Bechar06 Posté(e) le 11 juillet Share Posté(e) le 11 juillet (modifié) Pierre SERVENT dit sur LCI que Burkhard n a pas assez parlé depuis 3 ans, même indépendamment du PR, ou du MINARM... quitte a leur désobéir Modifié le 11 juillet par Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) le 11 juillet Share Posté(e) le 11 juillet il y a 11 minutes, Bechar06 a dit : Pierre SERVANT Bof 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 11 juillet Share Posté(e) le 11 juillet 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet Merci pour le portrait initial de Cabirol ! une première pour moi Je paraphrase cette intéressante interview. Mais qui date de l’avant Salon du Bourget. Donc pas d’annonce précise. Surtout des principes adaptés au contexte actuel et futur des conflictualités Chiva explique que la DGA a dû s’adapter et adopter un nouveau paradigme, avec les Retex UKR et mettre le DELAI i comme priorité n° 1, pour l’obtention de drones, plutôt simples et pas cher, alors que le « drone qui fait tout », « trop bien », mais pas armé, durable et tout et tout a longtemps guidé la réflexion ( je paraphrase ) Pour autant la DGA ne doit pas tout jeter, et faire du court terme. Elle doit continuer à penser l’avenir des systèmes, où toutes les générations d’armement perdurent et coexistent ( image de la guerre des tranchées, mais aussi des drones de loisir si pratiques, pas chers, limités mais sur étagère ou presque ). Sophistication et rusticité, innovation et low-cost peuvent coexister ( je paraphrase ) Un prochain conflit pourrait naître dans l’espace. Donc s’occuper du continuum de la haute altitude au spatial, en passant par ma THA : ne rien négliger. Mais devoir aussi choisir et décider de promouvoir certtains projets ou d’en ralentir d’autres Importance de la production et donc de l’industrie ( massification nécessaire ), à côté des technologies Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 13 juillet C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 juillet (modifié) Sébastien Lecornu, ministre des Armées : « Notre indépendance passe par un effort nouveau » https://www.latribune.fr/la-tribune-dimanche/politique/sebastien-lecornu-ministre-des-armees-notre-independance-passe-par-un-effort-nouveau-1029541.html INTERVIEW - À la veille du 14 Juillet, le ministre des Armées annonce des commandes de drones et d’hélicoptères et évoque les conflits en Ukraine, à Gaza ou en mer Rouge. Il détaille les défis de l’économie de guerre et l’augmentation des effectifs de la réserve. LA TRIBUNE DIMANCHE — L'Élysée promet des « annonces majeures » ce dimanche 13 juillet à l'occasion du discours aux armées du président, le chef d'État-major des armées a fait une conférence de presse dans ce sens... En quoi ce 14 Juillet 2025 justifie-t-il une telle effervescence ? SÉBASTIEN LECORNU — On ne peut pas être surpris. Si on compare le dernier 14 Juillet et celui qui nous attend demain, la situation a grandement évolué. Nous avons une nouvelle administration américaine qui impose une rupture dans la manière de gérer les affaires de sécurité et de défense. Le Moyen-Orient a vu un conflit d'une ampleur sans précédent entre Israël et l'Iran, sans parler de la guerre à Gaza. L'Inde et le Pakistan se sont affrontés en franchissant des seuils d'intensité importants. Il y a la guerre en Ukraine qui continue et un risque terroriste qui n'a pas disparu. L'armée française n'est pas seulement une armée qui défile. C'est une armée qui agit dans le contexte géopolitique que nous connaissons. Pensez-vous que les Français n'ont pas conscience de ces changements ? Ils les comprennent et sont inquiets. Mais nous ne sommes pas là pour agiter les peurs ou les inquiétudes, nous sommes là pour les documenter et y apporter des réponses. Les menaces que nous subissons sont parfois purement étatiques, parfois plus larges, notamment quand elles sont hybrides, cyber, informationnelles. Il s'agit de permettre à tout le monde de comprendre la bascule stratégique dans laquelle nous sommes. Une réponse à ces menaces peut-elle être le retour du service militaire ? La professionnalisation de nos armées ne doit pas être remise en question. Mais a-t-on besoin d'avoir un format d'armée plus important qu'il ne l'est aujourd'hui en fonction de certaines circonstances ou crises particulières ? La réponse est oui. Et cela pointe l'enjeu des réserves. Je travaille à ce qu'on ait, pour épauler l'armée de métier, une réserve professionnalisée et spécialisée sur des compétences, des savoir-faire. L'armée de 2030 sera hybride : une armée d'active et de réserve, aux compétences durcies. La réserve ne doit pas être un supplétif. Elle doit être pleinement intégrée sur tout le spectre des missions et pas seulement servir à remplacer les soldats de l'armée d'active dans certaines circonstances. Faut-il augmenter le temps de cette réserve ? Comment payer les réservistes ? Oui, nous augmentons les moyens. D'ailleurs les chiffres des réserves sont très encourageants : ils sont 47. 000 fin mai 2025 contre 36. 000 en 2017. Malheureusement, nous vivons une crise de croissance avec un nombre très important de candidatures qui ne sont pas encore accueillies comme il se devrait : quelques milliers de postulants n'ont pas encore eu de réponses à leurs dossiers. Ce n'est pas tolérable à l'heure du numérique de ne pas être en mesure d'offrir un débouché à chaque citoyen désireux de s'engager pour son pays. L'État-major des armées travaille d'arrache-pied pour apporter des solutions. Ces questions-là peuvent-elles entrer dans le champ du référendum ? La réponse ne m'appartient pas. Mais la défense est un sujet politique au sens noble du terme, avec toutes les questions afférentes : quelle part du budget veut-on y consacrer, quelle alliance veut-on avoir, qu'est-ce que l'on veut partager ou non avec nos partenaires ? Mon vœu, c'est que les formations politiques représentées à l'Assemblée nationale et au Sénat s'emparent des questions de défense par le haut, c'est-à-dire avec technicité et patriotisme. Comment définiriez-vous les choix qui sont devant nous ? Aucun Français ne veut que notre pays dépende des autres en matière militaire. Je ne suis pas sûr non plus que les Français aient envie que l'on devienne demain la 3e ou la 4e armée d'Europe... Or certaines formations politiques affirment que cela ne sert à rien d'augmenter les crédits militaires. Ce sont pourtant les mêmes qui nous demandent de nationaliser une PME sous-traitante de la défense dès qu'elle fait l'objet d'une fragilité industrielle ! Si on ne veut dépendre de personne, cela passe forcément par un effort nouveau, pas seulement budgétaire, mais aussi intellectuel, moral et industriel. C'est ça le grand choix stratégique qui se présente à nous en tant que Nation. Un déclin sur le plan militaire est inacceptable, car il entraînerait un déclin global du pays qui serait sans doute irréversible. Nous le refusons. Sauf que cela coûte cher et que le Premier ministre prépare un plan d'économies massif. L'armée ne participera pas à l'effort collectif ? Beaucoup d'observateurs semblent oublier que les armées y ont plus que contribué dans les années 2000 et 2010 : plus de 20 régiments et 10 bases aériennes fermés, une flotte de combat significativement réduite, 55. 000 postes supprimés... On a attaqué le muscle et l'os, et quand il suffit d'un coup de plume pour détruire, il faut des années pour reconstruire. Nous avons aujourd'hui 50,5 milliards d'euros de budget annuel contre 32 milliards lorsque Emmanuel Macron a été élu. C'est une somme qui n'est pas énorme par rapport aux plus de 1. 600 milliards d'euros de dépenses publiques globales. Quand on parle du budget des armées, il faut se demander : sommes-nous préparés aux menaces de demain ? Quel pays veut-on être demain dans le concert des Nations ? Veut-on devenir une puissance régionale ou rester une puissance mondiale ? Nous, nous avons fait notre choix : la France doit rester une puissance mondiale. Chaque formation politique doit aussi répondre à ces questions. Emmanuel Macron devrait annoncer ce soir une augmentation des crédits de la loi de programmation militaire (LPM), qui se justifierait par une menace accrue. Mais en quoi cette menace est-elle plus importante qu'il y a deux ans ? Le contexte, par rapport à 2022-2023 quand cette LPM a été construite puis votée, a évolué rapidement. Le Moyen-Orient s'est rappelé à nous. La menace russe a également nourri d'autres affrontements régionaux ou locaux, comme entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Si la Russie a des difficultés pour mener son opération militaire en Ukraine, on voit bien qu'elle corrige ses faiblesses, et notamment dans sa capacité industrielle. Mais la vraie nouveauté, qui nous préoccupe le plus et crée un besoin budgétaire nouveau, ce sont les ruptures technologiques. Les avancées dans le spatial, l'intelligence artificielle, le quantique, la furtivité ou l'hyper-vélocité font que n'importe quelle guerre, qu'elle soit « froide ou chaude », charrie un lot très important d'investissements militaires et donc de ruptures que nous ne pouvons pas laisser aux autres. Le pays a-t-il les moyens de suivre ces évolutions ? Nous sommes à un moment de vérité de notre modèle, comme celui du choix de l'atome dans les années 1960. Notre particularité est que l'investissement militaire crée de la valeur économique, y compris dans le secteur civil. Il ne s'agit donc pas seulement d'argent, mais de former les meilleurs ingénieurs, les meilleurs techniciens, et de faire émerger de nouvelles pépites industrielles. De très petites entreprises peuvent être très conquérantes par rapport à certains grands groupes. Le mot « quantique » a été très peu prononcé pendant les débats de la programmation militaire. Or on sait très bien que les grandes puissances et certains pays proliférants travaillent secrètement à des ordinateurs et capteurs quantiques qui seront capables demain de révolutionner le champ de bataille, de l'espace aux fonds marins en passant par le cyber... Chine, Inde, Russie, États-Unis sont les pays qui investissent le plus sur ces sujets. Veut-on rester dans le match ? La question des moyens a été évoquée au dernier sommet de l'Otan, où l'objectif de 3,5 % du PIB pour les dépenses de défense a été fixé. Est-il vraiment atteignable ? La vie militaire française n'a jamais été guidée par un agrégat dicté par l'Otan. Le président de la République m'a demandé de ne pas changer notre méthode de travail. Autrement dit, il faut repartir des menaces, du constat de nos fragilités. Il faut aussi se demander sur quels sujets on veut rester souverains, autonomes et indépendants, et sur quels autres il peut y avoir une interdépendance avec nos partenaires européens. Est-ce le sens de l'histoire que d'augmenter le budget militaire ? Oui. Mais, 2 % du PIB ou 3,5 % du PIB, avec ou sans la dissuasion nucléaire, avec des troupes qui ont - ou non - une expérience au combat, ce n'est pas la même chose ! D'ailleurs, je souhaiterais qu'à l'Otan on parle également d'efforts militaires réels. C'est-à-dire ? C'est-à-dire le nombre de bateaux, de forces terrestres, d'avions de chasse réellement disponibles pour nos plans de défense. Il ne faudrait pas que l'augmentation des crédits soit la plus grande farce du siècle où l'on remplirait des hangars d'équipements - en faisant la fortune des industriels de défense - sans que tout cela ait un impact militaire concret ! Dispose-t-on des capacités industrielles pour la montée en puissance que vous espérez ? Oui. C'est d'ailleurs notre force et presque une anomalie qu'un pays aussi petit que le nôtre soit capable de tout faire ou presque. Nos industriels ont su, pendant toutes les années de disette budgétaire, garder leurs capacités à innover. C'est ce qui fait qu'on n'a pas décroché. Mais ce qui m'inquiète, c'est que si on ne s'accroche pas dans les années qui viennent sur tous les secteurs technologiques que j'ai mentionnés, on pourrait décrocher. Pour éviter cela, les industriels doivent faire des efforts sur fonds propres et l'État doit procéder à des financements de programmes nouveaux. On doit aussi renouer avec une culture de la production. Il faut que l'industrie de défense soit capable aussi de s'inspirer des modèles de production en grande série comme celui du monde automobile. Vous annonciez cette alliance de la défense avec l'industrie automobile il y a déjà plusieurs mois. Où en est-on aujourd'hui ? C'est en cours. Nous nous y préparons pour l'Ukraine avec une munition téléopérée longue portée qui s'appelle Chorus. C'est nous qui avons sollicité un mariage entre un droniste agile, nouvel acteur du marché, et une entreprise qui sait produire en grande série. On parle de 600 drones produits par mois. Ce doit être un modèle d'inspiration. Néanmoins, au global, je trouve que cela ne va pas assez vite. Il reste des freins, notamment la question de l'organisation des sous-traitants. Il faut se demander comment on donne aux PME davantage de visibilité pour qu'elles puissent prendre plus de risques. C'est un domaine sur lequel les grands industriels n'ont d'autre choix que de bouger. Le 11 juillet, le chef d'État-major des armées a affirmé que La France était l'ennemi numéro un de la Russie en Europe. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous sommes une grande puissance militaire. Si la France est vraiment l'ennemie de Vladimir Poutine, pourquoi aurait-il passé deux heures au téléphone avec Emmanuel Macron la semaine passée ? La conversation a tourné autour de l'Iran et de son programme nucléaire. Notamment parce que la Russie a un rôle particulier dans le traité de non-prolifération. Dans le moment que nous traversons, nous avons perdu quelques réflexes historiques liés à la guerre froide. Les puissances nucléaires ont des devoirs particuliers, notamment entre elles. Il a toujours été entendu qu'en matière nucléaire il fallait se parler et le fameux téléphone rouge existe encore. Ils ont aussi évoqué l'Ukraine... Il aurait été impensable qu'ils n'en parlent pas. Justement, les attaques aériennes russes y sont de plus en plus massives tandis que les troupes avancent sur le front est. Comment aider Kiev ? Il y a effectivement un grignotage de territoire qui s'est accéléré, mais cela reste du grignotage. Deuxième chose : plus il est question de discussion et de négociation avec la Russie, plus l'armée russe augmente ses frappes dans la profondeur via les drones et les missiles. Enfin, on peut imaginer que la Russie, dans une létalité débridée, tente, entre l'été et l'hiver, d'accentuer encore son avantage. Mais, dans l'immédiat, l'Ukraine a surtout besoin de protéger son ciel... C'est vrai et c'est pour cela que nos échanges continuent avec les États-Unis pour maintenir un niveau d'aide important sur le volet sol-air. C'est évidemment le domaine dans lequel l'aide américaine est la plus déterminante puisque la disponibilité des systèmes Patriot reste sous dépendance américaine. De notre côté, nous sommes dans un moment de trou capacitaire, car les choix du passé nous conduisent à devoir attendre 2026 et la nouvelle génération de dispositifs de défense sol-air SAMP/T-NG. Cette semaine, la France et le Royaume-Uni ont annoncé une nouvelle coordination nucléaire. En quoi consiste-t-elle ? Le président de la République et le Premier ministre Starmer ont indiqué qu'une menace extrême sur l'Europe amènerait une réponse commune des deux pays. Ils n'ont cependant précisé ni les pays européens concernés, ni la définition de cette menace extrême, pas plus que la réponse commune qui serait apportée. Car l'ambiguïté doit entourer notre dissuasion. Mais, avec cette coopération, on rend encore plus compliqué le calcul de nos adversaires potentiels. Cela ne signifie pas une homogénéisation des doctrines comme certains l'ont dit. Et encore moins que nous cédons notre indépendance dans le domaine. Le nucléaire, c'est en ce moment aussi le programme de l'Iran. A-t-il été retardé de deux ans par les frappes américaines comme le dit Washington ? Seuls les Iraniens peuvent le savoir. Et peut-être même pas complètement. Tout dépend de la localisation des stocks, avec tous les risques de dissémination que cela comporte. L'élimination d'une poignée de scientifiques ne suffit pas non plus. Il ne faut pas sous-estimer le régime iranien, ni sa profondeur stratégique. Il dispose d'un capital de connaissances accumulées, de matières premières importantes et de proxies, même s'ils sont très affaiblis. Le risque, aujourd'hui, c'est d'avoir un régime des mollahs qui tire pour seule conclusion qu'avec la bombe il ne lui serait pas arrivé ce qui lui est arrivé. Et qu'il décide de franchir le seuil tôt ou tard... Téhéran pourrait-il aussi réagir par des attaques projetées, notamment en Europe ? C'est déjà arrivé par le passé. L'Iran, soit par des proxies, soit plus ou moins directement, a les capacités de commettre des attentats, d'éliminer des opposants, de porter atteinte à des intérêts israéliens ou occidentaux. Nous avons donc une vigilance très forte sur ces sujets car l'Iran maîtrise cette hybridité mieux que quiconque. Les houtistes sont l'un des proxies et, ces derniers jours, ils ont attaqué deux cargos en mer Rouge. Êtes-vous inquiet pour la sécurité dans cette zone, en particulier celle des navires français ? C'est un vrai sujet de préoccupation, oui. C'est pour cela que la mission Aspides, avec notre Marine nationale et celles d'autres pays européens, se déploie actuellement dans la région. Ces attaques sont un autre exemple des dérèglements du monde. Que la marine française tire, comme elle l'a fait, un nombre important de missiles Aster pour faire de la sécurisation d'espace maritime, ça n'était jamais arrivé. L'Indonésie est invitée d'honneur de ce 14 Juillet. Ce sera l'occasion de signer de nouveaux contrats ? Non, car d'importants engagements ont déjà été signés lors du déplacement d'Emmanuel Macron en Indonésie il y a un mois. Cette visite du président Prabowo est surtout celle d'un amoureux de la France, qui exprime sa confiance dans nos systèmes d'armes terrestres, navales et aériennes. Voir de très grands pays émergents comme l'Indonésie vivre comme un insigne honneur d'être les invités de notre fête nationale, dit quelque chose de ce que nous sommes. Soyons-en fiers ! Le 14 Juillet est aussi synonyme de cohésion nationale. N'a-t-elle pas été altérée par la dissolution et l'instabilité politique qu'elle a créée ? L'Assemblée nationale est là pour représenter la nation, pas pour assurer sa cohésion. La cohésion nationale, elle se fait autour de notre histoire, de notre langue, du drapeau, de nos projets. Je ne me satisfais pas pour autant de la manière dont les choses peuvent parfois se passer à l'Assemblée. Il nous faut apprendre la culture parlementaire de compromis. Le fait que le président de la République ne puisse pas se représenter en 2027 crée un moment politiquement inédit pour le pays. Le « Macron bashing » ne peut plus être la seule valeur refuge pour certains opposants et chaque formation politique doit donc prendre ses responsabilités. Modifié le 13 juillet par Titus K 1 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet (modifié) il y a 56 minutes, Rouletabille a dit : En l'absence du fil LPM : le PR annonce 7.5 mds supplémentaires sur deux ans à travers une actualisation de la LPM. Si il existe : "[LPM] Loi Programmation Militaire" dans "économie et défense" Modifié le 13 juillet par Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) le 13 juillet Share Posté(e) le 13 juillet il y a 20 minutes, Bechar06 a dit : Si il existe : "[LPM] Loi Programmation Militaire" dans "économie et défense" Il est verrouillé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) lundi à 09:21 Share Posté(e) lundi à 09:21 Il y a 14 heures, Rouletabille a dit : Il est verrouillé. LE FIL LPM EST ROUVERT PRIERE DE POSTER DESSUS. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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