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Commando Marine et fusilier commando.


Philippe Top-Force

Messages recommandés

http://www.leblogtvnews.com/article-26494719.html

A voir le mercredi 28 janvier à 20h35 sur France 3, le documentaire "Commando".

Dans ce petit matin d’hiver breton, c’est un rêve que poursuit Jean-Baptiste C. Gamin, il voulait devenir commando marine pour porter le légendaire béret vert. A 22 ans, il suit assidûment la formation à l’école des fusiliers marins installée à Lorient. C’est là que sont préparés tous les spécialistes chargés d’assurer la protection des sites stratégiques et des bâtiments de la marine nationale. C’est là aussi que sont formés les Commandos marine. Mais avant de rejoindre cette élite, Jean-Baptiste et ses camarades ont douze semaines pour devenir fusiliers marins. Douze semaines au terme desquelles certains abandonneront, d’autres seront exclus et très peu continueront l’aventure… Douze semaines filmées au plus près par Nicolas Moscara.

Notons qu'il doit y avoir une petit erreur  "12 semaines pour devenir fusilier marin..." il me semble qu'il s'agit plutot du STAC (stage commando) normalement les stagiaires sont déjà Fus...

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  • 3 weeks later...

http://www.lorient.maville.com/actu/actudet_-Les-forces-speciales-ont-fait-beaucoup-de-bruit-_loc-818121_actu.Htm

Commencées lundi et achevées dans la nuit de jeudi à vendredi, les manoeuvres d'entraînement aux techniques aéroportées ont suscité quelques mouvements d'humeur. Explications.

Maxence a 14 ans, il habite en haut du quartier des chantiers à Lanester, dans une maison située à côté du collège Saint-Joseph-du-Plessis. Il a mal supporté les bruits des pales des hélicoptères jusqu'à 23 h. « Mon fils est infirme moteur cérébral, il n'a pas l'usage de ses jambes et se déplace en fauteuil manuel. Mais il a développé sa mémoire et son audition », raconte Michelle, sa maman. Dès lundi, il n'arrivait plus à dormir à cause du bruit des hélicoptères, ça n'arrêtait pas. Pourtant nos fenêtres ont des doubles vitrages ». Et comme Maxence se lève à 7 h 15 avant de partir au collège de Kerpape...

La rédaction locale d'Ouest-France a reçu d'autres doléances en début de semaine. Elles venaient de Lorient, de Larmor-Plage... Comme le dit la maman de Maxence, « nous comprenons que les commandos marine s'entraînent, mais qu'ils respectent les horaires de coucher ».

Un entraînement annuel

Les manoeuvres de commandos marine appuyées par des hélicoptères ne s'arrêtent quasiment jamais à Lorient. Cette semaine, il s'agissait d'un tout autre scénario : un exercice exceptionnel d'entraînement des forces spéciales interarmées aux techniques aéroportées. Il a mobilisé 150 militaires, de jour comme de nuit.

Deux avions de transport tactique de type Transall et Hercule ont servi au saut de nuit et au largage de matériel. Deux hélicoptères de type Gazelle ont été utilisés à l'entraînement de reconnaissance et d'appui de feu des tireurs d'élite. Ces tireurs sont à même de tirer dans le moteur d'un semi-rigide chargé de drogue et naviguant à pleine vitesse. C'est sans doute ce qui s'est produit vendredi 30 janvier, en Méditerranée occidentale. Un semi-rigide a été intercepté ce jour-là avec 3 tonnes de cocaïne. Les commandos marine de Lorient ont participé à l'opération.

Mais revenons à Lorient. Les deux autres hélicoptères engagés cette semaine, un Puma et un Caracal, ont sans doute pesé leur poids de décibels. Bruyants au décollage comme à l'atterrissage, ils ont servi à envoyer des commandos nageurs à la mer. Et à hélitreuiller des commandos par « grappes », une technique qui sert aussi quand il faut extraire rapidement des ressortissants français en pays étranger. Les militaires ont concentré ces exercices à la base des fuscos ou sur l'île Saint-Michel, au beau milieu de la rade, et de façon intense.

Les aéronefs sont à présent rentrés. Aucun blessé n'est à déplorer. Mais l'histoire n'a pas de fin. Au fil de l'année, les exercices sont répétés dans les différents sites de trois corps d'armée. Le site de Lorient revient tous les ans, pour les manoeuvres en mer. La date du prochain exercice n'est pas fixée. Ce sera à nouveau bruyant, ça durera tard, mais seulement une petite semaine.

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  • 3 weeks later...
  • 1 month later...

Révélations de Jean Guisnel du Point.

Le ministre de la Défense Hervé Morin n'a pas tout dit, lors de sa conférence de presse d'hier soir, sur la libération des otages du Tanit, capturé le 4 avril à environ 640 km au large de Ras Hafun, dans le nord-est de la Somalie, et sur les conditions de la mort de l'un d'entre eux, Florent Lemaçon.

Le premier élément concerne les forces utilisées pour cette opération. Énormes ! Plusieurs dizaines de militaires ont été directement concernés, dont 70 commandos marine. Vingt d'entre eux étaient prépositionnés à Djibouti, et 50 ont été envoyés de France dans le courant de la semaine, parmi lesquels tous les spécialistes français les plus entraînés aux opérations d'assaut à la mer (tireurs d'élite, etc.), venant de plusieurs commandos marine. Ce groupe comprenait également des nageurs de combat du commando Hubert. L'opération était organisée par l'état-major tactique du Cofusco (Commandement des fusiliers marins et commandos) de Lorient, sous l'autorité de son chef d'état-major, le capitaine de vaisseau Paul-Henri Desgrées du Lou.

Aucune négociation n'a été possible

Outre ces spécialistes, des négociateurs ont été également envoyés sur place, accompagnés par des linguistes parlant le somali. La défense parle de "professionnels" pour évoquer ces négociateurs, sans autre précision. Nous pouvons ajouter qu'ils appartiennent à la DGSE, services secrets français. L'ensemble de ces personnels, soit plus de 70 personnes, ont été "tarponnés" (parachutés en mer) à partir d'un avion C-130 Hercules ayant décollé de Djibouti. Cette configuration est celle qui a déjà été mise en place dans l'affaire des otages du Carré d'As, en septembre 2008, et qui n'a jamais été divulguée. On remarque qu'elle ne fait appel qu'aux seuls services du ministère de la Défense, et qu'elle n'a pas recours au GIGN, contrairement à ce qui s'est passé lors de l'affaire du Tanio.

Simultanément, à chaque étape de l'opération en préparation, des réunions se sont tenues à l'Élysée avec le président de la République en personne, auxquelles ont participé, notamment, le ministre de la Défense Hervé Morin, le chef d'état-major des armées, le général Jean-Louis Georgelin, et le chef de l'état-major particulier de la présidence de la République. Toutes les décisions, successivement, ont été prises en direct par le chef des armées, Nicolas Sarkozy, qui confirme, une fois encore, sa volonté de conduire les opérations militaires rênes courtes. La décision d'intervenir hier en fin d'après-midi a été prise pour plusieurs raisons. La principale, c'est que le voilier se rapprochait dangereusement des côtes somaliennes, et Paris ne voulait en aucune manière avoir à gérer des otages, dont un jeune enfant, retenus sur le sol du Puntland, entité sans statut juridique.

Les otages libérés arrivent à Paris dimanche

Actuellement, près de 150 marins étrangers y sont déjà retenus. Les autorités françaises se sont également aperçues que les pirates somaliens fonctionnaient comme ceux du XVIIIe siècle. Une fois le bateau arraisonné, il est confié à un "équipage de prise" composé de convoyeurs de rang subalterne. Aucune négociation n'a été possible avec eux, et ils ont refusé toutes les ouvertures, qu'il s'agisse du versement d'une rançon ou de l'échange de la mère et de son enfant contre un officier. Pire : les interceptions des communications des pirates utilisant les moyens de communication du bord ont révélé que leurs commanditaires à terre leur donnaient des instructions radicales. Les convoyeurs ont menacé de faire sauter le Tanit avec les otages en se suicidant, en cas d'assaut. Celui-ci est intervenu en fin de journée.

Quatre bâtiments ont participé à cette opération. Il s'agit des navires français l' Aconit, le Floréal et le Commandant Ducuing, ainsi que d'un navire allemand disposant d'infrastructures hospitalières lourdes, la frégate Mecklenburg-Vorpommern. Au cours de l'assaut, les otages situés à l'avant (les deux amis des propriétaires) et à l'arrière du bateau (la mère et l'enfant) ont été sécurisés immédiatement. À l'intérieur du voilier, des pirates se sont mis à tirer au kalachnikov à la verticale, à travers le pont. Dans des conditions encore indéterminées qui seront élucidées par l'enquête, le skipper du voilier, Florent Lemaçon, a été tué. De même que deux preneurs d'otages. Le ministre de la Défense Hervé Morin n'a en tout cas pas exclu samedi sur Europe 1 que Florent Lemaçon été tué par "un tir français". "Il y aura une enquête judiciaire et donc une autopsie. On ne peut pas exclure que dans l'échange de tirs entre pirates et commandos le tir soit français", a en effet déclaré le ministre de la Défense. Il a par ailleurs annoncé samedi que les quatre otages libérés arriveraient dimanche à Paris. Il a de fait affrété un avion à cet effet.

Image IPB

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Et c'est partie pour la polémique, Prouteau nous fait un prout nerveux.

http://www.france-info.com/spip.php?article278057&theme=9&sous_theme=11

Un Zodiac qui fonce vers le Tanit, avec à son bord, huit fusiliers-marins du Commando Hubert. L’assaut du voilier, vendredi, dans le Golfe d’Aden, fait trois morts dont l’un des otages. La polémique éclate sur France Info quant au choix du commando mobilisé : le GIGN, unité hautement spécialisée dans la libération d’otages, n’aurait-il pas fait mieux que les commandos-marine ?

Le reportrage de Farida Nouar  (1'57")

 

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C’est pas leur métier de libérer des otages !".

Le pavé est lancé dans la mare par le "père" du GIGN, Christian Prouteau. Sur France Info, l’ex-gendarme de choc affirme que, 35 ans après sa création, le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale reste la seule unité d’élite spécialisée dans ce genre d’intervention. Aux militaires la "mission de faire la guerre", mais lorsque la vie d’innocents est en jeu, la situation exige des "qualités de tireur et de négociation" notamment, qui relèvent davantage "du domaine civil que de la guerre", poursuit Prouteau.

Car cela fait 35 ans que le GIGN montre ce qu’il sait faire en la matière : quand la précision du feu ("on privilégie la qualité du tir à la quantité de munitions") préserve au maximum les otages. Alors, Christian Prouteau ne comprend pas que, pour aller libérer les occupants du Tanit, l’on n’ait pas fait appel au GIGN.

"Les gens les mieux préparés"

Mais alors, les gendarmes auraient-ils fait mieux que les commandos-marine ? En clair, la vie de l’otage abattu au cours de l’opération aurait-elle pu être sauvée si l’on avait mobilisé le GIGN ? "En employant les gens les plus préparés à ce métier, on avait le maximum de chances de réussir", répond Christian Prouteau.

L’analyse de Christian Prouteau, le créateur du GIGN  (1'59")

 

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Le ministère de la Défense balaye les critiques d’un revers de la main. Son porte-parole Christophe Prazuck, assure que l’unité déployée sur le Tanit est "parfaitement entraînée pour ce type d’opération et tout à fait apte à libérer des civils". C’est d’ailleurs cette même unité, le commando Hubert, qui était intervenue en septembre dernier lors d’un précédent acte de piraterie, sur le Carré d’As. Le savoir-faire du commando Hubert dans la reprise de bateaux en pleine mer est "internationalement reconnu", précise encore Christophe Prazuck. "Les choses changent", poursuit-il. Et ce qui était vrai il y a encore 20 ou 30 ans, ne l’est plus forcément aujourd’hui…

Le ministre de la Défense revient, sur France 2, sur les conditions de cette prise d’otage  (0'41")

 

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Polémique nulle et non-avenue donc. Même si cela n’obère pas la responsabilité éventuelle des militaires français dans la mort du propriétaire du Tanit, Florent Lemaçon. Le ministre de l’Intérieur l’a rappelé hier soir sur France 2, une enquête judiciaire est en cours, une autopsie sera pratiquée qui dira quel type de balle – et quel "camp" – a touché le skippeur. "Je dirai la vérité", a encore promis Hervé Morin.

REPLIQUE IMMEDIATE D'UN HISTORIEN DES FORCES SPECIALES

http://www.france-info.com/spip.php?article278121&theme=9&sous_theme=11

Après l’opération de libération des otages français du Tanit ce week-end qui a fait un mort, une polémique voit le jour : le GIGN aurait-il dû intervenir à la place du commando Hubert ? C’est ce qu’a affirmé ce matin le père du GIGN Christian Prouteau sur notre antenne. Certainement pas, lui répond Pascal Lepautrenat, historien des Forces spéciales.

La chronique est assurée ce matin par Ersin Leibowitch.

“Les commandos-marines sont l’unité la plus à même d’intervenir en mer dans les opérations de contre-piraterie”. C’est la réponse de Pascal Lepautrenat, historien des "Forces spéciales" à Christian Prouteau,“ le père du GIGN” qui avait affirmé sur France Info que le Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale aurait dû intervenir dans la libération des otages du Tanit qui a fait un mort. La polémique a en effet éclaté quant au choix du commando mobilisé.

Christian Prouteau affirme ainsi qu’avec l’intervention des forces spéciales de gendarmerie la vie du père de famille aurait pu être épargnée. “En employant les gens les plus préparés à ce métier, on avait le maximum de chances de réussir”.

La réponse du berger à la bergère ne s’est pas faite attendre : “c’est délicat de dire que si le GIGN avait été là, il n’y aurait pas eu de mort” affirme Pascal Lepautrenat. Pour l’auteur du livre Les forces spéciales, nouveaux conflits, nouveaux guerriers (éd. Autrement), “les commandos-marines et le GIGN appartiennent à la même sphère”. L’intervention du GIGN est néanmoins plus pertinente lors d’opérations terrestres.

Ces propos vont dans le sens de ceux du ministère de la Défense qui assure que l’unité déployée sur le Tanit est “parfaitement entraînée pour ce type d’opération et tout à fait apte à libérer des civils”.

Pascal Lepautrenat dénonce par ailleurs l’inconscience de cette famille qui a pris la mer en bateau de plaisance dans une zone où même les supertankers ne résistent pas aux assauts des pirates somaliens.

Pascal Lepautrenat, historien des "Forces spéciales" répond à Ersin Leibowitch  (6'24")

 

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Christian Prouteau prêche pour sa chapelle et défend son bout de gras. Les gars du GIGN sont des hommes certes TRES qualifiés, mais ils ne sont pas préparés à des interventions comme celle qui vient d'avoir lieu. En tout cas pas avec un niveau d'expertise équivalent à celui des commandos de marine. La manière dont il parle dénigre clairement ces derniers, comme si les coycoy n'étaient que des bourrins seulement capable de fourrer du plomb à tout va dans tout ce qui se tient sur deux pattes. C'est assez navrant et décevant par rapport à ce qu'on aurait pu attendre d'un tel bonhomme. J'avoue être vraiment déçu pour le coup.

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Le gros avantage du Commando Hubert sur le GIGN, dans cette affaire, c'est qu'il s'agit de MARINS, pas de gendarmes. Il en découle plusieurs arguments en faveur de leur action :

- Ils sont embarqués sur nos bâtiments, sur zone depuis et pour longtemps, contrairement au GIGN qui n'arrive généralement qu'au moment d'agir. C'est quand même plus souple d'emploi.

- Le GIGN a beau être entrainé, l'assaut maritime, avec zodiac, voire héliportage en pleine mer (heureusement calme en ce moment, ce qui explique l'activité soutenue des pirates qui ne sont pas si marins que ça), c'est quand même autre chose que la descente en rappel sur des facades d'immeubles ou l'assaut de prisons. En plus, pour ce que j'en sais, les Commandos de Marine sont partis en intervention avec un équipement personnel plus léger que celui qu'emploie le GIGN. C'est mieux pour embarquer/débarquer rapidement du zodiac, et tenir dedans pendant les 30 secondes de l'approche à grande vitesse.

- Les Commandos de Marine sont des marins. Ce n'est pas faire offense au GIGN que de dire que les gendarmes ont besoin d'être briefés sur la configuration des lieux, sur l'agencement d'un bateau à investir, alors que les marins, intuitivement (par expérience), savent à quoi s'attendre derrière telle ou telle cloison, telle ou telle porte, dans telle ou telle coursive. C'est beaucoup plus efficace pour une action rapide.

Je suis entièrement d'accord avec Prouteau s'il s'agit d'aller chercher les otages à terre, mais sur un bateau, je suis persuadés que le métier des gendarmes du GIGN passe au second plan devant l'expérience "marine" des commandos s'il s'agit d'intervenir au large.

La polémique est nulle et non avenue.

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Le gros avantage du Commando Hubert sur le GIGN, dans cette affaire, c'est qu'il s'agit de MARINS, pas de gendarmes.

La polémique c'est surtout qu'en général dans les libération d'otage il y avait une participation du GIGN au moins comme conseil, négociation et planification... Et qu'a priori dans le cas présent ils aient été tenu a l'écart, alors qu'ils sont reconnu par tous comme de grand spécialiste de ces phases critiques. Pour l'assaut en lui meme les commandos de marines sont probablement aussi capable peut etre plus ... mais je ne pense pas que le débat soit a ce niveau.

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Effectivement, G4lly. Vu comme ça, il y a matière à polémiquer sur l'organisation de l'intervention ... mais cela n'aurait probablement pas changé le résultat.

Il s'agit plus d'une polémique pour que chacun garde son pré-carré.

Et sinon, comment être sûr que le GIGN n'a pas conseillé le commando ? Après tout, l'Aconit était en liaison avec la métropole pour la prise de décision, pourquoi pas pour la stratégie et la gestion du dialogue aussi ?

C'est vachement facile de lancer une polémique avec des dossiers dont on a une connaissance parcellaire, ou dont on ne peut pas dire tout ce qu'on connait.

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Christian Prouteau prêche pour sa chapelle et défend son bout de gras. Les gars du GIGN sont des hommes certes TRES qualifiés, mais ils ne sont pas préparés à des interventions comme celle qui vient d'avoir lieu. En tout cas pas avec un niveau d'expertise équivalent à celui des commandos de marine. La manière dont il parle dénigre clairement ces derniers, comme si les coycoy n'étaient que des bourrins seulement capable de fourrer du plomb à tout va dans tout ce qui se tient sur deux pattes. C'est assez navrant et décevant par rapport à ce qu'on aurait pu attendre d'un tel bonhomme. J'avoue être vraiment déçu pour le coup.

un point important c'est que le GIGN fait maintenant partie du Minint avec son alter-ego le RAIDS et quoique en dise, il y a concurrence. Pour exister en tant que tel, les gendarmes n'ayant pas le droit d'expression à l'inverse des policiers il faut bien qu'une icône prenne la defense du GIGN pour qu'il existe.

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Mouais..... Encore des querelles de clocher...

La Royale a quand même du beau monde en stock, parfaitement formé (par le GIGN) au CTM. L'ECTLO divisée entre Jaubert et Trepel + l'escouade B d'Hubert... C'est pas comme si comme une équipe de visite d'un pétrolier-ravitailleur s'en allait donner l'assaut!!! Ces gars la savent de quoi ils causent, je pense. Bref pas de polémique pour moi : acte de terro/piraterie en mer = CTM = ECTLO/Hubert, point

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j'ai cotoyé des commando-marines en outre-mer ainsi que le GIGN ( j'ai fait un saut en tandem avec l'un des gars de l'assaut de l'airbus ,comme s'était le 6°RHC (j'ai fini mon temps au 6°RHC avec le début de la professionalisation,besoin de MDR ancien,bonne expérience mais choc des cultures au début pour un  TDM,mais pas de regret sa ouvre une ouverture d'esprit vis à vis des autres armes ) qui fournissait le PUMA à l'époque ,le capitaine de l'instruction m'y à envoyé en récompense ,le GIGN proposé le saut ,d'ailleur s'est à cette période que j'ai eu l'occasion de tirer  au HKMP5 et ,sa m'a fait plaisir car le gendarme a vu que j'étais à l'aise avec les armes (il a vu que j'ai appliqué les mesures de sécurité en fin de tir ,sureté ,chargeur, chambre )et ne m'a pas recontrôlé .

d'un côté comme de l'autre ,j'y ai trouvé des gens trés équillibré et pro,les commando-marines ne sont pas des bourrins tirant n'importe comment (sa aurait été le cas il y aurait eu plus de mort), ses deux unités tirent beaucoup de munition pour sa ,éviter les morts.s'est malheureux la polémique ,mais d'un côté comme de l'autre le risque zéro n'existe pas (on essaie de le réduire).

j'ai un énorme respect pour ses deux unités ,alors chercher des poux se n'est rendre service à personne ,sinon servir les détracteurs du monde militaire .  

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j'ai cotoyé des commando-marines en outre-mer ainsi que le GIGN ( j'ai fait un saut en tandem avec l'un des gars de l'assaut de l'airbus ,comme s'était le 6°RHC (j'ai fini mon temps au 6°RHC avec le début de la professionalisation,besoin de MDR ancien,bonne expérience mais choc des cultures au début pour un  TDM,mais pas de regret sa ouvre une ouverture d'esprit vis à vis des autres armes ) qui fournissait le PUMA à l'époque ,le capitaine de l'instruction m'y à envoyé en récompense ,le GIGN proposé le saut ,d'ailleur s'est à cette période que j'ai eu l'occasion de tirer  au HKMP5 et ,sa m'a fait plaisir car le gendarme a vu que j'étais à l'aise avec les armes (il a vu que j'ai appliqué les mesures de sécurité en fin de tir ,sureté ,chargeur, chambre )et ne m'a pas recontrôlé .

d'un côté comme de l'autre ,j'y ai trouvé des gens trés équillibré et pro,les commando-marines ne sont pas des bourrins tirant n'importe comment (sa aurait été le cas il y aurait eu plus de mort), ses deux unités tirent beaucoup de munition pour sa ,éviter les morts.s'est malheureux la polémique ,mais d'un côté comme de l'autre le risque zéro n'existe pas (on essaie de le réduire).

j'ai un énorme respect pour ses deux unités ,alors chercher des poux se n'est rendre service à personne ,sinon servir les détracteurs du monde militaire .  

+ 1, voilà qui est fichtrement bien dit !
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+ 1, voilà qui est fichtrement bien dit !

Ca n'empeche pas que le GIGN soit tres spécialisé dans les négociation de prise d'otage criminelle... et que celui puisse etre étonnant qu'ils soient tenu hors du coup semble t il volontairement.

J'ai rien contre les marins, ils semblent tres spécialisé dans l'assaut a la mer ... mais pas forcément dans le banditisme, et dans le cas présent il s'agit tres proablement de bandits qui kidnappent contre rancon, et pas de pur terrorisme ou le but et de répandre la terreur en detournant un petrolier et en le crashant sur Antifer.

On pourrait alors se demander par exemple qui a négocié, dans quel cadre, et qui a planifier l'intervention, fixer les limite etc. L'exécution c'est presque accessoire car il ne fait aucun doute que les commandos sachent le faire.

Il semble par ailleurs que le GIGN ait travaillé avec les commandos lors de la premiere prise d'otage ... et que depuis ce ne soit plus le cas.

Peut etre que la premiere fois l'assaut a la mer etait inenvisageable a cause de la taille du bateau et de la masse des otages... et qu'on ait préféré gérer le coté rancon avec le GIGN, laissant l'assaut terre au commandos.

Ce qui est sur meme s'il ne s'agit pas de polémiqué, c'est que le choix de l'un et/ou de l'autre n'est pas un hasard.

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j'ai regardé C dans l'air aujourd'huis ,le sujet était sur les pirates somaliens ,prouteau était invité ,il s'est  fait un peu mouché ,on lui a bien fait comprendre qu'il défendait sa boite ,et qu'il y avait sur place des gens de la DGSE,spécialisé sur la prise d'otage et parlant somalien (prouteau n'a pas répondu sur le coup),donc d'amener une polémique comme il la fait n'était pas correct ,vis à vis des commando-marines .

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J'ai regardé aussi C dans l'air ce soir, j'ai n'ai pas trouvé que ce monsieur Prouteau apportais grand chose au débat sur ce problème des pirate Somaliens, il n'a fait qu'attaquer le fait que le GIGN n'étais pas présent sur place, sans apporter d'argument plus pertinent que ça...

Tout ça se passe au large de la somalie, en mer, et je trouve que les commandos marines et la DGSE ont de quoi faire du bon boulot.

Il ont aussi mentionné le fait que les familles trouvaient cette polémique assez déplacée, alors qu'aucun retex n'as encore été publié.

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Mouais..... Encore des querelles de clocher...

La Royale a quand même du beau monde en stock, parfaitement formé (par le GIGN) au CTM. L'ECTLO divisée entre Jaubert et Trepel + l'escouade B d'Hubert... C'est pas comme si comme une équipe de visite d'un pétrolier-ravitailleur s'en allait donner l'assaut!!! Ces gars la savent de quoi ils causent, je pense. Bref pas de polémique pour moi : acte de terro/piraterie en mer = CTM = ECTLO/Hubert, point*

*Présentée en gras ce que tu viens d'écrire dans ton équation, ton équation est incomplète car c'est justement lors des exercices et opérations RVF lors d'une OP CTM, que c'est GIGN+Cdo Hubert/Jaubert/Trepel.

On entend dire que les gendarmes n'ont pas le pied marin, d'abord il y a une gendarmerie maritime  :lol: et dans le cadre GIGN, il y a surtout/aussi des plongeurs d'intervention aptes aux assauts, neutralisations, et récupérations otages. Il y a des brevetés au GIGN.  ;) 

Il y a quand même anguille sous roche même si on doit se taire.

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D'après ce que j'ai pu lire, la relation entre le gign et la marine, n'aurait pas été très bonne, lors de l'affaire du Ponant, mais ce ne sont que des suppositions. Pour le Tanit le plan piratmer, n'aurait pas été engagé, ce qui serait la raison officielle, de la non action du GIGN.

L'armée a voulu montré ces capacité par rapport à la gendarmerie, dans la résolution de prise d'otage. Çà c'est bien passé pour le carré d'as, on ne peut pas dire cela pour la dernière opération. Ce sera aux politiques à déterminer s'il y a eu des lacunes et comment doivent être coordonnées ces opérations. Et in fine qui recevra les louanges et les budgets.

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