Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Rafale et Neuron, la réponse à la 5G ?


zx

Messages recommandés

Y'a le projet MIDCAS en Europe et je suppose qu'aux US ils doivent déjà avoir des trucs en route aussi.

Des projet il y en a tout un tas, mais des systemes certifié pour le moment aucun, et aucun en voie de certification. Le souci c'est de standardiser un truc ou pas.

Par exemple certain qui cherche des solutions a bas coute bas encombrement utilisable pour les "petit" drone, aimeraient se contenter d'une camera thermique et d'un soft faisant la détection du mouvement et l'évitement, tout en passif.

D'autre qui s'intéresse au plus gros engin mais coopératif, sont plus acces sur les solution a transpondeur TCAS.

Enfin dans le cadre militaire, les gros industriels veulent développer un standard tres complexe, pour pas dire une usine a gaz, avec la prise en compte et la fusion a la fois des information des aéronef coopératif, type transpondeur, mais aussi des non coopératif, via caméra thermique, radar anti collision etc.

Au final on semble très loin de disposer d'un standard certifié dans la plupart des zones contrôlé du globe ...

D'ailleurs l'AdlA dispose déjà d'une solution "qui marche" ... mais dont elle n'a pas le droit de se servir vu que la solution qui sert de démonstrateur n'a pas l'ombre d'une certification quelconque.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des projet il y en a tout un tas, mais des systemes certifié pour le moment aucun, et aucun en voie de certification. Le souci c'est de standardiser un truc ou pas.

Par exemple certain qui cherche des solutions a bas coute bas encombrement utilisable pour les "petit" drone, aimeraient se contenter d'une camera thermique et d'un soft faisant la détection du mouvement et l'évitement, tout en passif.

D'autre qui s'intéresse au plus gros engin mais coopératif, sont plus acces sur les solution a transpondeur TCAS.

Enfin dans le cadre militaire, les gros industriels veulent développer un standard tres complexe, pour pas dire une usine a gaz, avec la prise en compte et la fusion a la fois des information des aéronef coopératif, type transpondeur, mais aussi des non coopératif, via caméra thermique, radar anti collision etc.

Au final on semble très loin de disposer d'un standard certifié dans la plupart des zones contrôlé du globe ...

D'ailleurs l'AdlA dispose déjà d'une solution "qui marche" ... mais dont elle n'a pas le droit de se servir vu que la solution qui sert de démonstrateur n'a pas l'ombre d'une certification quelconque.

Oui mais les solutions sont dans les tuyaux. Sur un projet a 15 ans ce ne sont pas des points préoccupants. On connaît les solutions dispos et on peut donc faire un choix et avancer le moment venu. Sur 15 ans ca ne va pas poser de soucis. Les points dur sont de mon point de vue a d'autres niveaux avec des conséquences beaucoup plus lourdes (par exemple savoir le niveau d'autonomie qu'on souhaite donner au drone).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas le risque politique Fox3Shots

 

Dans le domaine de la sécurité aérienne, le "risque politique" n'existe pas. Et de toute façon, si le Harfang a reçu son Certificat de Type et son Certificat de Navigabilité, c'est que quelque-part le risque politique a été accepté.

Avec sa vitesse d'asthmatique il risque pas de voler dans les couloirs commerciaux!

 

Par contre, les drones peuvent voler dans les couloirs du Réseau Très Basse Altitude Défense :-

Modifié par Fox3Shots
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

en fait on est face à des problèmes de réglementation ...

 

Mais imaginez un instant qu'un drone de 3/4 t tombe sur des habitations suite à un problème technique propre au drone (alimentation électrique, commandes de vol) ou bien suite à un soucis de liason air sol ... on aborde des domaines de responsabilités civile et pénale qui sont différentes de celle prévalant avec des appreils pilotés.

Quand un aéronef tombe, c'est toujours une bataille d'avocats. Lors d'un crash d'un avion de ligne, il y a l'erreur humaine du pilote qui est souvent recherchée (surtout s'il est mort) mais la compagnie aérienne, le constructeur de l'avion, le contrôle aérien.

L'absence du pilote dans le drone risque de ne pas changer grand chose à la problématique judiciaire. Ce sera une bataille d'avocats pour savoir qui doit payer entre le constructeur, le propriétaire, le client, l'utilisateur voir même l'opérateur téléphonique ou le radio amateur qui a pu causer l'interférence.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le domaine de la sécurité aérienne, le "risque politique" n'existe pas. Et de toute façon, si le Harfang a reçu son Certificat de Type et son Certificat de Navigabilité, c'est que quelque-part le risque politique a été accepté.

Ces certificats sont juste des "parapluies" permettant d'attester que l'engin concerné répond à un certain nombre d'exigences.

Ca ne résous pas la question des responsabilités en cas d'accident.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

On est 100% d'accord. Mais c'est le même problème avec un avion.

Pas exactement. Dans le cas d'un avion, il y a un ou plusieurs hommes à bord, et donc la possibilité (même théorique) d'user d'intelligence pour résoudre un certain nombre de problèmes.

Le drone est délibérément mis en l'air en se passant de cette seconde chance, ce qui fait qu'un accident n'est plus le résultat d'une accumulation de défaillances (humaines comprises) mais la conséquence d'une lacune rédhibitoire (pas d'homme à bord pour reprendre la main).

Je force volontairement le trait, mais la brèche est à ce niveau et implique plus ou moins tous ceux qui ont participé de près ou de loin à la présence du drone au dessus du sol. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si on remplace le pilote par un opérateur, la responsabilité est la même (selon moi). On a un gars qui est "responsable" de la conduite du drone.

Ensuite, c'est toujours les mêmes types de responsabilités : le constructeur, les mécanos, le contrôle aérien, un autre aéronef,...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si on remplace le pilote par un opérateur, la responsabilité est la même (selon moi). On a un gars qui est "responsable" de la conduite du drone.

Ensuite, c'est toujours les mêmes types de responsabilités : le constructeur, les mécanos, le contrôle aérien, un autre aéronef,...

Du point de vue technique, c'est juste que la liaison filaire entre le pilote et les gouvernes est remplacée par une liaison hertzienne. Il y avait déjà eu un problème de réglementation avec les commandes de vols 100% électriques...
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Du point de vue technique, c'est juste que la liaison filaire entre le pilote et les gouvernes est remplacée par une liaison hertzienne. Il y avait déjà eu un problème de réglementation avec les commandes de vols 100% électriques...

Sauf que la liaison on l'a pas forcément en permanence ni avec la latence qui va bien ... c'est la raison du crash de centaine de drone de l'armée US - on parle de plus de 400, et d'une quantité astronomique de 60% de mission annulé -.

En gros le télépilote passe le plus clair de son temps a ne pas piloter - comme les pilotes de l'aviation commerciale -, sauf qu'au moment ou il doit piloter il n'est jamais certain de pouvoir le faire. C'est la raison pour laquelle on cherche a équiper les drones de système autonome permettant le retour a la maison, et l'anti collision, les deux fonctions minimum pour pas se transformer en missile fou, et pour avec un mode dégradé qui met l'engin en sécurité s'il perd le télépilotage.

Et la je me place en temps de paix ... le jour ou l'ennemi se met en mode guerre elec les drones on intérêt a être autonome, sinon ça va pleuvoir.

Amuses toi avec tes amis ... How to kill UAV http://privat.bahnhof.se/wb907234/killuav.htm

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...

C'est pour ça que j'aurais tendance à croire dans un drone avec beaucoup d'autonomie de décisions, un vol très préprogrammée et la possibilité par un chasseur biplace proche lui donner quelques ordres non prévus à la préparation de mission.

 

Beaucoup d'autonomie de décisions, ça reste relatif

Pour moi il ne doit pas avoir beaucoup d'autonomie de décisions, en tout il doit avoir un cadre précis et s'il en sort doit retourner au bercail. Par exemple on l'envoie sur une mission sans connexion avec la base et il doit trouver l'objectif et lâcher une bombe en "toute autonomie". Ici en "toute autonomie" serait de lâcher la bombe si, évidement l'objectif est clairement identifier, s'il est dans un zone pas très étendue où il peut faire feu et préalablement définie, et s'il n'a pas dépassé un certain délais. Même si les drones peuvent avoir beaucoup d'autonomie, il faudra cadrer précisément où ils pourront faire usage de cette autonomie.

 

 

C'est le topic "Rafale et Neuron", mais on peut aussi penser à un usage "Neuron et Neuron". Par exemple un Neuron glowler et un Neuron avec des missiles.

Modifié par web123
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 004
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    MohaF4
    Membre le plus récent
    MohaF4
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...