Rob1 Posté(e) le 2 juin 2018 Share Posté(e) le 2 juin 2018 Le 31/05/2018 à 16:38, numidiadz a dit : Même les régions gelées du Grand-Nord russe ne sont pas un obstacle pour les forces spéciales du pays, qui s'entraînent au sauvetage de personnes retenues captives dans un brise-glace nucléaire ou bloquées dans des montagnes enneigées. https://fr.rbth.com/tech/80843-forces-speciales-exercices-contre-terrorisme-arctique Intéressant. Est-ce qu'on sait ce qu'est cette "Université russe des Forces spéciales en Tchétchénie", et de quelle entité elle dépendait (MVD ?). Ca confirme, comme on disait en début de fil, que le contre-terrorisme maritime semble du ressort des unités policière, du moins sur le territoire national. Sur la photo à bord du brise-glace, on peut lire ЧУЖОН derrière le casque (j'ai cherché l'image en plus haute résolution), ca veut dire quelque-chose ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
numidiadz Posté(e) le 2 juin 2018 Share Posté(e) le 2 juin 2018 il y a 5 minutes, Rob1 a dit : ca veut dire quelque-chose ? Un surnom du mec peut-être ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 8 juin 2018 Share Posté(e) le 8 juin 2018 Quelques questions que je me pose à propos des Spetsnaz époque soviétique : - on dit souvent que leur mission était la reconnaissance et la recherche-destruction des armes nucléaires de l'OTAN (missiles Lance,...). Comment voyaient-ils ce genre de mission, par quelle méthode espéraient-ils être infiltrés ? (et, soyons fous, exfiltrés) - quelle relation entre Spetsnaz et GRU ? A priori, il y a subordination des unités spetsnaz au bureau renseignement des commandements, mais les Spetsnaz appartenaient-ils à un autre corps - probablement l'infanterie ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
max Posté(e) le 9 juin 2018 Share Posté(e) le 9 juin 2018 De mes qq années dans le Hawk, la menace "Spetsnaz" faisait partie des missions lors de tous déploiement sur position. Chaque batterie intégrait un groupe d'intervention contre ces messieurs. La situation de la menace de l'état "Carmin" était notamment décrite comme une volonté de neutraliser toute composante de batterie Hawk (radar de contre batterie, ICC, IPCP, ROR, CWAR et affuts) par un individu/ charge explosive de destruction, le tout par intrusion sur site. L'exercice était pratiqué pour chaque déploiement sur site., et OPEX (Tchad). La mission de cet élément d'intervention était d’empêcher toute infiltration sur une position de tir ( 1S/Off, 8 MdR), et réalisé sur le TED de la Batterie (effectifs batterie, sans renfort). A l'époque une partie de la bulle de protection Sol-Air était à la charge de l'AdT... La menace Spetsnaz concernait aussi les éléments organiques d'Armée (EOA), pas que le Nuc. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 1 septembre 2018 Share Posté(e) le 1 septembre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 3 septembre 2018 Share Posté(e) le 3 septembre 2018 @max @Rob1 Quand j'ai fais mon service militaire au 4ème RA ( pour Rob1, une unité Pluton) lors de gros exercice ou le format disposition de guerre était de mise, on était renforcé au niveau bulle de sécurité par les élèves officiers de Coëtquidan qui apparemment si conflit il y aurait eu avaient cette mission auprès des unités Plutons, afin de faire face à la menace spetnaz. Sinon pour revenir dans la partie FS russe, je ne savais pas ou mettre se lien sur l'anti-terrorisme relatant la complexité lors de la prise d'otages à Beslan. Perso j'ai toujours pensé que l'optique anti-terrorisme face à une trentaine de gus armés comme une "section de combat", venu pour mourir... De facto il ne fallait pas s'attendre à une fin heureuse... Comme je l'explique dans une réponse que je fais dans se Twitt peu importe qu'on aime ou pas la politique russe, j'avais trouvé a l'époque qu'il était facile de critiquer les russes, sans prendre en compte le contexte qui si on l'observe est resté un scénario cauchemar pour toute force anti-terroriste occidentale... Enfin voilà, je pense que se Twitt apporte aussi un visage humain en mettant en avant aussi le douloureux souvenirs que fut cette prise d'otages pour les forces anti-terros russes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 3 septembre 2018 Share Posté(e) le 3 septembre 2018 (modifié) D'ailleurs ça été un choc pour les unités d'intervention en occident qui ont constaté qu'elles même étaient totalement démunies dans ce cas de figure et qu'il fallait désormais pouvoir l'intégrer dans les futures schémas interventions. Je ne sais pas si cela à un lien mais le nombre d'hommes durant les assauts est conséquent depuis 10-15 ans. Modifié le 3 septembre 2018 par Phacochère orthographe 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 13 décembre 2018 Share Posté(e) le 13 décembre 2018 Le russe s'occidentalise https://vk.com/milinfolive?w=wall-123538639_937782 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 2 février 2019 Share Posté(e) le 2 février 2019 Quelques infos sur le groupe "Zaslon" du SVR : http://www.francesoir.fr/en-coop-matteo-puxton/forces-speciales-russes-secretes-en-syrie-detachement-zaslon Qui semble être avant tout un service de protection similaire au GRS de la CIA (Benghazi 2012) qu'un service d'action clandestine à la SAD... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 5 février 2019 Share Posté(e) le 5 février 2019 Spetsnaz: cinq unités légendaires des forces spéciales russes https://fr.rbth.com/lifestyle/81984-russie-forces-speciales-spetsnaz-unites Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 5 février 2019 Share Posté(e) le 5 février 2019 (modifié) Il y a 9 heures, Philippe Top-Force a dit : Spetsnaz: cinq unités légendaires des forces spéciales russes https://fr.rbth.com/lifestyle/81984-russie-forces-speciales-spetsnaz-unites Ces articles russes me surprendront toujours Citation Le Spetsnaz GRU a entrepris des missions ... au Cambodge, où il a même réussi à voler un hélicoptère AH-1 Cobra flambant neuf dans une base américaine. En cherchant un peu autour Citation Détournement d’un hélicoptère américain au Cambodge La même année, un groupe des forces spéciales constitué de neuf personnes issues du GRU ont pénétré une base aérienne secrète américaine située au Cambodge. De nouveaux hélicoptères d’attaque Super Cobra, équipés des plus récents systèmes de pilotage et de missiles guidés, y étaient stationnés. Suite à une opération de 30 minutes seulement, un hélicoptère a été dérobé et emmené au Vietnam, tandis que les autres ont été détruits. 15 Américains ont par ailleurs été tués ou blessés au cours de l’événement. D’après des sources russes, les États-Unis n’ont eu vent de l’origine de cette attaque des forces spéciales soviétiques qu’un an après, suite à une fuite au sein du KGB. https://fr.rbth.com/histoire/82109-russie-spetsnaz-gru-alpha-missions Des AH-1 basés au Cambodge en 1968 ? Quant aux "missiles guidés", les TOW ne sont testés (edit) sur AH-1 (/edit) qu'à partir de fin 1973, un peu tard pour l'Asie du sud-est il me semble. Modifié le 5 février 2019 par Rob1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 5 février 2019 Share Posté(e) le 5 février 2019 il y a une heure, Rob1 a dit : Ces articles russes me surprendront toujours En cherchant un peu autour https://fr.rbth.com/histoire/82109-russie-spetsnaz-gru-alpha-missions Des AH-1 basés au Cambodge en 1968 ? Quant aux "missiles guidés", les TOW ne sont testés qu'à partir de fin 1973, un peu tard pour l'Asie du sud-est il me semble. Effectivement c'est en 1972 que l'US Army commence à regarder vers une version plus couillue en antichar. Ça débouche sur l'AH-1Q, alors qu'en 1968 on en est à la version AH-1G qui ne possède que canon et roquettes (et éventuellement lance-grenades en tourelle de nez). Soit y'a erreur sur la date soit c'est du flan. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 17 février 2019 Share Posté(e) le 17 février 2019 Je ne sais pas si on ça entre vraiment dans la catégorie forces spéciales, mais le service de sécurité présidentiel a une unité de réaction rapide qualifiée de "spetsnaz". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 18 mai 2019 Share Posté(e) le 18 mai 2019 Pas officiellement spetsnaz, mais on aurait du mal à faire la différence : membres d'un bataillon de reconnaissance autonome d'une division aéroportée, à ne pas confondre avec la 45e brigade spetsnaz indépendante des troupes aéroportées (VDV)... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 27 mai 2019 Share Posté(e) le 27 mai 2019 Insignes des composantes du KSSO (commandement des forces d'opérations spéciales) : De gauche à droite : 1) insigne du KSSO 2) insigne du quartier-général du KSSO 3) insigne du centre "Senezh" 4) insigne du centre "Kubinka" 5) insigne du centre d'entraînement spécial basé près du lac Senezh 6) insigne d'une unité de la marine qui forme les nageurs de combat et est la principal unité de soutien (embarcations et mini-sous-marins), qui s'appelait (s'appelle ?) "561st Emergency Rescue Center" 7) insigne d'une unité qui n'était pas présentée l'année dernière, qui pourrait être l'escadre des moyens aériens du KSSO. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 28 mai 2019 Share Posté(e) le 28 mai 2019 film documentaire sur les spetsnaz : l'auteur filme les recrues pendant la selection, et en parallele les parents de son cousin , Dima spetsnaz mort en operation : http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19583713&cfilm=262853.html Drame familial sur un deuil impossible et documentaire sur les Spetsnaz, unité d'élite de l'armée russe, "Le Fils" réalise la prouesse de toucher au coeur le spectateur tout en lui faisant découvrir un univers quasi inconnu. Nour Films AlloCiné : Que sont les Spetsnaz, l'unité d'élite au coeur du Fils ? Alexander Abaturov : Les Spetsnaz rassemblent l’ensemble des forces spéciales russes qui impliquent plusieurs structures très diverses telles que la défense intérieure, le renseignement extérieur - GRU ou le renseignement intérieur - FSB. Les Spetsnaz fonctionnent comme des commandos dans ces différentes structures menant des missions spécifiques. Les premières ont été créées pour intervenir pendant la guerre civile espagnole en 1936. Pour le film j’ai suivi en particulier les forces spéciales des troupes de défense intérieure. Les bérets rouges représentent une distinction supplémentaire au sein des Spetsnatz. C’est une élite. Le béret s’obtient en passant des épreuves. Il est d’abord symbolique, il ne permet pas de grade ou de salaire supplémentaires mais force le respect, transforme les relations avec les officiers et implique une fraternité entre les différents bérets rouges à travers toute la Russie. Comment avez-vous conçu le projet ? Avez-vous fait la connaissance de la famille endeuillée avant de vous intéresser aux Spetsnaz ? En 2013, mon cousin Dima est mort lors d’une opération Spetsnatz. J’étais loin, je n’ai pas pu assister à l’enterrement et soutenir ma famille. Au téléphone, sans doute pour pour me consoler, ma tante m’a dit : "Maintenant, tu dois faire un film". Je me suis raccroché à cette idée de film en mémoire de mon cousin. C’était finalement la seule chose que je pouvais faire. Sa mort n’était pas due à un accident ou au hasard de la vie mais elle était la conséquence d’une guerre civile qui se nourrit de haine ordinaire entre voisins, le résultat d’une spirale de violence qui a commencé à l’éclatement de l’URSS en 1991. Votre film est construit sur un contraste : une famille qui pleure un fils mort en mission (pas à l'entraînement) et le recrutement des Spetsnaz. Vous opposez la fragilité à l'illusion de toute-puissance... Dans l’armée la toute-puissance est effectivement une illusion, une image de propagande. Mais sur le terrain j’ai plutôt rencontré des gens à bout de force. La fragilité de ma famille endeuillée se retrouve tout autant, mais sous une autre forme, chez les soldats. C’est l’humain qui m’intéressait chez eux. Je ne les découvrais pas comme des super-héros mais comme des jeunes garçons épuisés. Quand je filmais les exercices, par exemple, j’allais plus volontiers vers ceux en difficulté... Le film s’est construit sur la collision de ces deux mondes que sont la famille et l’armée. Deux mondes qui ne devraient pas se rencontrer mais qui se trouvent réunis autour de la mort. Parfois on me dit que le message du film n’est pas assez clair, que je ne dénonce pas l’armée de façon assez explicite. Pourtant c’est l’effet du cinéma de mettre deux images côte à côte pour créer un troisième sens. Et ce troisième sens est simple : ca ne doit pas arriver. La force de votre film sont, en partie, vos personnages. Et en particulier le père du jeune soldat. Il est quasiment muet mais son visage parle pour lui. Savez-vous ce qu'il ressent vraiment ? Vous l'a-t-il dit hors caméra ? Je trouve que souvent le silence est plus fort et explicite que les paroles. Les parents de Dima ont perdu leur fils unique, ils vivent avec une douleur permanente qui ne s’apaisera jamais. Il ne leur reste que la fierté et d’essayer de donner du sens à sa mort. Ils ne peuvent pas se permettre de douter, ni a propos des choix de Dima, ni de ceux de l’armée. Ca serait beaucoup trop destructeur pour eux. Avec le temps ils ont fini par accepter le rôle de parents de héros parce que cela maintient aussi Dima dans la mémoire collective. Ils participent ainsi à toutes les commémorations et à toutes les fêtes militaires : le jour de l’armée, la fête des Spetsnaz, le jour des héros, etc. La puissance de votre film réside aussi dans sa brièveté. On imagine que vous avez laissé énormément de matériau sur la table de montage. J’ai tourné pendant quatre années de façon discontinue, j’avais effectivement pas mal de matériau. Je suis moi-même une personne condensée, comme un ressort et cela se retrouve dans mon cinema. Je voulais un montage très rythmique. Même s’il y en a peu dans mon film, je suis très influencé par la musique. Pour Le fils j’ai pensé à la musique de Miles Davis et j’ai alterné une longue note, qui nous happe, suivie de notes syncopées, destinées à casser le rythme. D’autre part, dans les choix de montage, j’ai décidé par exemple, de garder uniquement les séquences tournées en été, dans l’idée de valoriser la vie. Au regard de ces jeunes soldats, pour la mémoire de Dima, je voulais souligner la fragilité de cette vie. Avez-vous eu des difficultés à obtenir l'autorisation de filmer ? Ce sont tout d’abord les parents de Dima qui ont initié les démarches auprès des autorités de l’armée. Toute la partie officielle est passée par eux, soutenant l’idée principale que c’était un film à la mémoire de leur fils, ce qui est le cas. Si les officiers avaient leurs propres attentes vis-à-vis du film je n’ai pas pris la peine de les connaître et de les prendre en compte. Le second temps, et le plus important pour moi, était de gagner la confiance des soldats que je suivais. J’ai d’abord été admis en tant que cousin de Dima, leur ancien camarade. Et puis, avec le temps et le quotidien partagé, le cercle s’est élargi à d’autres soldats. Mais le risque que les portes se ferment planait au-dessus de moi pendant tout le tournage. C’était une de mes plus grandes peurs, que je ne puisse pas aboutir ce que j’avais commencé. Votre film a-t-il été vu en Russie ? Si oui, quelles réactions a-t-il suscité ? Le film a été demandé par différents festivals mais comme le contexte définit bien souvent le message, je voulais qu’il ne soit présenté qu’au « Art Doc Fest » de Moscou, le dernier festival indépendant en Russie encore engagé politiquement et en opposition à Poutine. Là-bas les réactions était divisées avec des lectures parfois très opposées : par exemple une partie du public était en colère, elle ne croyait pas à la possibilité d’un projet indépendant sur l’armée. Pourtant en Russie les relations horizontales priment sur les relations verticales, hiérarchiques. Tout y est interdit mais d’un autre côté tu peux aussi tout faire si tu sais utiliser des moyens parallèles. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 (modifié) Quelques infos sur l'augmentation qui était prévue pour 2018 des spetsnaz piochées dans https://www.tandfonline.com/toc/rwhi20/89/1 : Comparatif avec 2013 : * GRU : 7 brigades, 1 régiment et 4 bataillons spetsnaz utilisés au profit des districts militaires, flottes etc. - pas de changements. * VDV : le 45e régiment spetsnaz de la Garde devient une brigade, qui devrait pouvoir opérer dans trois "zones opérationnelles" indépendantes au lieu de deux. Avec la création d'unités ISR attachées aux brigades et divisions des VDV, les troupes aéroportées devraient passer de 6 compagnies spetsnaz à 18 (le détail n'est pas donné, mais je présume que la 45e brigade passe de 6 à 9 compagnies, et 9 brigades et divisions aéroportées ou d'assaut aérien reçoivent chacune une compagnie - cf plus bas). * Forces terrestres : passeraient d'un bataillon spetsnaz en propre en tout et pour tout, à 12 bataillons + 16 compagnies spetsnaz. Les brigades et divisions terrestres et VDV avaient une compagnie de reconnaissance, elles devraient passer à un bataillon ISR comprenant une compagnie spetsnaz entre autres (les drones sont prévus en quantité notamment). Les armées interarmes recevront chacune une brigade de reconnaissance comprenant un bataillon spetsnaz. Enfin, la marine expérimente la transformation de ses groupes de nageurs défensifs en spetsnaz côtiers ayant un double rôle défensif et offensif. Modifié le 6 juillet 2019 par Rob1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 il y a 48 minutes, Rob1 a dit : Enfin, la marine expérimente la transformation de ses groupes de nageurs défensifs en spetsnaz côtiers ayant un double rôle défensif et offensif. C'est quoi un "nageur défensif" , une sorte de plongeur de bord -plongeur démineur? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 (modifié) Il y a 3 heures, Fusilier a dit : C'est quoi un "nageur défensif" , une sorte de plongeur de bord -plongeur démineur? J'avoue que tu me pose une colle... j'ai vaguement entendu parler de ces unités, appelées PDSS (https://ru.wikipedia.org/wiki/ПДСС), chargées de défendre les ports, créés après l'explosion (sans doute accidentelle) du cuirassé Novorossiysk dans les années 50, qui semblent avoir été les pionniers de la plongée militaire soviétique (plongeurs et mini-sous-marins), mais quel serait leur mode opératoire, je sèche. Edit : l'article utilisée en source sur la transformation de ces unités : https://iz.ru/news/623633 Modifié le 6 juillet 2019 par Rob1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 LEs russes on développé tout un arsenal défensif contre les nageurs et autres engin sous-marin cherchant a approche des navire a l'arret ou des installation. Il y a des système de détection a base de sonar léger, de réseau sonar, de sonar embarquable sur un bateau gonflable etc. Puis tout une panoplie de mortier et lance grenade plus ou moins automatisé, jusqu’à des solution anti torpille. De la même manière ils ont largement développé des armements léger individuel utilisable contre une cible sous marine, soit depuis la surface, soit depuis l'eau ... et inversement. En résumé défendre leurs installations contre des infiltrations sous marine semble leur tenir beaucoup a cœur.. . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 (modifié) Il y a 2 heures, Rob1 a dit : J'avoue que tu me pose une colle... j'ai vaguement entendu parler de ces unités, appelées PDSS (https://ru.wikipedia.org/wiki/ПДСС), chargées de défendre les ports, créés après l'explosion (sans doute accidentelle) du cuirassé Novorossiysk dans les années 50, qui semblent avoir été les pionniers de la plongée militaire soviétiques (plongeurs et mini-sous-marins), mais quel serait leur mode opératoire, je sèche. Edit : l'article utilisée en source sur la transformation de ces unités : https://iz.ru/news/623633 Merci. Je comprends mieux. En fait leurs détachements défensifs sont articulés en deux pelotons de plongeurs, un de "nageurs de combat" un de "plongeurs démineurs", ces unités sont déjà capables d'action "offensives" Si je comprends bien la nouveauté consiste à créer des unités à vocation offensive (en plus?) articulées autour de bateaux etc (un peu à la façon des special warfare us) Finalement la gradation / spécialisation va ressembler à ce qui se fait un peu partout. Chez nous défensivement unités fus (plongeurs de bord, drones sous-marins et aériens, équipes de reco EOD) + les plongeurs démineurs. Offensivement les nageurs de combat + les plongeurs démineurs (en opé amphibie) Modifié le 6 juillet 2019 par Fusilier Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 6 juillet 2019 Share Posté(e) le 6 juillet 2019 Ca pourrait être un de ces nageurs de combat défensifs qui aurait éliminé Lionel Crabb ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 7 août 2019 Share Posté(e) le 7 août 2019 Pratique pour éviter de se tirer une balle dans les pieds, ou éviter de s'en prendre une. Les Russes innovent ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 8 août 2019 Share Posté(e) le 8 août 2019 Il y a 22 heures, Philippe Top-Force a dit : Pratique pour éviter de se tirer une balle dans les pieds, ou éviter de s'en prendre une. Les Russes innovent ! Vont ressembler à des gendarmes mobiles Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rob1 Posté(e) le 20 août 2019 Share Posté(e) le 20 août 2019 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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