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http://www.liberation.fr/france/2017/11/28/des-rafale-pris-dans-les-meandres-de-la-politique-indienne_1613189

Citation

Des Rafale pris dans les méandres de la politique indienne

Par Pierre Alonso — 28 novembre 2017 à 20:26

La ministre des Armées doit s’entretenir ce mercredi avec un haut cadre indien alors que le contrat portant sur 36 avions de chasse est vivement critiqué par l’opposition au gouvernement Modi.

Le rendez-vous est calé à midi trente, entre un entretien avec le président d’un syndicat et un déjeuner avec le ministre de la Défense qatari. Mercredi, Florence Parly, la ministre des Armées, doit s’entretenir avec Selvin Christopher, à la tête de l’équivalent indien de la direction générale de l’armement. Au menu des discussions figurent notamment des «prospects» pour de futurs contrats avec les industriels français.

Révélation

Ces dernières années, l’Inde est le plus gros acheteur d’armes françaises, avec un total d’environ 13 milliards d’euros pour la période 2007-2016, selon le dernier rapport sur les exportations présenté au Parlement. Un montant propulsé par la vente de 36 Rafale, signée en 2016 et aujourd’hui vertement critiquée par les adversaires du Premier ministre indien. Florence Parly abordera-t-elle le sujet avec Selvin Christopher ? Son entourage botte en touche : «On ne se mêle pas de politique intérieure.»

Depuis mi-novembre, la principale force d’opposition au gouvernement Modi, le Parti du congrès, se déchaîne contre le contrat des Rafale, accusé de trahir l’intérêt national et la sécurité. Le directeur de la communication de la formation politique est allé plus loin, assurant que le contrat avait «violé les procédures d’achat du ministère de la Défense». Conclu en septembre 2016, sous la présidence Hollande, le contrat prévoit la vente de 36 avions de chasse de Dassault. Il conclut les discussions, entamées presque quinze ans plus tôt, sur un mégacontrat de 126 appareils, dont une grande majorité devait être fabriquée sur place, après transfert de technologies. La lourdeur de la procédure, toujours pas achevée en 2015, convainc Narendra Modi de réduire le volume de la commande et d’en revoir les modalités.

Affrontements

Pour les acquérir plus vite, le nouveau Premier ministre indien, aux manettes depuis 2014, annonce lors d’une visite à Paris en avril 2015 sa décision d’acheter 36 appareils fabriqués en France. L’intention est formalisée un an plus tard, le 23 septembre 2016, lors de la signature du contrat. Le marché s’élève à 8,7 milliards de dollars (environ 7,3 milliards d’euros). L’accord comprend des «offsets», soit une clause de compensation industrielle, par laquelle Dassault s’engage à investir en Inde 50 % de la valeur totale du contrat. Pour ce faire, l’industriel français s’allie avec le géant privé indien Reliance, avec qui il crée une société commune, Dassault Reliance Aerospace (DRA). Pour Gilles Boquérat, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), ce schéma correspond au modèle que tente d’imposer Modi : «Depuis l’annonce de sa politique du "Make in India", Modi veut faire en sorte que les acteurs privés entrent dans le secteur de l’armement car les grands groupes publics indiens n’ont pas très bonne réputation.» Ce qui freinait jusqu’ici les transferts de technologie, et donc la signature de grands contrats d’armement, selon le chercheur.

Mais l’opposition à Modi s’interroge fortement sur le choix du partenaire de Dassault et la rapidité avec laquelle DRA fut créée après la signature du contrat. Un homme est particulièrement dans le viseur : Anil Ambani, un milliardaire qui a hérité, avec son frère, de l’empire Reliance bâti par leur père. Le Parti du congrès affirme qu’Ambani, proche du Premier ministre Modi, a participé aux négociations, notamment sur le montant du contrat dont il est de fait l’un des grands bénéficiaires. Le vice-président du Parti du congrès, Rahul Gandhi, a, lui, pointé l’absence d’expérience de Reliance en aéronautique, tançant un «capitalisme de copinage» promu par le gouvernement.

Marchés juteux

Reliance a rejeté les accusations, «sans fondement» selon la société. Contacté, Dassault se refuse à tout commentaire s’agissant d’une «affaire indo-indienne». Selon Mediapart, un diplomate de l’ambassade de France à New Delhi a volé au secours de l’avionneur, défendant devant des journalistes indiens les «performances exceptionnelles» de Dassault, «la compétitivité de ses tarifs» et le «respect des règles en vigueur» dans cette procédure «totalement transparente». En Inde, le climat politique est propice à ce genre d’affrontements, souligne Boquérat : «Le Parti du congrès est en perte de vitesse.»

A ce stade, le contrat pour les 36 Rafale ne paraît pas menacé, mais l’affaire pourrait rejaillir sur de futures acquisitions. L’armée de l’air indienne souhaite continuer d’étoffer sa flotte d’avions de combat, de même que la marine. Des marchés juteux qui aiguisent les appétits, y compris en France, où l’exécutif ne ménage pas ses efforts pour se rapprocher de New Delhi. Florence Parly s’est rendue en Inde fin octobre. Sur Twitter, elle avait dûment salué la nomination de son homologue, quelques semaines plus tôt. Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères et artisan de la première vente de Rafale à l’Inde, y était ce mois-ci, notamment pour préparer la venue d’Emmanuel Macron, prévue en début de l’année prochaine. Un sujet dont Parly doit également parler ce mercredi.

 

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Je ne pense pas que cette phase soit si mauvaise. Ca permet a tout le monde de s'exprimer. Je le disais au-dessus ça ressemble à un mariage quand le célébrant demande à l'assemblée si il y a quelqu'un pour s'opposer, ou sinon qu'il se taise à jamais. L'inde est une démocratie. Il faut bien qu'il  ait débat. C'est même plutôt bon signe pour le calendrier de Macron puisque le débat se concentre sur reliance et le rafale. Ca veut dire que l'opposition a été avertie.

Ce qui est intessant aussi c'est que le précédant gouvernement a été indirectement attaqué sur son incompétence à verrouiller un contrat avec 126 rafales. Si ce contrat affiche plus alors le contraste sera saisissant. Il faut bienque Modi affiche une victoire importante sur sont Make in India avant leurs élections.

Je remarque que plus personne ne parle du Single engine.

Enfin bon ce qui m'embète c'est qu'on n'a pas de chiffres et qu'on ne connaît pas non plus l'étendu de l'accord stratégique : barracuda ou pas, PA ou pas, nucléaire ou pas, ville connectée ou pas, etc .... Hier PARIKRAMA nous a posté un article concernant le barracuda donc peut-être ...

Modifié par herciv
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Il y a 6 heures, prof.566 a dit :

Après pour la campagne on était prévenus...

Absolument. Et encore on pouvait s'attendre à plus virulent à priori ... A ce que l'on peut lire, et vue l'enjeu pour les "Babus" (donc !) & autres opposants, cela reste somme toutes prévisible, voir presque même "contenu" ...

Bon après, avec l'approche de "l'échéance", les crispations peuvent encore se raidir les semaines à venir.

A suivre ...

Modifié par jojo (lo savoyârd)
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4 hours ago, herciv said:

Je remarque que plus personne ne parle du Single engine.

Enfin bon ce qui m'embète c'est qu'on n'a pas de chiffres et qu'on ne connaît pas non plus l'étendu de l'accord stratégique : barracuda ou pas, PA ou pas, nucléaire ou pas, ville connectée ou pas, etc .... Hier PARIKRAMA nous a posté un article concernant le barracuda donc peut-être ...

lien stp?

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Pour visualiser le renouvellement des avions de l'IAF

upload_2017-11-28_21-36-45-png.7575

Les indiens parlent tous le temps de 42 escadrons, mais à mon avis le gouvernement cherchera seulement à rester à 35. Par contre le Tejas ne sera pas au rendez vous. Donc on se retrouvera en 2022 avec 33 escadrons ce qui justifie la prochaine commande de 36 Rafale. Ensuite il y a une chute de 6 escadrons jusqu'en 2027 cela pourrait être remplacé par des Rafale ou par des F-16. Compte tenu de la limitation à 35 escadrons plutôt qu'à 42 l'IAF aura des arguments pour exiger des Rafale.

Modifié par Picdelamirand-oil
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Il y a 5 heures, Picdelamirand-oil a dit :

Pour visualiser le renouvellement des avions de l'IAF

upload_2017-11-28_21-36-45-png.7575

Les indiens parlent tous le temps de 42 escadrons, mais à mon avis le gouvernement cherchera seulement à rester à 35. Par contre le Tejas ne sera pas au rendez vous. Donc on se retrouvera en 2022 avec 33 escadrons ce qui justifie la prochaine commande de 36 Rafale. Ensuite il y a une chute de 6 escadrons jusqu'en 2027 cela pourrait être remplacé par des Rafale ou par des F-16. Compte tenu de la limitation à 35 escadrons plutôt qu'à 42 l'IAF aura des arguments pour exiger des Rafale.

Chez moi ton image ne passe pas, ça concerne d'autres personnes ? Est-ce envisageable d'essayer de la reposter s'il te plait ?

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il y a 4 minutes, Teenytoon a dit :

Quelqu’un a une légende du tableau ? Les chiffres c’est le nombre d’escadrons ?

Dans ce cas on est loin des 200 Rafale rêvés en Inde. 

C'est le plan avec les commandes actuelles. Du coup il y a deux escadrons pour les 36 rafale commandes.

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il y a 28 minutes, Teenytoon a dit :

Ok donc c’est un état des lieux de l’existant en terme de commande et du prévisionnel en terme de retrait d’appareils. 

Yep il faudra ensuite voir comment les choses vont évoluer en terme de commandes.

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Il y a 1 heure, Teenytoon a dit :

Ok donc c’est un état des lieux de l’existant en terme de commande et du prévisionnel en terme de retrait d’appareils. 

29 escadrons en 2027 s'il n'y a pas d'autres commandes, alors que l'objectif est de revenir à 42, laisse peu de doutes sur l'interprétation à faire de ce tableau :tongue:

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Il y a 13 heures, Teenytoon a dit :

Quelqu’un a une légende du tableau ? Les chiffres c’est le nombre d’escadrons ?

Dans ce cas on est loin des 200 Rafale rêvés en Inde. 

 

il y a 32 minutes, DEFA550 a dit :

29 escadrons en 2027 s'il n'y a pas d'autres commandes, alors que l'objectif est de revenir à 42, laisse peu de doutes sur l'interprétation à faire de ce tableau :tongue:

On est loin des 200 Rafale rêvés oui, il se pourrait même qu'on tape le plafond et qu'on le dépasse allègrement !
Bon... Cessons de rêver. 

Ils ont peu ou proue 250 avions à commander (rappelez moi le nombre d'avions par escadron déjà ? Je crois 15 ou 18), en plus de 36 Rafale déjà dans les tuyaux. En plus on ne parle là que de l'Indian Air Force, puisque dans le meilleur des mondes, dans les 200 Rafale qu'on a compté dans les pronostic, 57 partent pour l'Indian Navy.

Donc 200 moins 36 déjà commandés, moins 57 pour la Navy, ça nous donne une grosse centaine de Rafale supplémentaires à commander pour l'IAF. Avec le Make In India qui se met doucement mais surement en place, ça nous fait 3 commandes de 36 supplémentaires, et on approcherait de la cible initiale des 126, en étant même entre deux en considérant les 63 en options, puisque la cible haute était de 189 avions pour le MMRCA.

Puisque le SE semble faire Pshiiiiit (et pour le coup ça me rassure dans mes prédictions, sans pour autant m'appeler Parikrama j'ai visé juste pour l'instant), le FGA faisant plouf aussi, reste le Tejas pour combler les acquisitions.
je table, au doigt mouillé levé dans le vent, sur une production simultanée de Rafale et de Tejas pour compléter les effectifs et accompagné la remontée en puissance de l'IAF, avec peut être encore un petit lot d'avions provenant en partie de France (avec des équipements produits en Inde à bord peut être), et la mise en compétitions des bureaux d'études pour l'aide au développement d'un nouvel avion destiné à remplacer le Su-30 MKI une fois tous ces projets sur rail. ça resterait le plus logique.

Le but premier de l'Inde est l'obtention de son indépendance stratégique au travers de la constitution d'un écosystème fiable d'une industrie de défense aéronautique. Et peut-être même que ça déboucherait sur le civil, qui sait... Les besoins internes sont énormes et je me demande encore pourquoi ils n'ont pas des ambitions pour concurrencer la Chine sur les avions régionaux. Mais je divague... 

Donc oui, la cible de 200 Rafale est atteignable, mais réponse définitive d'ici une bonne quinzaine d'années.

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Le ‎30‎/‎11‎/‎2017 à 11:39, bubzy a dit :

(rappelez moi le nombre d'avions par escadron déjà ? Je crois 15 ou 18),

18 pour l'air, 19 pour l'aéronavale. Il suffit de regarder les nombres demandés : 36 Rafale pour deux escadrons de l'IAF, donc 18 par escadron. 57 MRCBF pour trois escadrons de l'IN, donc 19 par escadron.

Après ça dépend aussi du type d'avion et de sa disponibilité. Le total final originellement prévu pour les Su-30MKI était de 230 appareils (ce qui ne peut guère se diviser à taille égale qu'en 10 escadrons de 23), mais après il y a eu un ajout de 42 en plus pour les forces aériennes stratégiques (2 escadrons de 21). Si la disponibilité s'améliore suffisamment, ils pourraient reconfigurer ça en 16 escadrons de 17 avions (et paf, quatre escadrons de plus).

D'après Wikipédia et le tableau ci-dessus, on a:

  • MiG-21: six escadrons pour 245 appareils, ce qui fait plus de 40 appareils par escadron. Ça me parait un peu beaucoup, donc je vais mettre en doute la fiabilité d'au moins une des sources. Il est bien possible que le nombre d'appareils en service soit surestimé par Wikipédia, par exemple en ne tenant pas compte de ceux qui sont retirés du service avant qu'ils ne se plantent dans un champ. (Quand un avion s'écrase quelque part, on en parle dans la presse. Quand il est mis sous cocon dans un entrepôt, non.)
  • MiG-27: deux escadrons pour 66 appareils, donc 33/esc. Là encore, un peu beaucoup tout de même.
  • MiG-29: trois escadrons pour 66 appareils, donc 22/esc. C'est déjà plus vraisemblable.
  • Jaguar: six escadrons pour 130 appareils, donc un peu plus de 21/esc. Raisonnable.
  • Tejas: deux escadrons 40 appareils commandés, donc 20/esc. Un total de 120 est prévu, ce qui ferait logiquement six escadrons, mais ce n'est pas représenté sur le tableau.
  • Mirage 2000: trois escadrons pour 45 appareils, donc 15/esc. Un peu léger, mais ils ont eu de l'attrition.
  • Rafale: deux escadrons pour 36 appareils commandés, donc 18/esc. Ça, c'est sûr.
  • Su-30MKI: quatorze escadrons pour 272 appareils commandés, donc un peu plus de 19/esc. On est dans les clous.

Voilà, ça vaut ce que ça vaut, mais on peut se faire une vague idée.

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il y a 51 minutes, Kelkin a dit :

18 pour l'air, 19 pour l'aéronavale. Il suffit de regarder les nombres demandés : 36 Rafale pour deux escadrons de l'IAF, donc 18 par escadron. 57 MRCBF pour trois escadrons de l'IN, donc 19 par escadron.

sauf que tu ne fait pas voler deux squadrons à 18 avec 36 avions car ces 36 machines doivent intégrer le volant d'attrition, de plus il te faut assurer la formation/transformation des pilotes au moins au sein d'un des deux squadrons ... bref 36 avions comptons sur 30/32 au mieux en ligne etpas tous dédiés au combat sans parler de maintenir les 30/32 sur 30 ans

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Révélation

 

Navy chief admits damage to INS Chakra

For the first time, the navy has officially confirmed that INS Vishal, its second indigenous aircraft carrier that will be built in the 2020s, will be a conventionally-powered vessel, not a nuclear powered warship as earlier envisaged.

Indian Navy chief, Admiral Sunil Lanba told a press conference on Friday that the navy is going in for a “65,000-tonne, two-deck, CATOBAR (catapult take off but arrested landing), conventionally powered” carrier. It would incorporate the latest “EMALS (electro-magnetic aircraft launch system) and AAG (advanced arrester gear)” developed by US firm, General Atomics, for launching and recovering aircraft.

First reported by Business Standard (October 27, “Navy drops cherished dream of nuclear-powered aircraft carrier”), this has now been officially confirmed.

The chief of naval staff (CNS) also confirmed the navy’s ongoing acquisition of 57 multi-role carrier-borne fighters (MRCBF) was meant for both indigenous aircraft carriers – INS Vikrant, which would be commissioned in end-2020, and INS Vishal which would take another decade.

With the Naval Tejas fighter unsuitable for deployment, the MRCBF procurement is regarded as essential by the navy, said Lanba.

Providing an update on the MRCBF procurement, Lanba said the navy’s Request for Information (RFI) that had been floated earlier this year had received four responses. Sources say these are from Boeing for its F/A-18E/F, Dassault for the Rafale Marine, Saab for its Gripen Maritime and from Russia for an updated MiG-29K, which the navy is already flying.

“We will take the [MRCBF acquisition] process forward. But the middle of next year, we should be able to float the RFP (request for proposals, as the tender is called)”.


 

Traduction

Le chef de la marine admet des dommages à INS Chakra

Pour la première fois, la marine a officiellement confirmé que l'INS Vishal, son deuxième porte-avions indigène qui sera construit dans les années 2020, sera un navire à propulsion conventionnelle, et non un navire de guerre à propulsion nucléaire comme prévu précédemment.

Le chef de la marine indienne, l'amiral Sunil Lanba, a déclaré vendredi lors d'une conférence de presse que la marine s'apprêtait à acquerir "un porte-avions de 65 000 tonnes, CATOBAR (décollage par catapulte mais atterrissage arrêté)". Il comprendrait la derniere version d'EMALS (système de lancement d'avion électromagnétique) et AAG (équipement d'arrêt avancé)" développé par la société américaine General Atomics, pour le lancement et la récupération d'avions.

D'abord signalé par Business Standard (27 octobre, "Navy quitte son rêve de porte-avions à propulsion nucléaire"), cela a maintenant été officiellement confirmé.

Le chef du personnel naval (CNS) a également confirmé que l'acquisition en cours de 57 avions de combat multi rôles (MRCBF) était destinée aux deux porte-avions locaux - INS Vikrant, qui serait mis en service à la fin de 2020, et INS Vishal, qui lui a besoin d'une autre décennie.

Avec le Naval Tejas qui est un  chasseur inutilisable pour le déploiement, l'achat du MRCBF est considéré comme essentiel par la marine, a déclaré Lanba.

Fournissant une mise à jour sur l'approvisionnement du MRCBF, Lanba a déclaré que la demande de renseignements (RFI) de la Marine qui avait été lancée plus tôt cette année avait reçu quatre réponses. Des sources affirment que ce sont Boeing pour son F / A-18E / F, Dassault pour le Rafale Marine, Saab pour son Gripen Maritime et de Russie pour un MiG-29K mis à jour, que la marine fait déjà voler.

"Nous allons faire avancer le processus [acquisition MRCBF]. Mais au milieu de l'année prochaine, nous devrions être en mesure de lancer la RFP (demande de propositions, comme l'appel d'offres est appelé) ".

http://ajaishukla.blogspot.fr/2017/12/navy-chief-admits-damage-to-ins-chakra.html

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