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hadriel

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Il y a 1 heure, zx a dit :

des trucs intéressant à lire dans ce rapport parlementaire de 2017, concernant le spatial français et de sa défense

http://www2.assemblee-nationale.fr/documents/notice/15/budget/plf2018/a0277-tII/(index)/avis

l'un des projets en réflexion, mais on devrait bientôt en avoir besoin.

– le projet de navette spatiale sub-orbitale à corps portant sans équipage, le Véhicule Hypersonique Réutilisable Aéroporté (VEHRA) de Dassault Aviation, dérivé du X-38 de la NASA auquel Dassault avait collaboré ;

 

C'est Bizarre, VEHRA c'est un ancien projet avec Dassault. Je pensais que c’était mort et enterre depuis longtemps.

Mais visiblement non:

http://www.opex360.com/2018/03/11/dassault-aviation-sinteresse-de-pres-aux-mini-lanceurs-spatiaux/

 

Un document de 2006 qui parle du projet :

http://www.hobbyspace.com/AAdmin/archive/RLV/2006/IAC-06-E3.4.07-Vehra-ACE.pdf

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Vehra est dans les cartons, mais il faut des sous,  malheureusement, il est de plus en plus nécessaire d'avoir un drone équivalent a la navette automatisée X37, car elle offre un ensemble de mission qu'on ne peut pas faire autrement pour sécuriser et surveiller l'activité de nos satellite, pour de longues missions, 1 an.   avoir un lanceur, des sat, des observatoires, ne suffit plus. il faut un outil qui puisse patrouiller, dissuader, surveiller et protéger, réparer, ravitailler, autres, et avoir un accès à l'espace. ce qui était autrefois une option devient de plus en plus une nécessité.  parce que ca bouge beaucoup en face, d'un côté comme de l'autre.

VEHRA est un projet qui  revient de loin, mais on a le choix entre un projet militaire sur la base du XIV européen ou  français avec VEHRA vu qu'on a pas defense européenne en tant que tel.

vu la difficulté a faire des drones européens. va falloir le faire nous même en commençant par le démonstrateur, mais là ou je suis pas d'accord c'est de s'en servir pour lancer des sat, le X37B semble faire beaucoup d'autres choses,  avec sa soute, il peut avoir les équipements pour sniffer, observer, détecter, mettre des nano sat et les récupèrer, avoir un bras pour ravitailler ou réparer, ou placer des système d'écoute de données sur des sat "hostile", etc.. 1 an en orbite, on peut en faire des choses. on peut aussi l'équiper d'un lanceur de missile nucléaire, d'un laser anti sat, de brouilleurs. on a du  créer la cyberdefense pour répondre aux nouvelles menaces. va falloir compléter.

VEHRA « Light » (10 t) : démonstrateur technologique ;
VEHRA « Medium » (30 t) : pour placer de petits satellites (250 kg) en orbite basse ;
VEHRA « Heavy » (200 t) : pour le lancement de 7 t en orbite basse ;

 

Modifié par zx
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Il y a 1 heure, zx a dit :

Vehra est dans les cartons, mais ils faut des sous,  malheureusement, il est de plus en plus nécessaire d'avoir un drone équivalent a la navette automatisée X37, car elle offre un ensemble de mission qu'on ne peut pas faire autrement pour sécuriser et surveiller l'activité de nos satellite, pour de longues missions, 1 an.   avoir un lanceur, des sat, des observatoires, ne suffit plus. il faut un outil qui puisse patrouiller, dissuader, surveiller et protéger, réparer, ravitailler, autres, et avoir un accès à l'espace. ce qui était autrefois une option devient de plus en plus une nécessité.  parce que ca bouge beaucoup en face, d'un côté comme de l'autre.

VEHRA est un projet qui  revient de loin, mais on a le choix entre un projet militaire sur la base du XIV européen ou  français avec VEHRA

vu la difficulté a faire des drones européens. va falloir le faire nous même en commençant par le démonstrateur, mais là ou je suis pas d'accord c'est de s'en servir pour lancer des sat, le X37B semble faire beaucoup d'autres choses,  avec sa soute, il peut avoir les équipements pour sniffer, observer, détecter, mettre des nano sat et les récupèrer, avoir un bras pour ravitailler ou réparer, ou placer des système d'écoute de données sur des sat "hostile", etc.. 1 an en orbite, on peut en faire des choses. on peut aussi l'équiper d'un lanceur de missile nucléaire, d'un laser anti sat, de brouilleurs. nous on ne peut pas faire grand chose.

VEHRA « Light » (10 t) : démonstrateur technologique ;
VEHRA « Medium » (30 t) : pour placer de petits satellites (250 kg) en orbite basse ;
VEHRA « Heavy » (200 t) : pour le lancement de 7 t en orbite basse ;

Moi la question que je me pose déjà c'est quel est le statut de ce programme. Je croyais qu'il était abandonne mais visiblement non. Du coup si le programme est toujours la quel est l'objectif et ont-ils prévu de faire un démonstrateur ?

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Moi aussi,  mais il semble revenu dans les réflexions sur l'avenir du spatial , idem pour le projet EOLE. le projet du micro lanceur MLA, le projet ADELINE, la poursuite du projet spirale. ca date d'octobre 2017

Ma question est combien coûterait un démonstrateur vehra à financer ? mais j'ai bien peur que cela restera dans les cartons

Il visiblement une réflexion concernant le vehra et d'autres projet, ca dépendra des partenariat avec l'europe.

Citation

 

IV. DES PERSPECTIVES POUR L’AVENIR

A. EN MATIÈRE DE LANCEUR

Comme l’arrivée d’Ariane en 1979 avait modifié la donne vis-à-vis de la NASA, celle des lanceurs privés offrant des tarifs inférieurs à ceux pratiqués par les opérateurs historiques oblige à une remise en question. Le ou les nouveaux lanceurs ne seront toutefois pas opérationnels avant 2025 ou 2030. Dans l’intervalle des évolutions du lanceur léger VEGA (Vettore Europeo di Generazione Avanzata) de l’ESA et Avio, devraient permettre de s’adapter au contexte concurrentiel.

Il sera également nécessaire d’envisager l’après-Ariane 6 et de poursuivre le programme Prometheus portant sur une motorisation oxygène liquide-méthane, projet mené par le CNES et ArianeGroup.

Bien qu’Ariane 6 mobilise, à raison, les budgets de l’ESA il est indispensable de soutenir jusqu’au stade du démonstrateur, pour partie par des financements publics, des projets de lanceurs bas coût. Les projets sont nombreux et la liste ci-dessous ne prétend pas à l’exhaustivité :

– le programme de véhicule spatial réutilisable Callisto, conduit par le CNES avec la JAXA japonaise et, peut-être, le DLR allemand ;

– le projet européen, dans le cadre du programme Horizon H2020, de système de lancement spatial de petits satellites ALTAIR (Air Launch space Transportation using an Automated aircraft and an Innovative Rocket), coordonné par l’ONERA en collaboration avec le CNES, propose un système de lancement aéroporté. Le porteur est un avion automatisé réutilisable qui largue en altitude un lanceur consommable ;

– le démonstrateur EOLE d’un système de lancement aéroporté, automatisé et réutilisable pour la mise en orbite de nano-satellites sous la maîtrise d’œuvre de l’ONERA qui contribuera au projet ALTAIR ;

– le concept de micro-lanceur aéroporté (MLA) sous Rafale, pour placer des petits satellites en orbite basse. Une étude se poursuit depuis fin 2004 chez Dassault Aviation dans le cadre d’un contrat avec le CNES. Pour mémoire, le seul lanceur orbital aéroporté en fonction actuellement est le Pegasus, développé par Orbital Sciences, tiré depuis un gros porteur ;

– le projet de navette spatiale sub-orbitale à corps portant sans équipage, le Véhicule Hypersonique Réutilisable Aéroporté (VEHRA) de Dassault Aviation, dérivé du X-38 de la NASA auquel Dassault avait collaboré ;

– et enfin, le projet ADELINE (Advanced Expendable Launcher with Innovative Engine Economy) de lanceur réutilisable d’ArianeGroup pourrait consister à réutiliser les deux étages principaux d’Ariane.

B. DES REMORQUEURS SPATIAUX OU SPACE TUGS

Airbus étudie actuellement un projet baptisé Space Tug, une sorte de navette électrique multi-usages, le « couteau suisse de l’espace », selon l’expression d’Airbus, qui pourrait remplir diverses fonctions : placer des satellites en orbite depuis l’espace, réparer, ravitailler, désorbiter un satellite. Placé sur une orbite d’attente, le véhicule pourrait recevoir d’un lanceur le satellite à mettre en orbite et revenir ensuite en position d’attente du prochain satellite.

L’idée n’est pas nouvelle et des projets similaires sont à l’étude sans avoir été concrétisés jusqu’à présent. Il pourrait s’agir d’une solution intéressante pour le traitement des débris spatiaux.

C. L’ALERTE AVANCÉE

Le contexte international particulièrement tendu plaide pour l’acquisition de cette capacité pour laquelle deux démonstrateurs SPIRALE (Système préparatoire infrarouge pour l’alerte) avaient donné d’excellents résultats. L’expérience ne s’était pas poursuivie faute des moyens adéquats et de décision politique en ce sens.

La rapporteure pour avis estime que ce projet a vocation à être partagé avec plusieurs pays européens et pourrait virtuellement être éligible à un cofinancement issu du futur fonds européen pour la défense de l’Union européenne. Il serait toutefois souhaitable de relancer ce développement sans attendre.

 

 

Modifié par zx
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Niveau lanceurs Vega C devrait être bien placée pour mettre en orbite des constellations de smallsat. Du coup les diverses projets aéroportés n'ont pas beaucoup d'intérêt au niveau européen, à part pour lancer un unique smallsat de démonstration, ou une constellation de cubesats.

L'alerte avancée infrarouge depuis Spirale c'est un serpent de mer,  ça revient à chaque PLF mais c'est jamais financé. On a construit un huitième de radar d'alerte longue portée mais c'est tout.

 

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Pourquoi la démocratisation de l'espace inquiète l'armée

https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/0302158667614-pourquoi-la-democratisation-de-lespace-inquiete-larmee-2200160.php

si pb d'accès

 

La baisse des coûts de l'accès à l'espace donne des sueurs froides aux militaires. Elle accroît le risque d'actes d'espionnage, de brouillage, voire de sabotage.

Il y a des démocratisations qui posent question. Pour les militaires, celle de l'accès à l'espace est une rupture technologique et stratégique majeure, qui impose une réponse. Dans une étude publiée début août, le bureau Euroconsult recense 50 projets de constellations de petits satellites et pas moins de 30 projets de mini-lanceurs. Or l'espace est un véritable far-west. Le traité de 1967 interdit l'envoi d'armes de destructions massives dans la couche extra-atmosphérique, mais ne dit rien sur son utilisation.

Or, plus il y a de satellites, plus les risques d'accidents augmentent, ce qui va nécessiter plus de surveillance et la création de règles. En 2007, le tir antisatellite mené par les Chinois sur Fengyun 1C, un de leurs vieux satellites météo, a provoqué des milliers de débris, de même que la collision en 2009 entre les satellites Iridium 3 et Kosmos 2251. « On est à l'aube d'une révolution : le trafic spatial va avoir besoin de nouvelles réglementations et des accords internationaux, comme cela a eu lieu au fur et à mesure du développement du trafic aérien », prédit Christine Francillon chez ArianeGroup.

La gestion des débris devient primordiale

Signe de cette révolution, le président Donald Trump vient de transférer la responsabilité du catalogue des objets spatiaux du ministère de la Défense à celui du Commerce... En vue d'une prochaine commercialisation de ce service public ? Avec la multiplication des projets spatiaux, la gestion des débris devient primordiale. C'est l'un des principaux défis posés à Airbus et ses partenaires dans le projet de la constellation OneWeb destiné à délivrer un service d'accès au web partout sur le globe. Si certains satellites tombent en panne, comment éviter qu'ils polluent toute l'orbite de la constellation ?

Dégrader un service

Débris, protection des satellites, surveillance accrue des rentrées atmosphériques, la démocratisation de l'espace remet aussi en jeu la frontière entre ses usages civils et militaires. « Qui dit ravitaillement dans l'espace, dit que potentiellement, on peut dégrader le service d'un satellite cible », souligne Thierry Cattaneo, commandant du Centre opérationnel de surveillance militaire des objets spatiaux(COSMOS), en évoquant les projets de capsules et autres engins destinés à réparer un satellite à des milliers de kilomètres de la terre ou à le réapprovisionner en carburant.

A cette distance, comment distinguer une approche amicale d'un acte d'espionnage, de brouillage, voire de sabotage ? Face aux menaces environnementales, avec la multiplication des débris, comme aux menaces intentionnelles, la surveillance de l'espace devient un enjeu majeur.

Modifié par zx
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Le 20/08/2018 à 02:24, rogue0 a dit :

L'article de Thedrive cite quand même l'existence du X-37 et autres satellites "d'inspection" US... sans parler  de la Space Force nouvellement annoncée.

J'avais lu un article il y a quelques temps sur ce genre de sujet, au cas où vous l'auriez manqué : http://www.thespacereview.com/article/2839/1

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  • 1 month later...
Il y a 15 heures, Rob1 a dit :

Un topic d'un type qui a trouvé comment utiliser l'imagerie radar grand public pour localiser des antennes d'une certaine bande, notamment celles des radars de SAM Patriot : https://medium.com/@HarelDan/x-marks-the-spot-579cdb1f534b

J'aime beaucoup le [REDACTED] quand vient le moment de montrer une image d'une implantation de patriot israéliens. :laugh:

Il y en a qui veillent au grain mieux que d'autres on dirait.

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Il y a 4 heures, Patrick a dit :

J'aime beaucoup le [REDACTED] quand vient le moment de montrer une image d'une implantation de patriot israéliens. :laugh:

L'auteur est israélien, et je crois que dans ce pays les autorités ont l'habitude d'imposer aux médias le secret-défense sur des infos pourtant publiques dans le reste du monde.

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Il y a 23 heures, collectionneur a dit :

Peut on en théorie pouvoir utilisé cette méthode pour toutes les bandes radar ?

Il faut que la bande de l'antenne corresponde à celle du radar d'imagerie sur le satellite, donc on est limité par la gamme de radars satellisés.

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  • 2 weeks later...
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Le 08/11/2018 à 21:39, hadriel a dit :

CSO #1 est arrivé à Kourou:

 

CSO sera lancé demain, assez ironiquement par une fusée Soyouz.

Bon, après, étant lancé de Kourou, je suppose que tous les techniciens pour la préparation du lancement / charge utile sont français et habilités SD

https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/18/la-france-lance-son-nouveau-satellite-d-imagerie-militaire_5399231_3210.html

 

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Il y a 14 heures, rogue0 a dit :

CSO sera lancé demain, assez ironiquement par une fusée Soyouz.

Bon, après, étant lancé de Kourou, je suppose que tous les techniciens pour la préparation du lancement / charge utile sont français et habilités SD

https://www.lemonde.fr/international/article/2018/12/18/la-france-lance-son-nouveau-satellite-d-imagerie-militaire_5399231_3210.html

 

Yep vivement l’arrivée d'Ariane 6 qui remplacera Soyuz.

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  • 1 month later...

Une petite liste des zones floutées sur les sites de photo satellite ...

https://en.wikipedia.org/wiki/Satellite_map_images_with_missing_or_unclear_data

D'ailleurs, ce floutage peut parfois révéler des installations secret-défense (facepalm), comme dans le cas de yandex.ru pour la Turquie et Israël.
(effet Streisand)

https://fas.org/blogs/security/2018/12/widespread-blurring-of-satellite-images-reveals-secret-facilities/?fbclid=IwAR0gGzQTL_OG_bq-HUNxr7ydlVFTc9i-dov5GMWbA1Z1fxurUgVjj6X2dIw

Mais ce floutage n'est pas forcément signe de secret défense : ça peut être simplement des erreurs techniques.

https://www.bellingcat.com/news/rest-of-world/2019/01/09/the-mysterious-disappearance-of-jeannette-island-on-google-maps/

PS : pourquoi pas fusionner ce fil avec celui du renseignement spatial ?

 

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  • 6 months later...

La résolution de malade... Quand j'ai vu la photo hier, je ne croyais pas au satellite, je suis parti sur l'hypothèse d'un RQ-170 Sentinel.

10 cm par pixel d'après le 2e fil, et prise en oblique bien basse... à la verticale, on aurait 50% en plus.

PS : un twittos pense, d'après la présence des véhicules, que ca a explosé non pas pendant un lancement comme tout le monde le dit instinctivement, mais pendant une opération d'avitaillement en carburant : https://twitter.com/DutchSpace/status/1167145325158707200

 

Modifié par Rob1
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Il y a 7 heures, rogue0 a dit :

les photos brutes sont hyper classifiées, et ne sont montrées aux alliés qu'après dégradation de la qualité d'image.
<mode ironie ON>
Bref, il fait tout pour s'attirer les faveurs des SR US .
Et les SR étrangers ne savent plus comment le remercier.

<mode optimiste pour les US>

Peut-être qu'il ont bien mieux en résolution et qu'ils l'ont dégradé avant de montrer ça à Trump. Ca aurait été intelligent et prudent de la part en tout cas, trump étant encore moins fiable qu'un allié.

<mode complot>

Peut-être même que le but est de tromper le monde sur leurs capacités réelles et qu'ils avaient prévu que l'andouille allait twitter ça

Sinon, plus sérieusement, c'est quoi le rectangle noir en haut à gauche ? Ca a l'air ajouté après la prise de la photo pour cacher une mention, et Trump n'est pas du genre à savoir faire ça ou s'en préoccuper. Si oui, ça voudrait dire que l'auteur du tweet serait plutôt quelqu'un de son équipe, ce qui change un peu les interprétations possibles du tweet

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il y a une heure, Carl a dit :

Sinon, plus sérieusement, c'est quoi le rectangle noir en haut à gauche ? Ca a l'air ajouté après la prise de la photo pour cacher une mention, et Trump n'est pas du genre à savoir faire ça ou s'en préoccuper. Si oui, ça voudrait dire que l'auteur du tweet serait plutôt quelqu'un de son équipe, ce qui change un peu les interprétations possibles du tweet 

Sans doute un truc ajouté pour couvrir un marquage "top secret".

Pour voir à quoi peut ressembler ce genre de papier complet, voir celui devant Hilary dans la célèbre photo : https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ac/Obama_and_Biden_await_updates_on_bin_Laden.jpg

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Il y a 8 heures, Rob1 a dit :

La résolution de malade... Quand j'ai vu la photo hier, je ne croyais pas au satellite, je suis parti sur l'hypothèse d'un RQ-170 Sentinel.

10 cm par pixel d'après le 2e fil, et prise en oblique bien basse... à la verticale, on aurait 50% en plus.

Il ne faut pas exagérer non plus il s'agit quand même d'un télescope militaire, de la taille de Hubble, disposant des meilleures technologies d'observation à plusieurs milliards de dollars et scrutant sa cible à seulement 400km. Je suppose qu'en plus le miroir dispose d'une optique adaptative pour compenser les perturbations atmosphériques depuis le temps que les militaires disposent de cette technologie et comme le souligne @prof.566 il existe d'autres techniques pour corriger ou améliorer une image.

Quand à la résolution de cette image, certains parlent d'image brute, mais sur quel élément ils se basent pour dire cela? Au passage si il s'agit effectivement d'une photo prise par Trump sur un  écran vous avez déjà un biais sur la résolution (au moins celle de l'écran et celle du capteur photo). Pour moi, Il s'agit d'une photo d'illustration donc certainement pas un document brut surtout si elle est destinée à un public peu fiable (des politiques et pire ... Trump), dans le meilleur des cas cela fait partie de la manœuvre (la fuite) comme cela a été le cas plusieurs fois dans l'histoire des Kh-11.

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