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[Après 2016, c'est 2017 qui arrive, les nouveaux films d'actions, de guerre, ..]


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il y a 1 minute, Rochambeau a dit :

C'est un détails dont le public s'en fichent ... j'imagine que le choix d'un T47 était le plus raisonnable pour donner l'impression de batiment de l'Entre-Deux-Guerre.

On s'est mal compris, je voulais juste avoir confirmation que c'était bien un T47 (utilisé, je me doutes bien, pour son look rétro), et accessoirement savoir où les producteurs auraient pu en trouver un (à par le Maillé Brézé à Nantes ?).

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il y a 10 minutes, ascromis a dit :

On s'est mal compris, je voulais juste avoir confirmation que c'était bien un T47 (utilisé, je me doutes bien, pour son look rétro), et accessoirement savoir où les producteurs auraient pu en trouver un (à par le Maillé Brézé à Nantes ?).

Autant pour moi, j'avais effectivement mal compris le propos.

Selon wiki, il y a bien que Maillé Brézé comme navire de cette classe encore entier. 

Plus de précision sur sa page wiki:

Citation

Entre mai et juin 2016, le navire est utilisé comme élément de décor par le réalisateur Christopher Nolan lors du tournage de Dunkirk, qui s'inspire de l'opération Dynamo, l'évacuation des troupes anglaises à Dunkerque en 1940, lors de la Seconde Guerre mondiale7. Pour les besoins du film, le Maillé Brézé ayant été construit et en activité après l'époque évoquée par le film, certains éléments modernes sont démontés. Ne disposant pas de moyens de propulsion, le bateau est remorqué jusqu'à Saint-Nazaire où sont effectués les travaux d'aménagement (qui durent cinq jours8), puis jusqu'à Dunkerque. L'ensemble des frais (transformation, remise en état, remorquage et frais d'immobilisation) sont pris en charge par la société de production Warner Bros9. Le Maillé-Brézé a été absent de Nantes entre mi-avril et mi-juillet 20168.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Maillé-Brézé_(D627)#Notes_et_r.C3.A9f.C3.A9rences

Modifié par Rochambeau
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Salut !

Est-ce que vous avez vu Terminator Genisys ? J'ai trouvé le DVD la semaine passée et, alors que j'avais un gros a priori, j'ai bien apprécié le spectacle.

Le début faisait craindre le pire, avec une espèce de pot-pourri des précédents opus, mais passé les 20-30 premières minutes, c'est très chouette.

Une action bien menée, un scénario qui tient convenablement la route, et un choix scénaristique avec John Connor très osé, mais au final très réussi.

terminator-genisys-analysis-15-john-conn

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Bon, petite revue de Assassin's Creed: j'aime essayer d'être nuancé, mais il faut bien reconnaître les faits quand on ne peut les circonvenir ou en atténuer l'impact.... C'est tout caca. Moi qui attendais beaucoup, sans doute trop, de ce film (genre un "contre-modèle" à l'action à l'américaine, un autre genre de héros d'action....), je ne peux que confirmer le maintien de la malédiction des adaptations de jeux vidéos en films: ça n'a jamais donné que de la merde, ou, au mieux, au goût de certains et lors d'accidents, de la médiocrité. 

Les scènes d'action sont occasionnellement bonnes, voire acceptablement spectaculaires dans les moments voués à canaliser l'héritage visuel des jeux, et qui présentent ainsi des panoramas grandioses où des personnages se lancent dans les "figures imposées" des grands sauts improbables dans le vide, ou d'amusantes et stimulantes mais courtes phases de parkour en environnement urbain ou dans d'étroits intérieurs.... Mais ces scènes se noient dans le reste. Qui n'est pas bon. Du tout. Michael Fassbender est sous-employé et mal employé, tout comme Marion Cotillard, plus vouée à la mono-expression que jamais. Jeremy Irons est encore plus gaspillé, mais on est désormais si habitué à le voir en second couteau ou antagoniste dans des navets à gros budget (il doit vraiment avoir besoin de fric, ou de rester actif, pour s'être ainsi "gâché" depuis 15-20 ans) qu'on devrait avoir pour règle d'éviter les blockbusters l'employant ainsi en "justificatif" pour rehausser l'affiche (il a systématiquement mal choisi, je trouve). Les persos et leur caractérisation, leurs interactions et conflits, sont d'un niveau pré-ado confirmé, et d'une grande superficialité, d'une absence totale d'un quelconque signe de contenu, voire même du sentiment que quelque chose se passe quand ils se récitent leurs lignes de dialogues entre eux. 

Le scénario est, comment dire.... Fidèle à la série de jeux? Ce qui marche dans un jeu vidéo centré sur "me, myself and I", donc comme un booster d'ego centralisé sur la petite personne du joueur, et au final dans un contexte où l'importance de l'histoire de fond et de la réalité émotionnelle (ce à quoi on se rattache dans un récit, qui donne "corps" aux personnages, et par eux, à l'intrigue et au background) sont assez secondaires par rapport au visuel, à la progression personnelle (où on est directement impliqué) et au gameplay (interactif, donc plus stimulant, identifiant et "approprié" par le joueur/spectateur), ce qui marche dans ce contexte donc, ne passe vraiment, mais alors vraiment PAS à l'écran, qui a ses propres règles de récit, son propre mode de narration, d'identification et d'appropriation, et donc ses propres histoires: ici, même si on pourra critiquer la scénarisation et la narration autant qu'on voudra (et avec légitimité pleine et entière: c'est très raté), il est à mon sens plus pertinent de critiquer les fondamentaux.... Ce qui marche pour un jeu vidéo ne marche PAS pour un film. La trame même de l'histoire, une fois mise à l'écran et dans un récit qu'on ne consomme qu'en le regardant, ressort comme profondément stupide (et je ne parle pas de la nécessaire "suspension of disbelief" qui préside à tout récit de SF/fantasy: les éléments a-historiques, a-scientifiques, "magiques".... Sont acceptés comme préalable) et sans grande capacité à vous faire rentrer dans le trip dès lors qu'on ne peut pas focaliser son attention sur le fait de faire choisir et bouger soi-même les personnages. Enlevez cette possibilité, et il va bien falloir vous concentrer sur l'histoire, et là.... 

C'est plat, mélo façon ado alors que les persos sont creux et n'inspirent aucune sympathie ou identification, c'est sans intensité ou suspense.... Au final, chiant, sans objet, sans enjeux: comme un projet qu'on essaie d'annoncer pendant plus d'une heure et demie sans jamais avoir les moyens de commencer à le réaliser. Et alors même que beaucoup de blockbusters médiocres ou mauvais arrivent quand même à faire du fric (voire l'incompréhensible réussite de World of Warcraft.... Essentiellement en Chine), celui-là est en train de flopper grave. 

Modifié par Tancrède
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Le 28/12/2016 à 15:54, Tancrède a dit :

Bon, petite revue de Assassin's Creed: j'aime essayer d'être nuancé, mais il faut bien reconnaître les faits quand on ne peut les circonvenir ou en atténuer l'impact.... C'est tout caca. Moi qui attendais beaucoup, sans doute trop, de ce film (genre un "contre-modèle" à l'action à l'américaine, un autre genre de héros d'action....), je ne peux que confirmer le maintien de la malédiction des adaptations de jeux vidéos en films: ça n'a jamais donné que de la merde, ou, au mieux, au goût de certains et lors d'accidents, de la médiocrité. 

Les scènes d'action sont occasionnellement bonnes, voire acceptablement spectaculaires dans les moments voués à canaliser l'héritage visuel des jeux, et qui présentent ainsi des panoramas grandioses où des personnages se lancent dans les "figures imposées" des grands sauts improbables dans le vide, ou d'amusantes et stimulantes mais courtes phases de parkour en environnement urbain ou dans d'étroits intérieurs.... Mais ces scènes se noient dans le reste. Qui n'est pas bon. Du tout. Michael Fassbender est sous-employé et mal employé, tout comme Marion Cotillard, plus vouée à la mono-expression que jamais. Jeremy Irons est encore plus gaspillé, mais on est désormais si habitué à le voir en second couteau ou antagoniste dans des navets à gros budget (il doit vraiment avoir besoin de fric, ou de rester actif, pour s'être ainsi "gâché" depuis 15-20 ans) qu'on devrait avoir pour règle d'éviter les blockbusters l'employant ainsi en "justificatif" pour rehausser l'affiche (il a systématiquement mal choisi, je trouve). Les persos et leur caractérisation, leurs interactions et conflits, sont d'un niveau pré-ado confirmé, et d'une grande superficialité, d'une absence totale d'un quelconque signe de contenu, voire même du sentiment que quelque chose se passe quand ils se récitent leurs lignes de dialogues entre eux. 

Le scénario est, comment dire.... Fidèle à la série de jeux? Ce qui marche dans un jeu vidéo centré sur "me, myself and I", donc comme un booster d'ego centralisé sur la petite personne du joueur, et au final dans un contexte où l'importance de l'histoire de fond et de la réalité émotionnelle (ce à quoi on se rattache dans un récit, qui donne "corps" aux personnages, et par eux, à l'intrigue et au background) sont assez secondaires par rapport au visuel, à la progression personnelle (où on est directement impliqué) et au gameplay (interactif, donc plus stimulant, identifiant et "approprié" par le joueur/spectateur), ce qui marche dans ce contexte donc, ne passe vraiment, mais alors vraiment PAS à l'écran, qui a ses propres règles de récit, son propre mode de narration, d'identification et d'appropriation, et donc ses propres histoires: ici, même si on pourra critiquer la scénarisation et la narration autant qu'on voudra (et avec légitimité pleine et entière: c'est très raté), il est à mon sens plus pertinent de critiquer les fondamentaux.... Ce qui marche pour un jeu vidéo ne marche PAS pour un film. La trame même de l'histoire, une fois mise à l'écran et dans un récit qu'on ne consomme qu'en le regardant, ressort comme profondément stupide (et je ne parle pas de la nécessaire "suspension of disbelief" qui préside à tout récit de SF/fantasy: les éléments a-historiques, a-scientifiques, "magiques".... Sont acceptés comme préalable) et sans grande capacité à vous faire rentrer dans le trip dès lors qu'on ne peut pas focaliser son attention sur le fait de faire choisir et bouger soi-même les personnages. Enlevez cette possibilité, et il va bien falloir vous concentrer sur l'histoire, et là.... 

C'est plat, mélo façon ado alors que les persos sont creux et n'inspirent aucune sympathie ou identification, c'est sans intensité ou suspense.... Au final, chiant, sans objet, sans enjeux: comme un projet qu'on essaie d'annoncer pendant plus d'une heure et demie sans jamais avoir les moyens de commencer à le réaliser. Et alors même que beaucoup de blockbusters médiocres ou mauvais arrivent quand même à faire du fric (voire l'incompréhensible réussite de World of Warcraft.... Essentiellement en Chine), celui-là est en train de flopper grave. 

Tout cela n'est pas faux ! Bien au contraire. Ils ont sans doute voulu aller trop vite dans tout (scénario, techniques, tournage et musique à chier aussi ! :wacko:)
La malédiction des adaptions vidéoludiques au cinéma continue bel et bien, mais on aura vu pire.

Et bien que joueur depuis la première heure et grand fan de la série, j'ai tout de même passé un moment assez sympa !

Le 18/12/2016 à 00:10, Chronos a dit :

Les amateurs de SF devraient penser à aller voir Arrival, actuellement en salle.
 

Arrival est une très bonne surprise, et colle remarquablement bien à la nouvelle de Ted Chiang.
Pour une fois, la SF évolue et nous avons ici une façon différente de l'aborder. Cela change beaucoup des lasers dans l'espace.

Une très belle surprise au final

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  • 3 weeks later...
  • 2 weeks later...
Il y a 3 heures, Sovngard a dit :

On pourra dire ce que l'on veut mais, visuellement, c'est fidèle au film d'animation de 1995 ...et ça en jette !

C'est le minimum syndical attendu.

Personnellement, au niveau visuel, j'ai un peu du mal (notamment avec Batou) : il y a tellement peu d'éléments "réels" que je préfèrerais presque les images de synthèse ultra détaillées de type Appleseed Alpha.

Pour le scénario, pour être honnête, je pense qu'adapter un scénario complet du niveau Puppet Master (ou pire Standalone Complex) pour le grand public est hors de portée d'Hollywood (sauf en 3-4 heures). Donc j'accepte la réorientation apparente du scénario vers du Jason Bourne.

Soit dit en passant, il y a aussi une avant première au Grand Rex pour ce film : le 21 mars à 20h

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Le 14/02/2017 à 01:14, rogue0 a dit :

Pour le scénario, pour être honnête, je pense qu'adapter un scénario complet du niveau Puppet Master (ou pire Standalone Complex) pour le grand public est hors de portée d'Hollywood (sauf en 3-4 heures). Donc j'accepte la réorientation apparente du scénario vers du Jason Bourne

Moi justement pas trop, parce que JB ne me semble pas être l'essence du personnage de Motoko... Il y a beaucoup d'histoire à raconter, pourquoi se limiter aux arcs ultra connus : missions de la Section 9, histoires plus personnelles (comme on a pu le voir par exemple autour de Togusa, ou de la relation Bato/Major,... même Ishikawa et Sato ont eu des histoires partant de leur passé dans les films/DA),...

Je n'aime pas trop non plus quand elle utilise sa "peau caméléon", parce qu'au niveau forme ça fait plus combi que peau, et qu'on se retrouve avec ce syndrome américain "est ce que tu l'as fait?" pour la sexualisation du corps  (qui n'est clairement plus un corps cyborg de femme, mais une armature féminine robotisée pour les habits qu'elle portera). Le monde est par contre super chouette, mais on est en 2016/2017 sur un film à gros budget, donc pas de quoi pavoiser.

Après le truc que je n'aime toujours pas, c'est le visage de SJ... mais c'est perso. Il y avait plein d'actrices tout aussi "bankable", qu'elles soient européennes ou asiatiques... Et puis sa coupe, trop ridicule.

7669f4078a47a2d9552e5f83004d904514406748  ghost-in-the-shell-finds-director-but-wh (...)

 

 

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J'ai vue "tu ne tueras point" et autant j'ai adoré l'histoire autant je n'ai pas été emballé par la mise en scène de Gibson...

Et j'ai enfin vu Pacific Rim... c'est con mais c'est classe :bloblaugh:

la musique claque sévère !

 

Modifié par Conan le Barbare
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  • 2 weeks later...
  • 2 weeks later...

Rattrapage de films 2016 :

- 13 Hours : c'est effectivement du pur Michael Bay, avec les avantages et inconvénients habituels. Ce coup-ci, on nous évite une heure de romance à deux balles inutile et une heure de la vengeance du géant américain réveillé, ce qui rend le film assez digeste en fin de compte. Le film évite l'écueil politique de son sujet (Benghazi) mais est, sans surprise, un ode aux "opérateurs", la nouvelle élite à la mode : les civils sont nuls, les hauts gradés sont nuls, le chef de la base de la CIA est nul (et de ce côté il ne faut pas prendre le film pour une valeur documentaire), et les adversaires sont des zombies ambulants. Distrayant néanmoins, et ca faisait longtemps que je n'avais pas vu d'action visuellement bien léchée, que j'ai regardé plusieurs fois (chose rare).

- Patriots Day (Traque à Boston en VF) : film passé inaperçu sur les attentats du marathon de Boston. Là, on n'évite pas le pathos à deux balles, on nage franchement dedans. Même les Bostoniens ont eu du mal avec ce film sur une tragédie réelle tournée comme un blockbuster, c'est dire. Reste la description des évènements qui, si elle n'est pas toujours réaliste, m'a fait découvrir la violence de la fusillade de la police avec les terroristes (avec jet de bombes artisanales) et son chaos (le jeune a écrasé son grand frère qui était au sol lors de sa fuite, et il y a eu un cas de tir fratricide côté police, le genre de chose qu'on voit rarement au ciné). On peut facilement se passer de ce film.

Modifié par Rob1
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Le 31/03/2017 à 19:59, ascromis a dit :

Des SEAL, du M-84, du Transall, du MD520N, du MiG-21, du Lynx AH7, du CH-53 Sea Stallion..... Bref il y en as pour tous les goûts !

 

ça a l'air fun et décérébré !! je veux voir !!!!

Dans les trucs qui ne m'enchantaient guère, l'adaptation de GitS semble faire un gros four en ce moment. bien dommage parce que visuellement ça claquait bien (mais la bande annonce laissait entrevoir une histoire trop beurk)

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