Chaps Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 http://fr.news.yahoo.com/4/20090714/twl-somalie-francais-otages-bd5ae06.html ...Dans un premier temps, les deux Français, dont l'identité n'a pas été précisée, ont été présentés comme des journalistes. Mais un responsable gouvernemental somalien a indiqué que les deux hommes travaillaient sous couverture pour leur propre protection. "Il s'agit de conseillers, et non de journalistes, qui sont venus en Somalie pour entraîner les membres des services de sécurité de la présidence", a dit ce responsable. "Ils sont en mission", s'est borné à dire à Paris Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères. Plusieurs hommes armés, dont certains étaient vêtus d'uniformes, ont pénétré dans l'hôtel Sahafi, ont menacé les vigiles et sont allés chercher les Français directement dans leurs chambres, a dit un responsable de l'hôtel. Plusieurs ministres du gouvernement dirigé par le président cheikh Charif Ahmed résident dans cet établissement et se trouvaient dans leurs chambres au moment des faits. On ignore qui sont les ravisseurs, mais une milice islamique pro-gouvernementale a affirmé qu'il s'agissait d'éléments mutinés de l'armée. ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 les journalistes pris en otage en somalie seraient en faît des des agents de renseignement français selon l'AFP ... Deux "conseillers français" ont été enlevés mardi à Mogadiscio où ils apportaient une aide en matière de sécurité au gouvernement fédéral, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères, confirmant une information de source somalienne. "Deux conseillers français en mission officielle d'assistance auprès du gouvernement somalien ont été enlevés ce matin (mardi) à Mogadiscio par des hommes armés", selon un communiqué du ministère français. "Ils apportaient une aide en matière de sécurité au gouvernement fédéral de transition du président Cheikh Charif. Dès que cette information a été connue, tous les services de l'Etat concernés se sont mobilisés ainsi que notre ambassade à Nairobi, compétente pour la Somalie", a ajouté ce communiqué. Le ministère n'a donné aucune précision sur l'identité de ces fonctionnaires, sur le fait de savoir s'il s'agit de militaires ou de civils, leur corps d'origine ou la durée de leur présence en Somalie. Un haut responsable somalien avait indiqué auparavant que les deux étrangers enlevés étaient des Français travaillant pour les services de renseignement français. Il avait précisé à l'AFP que les otages n'étaient pas des journalistes, contrairement à ce qu'avait indiqué dans un premier temps la police somalienne. © AFP - Mustafa AbdiLes deux otages ont été enlevés mardi matin dans l'hôtel Sahafi, dans le sud de la capitale somalienne, Mogadiscio, par une dizaine de miliciens qui ont désarmé les gardes de sécurité de l'hôtel, selon un policier somalien. Le directeur de l'hôtel Sahafi, Mohamed Mohamoud, avait indiqué que les deux otages s'étaient enregistrés comme journalistes auprès de son hôtel, sans pouvoir préciser leur nationalité. L'enlèvement des deux hommes s'est produit le jour de la fête nationale française, marqué par un défilé annuel à Paris des unités d'élite des forces armées. Selon une source française proche du dossier, les deux "conseillers participaient à la préparation et à l'évaluation d'une mission d'assistance officielle à la demande des autorités gouvernementales somaliennes". Cette mission était "relative à la formation de personnels" somaliens. La France s'est engagée au printemps à former à Djibouti un bataillon de l'armée somalienne, soit 500 hommes. La France dispose à Djibouti d'une base permanente de 2.900 militaires et la formation devait débuter cet été. A l'origine, la formation de militaires somaliens devait débuter en septembre. En raison de la dégradation de la situation à Mogadiscio, les préparatifs se sont accélérés et cette formation devait débuter en août à Djibouti. Le gouvernement somalien ne peut actuellement compter que sur 3.000 soldats et policiers sous-équipés pour garantir la sécurité d'un pays en proie depuis 1991 à une guerre civile. Depuis deux mois, le gouvernement somalien est soumis à des attaques incessantes de milices extrémistes islamistes qui ont juré de combattre jusqu'au départ de la force de paix de l'Union Africaine en Somalie (Amisom - 4.300 hommes sur 8.000 initialement prévus), déployée depuis début 2007 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 Jean-Dominique Merchet et Jean Guisnel s'avancent sur le sujet: http://secretdefense.blogs.liberation.fr/defense/2009/07/somalie-deux-conseillers-fran%C3%A7ais-en-mission-officielle-enlev%C3%A9s.html Somalie : les deux Français enlevés sont des "conseillers en mission officielle" enlevés Les deux étrangers enlevés ce matin à Mogadiscio (Somalie) sont des "conseillers français en mission officielle d'assistance auprès du gouvernement somalien", indiquent les autorités françaises dans un communiqué du Quai d'Orsay. Selon toute vraisemblance, il s'agit d'hommes envoyés récemment sur place par la DGSE pour une mission de conseil en matière de sécurité, dans le cadre du soutien de la France au gouvernement légal du président cheikh Charif Ahmed . Il ne s'agirait donc d'agents engagés dans une mission clandestine, liée par exemple à la lutte contre la piraterie maritime. L'enlèvement a d'ailleurs eu lieu dans l'hotel Sahafi, en plein coeur de la zone verte - la plus sécurisée - où séjourne plusieurs ministres. Selon des sources locales, citées par l'agence Reuters, il pourrait s'agir de la conséquence d'une mutinerie d'une partie des soldats de l'armée officielle http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-14/somalie-les-deux-francais-enleves-appartiendraient-a-la-dgse/1648/0/361073 Selon le quai d'Orsay, les deux Français enlevés mardi matin en Somalie ne sont pas des journalistes, mais des "conseillers" qui apportaient une aide en matière de sécurité au gouvernement fédéral reconnu par la communauté internationale. Ce qui constitue une forme de confirmation d'une information de source somalienne, selon laquelle ces deux personnes appartenaient à un service de renseignement français. En fait, d'après les informations du Point, ces deux personnes ont été envoyés en Somalie par un service du ministère de la défense. Lequel se refuse à confirmer que les deux hommes appartiendraient à la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure). Pour Paris, la mission des deux hommes était parfaitement honorable et légitime, l'absence d'un État de droit en Somalie constituant un obstacle majeur au retour de la stabilité dans la région, mais le gouvernement d'union nationale (GUN) de l'islamiste "modéré" Sharif Cheikh Ahmed n'est absolument pas en état de faire preuve de la moindre autorité sur un territoire qu'il ne contrôle pas. Dimanche, une offensive conduite par les troupes qui lui sont restées fidèles avait provoqué la mort de 21 personnes dans le quartier Abdiasis, situé au nord de la capitale somalienne. Le président avait alors "évoqué une victoire décessive." Il avait ensuite considéré qu'elle avait permis la prise de contrôle de la majeure partie de Mogadiscio. Selon une source à Mogadiscio citée par l'AFP, les deux conseillers français étaient arrivés en Somalie le 5 juillet dernier. Les conditions de leur enlèvement à l'hôtel Sahafi ne laissent guère de place au doute : deux véhicules, dont l'un avec une dizaine d'hommes en armes, se sont engouffrés dans l'enceinte de l'hôtel, avant d'en ressortir avec les deux hommes. Il paraît clairement qu'ils étaient visés. Comme d'habitude dans ces circonstances impliquant des ressortissants français, le rôle du quai d'Orsay dans cette affaire est un pur affichage : la gestion de la crise est directement pilotée par la présidence de la République Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 Si leur ''couverture'' à sauté en moins de dix jours, il y a un problème Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chris. Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 ils (les 2 "conseillers") sont dans la grosse merde, en tout cas...les journalistes sont déjà pas très bien traités, alors des "combattants" ennemis... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 Si leur ''couverture'' à sauté en moins de dix jours, il y a un problème A priori c'est des mutins du camp pour lequel ils bossaient qui ont fait le coup ... donc ils devaient etre au courant du role des conseillers militaires puisqu'ils bossaient ensemble. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chaps Posté(e) le 14 juillet 2009 Share Posté(e) le 14 juillet 2009 A priori c'est des mutins du camp pour lequel ils bossaient qui ont fait le coup ... donc ils devaient etre au courant du role des conseillers militaires puisqu'ils bossaient ensemble. C'est ce que je me suis dit... Si ca se trouve, ce sont "leurs élèves" qui les ont enlevés pour les offrir en présent aux milices islamistes en signe d'allégeance et de demande de clémence pour avoir combattu du "mauvais coté". Vu l'état du "gouvernement officiel", c'est tous les matins qu'il doit y avoir des ralliements et des défections dans leur "armée"... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
von mama Posté(e) le 15 juillet 2009 Share Posté(e) le 15 juillet 2009 Vu l'état du "gouvernement officiel", c'est tous les matins qu'il doit y avoir des ralliements et des défections dans leur "armée"... 8) 3000 hommes sous-équipés et formé a la va-vite c'est loin d'etre une "armée " ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sargon d'Akkad Posté(e) le 15 juillet 2009 Share Posté(e) le 15 juillet 2009 Somalie: les deux agents français sont détenus par des insurgés islamisteshttp://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iSqlnVTMJ2NCHeMu7G4iVfLw9iAA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nitro Posté(e) le 15 juillet 2009 Share Posté(e) le 15 juillet 2009 Arf ça commence à être mauvais là :( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
scorpion-rouge35 Posté(e) le 15 juillet 2009 Share Posté(e) le 15 juillet 2009 ça va pas être facile de les libérés ceux la , c'est une trop belle prise pour les djihadistes . =( Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sargon d'Akkad Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 Moi si j'étais journaliste, j'aurai porter plainte contre l'état français, avec cet acte, il met en danger la vie des vrais journaliste sur le terrain... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aviapics Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 Hier soir sur france info un ancien agent du SA disait que c'etait une des couvertures utilisees, comme medecin d'ONG...Que ca ne changeait pas grand chose pour les journalistes, car dans un pays comme la Somalie, tous les journalistes sont en danger! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
roland Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 Moi si j'étais journaliste, j'aurai porter plainte contre l'état français, avec cet acte, il met en danger la vie des vrais journaliste sur le terrain... c'est plus interessant de prendre un journaliste en otage qu'un "conseillé" donc je vois pas en quoi ça nui a la profession. Les journalistes se sont très bien mis en danger tous seuls avec le cinema qu'il nous font chaque fois qu'un des leur est capturé. c'est des civils ou des militaires qui ont été capturés ? edit: bon c'est des militaires, c'est vrai que le contraire aurait été étonnant. J'avais cru comprendre après un sale coup en Afghanistan que dans ces coins pourri 'il n'était plus question de se faire prendre vivant, comme semblait le confirmer un petit accrochage au Soudan ou un gars blessé s'était piègé avant de perdre connaissance. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
predateur Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 Mohammed Ali Ibrahim, ministre somalien des Affaires sociales, a déclaré à FRANCE 24 que les deux otages français enlevés mardi sont détenus par deux différents groupes. L’un est aux mains des Shebab, l’autre du groupuscule Hezb al-Islam. AFP - Les deux agents de renseignement français enlevés mardi par des hommes armés à Mogadiscio étaient détenus jeudi dans la capitale somalienne par deux groupes islamistes distincts, ont indiqué des sources somaliennes. "Les deux Français sont actuellement à Mogadiscio et sont en bonne santé à notre connaissance", a déclaré sur la chaîne France 24 le ministre somalien des Affaires sociales Mohammed Ali Ibrahim, ajoutant que le Premier ministre somalien Omar Abdirashid Sharmarke avait "pu parler avec l'un des deux otages pour le rassurer". "Les otages sont en bonne santé" "Le parti shebab a pris l'un des deux otages et l'autre est entre les mains du Hezb al-Islam, mais nous sommes en négociation avec eux et espérons aboutir à un résultat positif", a-t-il ajouté. Un responsable islamiste à Mogadiscio avait indiqué auparavant à l'AFP que les Français avaient été séparés entre deux groupes islamistes distincts, celui des extrémistes radicaux des shebab et la milice Hezb al-Islam du chef islamiste radical cheikh Hassan Dahir Aweys. Selon ce responsable qui a requis l'anonymat, la séparation des otages est intervenue après une dispute de plusieurs heures entre les deux groupes d'insurgés islamistes. "Les deux groupes ont décidé ce (jeudi) matin de diviser les otages entre leurs deux groupes après une longue dispute sur leur sort", a déclaré ce responsable islamiste, ajoutant: "les shebab détiennent un otage et le Hezb al-Islam a pris l'autre". Plus tôt jeudi, un responsable proche du président Sharif Sheikh Ahmed avait indiqué que "des discussions impliquant toutes les parties concernées (étaient) en cours". "Il y a toujours un espoir d'une libération rapide", selon lui. Selon des sources proches du dossier dans la région, un émissaire français est arrivé dans la capitale somalienne pour piloter les négociations. Interrogé par l'AFP à Paris, le ministère français des Affaires étrangères a affirmé ne pas avoir d'information sur l'envoi d'un tel émissaire en Somalie. L'enlèvement des deux agents français mardi dans leur hôtel à Mogadiscio n'avait toujours pas été revendiqué jeudi. Les shebab ("la jeunesse" en arabe) et la milice de cheikh Aweys ont lancé début mai une offensive sans précédent contre le gouvernement du président Ahmed, un islamiste modéré soutenu par la communauté internationale, et ont juré de le renverser. Cheikh Aweys est un ex-allié du président Ahmed. Les deux Français sont "conseillers en mission officielle d'assistance auprès du gouvernement somalien", selon le ministère français des Affaires étrangères qui n'a pas révélé leurs identités, ni leur qualité de civil ou de militaire. citation-t L'enlèvement de ces deux agents servent la publicité et les besoins monétaires de groupes mafieux et terroristes à l'intérieur de Mogadiscio. citation-b Lucas Menget, grand reporter La France s'est engagée au printemps à former à Djibouti un bataillon de l'armée somalienne, soit 500 hommes. Cette formation devait débuter en septembre, mais avec la dégradation de la situation à Mogadiscio, les préparatifs ont été accélérés et elle devait débuter en août à Djibouti. La Somalie est en guerre civile depuis 1991. Le président Ahmed est retranché dans le quartier du palais présidentiel, protégé par les soldats de la mission de paix de l'Union africaine (Amisom) alors que ses forces ont été incapables d'asseoir leur autorité sur l'ensemble de la capitale. Le gouvernement somalien a lancé un appel quasi-désespéré le 20 juin aux pays voisins pour contrer l'offensive des insurgés islamistes qui menacent sa survie. http://www.france24.com/fr/20090716-otages-francais-somalie-separes-shebab-groupe-hezb-al-islam-mohammed-ali-ibrahim-ministre-affaires-sociales Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 Moi si j'étais journaliste, j'aurai porter plainte contre l'état français, avec cet acte, il met en danger la vie des vrais journaliste sur le terrain... gibbs et nous on devrait porté plainte contre les journalistes qui déballent des conneries qui mettent en danger les autres à l'étranger ou lorsqu'ils se mettent tous seul dans la merde comme aubenas et les deux autres zouaves qui vont se ballader en irak because parcequ'il s'ont de la presse française ,ils n'ont rien à voir avec les US . le résultat fut probant :lol:. le plus marrant s'est que se s'ont des agents spéciaux français qui vont les récupérer aprés avoir gérer avec les preneurs d'otages . pareil pour les blaireaux de paris-match qui se font manipuler par les talibans pour avoir "le choc des photos et le poid des mots " et qui a servi à la propagande des en..lés de talibans ... le coup de la vierge effarouché ,sa me casse vraiment les cojones ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 bof les gars faut aussi penser à arreter de tirer tout le temps sur les journalistesy'en a qui essaient de faire leur travail avec conscience et en prenant des risques pour ce travail (donc l'information particulierement en zone de guerre) et pas pour le pulitzer (quand on voit ce qu'est payé un photographe de guerre / à un photographe people :-[)donc arretons un peu la chasse au sorcière sinon fuadra pas venir se palindre que y'a pas de reportage sur nos gars en CI/Astan ou ailleurs sur France 2 ou la 6. Ca c'est aussi des journalistes qui l'ont faitvoiliet pis d'ailleurs finis le HS on revient sur nos barbouzes Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
roland Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 bof il y a pas grand chose a dire si ce n'est qu'il aurait mieux valut pour la France, et aussi pour eux, qu'ils meurent les armes à la main.Faut pas etre pris vivant par les barbus. Parait que c'est deux colonels, l'exemple doit venir d'en haut bordel!Doivent savoir comment se finir, meme en étant attachés, avant d'etre découpés en petit morceaux.saloperie de barbus, faut leur en faire baver. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sargon d'Akkad Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 bof il y a pas grand chose a dire si ce n'est qu'il aurait mieux valut pour la France, et aussi pour eux, qu'ils meurent les armes à la main. Faut pas etre pris vivant par les barbus. Parait que c'est deux colonels, l'exemple doit venir d'en haut bordel! Doivent savoir comment se finir, meme en étant attachés, avant d'etre découpés en petit morceaux. saloperie de barbus, faut leur en faire baver. Ils savaient pas, ils (ravisseurs) étaient habiller en soldats. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gibbs le Cajun Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 bof les gars faut aussi penser à arreter de tirer tout le temps sur les journalistes y'en a qui essaient de faire leur travail avec conscience et en prenant des risques pour ce travail (donc l'information particulierement en zone de guerre) et pas pour le pulitzer (quand on voit ce qu'est payé un photographe de guerre / à un photographe people :-[) donc arretons un peu la chasse au sorcière sinon fuadra pas venir se palindre que y'a pas de reportage sur nos gars en CI/Astan ou ailleurs sur France 2 ou la 6. Ca c'est aussi des journalistes qui l'ont fait voili et pis d'ailleurs finis le HS on revient sur nos barbouzes gibbs je ne voulais pas mettre tous le monde dans le même sac ;) pour les journalistes, je me suis mal exprimé peut-être . mais s'est plus pour répondre à Sargon d'Akkad qui nous la joue :" ouh les méchants service secret français qui prenne des identités de journaliste pour opérer " . comme si les services secrets turc ou d'ailleurs ne le faisaient pas ... fin du HS pour moi ... ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 16 juillet 2009 Share Posté(e) le 16 juillet 2009 La France s'est engagée au printemps à former à Djibouti un bataillon de l'armée somalienne, soit 500 hommes. Cette formation devait débuter en septembre, mais avec la dégradation de la situation à Mogadiscio, les préparatifs ont été accélérés et elle devait débuter en août à Djibouti. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Sargon d'Akkad Posté(e) le 17 juillet 2009 Share Posté(e) le 17 juillet 2009 Le second otage français en Somalie a été remis à Al Chabaabhttp://www.lexpress.fr/actualites/2/le-second-otage-francais-en-somalie-a-ete-remis-a-al-chabaab_775136.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 18 juillet 2009 Share Posté(e) le 18 juillet 2009 http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-18/somalie-les-otages-francais-vont-etre-juges-nouveaux-enlevements/924/0/362499 Les deux agents français enlevés mardi à Mogadiscio vont être jugés pour "espionnage" selon la loi coranique, ont annoncé samedi les extrémistes islamistes qui les détiennent en Somalie, où trois autres étrangers enlevés au Kenya ont été emmenés par leurs ravisseurs. "Les hommes que nous avons pris aidaient le gouvernement apostat (somalien) et leurs espions, donc ils seront bientôt jugés et punis selon la charia. Ils feront face au tribunal pour espionnage et être entrés en Somalie pour aider les ennemis d'Allah", a déclaré sous couvert d'anonymat à l'AFP un haut responsable des extrémistes islamistes somaliens des shebab. "La décision sur leur sort dépendra (...) du tribunal islamique qui entendra les charges pesant contre eux", a-t-il ajouté. Les deux agents français enlevés dans leur hôtel à Mogadiscio sont aux mains des insurgés islamistes qui mènent une offensive sans précédent pour renverser le gouvernement somalien de transition soutenu par la communauté internationale. Selon le ministre somalien des Affaires sociales, Mohammed Ali Ibrahim, les deux hommes sont au mains des shebab. Le secrétaire général de la présidence française, Claude Guéant, a confirmé vendredi que les deux hommes étaient détenus par un seul groupe somalien, sans vouloir identifier ce groupe. "On s'achemine vers des tractations de libération un peu tortueuses et qui peuvent durer", avait-il ajouté. Des étrangers sont régulièrement enlevés en Somalie, pays en guerre civile depuis 1991, avant des demandes de rançon. Journalistes et humanitaires sont particulièrement visés par ces enlèvements majoritairement crapuleux. Dernière de cette série d'enlèvement, trois employés étrangers d'une organisation humanitaire ont été kidnappés dans la nuit de vendredi à samedi au Kenya à la frontière somalienne par des hommes armés qui les ont aussitôt emmenés en Somalie. Les trois employés ont été pris dans leur bureau à Mandera (800 km au nord-est de Nairobi), ville située à la frontière avec la Somalie, a-t-on indiqué de sources somaliennes et kényane. La nationalité des trois étrangers n'a pas été établie dans un premier temps, ni l'organisation pour laquelle ils travaillent. "Il y a eu une fusillade à leur bureau qui a été attaqué par des hommes armés", a déclaré à l'AFP sous couvert d'aonymat un responsable des services de sécurité kényans, précisant qu'un gardien de nuit avait été blessé par les tirs. "Ils lui ont tiré dans la tête", selon cette source qui n'a pu fournir plus d'indications sur l'état du gardien. Les ravisseurs ont ensuite emmené les trois étrangers et "ils ont traversé la frontière", a-t-il poursuivi. En novembre, deux religieuses italiennes avaient déjà été enlevées au Kenya par des hommes armés somaliens dans une localité frontalière et emmenées en Somalie. Elles avaient été libérées le 19 février. D'autres étrangers sont toujours otages en Somalie, dont deux journalistes détenus depuis bientôt un an. La journaliste canadienne Amanda Lindhout et le photographe australien Nigel Geoffrey Brennan ont été enlevés le 23 août 2008 par des inconnus armés près de Mogadiscio. Quatre employés européens de l'ONG française Action contre la faim (ACF) et leurs deux pilotes kényans, enlevés début novembre, sont également toujours otages. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tomcat Posté(e) le 18 juillet 2009 Share Posté(e) le 18 juillet 2009 Aie... ils risquent la peine de mort dans ce cas.... je pense qu'il faudrait intervenir pour les sauver.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Menchi Posté(e) le 18 juillet 2009 Share Posté(e) le 18 juillet 2009 J'espère que le Quai D'Orsay et la DGSE sont sur le coup car là, ça s'annonce très mal !Après personne ici n'est dans le secret des dieux, peut-être que quelque chose est déjà dans les cartons pour les extrader, mais bon ça reste de la supposition très james bondienne… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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