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Commando Marine et fusilier commando.


Philippe Top-Force

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D'après les "ondes", il s'oriente plus vers un effectif au périmètre constant +ou - 1700 , mais avec une optimisation des Commandos Marine pris sur les effectifs FUS. On booste les FS à oeuvrer plus pour des missions AEM (voir les beaux succès dans la lutte des narcotrafics)

Normalment, il ne devrait pas y avoir de probleme pour trouver les effectifs (je suis même sur qu'il ya les effectifs pour en faire deux...) Beaucoup de cadres, des unités Fus, de l'Ecole ou embarqués sont brevetés commandos... Les questions se poseront , à mon avis un peu plus tard.... Dans le flux de recrutement si la base Fus reste identique ; dans la rotation fus <=> commando, rotation  qui permet l'utilisation des compétences "commando" pour la formation et le niveau des unités Fus ; voir pour permettre les cycles de formation BS, stages commando 1 et 2, stages chefs d'equipe, d'unité, parfois longs dans la Marine....
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Donc en fonction de cet article :

Ce groupe, rattaché au Commandement des opérations spéciales (Cos), les forces spéciales françaises, s'ajouter aux quatre commandos marines déjà présents à Lorient (Jaubert, Trépel, De Montfort, De Penfentenyo) et à celui des nageurs de combat (commando Hubert) de Saint-Mandrier dans le Var.

En ces temps de rigueur annoncée, la marine indique à que « ce nouveau commando sera créée "à effectifs constants", avec des transferts de personnel venant d'autres unités ». Ce commando pourrait être destiné à des missions d'appui, nécessitant un haut-savoir technologique, par exemple dans le domaine de la neutralisation et la destruction des explosifs. Chacun des commandos comprend environ une centaine d'hommes, soit un total de 450.

On peut en déduire que Paris s'inspire du RETEX Britannique qui booste ses effectifs en créant des unités d'appui aux SAS & SBS.

Il ne serait pas surprennant de découvrir que par la suite, il y est du changement dans le COS; les CPA20 et CPA30 iraient rejoindre et appuyer les CPA10, ainsi que le BFST dont le 1 RPIMa et le 13 RDP risquent de se voir appuyer par d'autres régiments type 2 REP ou 1 RCP.

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Confirmation officielle apparue sur le site de la Marine Nationale.

Suivez l'actualité de la Marine jour après jour 

 

15/02/08 : Afin de s’adapter aux exigences des missions de demain et à la nécessité de développer de nouvelles capacités, le chef d’état-major des armées a agréé le principe de la création d’un 6ème commando marine . Cette formation sera composée d’une trentaine de marins volontaires affectés pour une durée de 2 à 3 ans et sélectionnés parmi des marins d’active de spécialités non-commando. Basé à Lorient, ce commando aura pour mission l’appui et le soutien aux 5 autres commandos dans des disciplines liées aux technologies de pointe (drones, cynotechnie…). Il devrait être constitué dès l’été 2008

Image IPB

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Samedi 9 février 2008, la frégate de surveillance Ventôse , en opération de surveillance maritime conjointe avec les garde-côtes américains sous l’autorité du commandant supérieur de forces armées aux Antilles, détecte à l’Est de la Grenade une embarcation de type Go-fast. Cette embarcation est en route rapide vers le nord de l’arc antillais.

A la demande du préfet de Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer , et en liaison étroite avec l’OCRTIS, le contrôle de cette embarcation est décidé.

L’hélicoptère Panther et une vedette rapide du Ventôse avec des tireurs d’élite embarqués et un détachement de commandos se portent à sa rencontre.

Le Go-fast refuse d’obéir aux instructions et aux sommations. Il rejette à la mer des ballots suspects. Après une course poursuite rythmée par des tirs d’avertissement, l’embarcation est interceptée par les commandos marine lors d’une opération de vive force.

Près de 400 kilogrammes de marijuana sont récupérés. Les 10 personnes se trouvant à bord sont transférées sur le Ventôse. A la demande du Procureur la frégate Ventôse se déroute sur la Martinique. La cargaison du Go-fast et son équipage sont remis à l’OCRTIS à Fort-de-France le lundi 11 février.

Le jeudi 14 février, le procureur déclarait que les 10 individus interpellés avaient reconnus avoir réalisés 35 voyages de ce type dans le but de transporter de la drogue à destination des îles caraïbes. Ce serait 1,5 tonnes de cannabis et 600 kilogrammes de cocaïne qui auraient été acheminé dans la région entre 2004 et 2007 par le même circuit.

Sources : ©Marine nationale

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Peux-tu étayer ?  ;)

Bof! Je trouve que ça fait beaucoup de bruit pour pas grand chose.... Apeller ça, une unité de niveau escouade, un commando marine et surtout lui donner un nom pareil (si ça se vérifie...) ça me parait un peu excessif....

Il y a toujours eu des spécialistes de la Marine non fusiliers dans les commandos; radios, infirmiers, etc.... Dans le temps ils portaient le beret vert mais avec une insigne particulière ; aujourd'hui je crois qu'ils portent le beret des fusiliers...

Beaucoup pasaient le brevet para (dans les années 70 ça pouvait aussi se faire dans les unités de fusiliers de l'Aeronavale, je ne sais pas si c'est toujours le cas...) Le Stac leur était ouvert mais non obligatoire (je crois...)

S'il y a besoin de spécialistes, il n'y a pas de problème, il me semble, a les affecter auprès du COFUSCO - Base Fusco, mais de là à créer un commando surtout s'il n'est pas composé de commandos....

Exemple : spécialistes de la cynotechnie, ça veut dire quoi? Je ne vois pas autre chose que des fusiliers maitres chiens des unités de protection.... Alors, on leur fait passer le Stac avant, après les avoir récrutés...?  S'ils ne sont pas brévetés commment vont-ils les utiliser en ops.... 

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  • 2 weeks later...

Source le point.fr

Stupeur hier matin, quand on a découvert que des commandos marine - apparentés aux forces spéciales, et donc bénéficiant d'un décret protégeant leur anonymat - étaient visibles, non floutés, sur plusieurs photos illustrant le propre magazine... de la marine nationale (Cols Bleus) ! Plusieurs centaines, si ce n'est milliers d'exemplaires, vont être retirés de la circulation, et notamment des kiosques, où on peut les trouver. De telles photos sans floutage avaient également été publiées dans une autre revue du ministère de la Défense ( Terre Info Magazine ), il y a quelques mois.

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  • 2 weeks later...

Selon le site LePoint.fr, 11/03/08

"Le hors-bord qui se dégonfle

Le commando Hubert, l'élite des forces spéciales françaises, vient de recevoir un canot hors-bord inédit qui permet le débarquement d'un quad 6 x 6. La double coque du canot se dégonfle, permettant au véhicule de débarquer sur une plage sans se renverser."

Quelqu'un en sait-il un peu plus sur cette info. ? Est-ce fiable ?

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  • 1 month later...

Sauf qu'apparemment il sera composé d'éléments venant des commandos déjà existant, ce qui fait qu'au final, pas de grand changement coté effectifs.

Pas exactement... En fait les Fusiliers Marins Certifiés Commando sont plus nombreux que ceux en rôle (affectés) aux 5 Commandos. Exemples : les personnels de la base Forfusco, les cadres (voir certains Quartiers Maîtres) des compañies, groupements et GIRs fusiliers. 

En outre, je pense (sans être sur...) que les effectifs à l'Ecole et ceux embarqués ne sont pas comptés dans les 1700 de la Forfusco. Dans l'absolu, il y a de quoi monter plusieurs commandos...

En plus dans ce commando il va y avoir des personnels d'autres spécialités que fusiliers (c'est déjà le cas pour les infirmiers ou les radios dans les commandos...)

Par exemple des plongeurs -démineurs  (parfois anciens fusiliers et certifiés commandos...) etc.... 

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C'est pas vraiment ce que l'on m'a dit, mais bon, il n'est pas encore opérationnel, qui vivra verra.  =)

@+, Arka

Et ça veut dire quoi?  Que ce n'est pas vrai que l'effectif des Fusiliers Certifiés est supérieur à ceux affectés? Qu'il n'y a pas des personnels non fusilier dans les commandos?

Il se peut qu'ils affectent des personnels qui sont aujourd'hui dans d'autres commandos, pour le faire monter en régime ou pour telle ou telle raison. Mais, ça n'aurait aucun sens de monter un 6eme Commmando en gardant les mêmes effectifs globaux. Surtout que le but de la manoeuvre est d'avoir des compétences qui ne sont pas présentes aujourd'hui....

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Entretien avec Le contre-amiral Marin Gillier, commandant la Marine à Lorient et commandant de la force maritime des fusiliers marins et commandos.

La Marine nationale avait envisagé d’ajouter une sixième unité aux cinq commandos marine qu’elle compte aujourd’hui (Jaubert, de Montfort, de Penfentenyo et Trepel, à Lorient ; Hubert, à Toulon).

Une sorte de sas d’aguerrissement des meilleurs fusiliers-marins avant l’incorporation dans les forces spéciales dont « il n’est pas question d’abaisser le niveau d’excellence », rappelle le contre-amiral Marin Gillier, commandant la Force des fusiliers marins et commandos (2 400 hommes au total dont plus de 500 commandos).

Basé à Lorient, ce sixième commando marine va bien voir le jour, mais sous une tout autre forme. Celle d’une unité spécialisée dans la mise en oeuvre des nouvelles technologies, capable d’agir en autonomie, d’apporter un soutien à d’autres unités ou d’armer des PC de forces spéciales.

Des spécialistes des nouvelles technologies

« Avec l’État-major, nous avons analysé des dizaines d’opérations menées sur tous les continents et dans toutes les situations par nos forces. Ce retour d’expérience a montré, y compris par comparaison avec d’autres nations alliées avec lesquelles nous sommes fréquemment engagés, que les forces spéciales françaises font preuve d’une totale maîtrise. Il y a cependant quelques domaines où nous devons encore gravir une marche pour rester au meilleur niveau mondial et prendre de l’avance face à l’évolution des menaces », note le contre-amiral Gillier, tout juste rentré de Somalie où il a dirigé l’opération de libération des otages du Ponant. Une mission pendant laquelle « toutes les techniques et tous les moyens, mis à part les avions de chasse, ont servi ! »

Ce sont précisément ces nouvelles techniques et technologies de combat que le sixième commando marine sera chargé de développer au sein des forces spéciales où, jusqu’à présent, « le système d’armes était d’abord l’homme ».

Issus pour moitié des rangs commandos marine et pour moitié des autres unités de la Royale, les trente-deux premiers membres du sixième commando seront électroniciens, informaticiens, spécialistes des télécommunications ou de la mise en oeuvre de drones. Ils seront capables de développer, si nécessaire dans un environnement hostile (radiologique, bactériologique ou chimique), leur savoir- faire en guerre électronique, contre-terrorisme, contre-minage… « Avant de prendre d’assaut une maison, il vaut mieux risquer un animal ou un drone que de risquer des hommes », rappelle Marin Gillier.

Un officier supérieur doublement heureux de compter, parmi les unités sous ses ordres, un commando au nom du fondateur des bérets verts de la Marine : Philippe Kieffer.

Le 6 juin 1944, ses 177 hommes furent les premiers à prendre pied sur la plage d’Ouistreham : « Pour former son groupe, le capitaine de corvette Philippe Kieffer avait aussi recruté dans toutes les spécialités de la Marine et il venait lui-même du Chiffre, les transmissions codées. Un retour aux sources en quelque sorte ! »

Source : http://arm-asso.fr/archives/1931

Les premières lignes de cet entretien, me confirment dans l'idée qu'il serait utile de transformer les GIR en Commando....

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Et ça veut dire quoi?  Que ce n'est pas vrai que l'effectif des Fusiliers Certifiés est supérieur à ceux affectés? Qu'il n'y a pas des personnels non fusilier dans les commandos?

Il se peut qu'ils affectent des personnels qui sont aujourd'hui dans d'autres commandos, pour le faire monter en régime ou pour telle ou telle raison. Mais, ça n'aurait aucun sens de monter un 6eme Commmando en gardant les mêmes effectifs globaux. Surtout que le but de la manoeuvre est d'avoir des compétences qui ne sont pas présentes aujourd'hui....

Ça veux juste dire que l'on verra bien ce qu'il en est quand il sera opérationnel, y'avais pas vraiment de sous-entendu

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Pas exactement... En fait les Fusiliers Marins Certifiés Commando sont plus nombreux que ceux en rôle (affectés) aux 5 Commandos. Exemples : les personnels de la base Forfusco, les cadres (voir certains Quartiers Maîtres) des compañies, ...)

Par exemple des plongeurs -démineurs  (parfois anciens fusiliers et certifiés commandos...) etc.... 

C'est ben vrai tout ça...j'ai plongé ce matin avec un " ancien " des fusiliers- ", spécialité plongeur.....va bien dans l'eau..et pourtant, on était plutôt  profond...

;)

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GIR = ? Groupes d'Intervention Régionaux ?

Yes...  Enfin, il y a deux versions c'est soit "régional" soit "renfort"....

1 GIR par Groupement de Fusiliers Marins  (Brest / Toulon) effectifs plus ou moins 80... Leur rôle est de renforcer la protection des bâtiments en fonction des bésoins, Liban 2006, traversée du Canal, par exemple, ou encore renforcer les équipes de protection des installations à terre et des plans d'eau, équipe Fusiliers à Djibouti par exemple.

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Alors t'est dans les "ploufs clé à molete"...?

Non, non!!!! ploufs... de loisir et loisir :lol: :lol: :lol: :lol:

le gars en question est "patron " d'un centre " plongeurs autonomes", sur Marseille.. ( C.P.A /pour les avertis  :lol:)

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  • 6 months later...

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/articles/lutte_contre_le_narcotrafic_en_zone_caraibes_le_ventose_s_entraine_en_public

Les acteurs martiniquais de l’action de l’Etat en mer étaient conviés le 14 novembre 2008 à assister à la dernière phase d’entraînement de la frégate Ventôse avant un prochain départ en mission.

Courant novembre, la frégate de surveillance Ventôse, basée à Fort-de-France, s’est entraînée avant de prendre la mer pour un mois de surveillance des eaux caribéennes dans le cadre de la lutte contre le narcotrafic. En effet, le trafic de drogue dans la zone caribéenne connaît un pic avant la période de Noël. Le bâtiment, les hommes, les commandos, les procédures : l’entraînement a passé en revue et mobilisé tous ses moyens et toutes ses forces vives.

Pendant une demi-journée, accompagnés par le contre-amiral Philippe Arnould, commandant supérieur des forces armées aux Antilles, le capitaine de vaisseau François Moreau, commandant de la zone maritime, les acteurs martiniquais de l’action de l’Etat en mer (AEM) : le procureur général de Martinique, de ses substituts et conseillers, responsables des douanes, de l’office de répression des trafics illicites (OCRTIS), ainsi que la directrice de cabinet de la préfecture de Martinique sont montés à bord afin d’assister à quelques phases de cet entraînement.

L’objectif était de favoriser la compréhension réciproque des problématiques rencontrées par chacun des acteurs de l’AEM.

Deux séquences ont été déroulées devant près d’une vingtaine de « spectateurs », à quelques encablures des côtes martiniquaises : l’interception d’un go-fast (sorte de vedette très rapide, pouvant prendre l’allure d’une barque de pêcheur équipée de plusieurs moteurs puissants) joué pour l’occasion par une vedette des douanes ; puis l’interception d’un « slow mover » (embarcation allant beaucoup moins vite : voiliers, chalutiers, pétrolier…) représenté par le remorqueur côtier Maïto . Ces deux types d’embarcation sont utilisées par les trafiquants pour véhiculer leur drogue en mer des Caraïbes et impliquent pour le Ventôse des procédures et des difficultés d’arraisonnement différentes.

Poursuite par le Panther du slow mover joué par le Maïto

Dans un premier temps, c’est un go-fast qui est détecté dans la zone de patrouille du Ventôse qui ne tarde pas à le localiser. Aussitôt le Panther de la frégate décolle et prend en chasse l’embarcation dans le but de la stopper. Simultanément, le Ventôse met son Etraco (embarcation rapide) à l’eau avec à son bord une équipe de commandos . Ceux-ci ne tardent pas à rejoindre le go-fast qui, malgré les tirs de semonce du tireur d’élite à bord du Panther, continue sa route à vive allure, essayant de semer les commandos. Une course poursuite en mer et dans les airs se joue pendant quelques minutes avant l’immobilisation complète de l’embarcation et une prise de contrôle par les commandos.

Go fast poursuivi par le Panther du Ventôse

C’est maintenant à un bâtiment moins rapide et moins récalcitrant sur lequel le Ventôse doit intervenir. Les commandos sont envoyés à bord pour une reconnaissance et enfin une prise d’assaut de vive force.

Etraco du Ventôse prenant en chasse le go fast

Les magistrats ont remarqué et salué le professionnalisme du Ventôse et de ses hommes. La nécessité d’une préparation et d’une coordination sans faille, garantit le bon déroulement de l’interception et des suites judiciaires positives.

Le dernier mot de cette journée revient au commissaire en chef Bucas :

« La lutte contre les narcotrafiquants, disposant d'une organisation puissante et ramifiée, impose une réponse coordonnée : en osant un peu, on pourrait comparer notre système à une équipe de rugby. Les avants, ceux qui " ramassent les ballons, ce sont les services de renseignements de l'OCRTIS, des douanes et de nos alliés. A la charnière, pour distribuer le jeu, vient –à nouveau- l'OCRTIS et son coordinateur pour la partie maritime. Les trois quarts centres, qui portent les coups en allant traquer les navires suspects, se recrutent parmi la marine et la douane, disposant de moyens et de techniques de prises. Enfin, les ailiers qui transforment l'essai appartiennent au ministère de la justice : la journée à laquelle nous venons d'assister fut, en quelque sorte, notre entraînement de Marcoussis !».

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  • 1 month later...

http://www.leblogtvnews.com/article-26494719.html

A voir le mercredi 28 janvier à 20h35 sur France 3, le documentaire "Commando".

Dans ce petit matin d’hiver breton, c’est un rêve que poursuit Jean-Baptiste C. Gamin, il voulait devenir commando marine pour porter le légendaire béret vert. A 22 ans, il suit assidûment la formation à l’école des fusiliers marins installée à Lorient. C’est là que sont préparés tous les spécialistes chargés d’assurer la protection des sites stratégiques et des bâtiments de la marine nationale. C’est là aussi que sont formés les Commandos marine. Mais avant de rejoindre cette élite, Jean-Baptiste et ses camarades ont douze semaines pour devenir fusiliers marins. Douze semaines au terme desquelles certains abandonneront, d’autres seront exclus et très peu continueront l’aventure… Douze semaines filmées au plus près par Nicolas Moscara.

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