Philippe Top-Force Posté(e) le 24 juillet 2009 Auteur Share Posté(e) le 24 juillet 2009 On va aussi dire à Lord Avery et à Orca, qu'il existe déjà un fil de discussion lancé en 2005. Sur le Seakeeper, il faudrait donc regrouper les 3 fils dans un seul et unique sujet. http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php/topic,2313.0.html ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 communiqué de DCNS DCNS, Thales et ECA sélectionnés par la DGA pour étudier l’utilisation des drones navals dans la lutte anti-mines La Délégation Générale pour l'Armement (DGA) a confié à DCNS, Thales et ECA une étude importante qui vise à réaliser, à horizon de 2011, un démonstrateur d'une nouvelle solution de lutte contre les mines nommée ESPADON*. Aujourd'hui, la lutte contre les mines est réalisée par des navires spécialisés dits « chasseurs de mines », mais pour pouvoir agir, ces navires sont amenés à exposer leur équipage au danger en pénétrant dans la zone minée. Les moyens de lutte contre les mines étant destinés à être renouvelés dans la prochaine décennie, DCNS, Thales et ECA ont proposé une solution faisant appel à des engins sans pilote, les drones. Ils permettront aux équipages de s'affranchir du danger. ESPADON est une solution qui se décompose en trois parties complémentaires. La première est un navire dédié à la lutte anti-mines, restant à distance de sécurité du champ de mines. Il déploie et contrôle à bonne distance un ensemble de deux embarcations autonomes, dits « drones de surface » constituant la deuxième partie. Ces drones sont programmés pour opérer dans le champ de mines et déployer des capteurs ou robots sous-marins formant ainsi la troisième composante de cette solution. Des engins sous-marins interviennent jusqu'au plus près des mines, permettent de les détecter et de les neutraliser. Leur mission accomplie, les engins rejoignent leurs embarcations autonomes qui, elles-mêmes, regagnent le bateau mère. Avec ESPADON, DCNS, Thales et ECA seront les premiers au monde à réaliser l'évaluation d'un drone de surface mettant lui-même en œuvre des drones sous-marins en grandeur réelle. Les études sont partagées entre les trois acteurs du projet qui permettent aux trois sociétés d'unir leurs expertises respectives dans la lutte contre les mines. DCNS est responsable de la conception de la plate-forme du drone de surface et de la caractérisation du bateau mère. DCNS est également mandataire de cette d'étude vis-à-vis de la DGA. Thales est responsable du drone de surface, équipé comme système de lutte contre les mines, du module de détection ainsi que de la classification et de la localisation des mines navales. Ce module est principalement basé sur la combinaison d'un sonar remorqué et d'un drone sous-marin. Par ailleurs, Thales est responsable de l'ensemble des communications mises en œuvre pour ce système. ECA est responsable de la conception et de la réalisation des véhicules autonomes sous-marins et de leur système de mise à l'eau et de récupération à partir du drone de surface ainsi que de la télé-opération du drone de surface. *ESPADON : Evaluation de Solutions Potentielles d'Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hip3rion Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 ESPADON : Evaluation de Solutions Potentielles d'Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales La capacité des militaires a trouver des acronymes me fascinera toujours... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 29 juillet 2009 Share Posté(e) le 29 juillet 2009 http://www.popsci.com/military-aviation-amp-space/article/2009-07/navy-gets-robot-game-submarine-deployed-drones In an oddly revealing interview, Rear Admiral Mark Kenny, the head of the Navy's irregular warfare operations, not only stated that the Navy's submarines have been equipped with unmanned vehicles, but even detailed which vehicles and how they are used. According to Kenny, four submarines, whose nuclear missiles had already been removed to make room for more conventional weapons and Navy SEAL deployment chambers, are now underway with both aquatic and aerial robots. In particular, Kenny singled out a torpedo-sized robot used for electronic eavesdropping; a small, 45-pound UAV that may one day carry weapons like its larger cousins; and an ultralight 15-pound UAV that relays video and radio traffic back to a command center aboard the sub. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 11 août 2009 Share Posté(e) le 11 août 2009 DCNS, Thales et ECA ont été sélectionnés par la Délégation Générale pour l'Armement (DGA) afin d'étudier l'utilisation des drones navals dans la lutte anti-mines. Cette étude vise à réaliser, d'ici 2011, le démonstrateur d'une nouvelle solution de lutte contre les mines nommée ESPADON (Evaluation de Solutions Potentielles d'Automatisation de Déminage pour les Opérations Navales). L'emploi de drone dans la guerre des mines doit, notamment, permettre de moins exposer les équipages des bâtiments spécialisés actuels, qui sont amenés à pénétrer dans les zones minées. Dans le cadre du renouvellement de cette capacité stratégique de la Marine nationale, prévu dans le courant de la prochaine décennie, DCNS et ECA proposent une solution faisant appel à des engins sans pilote, les drones, permettant aux marins de s'affranchir du danger. ESPADON est une solution qui se décompose en trois parties complémentaires. La première est un navire dédié à la lutte anti-mines, restant à distance de sécurité du champ de mines. Il déploie et contrôle à bonne distance un ensemble de deux embarcations autonomes, des drones de surface, constituant la deuxième segment. Ces drones sont programmés pour opérer dans le champ de mines et déployer des capteurs ou robots sous-marins formant ainsi la troisième composante de cette solution. Des engins sous-marins interviennent jusqu'au plus près des mines, permettent de les détecter et de les neutraliser. Leur mission accomplie, les engins rejoignent leurs embarcations autonomes qui, elles-mêmes, regagnent le « bateau mère ». Avec ESPADON, DCNS, Thales et ECA seront les premiers au monde à réaliser l'évaluation d'un drone de surface mettant lui-même en oeuvre des drones sous-marins en grandeur réelle, soulignent les trois partenaires. Aujourd'hui, la lutte contre les mines est réalisée par des navires spécialisés dits « chasseurs de mines », mais pour pouvoir agir, ces navires sont amenés à exposer leur équipage au danger en pénétrant dans la zone minée. Les études sont partagées entre les trois acteurs du projet qui permettent aux trois sociétés d'unir leurs expertises respectives dans la lutte contre les mines : - DCNS est responsable de la conception de la plate-forme du drone de surface et de la caractérisation du bateau mère, qui devrait reprendre le concept "Eco-Ship" de DCNS. La société est également mandataire de cette d'étude vis-à-vis de la DGA. - Thales est responsable du drone de surface, équipé comme système de lutte contre les mines, du module de détection ainsi que de la classification et de la localisation des mines navales. Ce module est principalement basé sur la combinaison d'un sonar remorqué et d'un drone sous-marin. Par ailleurs, Thales est responsable de l'ensemble des communications mises en œuvre pour ce système. - ECA est responsable de la conception et de la réalisation des véhicules autonomes sous-marins et de leur système de mise à l'eau et de récupération à partir du drone de surface ainsi que de la télé-opération du drone de surface. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 17 août 2009 Share Posté(e) le 17 août 2009 Aeroart conçoit les drones du futur Ils sont six. Six jeunes ingénieurs en aéronautique partis achever leurs études en Floride. Là-bas, la proximité de cap Canaveral leur donne une idée, qu'ils s'empressent de mettre en pratique sitôt de retour à Bordeaux : être les premiers au monde à élaborer un drone submersible. Autrement dit : un engin piloté à distance, capable d'évoluer à la fois dans les airs et sous l'eau. Baptisé Aelius, l'engin est breveté en 2005 et les six ingénieurs donnent naissance à leur entreprise, Aeroart. Mais le marché n'est alors pas assez mûr pour passer à l'industrialisation. « Nous travaillons donc sur d'autres projets afin d'obtenir une reconnaissance industrielle », indique Serge Versillé, l'un des six associés d'Aeroart. Après avoir obtenu différents soutiens à l'innovation et levé des fonds auprès d'un industriel de l'aéronautique, Aeroart a donc créé différents modèles de drones. Parmi lesquels Seagnos, un drone hydravion destiné au marché de l'observation et de la surveillance maritimes, et Aves, un drone tactique léger qui offre une solution aux missions de reconnaissance, notamment dans le domaine militaire. « Aves peut aussi être configuré pour offrir une plate-forme de test aux industriels qui veulent expérimenter leurs systèmes embarqués », précise Serge Versill http://www.lepoint.fr/actualites-region/2009-05-14/bordeaux-innnovation-ces-entreprises-qui-inventent-demain/1556/0/343613 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 17 août 2009 Share Posté(e) le 17 août 2009 Aeroart conçoit les drones du futur Ils sont six. Six jeunes ingénieurs en aéronautique partis achever leurs études en Floride. Là-bas, la proximité de cap Canaveral leur donne une idée, qu'ils s'empressent de mettre en pratique sitôt de retour à Bordeaux : être les premiers au monde à élaborer un drone submersible. Autrement dit : un engin piloté à distance, capable d'évoluer à la fois dans les airs et sous l'eau. Baptisé Aelius, l'engin est breveté en 2005 et les six ingénieurs donnent naissance à leur entreprise, Aeroart. Mais le marché n'est alors pas assez mûr pour passer à l'industrialisation. « Nous travaillons donc sur d'autres projets afin d'obtenir une reconnaissance industrielle », indique Serge Versillé, l'un des six associés d'Aeroart. Après avoir obtenu différents soutiens à l'innovation et levé des fonds auprès d'un industriel de l'aéronautique, Aeroart a donc créé différents modèles de drones. Parmi lesquels Seagnos, un drone hydravion destiné au marché de l'observation et de la surveillance maritimes, et Aves, un drone tactique léger qui offre une solution aux missions de reconnaissance, notamment dans le domaine militaire. « Aves peut aussi être configuré pour offrir une plate-forme de test aux industriels qui veulent expérimenter leurs systèmes embarqués », précise Serge Versill http://www.lepoint.fr/actualites-region/2009-05-14/bordeaux-innnovation-ces-entreprises-qui-inventent-demain/1556/0/343613 Le seagnos pourrait ainsi être récupére comme l'hydravion des croiseurs voire mis à l'eau à partir du radier d'un BPC - le 250 semblerait rentrer. Tout ceci permettrait d'avoir une surveillance lointaine et persistante supérieure à tous les drones hélos, sauf l'A-160 Hummingbird. Mais quelle est la tenue à la mer ? Rares sont les hydravions tenant à plus de Force 4...et je me demande si les canards du seagnos y contribuent... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fool Posté(e) le 17 août 2009 Share Posté(e) le 17 août 2009 Rares sont les hydravions tenant à plus de Force 4...et je me demande si les canards du seagnos y contribuent... je ne pense pas , les canards c'est un choix aero censé pour un drône a l'autonomie optimisée au max ; la formule catamaran peut peut etre aider mais une mer 4 j'ai des doutes surtout pour le decollage ....... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 août 2009 Share Posté(e) le 18 août 2009 je ne pense pas , les canards c'est un choix aero censé pour un drône a l'autonomie optimisée au max ; la formule catamaran peut peut etre aider mais une mer 4 j'ai des doutes surtout pour le decollage ....... Le probleme des hydravion ce sont les vitesse atteinte en surface qui sont dans le haut de la fourchette des navire rapide. A par les systeme perce vague ou des tres gros hydravion je vois mal comment passer a +60kts des creux de +3m. Je ne sais pas si les ekranoplane arrive a réduire la vitesse de reprise de contact mais je ne pense pas qu'ils arrive a reste en l'air a moins de 30kts ? Le Beriev A-40 par exemple se limite a des creux de 2.5m je crois, le Beriev 200 plus petit se limite lui a des creux de 1.5m. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 6 septembre 2009 Share Posté(e) le 6 septembre 2009 Des aerostat pour navire http://www.tcomlp.com/innovations.html The 32M® Specifications: LOW OPERATIONAL COSTS AND MAINTENANCE A minimum crew of three people required PROVEN DURABILITY Proven reliability in up to 50 knot winds. WIDE AREA COVERAGE Up to 50,000 square kilometers QUICK DEPLOYMENT The 32M® aerostat system is self-contained and may be easily transported and rapidly deployed for immediate service FIBER OPTIC POWER TETHER Eliminates onboard power generator and provides secure wideband data links VERSATILE MOORING SYSTEM Easily mounted on a land based vehicle or sea based platform Payload Weight 275 kg / 600 lbs Nominal Altitude 900 m / 3000 ft Available Payload Power 5.5 kVA Flight Duration 14 days Wind Speeds Operational-50 kts / Survival-70 kts Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 7 septembre 2009 Share Posté(e) le 7 septembre 2009 Comme dirait Philippe, j'ai déjà apposé cette hypothèse il y a de nombreux mois... ;)cela permettrait d'avoir de l'AEW pour pas cher...Mais par contre je m'interroge sur le risque de signaler la présence de la flotte en dessous du ballon...(à moins qu'on puisse le camoufler avec de la bruine ?) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 7 septembre 2009 Share Posté(e) le 7 septembre 2009 Comme dirait Philippe, j'ai déjà apposé cette hypothèse il y a de nombreux mois... ;) cela permettrait d'avoir de l'AEW pour pas cher... Mais par contre je m'interroge sur le risque de signaler la présence de la flotte en dessous du ballon... (à moins qu'on puisse le camoufler avec de la bruine ?) L'enveloppe peut etre translucide au besoin ... de plus je doute que blanc/gris sur ciel soit visible de loin. Quand a la signature Ir elle doit etre quasi nulle y a pas de source de chaleur a bord a par l'electronique de la charge utile. La signature EM pareil ... un ballon de beaudruche en synthétique doit par renvoyer grand chose ... y a juste la charge utile a traiter. A mon avis le radar de veille du porteur est plus "visible" que le ballon. J'avais évoqué cette solution lors du débat sur le radar des FREMM trop bas ... et donc sur celui des FREDA trop bas. Visiblement c'est exactement cette solution qui est retenu par les US pour de l'early warning sans E2, avec la capacité a accrocher du missile de croisiere a plus de 100km, ca laisserai de la marge pour mettre en oeuvre des contre mesure, en gros 6 minutes sur un subsonique - bien plus que le temps qu'il n'en faut pour passer de arret complet des systeme a des systeme pret au tir - et 2 a 3 minute pour un haut supersonique - ce qui laisse la aussi largement le temps de passer de standby au tir -. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 9 septembre 2009 Share Posté(e) le 9 septembre 2009 Visiblement c'est exactement cette solution qui est retenu par les US pour de l'early warning sans E2, avec la capacité a accrocher du missile de croisiere a plus de 100km, ca laisserai de la marge pour mettre en oeuvre des contre mesure, en gros 6 minutes sur un subsonique - bien plus que le temps qu'il n'en faut pour passer de arret complet des systeme a des systeme pret au tir - et 2 a 3 minute pour un haut supersonique - ce qui laisse la aussi largement le temps de passer de standby au tir -. Tu as un lien pour l'utilisation E-2 like sur navire ? J'avais surtout vu à terre jusqu'à présent ??? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 9 septembre 2009 Share Posté(e) le 9 septembre 2009 Tu as un lien pour l'utilisation E-2 like sur navire ? J'avais surtout vu à terre jusqu'à présent ??? Pour le moment JLENS est prévu pour etre déployé a terre mais la navy est toujours partie prenante du projet et envisage toujours le systeme pour la veille maritime. http://www.defenseindustrydaily.com/return-of-the-navy-blimps-03093/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 10 septembre 2009 Share Posté(e) le 10 septembre 2009 En Israel ils utilisent ponctuellement des ballons captifs pour faire de la surveillance. Je me souviens en avoir vu pres de Gaza et a Dimona.celui de Dimona est visible sur Google Earth : 30.971751° N 35.073990° E Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 février 2010 Share Posté(e) le 3 février 2010 The brainiacs at the Pentagon’s Defense Advanced Research Projects Agency have an idea for a robotic frigate that could autonomously hunt down and follow super-quiet diesel-electric submarines. The Anti-Submarine Warfare Continuous Trail Unmanned Vessel, or “ACTUV,” is “an X-ship founded on the assumption that no person steps aboard at any point in its operating cycle,” according to The Register. Robot warships are not far off. Small Unmanned Surface Vehicles are already in use in Israel — see the video above. But they’re no replacement for manned vessels. The Register proposes that the Royal Navy replace its manned frigates with robotic versions, as a cost-saving measure. “The only thing frigates really do which couldn’t be done better by a robot is give show-the-flag cocktail parties in foreign ports.” Not so. The consensus among defense thinkers and naval leaders is that most surface vessels actually need more people, not fewer. Naval robots might be great for big wars with big powers, but we rarely fight those. For everyday maritime security missions — drug patrols, pirate defense, blockades — the only way to search suspicious boats is to send out manpower-intensive boarding parties. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 3 février 2010 Share Posté(e) le 3 février 2010 Pour le moment JLENS est prévu pour etre déployé a terre mais la navy est toujours partie prenante du projet et envisage toujours le systeme pour la veille maritime. http://www.defenseindustrydaily.com/return-of-the-navy-blimps-03093/ ce qui est intéressant dans ce projet: "Aerostats will not replace naval surveillance aircraft. Their tethered nature creates substantial drag when moving at speed, and keeping them aloft at altitude becomes difficult in those circumstances. High winds and thunderstorms can ground them, in situations where aircraft could still fly. They also have rather large radar reflections, which can compromise task force stealth." d'ou une utilisation stationnaire, en piquet Mais ce projet cite dans cette reference envisage un ballon adapte aux vents forts De plus ces ballons resistent a des vents de 70kts dans mon souvenir: par curiosité j'aimerais bien connaitre la force de vent associée a une mer de force 5 ? Car c'est la limite d'operabilité des E-2 des PA : Ce tableau donne les correspondances entre échelle de force de mer (douglas) et de force de vent (Beaufort) http://www.mycl.lu/docs/almanach_bestof/tableau_iii_douglas_beaufort.pdf bref a peine une vingtaine Noeuds... Reste plus qu'a avoir une enveloppe stealth et une forme compatible avecun remorquage a 20 kts... Pas insurmontable Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 février 2010 Share Posté(e) le 3 février 2010 De plus ces ballons resistent a des vents de 70kts dans mon souvenir: par curiosité j'aimerais bien connaitre la force de vent associée a une mer de force 5 ? Y a pas de lien entre l'état de la mer et le vent local. La grosse houle peut venir te tres loin. De plus le vent sol et le vent en altitude sont assez variable. Apres ca dépend des régions et des saison, m'enfin 70kts ca commence a faire ... et avec des vent dans le genre y a pas mal d'opération impossible en mer, y compris aéro. Seule les patmar basé a terre sont encore libre de voler je suppose. 50kts de vent c'est fort coup de vent soit +9 beaufort ... ca creuse au minimum 7m, soit mer grosse a tres grosse, "force 7 a 8". Seule les sous marin sont a l'aise dans ces conditions :) 70kts en surface c'est 12 beaufort, ca creuse plus de 15m, soit "force 9"... Même les gros bateau n'aime pas ça du tout. Franchement en général au dela de 9 beaufort on évite de trainer dans le coin si possible... je pense pas que la limitation a 50kts/70kts soit vraiment problématique. Les avions on le loisir de voler au dessus du mauvais temps et peuvent etre moins affecté a condition qu'il décolle d'une zone plus calme, en contrepartie ils n'ont pas la persistance de plus de 15j pour un coût dérisoire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 3 février 2010 Share Posté(e) le 3 février 2010 "A condition que l'avion decolle"Ainsi en condition de vents forts les capacités d'un E2-C de passer au dessus du mauvais temps ne pourront pas s'appliquer.Donc du point de vue des limitations météo il n'y aura pas de gain avec la solution avion... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 3 février 2010 Share Posté(e) le 3 février 2010 "A condition que l'avion decolle" Ainsi en condition de vents forts les capacités d'un E2-C de passer au dessus du mauvais temps ne pourront pas s'appliquer. Donc du point de vue des limitations météo il n'y aura pas de gain avec la solution avion... C'est pas tant un probleme de vent mais d'état de la mer ... la limite est autour de 7m de creux même pour les gros navire, au dela les variation de pente et de hauteur de la piste rendent les décollage et atterrissage délicat. A partir d'un PA ... non. Mais il reste la solution des E-3 basé a terre et des P-8. En général les commandant s'arrange pour éviter cette situation en temps de guerre, de maniere a conserver une couverture aérienne. De plus les marines n'aime pas le gros temps plus que ca, donc si y a moyen de contourner na dépression on le fait. De toute façon au dela de force 6, c'est dangereux, y a plus grand chose qui marche bien, ni les moyen d'autodéfense ASM - VDS, traine sonar qui ne sont plus manipulable - , ni les moyen de detection aéroporté ... donc on évite de s'y mettre quand une menace rode, sauf si on est sur d'avoir une couverture extérieure. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 5 juin 2010 Share Posté(e) le 5 juin 2010 Des aerostat pour navire http://www.tcomlp.com/innovations.html The 32M® Specifications: LOW OPERATIONAL COSTS AND MAINTENANCE A minimum crew of three people required PROVEN DURABILITY Proven reliability in up to 50 knot winds. WIDE AREA COVERAGE Up to 50,000 square kilometers QUICK DEPLOYMENT The 32M® aerostat system is self-contained and may be easily transported and rapidly deployed for immediate service FIBER OPTIC POWER TETHER Eliminates onboard power generator and provides secure wideband data links VERSATILE MOORING SYSTEM Easily mounted on a land based vehicle or sea based platform Payload Weight 275 kg / 600 lbs Nominal Altitude 900 m / 3000 ft Available Payload Power 5.5 kVA Flight Duration 14 days Wind Speeds Operational-50 kts / Survival-70 kts 70 kts de vent c'est pas mal comme survivabilité Comme il disent sur leur site : "The 32M® Aerostat Provides a Stable Platform For One or More of the Following Payloads: * Radar Surveillance * Passive Electronics & Communications Surveillance * Electro-optical/Infrared Camera Surveillance * Communications Relay / Networking" C'est probablement le meilleur rapport qualité -prix pour regarder de manière persistante "over the horizon"... Je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'aurait donné toutes les simulations de portée des FAA et missiles antiaériens que Philippe nous a posté si on avait inclu un ballon avec Radar dans la discussion. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 13 juin 2010 Share Posté(e) le 13 juin 2010 Pour sortir du HS : le PIRANHA un drone surface de 16 m de long sur 3 m de large aux capacités multiples : de la SAR à l'Antipiraterie en passant par l'ASuW ou l'ASW... http://www.piranhausv.com/gallery.html#1 http://www.piranhausv.com/gallery.html#1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 13 juin 2010 Share Posté(e) le 13 juin 2010 Le pdf du master plan de l'US navy concernant les UUV :www.navy.mil/navydata/technology/uuvmp.pdfet si cela en intéresse certains :Le congrès sur lesUUV... à Southampton en Sept 2010... :oops:http://www.uuvs.net/page.cfm/Link=1/t=m/goSection=1Et sinon un article avec pas mal de vidéos sur les UUV :Video: Unmanned underwater vehicles take advantage of advanced sensors and processors for navigation and artificial intelligencehttp://www.militaryaerospace.com/index/display/article-display/336352/articles/military-aerospace-electronics/exclusive-content/video-unmanned-underwater-vehicles-take-advantage-of-advanced-sensors-and-processors-for-navigation-and-artificial-intelligence.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) le 11 juillet 2010 Share Posté(e) le 11 juillet 2010 signalé par un lecteur : un autre type d'arme, étudiée par les Russes : les sous-marins porteurs d'hélicoptères drones, lâchés en nombre depuis le fond, dans des containers. Plus malin que les missiles de croisière. Moins rapides, mais plus silencieux. Se prêtant à des attaques sur des objectifs côtiers. Porteurs de .. quoi ? .... On voit mal comment ces hélicoptères pourraient être récupérés par le sous-marin à l'issue de leur mission. Il leur faudrait se reposer sur leur plate-forme flottante, redescendre prendre leur place à l'aide d'un ascenseur. Puis cette plateforme devrait à son tour s'immerger, accoster le sous marin, y reprendre sa place. Tout cela ne tient pas debout. On ne voit qu'une version " drones pour attaque sous un faible rayon d'action : attaque côtière ". Un hélicoptère ne peut guère emporter de charges conventionnelles lourdes, comme des bombes. Alors des ... charges nucléaires ? A Moins qu'il ne s'agisse de la reprise de la vieille idée japonaise : l'emport de charges bactériologiques. Se rappeler qu'après la chute du mur de Berlin et les sévères limitations imposées à son arsenal thermonucléaire, l'ex-union soviétique développa à un rythme élevé des armes dissuasives bactériologiques. http://www.jp-petit.org/dangers/Armes_bacterio/armes_bacterio.htm#30_5_10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 11 juillet 2010 Share Posté(e) le 11 juillet 2010 Une dissuasion se doit d'être connue pour être efficace alors qu'ici, tout est vraiment secret.Puis des drones/hélicoptère suicide chargé de produits chimique (le biologie ne nécessite pas autant de moyens, une équipe de Spetnatz avec des souches virulentes dans des aéroports est bien plus efficace!), c'est limite/limite.C'est lent et vulnérable à la fois.Autant déployer un Oscar II avec des missiles de croisière épandeur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant