21 mars 2022 Share Posté(e) le 21 mars 2022 (modifié) Il y a 6 heures, jojo (lo savoyârd) a dit : Au moment même où il faudrait ... L'Allemagne est bien en Europe, membre de l'UE, membre du consortium Arianespace ... Oui ? Ah bon ... Citation EXCLUSIF Le constructeur de satellites allemand OHB, actionnaire minoritaire d’Arianespace, fait campagne en coulisses pour que les prochains satellites Galileo soient lancés par des Falcon 9 de SpaceX, plutôt que par Ariane https://www.challenges.fr/entreprise/ariane-6-le-coup-de-poignard-de-l-allemand-ohb-qui-pousse-spacex_805619 Édit, j'ai oublié : et ... Il y a 4 heures, OhneFear a dit : Du fait de la brouille avec Roscomos il semble qu'Arianespace ait perdu le contrat Oneweb. https://oneweb.net/resources/oneweb-resume-satellite-launches-through-agreement-spacex À qui profite le crime? Et ce n'est que le début. Modifié le 21 mars 2022 par Patrick 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 21 mars 2022 Share Posté(e) le 21 mars 2022 il y a une heure, Patrick a dit : À qui profite le crime? Et ce n'est que le début. Oui, c’est que de faire de coop a tout bout de champs et rajouter de la moraline par dessus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 (modifié) Le 21/03/2022 à 12:25, jojo (lo savoyârd) a dit : Au moment même où il faudrait ... L'Allemagne est bien en Europe, membre de l'UE, membre du consortium Arianespace ... Oui ? Ah bon ... https://www.challenges.fr/entreprise/ariane-6-le-coup-de-poignard-de-l-allemand-ohb-qui-pousse-spacex_805619 Édit, j'ai oublié : et ... La seule partie de l'article intéressante est payante malheureusement Edit : trouvé ailleurs ... Ce qui paraît dingue c'est que OHB semble évoluer tout seul sans aucune intervention au niveau politique allemand. A moins qu'ils aient leur entier soutient dans ce torpillage européen ... Tout ça pour un peu de boulot en plus ? Modifié le 22 mars 2022 par clem200 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 OHB était le chouchou de Merkel, avec Scholz je ne sais pas. Sinon, que dit l'article sur les raisons qui poussent OHB à planter Arianespace pour SpaceX ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 à l’instant, Julien a dit : OHB était le chouchou de Merkel, avec Scholz je ne sais pas. Sinon, que dit l'article sur les raisons qui poussent OHB à planter Arianespace pour SpaceX ? Surement pas légale mais dispo ici :https://www.ouillade.eu/agenda/ariane-6-le-coup-de-poignard-de-lallemand-ohb/249973 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 (modifié) il y a 7 minutes, clem200 a dit : Surement pas légale mais dispo ici :https://www.ouillade.eu/agenda/ariane-6-le-coup-de-poignard-de-lallemand-ohb/249973 Une histoire de date de disponibilité donc. OHB est certes partenaire d'Ariane6, mais il est aussi fabricant de ces satellites, il est pas impossible que retarder le lancement juste pour garder de l'A6 ne soit pas neutre financièrement pour eux. Surtout qu'à mon avis on parle de retards significatifs (cf. 1 an dans la vue pour CSO-3). L'article ne creuse pas assez et part tout de suite sur des considérations politiques alors qu'il y a peut être un trivial soucis de gros sous. Modifié le 22 mars 2022 par Julien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OhneFear Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 En tout cas Israël fait son taf de patron et essaye de défendre sa boutique et pousse pour que les satellites Galileo prévus sur Soyuz attendent Ariane 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 Il y a 1 heure, Julien a dit : Une histoire de date de disponibilité donc. OHB est certes partenaire d'Ariane6, mais il est aussi fabricant de ces satellites, il est pas impossible que retarder le lancement juste pour garder de l'A6 ne soit pas neutre financièrement pour eux. Le retard est effectivement en année, minimum 1 Mais quand même. Tu imagines, tu produits 25% d'une fusée. Et plutôt que de pousser pour récupérer 2 lancements, donc tu travails, tu pousses a ce que ce soit la concurrence qui obtienne ces 2 lancements. Concurrence pour laquelle tu ne produis rien. Pas logique ... Donc oui il y a embrouille politique derrière 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Julien Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 il y a 24 minutes, clem200 a dit : Le retard est effectivement en année, minimum 1 Mais quand même. Tu imagines, tu produits 25% d'une fusée. Et plutôt que de pousser pour récupérer 2 lancements, donc tu travails, tu pousses a ce que ce soit la concurrence qui obtienne ces 2 lancements. Concurrence pour laquelle tu ne produis rien. Pas logique ... Donc oui il y a embrouille politique derrière A ton avis ca coûte combien de stocker 2 satellites pendant 1 an ? De plus, OHB a un contrat avec un client pour fournir et lancer ces 2 satellites... il dit quoi le contrat quand OHB se retrouve avec 1 an de retard ? Donc peut être que je me trompe et qu'il y a des motivations politiques à plusieurs bandes, mais certaines explications beaucoup plus terres à terres ne sont pas à écarter jusqu'à preuve du contraire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OhneFear Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 il y a 24 minutes, Julien a dit : A ton avis ca coûte combien de stocker 2 satellites pendant 1 an ? De plus, OHB a un contrat avec un client pour fournir et lancer ces 2 satellites... il dit quoi le contrat quand OHB se retrouve avec 1 an de retard ? Donc peut être que je me trompe et qu'il y a des motivations politiques à plusieurs bandes, mais certaines explications beaucoup plus terres à terres ne sont pas à écarter jusqu'à preuve du contraire. Non mais là non seulement tu perds les lancements mais en plus tu nourris un concurrent et tu crées un précédent. C'est juste pas possible et c'est normal qu'Arianespace pousse pour que les Galileo passent sur A6. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Conan le Barbare Posté(e) le 22 mars 2022 Share Posté(e) le 22 mars 2022 Il y a 3 heures, Julien a dit : Une histoire de date de disponibilité donc. OHB est certes partenaire d'Ariane6, mais il est aussi fabricant de ces satellites, il est pas impossible que retarder le lancement juste pour garder de l'A6 ne soit pas neutre financièrement pour eux. Surtout qu'à mon avis on parle de retards significatifs (cf. 1 an dans la vue pour CSO-3). L'article ne creuse pas assez et part tout de suite sur des considérations politiques alors qu'il y a peut être un trivial soucis de gros sous. OHB veut la mort de Ariane pour mettre en avant ses future lanceurs. Outre leur lanceur léger pour concurrencé Vega ils ont dans leurs cartons un lanceur lourd de 20t de charge utile... Il y a 1 heure, Julien a dit : A ton avis ca coûte combien de stocker 2 satellites pendant 1 an ? De plus, OHB a un contrat avec un client pour fournir et lancer ces 2 satellites... il dit quoi le contrat quand OHB se retrouve avec 1 an de retard ? Donc peut être que je me trompe et qu'il y a des motivations politiques à plusieurs bandes, mais certaines explications beaucoup plus terres à terres ne sont pas à écarter jusqu'à preuve du contraire. Le client en question c'est l'ESA et la commission européenne. Donc c'est pas eu qui feront chier OHB, sachant que ces satellites sont des "spare", des rechange au cas où... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MarshalFoch Posté(e) le 3 avril 2022 Share Posté(e) le 3 avril 2022 LaTribune: https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/lanceur-si-si-l-allemagne-s-assoit-a-nouveau-sur-la-preference-europeenne-et-prefere-spacex-912380.html Quote Indécrottable Allemagne... Pour Berlin, la préférence européenne en matière de lancements, c'est pour les autres mais visiblement pas pour elle. Le satellite allemand EnMAP de l'agence spatiale allemande (DLR), un satellite d'imagerie hyperspectrale de la Terre (300 millions d'euros) fabriqué par OHB, pourtant biberonné par les crédits de l'Agence spatiale européenne (ESA), pourrait décoller vendredi à bord de Falcon 9, un des lanceurs de SpaceX dans une nouvelle mission de covoiturage (Transporter-4). Selon l'entreprise américaine, son lanceur a 30% de chances de décoller ce vendredi en raison des conditions météos. Pour contrer SpaceX, les États membres de l'ESA s'étaient pourtant engagés à envoyer leurs satellites sur des lanceurs développés par l'ESA. "À un moment où le marché des lanceurs n'est pas trop facile pour préparer un lancement rapide pour votre mission, nous avons pu trouver avec SpaceX un service de lancement qui correspondait parfaitement à notre calendrier, et c'était l'une des principales raisons de notre choix", a déclaré le responsable de cette mission au DLR Sebastian Fischer dans une interview accordé à Spaceflight Now. Galileo sur SpaceX ? Et ce n'est peut-être pas fini. Le patron d'OHB, Marco Fuchs, qui conseille l'ESA dans ses choix de lancement pour la constellation européenne Galileo, a évoqué le 23 mars d'autres "alternatives possibles" à Ariane 6 citant à nouveau SpaceX ou le lanceur indien GSLV. Si SpaceX devait être choisi par l'ESA, ce serait une défaite monumentale pour la souveraineté de l'Europe. "SpaceX est bien sûr le lanceur dont tout le monde parle, principalement en Europe car c'est notre plus grand concurrent", a quand même reconnu Marco Fuchs. Deux satellites fabriqués par OHB pour Galileo devaient être embarqués cette année à bord d'un lanceur Soyuz. "Dans le cas de Galileo, rien n'est encore prévu" pour trouver un autre lanceur, a-t-il assuré. L'opérateur de satellites OneWeb, basé à Londres et qui a dû aussi suspendre ses lancements prévus sur Soyuz, a lui annoncé qu'il allait les reprendre en utilisant les services de SpaceX pour poursuivre le déploiement de sa constellation. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 3 avril 2022 Share Posté(e) le 3 avril 2022 Il y a 9 heures, MarshalFoch a dit : LaTribune: https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/lanceur-si-si-l-allemagne-s-assoit-a-nouveau-sur-la-preference-europeenne-et-prefere-spacex-912380.html Ne pas réagir, ne pas réagir, ne pas réagir, ne pas réagir, ne pas réagir, ne pas réagir.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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