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Capacité hydro-océanographique future (CHOF)


Scarabé

Messages recommandés

Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

Ici ils annoncent 4 GPD de 33 plongeurs 

C'est une certitude, il n'y a que 3 GPD, le 4e bâtiment base est affecté à  l'école de plongée.

On peut comprendre aisément que les plongeurs embarqués sur les chasseurs, sont impactés directement par la robotisation et la réduction de bateaux mères. Par contre, pour les GPD, cela me parait moins évident. Ils ont des missions embarquées sur les navires PA, PHA etc..  des missions  "terrestres", service public déminage côtier et plages pour les engins historiques, dépollution des ports, infrastructures portuaires, zones d’atterrissage, etc  des missions de sécurité dans les bases à l'étranger ou dans l'outremer.   

Mais, j'étais juste surpris par le nombre de 150 plongeurs démineurs vs les 320 il y a 5 ans...  même si l'on comprend que l'école de plongée compte la totalité des brevetés en service et pas uniquement ceux affectés en GPD ou chasseurs. Il y a l'EM guerre de mines, ceux affectés en école de plongée et autres organismes (CEPHISMER etc) ; ceux affectés en commando ou les officiers ou OM qui sont dans un circuit hors guerre des mines ou plongée.

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3 minutes ago, Fusilier said:

C'est une certitude, il n'y a que 3 GPD, le 4e bâtiment base est affecté à  l'école de plongée.

On peut comprendre aisément que les plongeurs embarqués sur les chasseurs, sont impactés directement par la robotisation et la réduction de bateaux mères. Par contre, pour les GPD, cela me parait moins évident. Ils ont des missions embarquées sur les navires PA, PHA etc..  des missions  "terrestres", service public déminage côtier et plages pour les engins historiques, dépollution des ports, infrastructures portuaires, zones d’atterrissage, etc  des missions de sécurité dans les bases à l'étranger ou dans l'outremer.   

Mais, j'étais juste surpris par le nombre de 150 plongeurs démineurs vs les 320 il y a 5 ans...  même si l'on comprend que l'école de plongée compte la totalité des brevetés en service et pas uniquement ceux affectés en GPD ou chasseurs. Il y a l'EM guerre de mines, ceux affectés en école de plongée et autres organismes (CEPHISMER etc) ; ceux affectés en commando ou les officiers ou OM qui sont dans un circuit hors guerre des mines ou plongée.

C'est d'autant plus étonnant qu'on se réveille après les attaques contre les gazoduc et autre câble sous marin ... et expliquant qu'on veut renforcer la surveillance et l'intervention sur les infrastructure sous marine.

Les plongeurs démineurs sont quand même les mieux placé pour ce genre de job ... qui nécessite souvent des inspections ou des travaux in situ pour valider la détection fait par des "robots".

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il y a 1 minute, g4lly a dit :

C'est d'autant plus étonnant qu'on se réveille après les attaques contre les gazoduc et autre câble sous marin ... et expliquant qu'on veut renforcer la surveillance et l'intervention sur les infrastructure sous marine.

Les plongeurs démineurs sont quand même les mieux placé pour ce genre de job ... qui nécessite souvent des inspections ou des travaux in situ pour valider la détection fait par des "robots".

C'est également mon avis :biggrin: en particulier sur les GPD qui sont en charge des travaux sous-marins, entre autres choses déjà citées.  Pour les bateaux mères à base de drones, la logique c'est la diminution de l'intervention humaine; que cela entraîne une diminution du nombre de plongeurs embarqués, c'est une conséquence dans l'ordre du plan; à savoir comment cela va fonctionner dans la réalité...  Pour la question particulière que tu soulignes, les grands fonds cela semble réservé aux drones ou des plongées très spécifiques; la limite d'intervention "standard" des plongeurs démineurs se situant dans les 80 m . 

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21 minutes ago, Fusilier said:

Pour la question particulière que tu soulignes, les grands fonds cela semble réservé aux drones ou des plongées très spécifiques; la limite d'intervention "standard" des plongeurs démineurs se situant dans les 80 m . 

Une grosse partie des infra ne sont pas si profonde ... et les plongeurs pourraient voir leur compétence étendu à des plongée plus profonde comme pour l' O&G ...

... dans l'US Navy on plonge en saturation jusque 500m ...

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Il y a 3 heures, g4lly a dit :

Une grosse partie des infra ne sont pas si profonde ... et les plongeurs pourraient voir leur compétence étendu à des plongée plus profonde comme pour l' O&G ...

... dans l'US Navy on plonge en saturation jusque 500m ...

Il y a 3 heures, mudrets a dit :

Et chez les Russes à plus de 600 au moins dans le Pacifique

La question que je vous pose :  tous les plongeurs démineurs, des marines que vous citez, plongent aussi profond, ou est réservé à une "élite"? Outre un entrainement particulier et des équipement adaptés sont nécessaires, capacités qui seraient d'une faible utilité dans les missions "standards"  des plongeurs démineurs, auxquels je faisais référence.   

 Le CEPHISMER a ce type de capacités au moins jusqu'à 300 m par scaphandrier. J'ignore si des capacités plus profondes sont présentes et publiques;  la plongée en saturation ça fait partie des compétences. En dehors de ça, on à la COMEX et le Centre d'Essais Hyperbares, centre qui détient le record du monde (à ma connaissance) de plongée humaine - 700 m. En résumé, si l'on veut faire, on sait faire.  

 

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ALPACI-FAPf / Forces armées en Asie-Pacifique et en Polynésie française

  · 

Mission hydrographique à Hao

Du 5 février au 8 mars 2023, cinq hydrographes de la base hydrographique de Polynésie française du SHOM (BHPF) ont mené des levés à Hao, pour actualiser les données destinées à assurer la sécurité de la navigation dans l’atoll.

Hao est un atoll où de nombreux projets de développement sont envisagés. Une mise à jour des cartes marines de cette zone était donc nécessaire afin de sécuriser la navigation des navires civils ou militaires qui y croisent.

Cette mission comportait 3 objectifs :

- La mise à jour de la bathymétrie (mesure des profondeurs) dans la passe Kaki, unique accès au lagon ;

- La création de voies recommandées pour relier les différents lieux importants de l’atoll : la passe Kaki, le village d’Otepa et le quai de l’aéroport, le quai Louarn ;

- La réalisation de mesures de marée.

Ainsi, pour détecter, positionner et coter précisément les dangers pour la navigation de surface (obstructions et patates de corail en particulier), la BHPF a déployé une vedette hydrographique munie d’un sondeur acoustique multifaisceaux. Ces données permettront de dresser une cartographie précise des fonds marins.

Parallèlement, deux plongeurs du Shom ont mouillé plusieurs marégraphes à différents endroits de l’atoll afin d’améliorer la connaissance de la marée à Hao. L’analyse des mesures laissent apparaître que le signal de marée est différent entre l’océan, la passe, et l’intérieur du lagon.

Enfin, au cours de cette mission, les hydrographes de la BHPF ont présenté leurs travaux et leur métier aux élèves du collège de

Hao, pour - qui sait - faire naître des vocations.

Marine nationale

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Vue le developpement qui se prepare avec le retour des miltaires sur Hao 

Je vous poste un reportage qui colle avec la campagne du SHOM sur HAO  

 

La passe est calme nous quittons l’atoll et en 3 heures sommes devant Hao.

Et c’est là que la difficulté se présente, beaucoup de courant sortant, des vagues stationnaires qui bouillonnent à droite. Il est 15 heures et la représentation de la troupe est prévue à 16 heures. Il va nous falloir 25 minutes pour franchir cette fameuse passe, 6,5 nœuds contre nous, moteur poussé à 2600 tours par moments pour avancer un peu plus vite que 0,1 nœuds. Eric choisit de sortir du chenal et tout en ayant un œil sur le sondeur, un œil sur la côte pour mesurer notre progression.  Yes we got it !!!

Dans la darse sud il y a du monde : 5 monocoques à quai, 2 catamarans mouillés au milieu. Gerald sur Gabin est là et nous raconte qu’il est rentré sans moteur, problème de courroie d’alternateur,  remorqué par un voilier qui sortait, qui a affalé ses voiles et fait demi-tour pour l’aider à rentr

https://www.manevai.fr/2019/05/les-tuamotu-hao-amanu/

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Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

Je vous poste un reportage

C'est un voilier qui a fait le passage du Nord Ouest. Je ne sais plus si c'est celui-là ou un autre dériveur (d'un autre chantier) qui était skippé par un amiral à la retraite. 

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  • 8 months later...

Le SHOM achète des planeurs sous marins:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/alseamar-va-livrer-des-planeurs-sous-marins-seaexplorer-au-shom

Citation

Le Sea Explorer est un planeur sous-marin conçu notamment pour les missions hydro-océanographiques. Long de 2 mètres pour un diamètre de 25 centimètres et un poids de 59 kilos, cet engin développé par Alseamar peut atteindre une profondeur de 1000 mètres avec une autonomie, selon les modèles et le profil d’emploi, allant d’un à six mois, voire plus d’un an

...

Cela fait un certain nombre d’années que la flotte française s’intéresse aux planeurs sous-marins. D’abord, comme c’est le cas ici, pour des applications hydro-océanographiques, qui apportent une connaissance fine de l’environnement indispensable à la sécurité de la navigation et l’efficacité de certains capteurs (tels les sonars) et donc aux opérations navales. Mais à terme, de tels planeurs pourraient avoir un usage plus militaire. Cette technologie permet en effet d’envisager un concept d’emploi nouveau en matière de surveillance acoustique d’une zone, éventuellement très vaste et éloignée des bases support, qui serait couverte par un ou plusieurs gliders. Soit en patrouille, soit en restant posé sur le fond marin et y rester en veille avant de se réactiver ou remonter à la surface, par exemple en cas de détection d’un signal acoustique préprogrammé. Ainsi, ces engins devraient être en mesure, à terme, de contribuer à un dispositif étendu de lutte anti-sous-marine.

 

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Il y a 10 heures, hadriel a dit :

Et aussi : "Après plusieurs campagnes d’expérimentation, la société française Alseamar a reçu une commande pour ses gliders SeaExplorer afin d’équiper le SHOM Service hydrographique et océanographique de la marine, a appris Mer et Marine. Ces planeurs sous-marins seront en fait la première brique du programme CHOF (capacité hydro-océanographique future) piloté par la DGA pour la Marine nationale et le Shom. 
"© Mer et Marine https://www.meretmarine.com/fr/defense/alseamar-va-livrer-des-planeurs-sous-marins-seaexplorer-au-shom

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  • 3 weeks later...

Des nouvelles du CHOF:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/capacite-hydro-oceanographique-future-ou-en-est-le-programme-du-shom-et-de-la-marine

Citation

Les successeurs des Lapérouse, Borda et Laplace, dont le retrait du service est prévu entre 2026 et 2028, seront nettement plus grands que leurs aînés (on parle de bâtiments d’environ 90 mètres pour plus de 3000 tonnes) et spécialement conçus pour déployer des moyens robotisés, à commencer par deux drones de surface (unmanned surface vehicles – USV). Des engins tels le DriX, un drone en composite de 7.7 mètres de long et 1.4 tonne, développé par la société française Exail (ex-iXblue).

A bord des BH NG, les drones de surface remplaceront les deux vedettes hydrographiques, bien que les futurs bâtiments seront conçus pour conserver une embarcation de ce type afin d’effectuer certains travaux que les drones ne peuvent réaliser. Par exemple dans des ports ou des zones de hauts fonds. A ce titre, de nouvelles vedettes hydrographiques devraient être commandées.

Les futurs bâtiments pourront aussi déployer des planeurs sous-marins (gliders) qui permettront de recueillir des données environnementales et acoustiques dans la durée, avec la capacité à réaliser des missions de plusieurs mois en toute autonomie et de plonger jusqu’à 1000 mètres de profondeur. Deux premiers engins de ce type, constituant la première brique opérationnelle de CHOF, seront réceptionnés en 2024 par le Shom. Il s‘agit de systèmes SeaExplorer de la société française Alseamar.

Techniquement, les BH NG seront quoiqu’il en soit en mesure de déployer des robots sous-marins et un robot téléopéré (remote operated vehicle – ROV), des engins capables d’atteindre 6000 mètres de profondeur.

En dehors de l’hydrographie, il est important de noter que les BH NG seront aussi des navires océanographiques. Ils disposeront de tous les équipements et laboratoires permettant de travailler sur la connaissance de l’environnement marin, en particulier via des prélèvements et analyses d’échantillons d’eau et de sédiments, ou encore la mesure des caractéristiques physiques et chimiques de la colonne d’eau (courant, température, salinité, oxygène dissous…). Une fonction océanographique qui nécessite des apparaux spécialisés pour mettre à l’eau et récupérer les engins scientifiques, comme une bathysonde ou un carottier.

Le terme BH NG n’est ainsi pas vraiment exact car les futurs bâtiments sont en réalité à ranger dans la catégorie des BHO, comme le Beautemps-Beaupré qui dispose aussi de ces capacités.

Après plusieurs années de réflexions et d’expérimentations de nouveaux matériels, dans le cadre des travaux préparatoires à CHOF, un comité ministériel d’investissement (CMI) a validé, le 13 novembre, le document de cadrage du programme, piloté par la Direction Générale de l’Armement (DGA). Il porte notamment sur les besoins capacitaires et opérationnels, ainsi que sur les aspects budgétaires. Ces éléments vont permettre de préparer l’appel d’offres que lancera la DGA auprès des chantiers, en vue d’une contractualisation en 2025. L’objectif est en effet de voir les deux futurs bâtiments livrés fin 2027 et fin 2028, avec une mise en service prononcée en 2028 et 2029.

Plusieurs chantiers français se positionnent déjà, dont Piriou qui s’appuie sur l’expérience acquise avec le bâtiment hydro-océanographique livré en 2018 au Maroc, ou encore Ocea qui a dévoilé fin 2022 un nouveau modèle de navire conçu pour de telles missions.

Quant au BHO Beautemps-Beaupré, peu après CHOF, il faudra s’attaquer à son remplacement. La nouvelle loi de programmation militaire (LPM) prévoit en effet sa succession, entre 2030 et 2035, par un « complément capacitaire » aux deux BH NG.

Contractualisation en 2025 pour livraison en 2027 ça me semble très très court, sachant qu'en plus du bateau y'a tous les systèmes sonar qui vont avec.

En parallèle les italiens commencent la construction de leur nouveau batiment hydro:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/fincantieri-debute-la-construction-du-futur-batiment-hydro-oceanographique-italien

Citation

Il a été commandé en décembre 2022 dans le cadre du programme NIOM (Nave Idro-Oceanografica Maggiore). Le contrat, d’environ 280 millions d’euros, comprend le développement et la construction du bâtiment, ainsi que sa maintenance durant les six années suivant sa livraison, prévue en 2026. Il sera exploité par l’Institut hydrographique de la marine italienne, basé à Gênes.

Long d’environ 105 mètres pour une largeur de 18 mètres et un déplacement de 5000 tonnes en charge, le NIOM pourra atteindre la vitesse de 15 nœuds et franchir 7000 nautiques à 12 nœuds

 

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Il y a 23 heures, hadriel a dit :

Des nouvelles du CHOF:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/capacite-hydro-oceanographique-future-ou-en-est-le-programme-du-shom-et-de-la-marine

Contractualisation en 2025 pour livraison en 2027 ça me semble très très court, sachant qu'en plus du bateau y'a tous les systèmes sonar qui vont avec.

En parallèle les italiens commencent la construction de leur nouveau batiment hydro:

https://www.meretmarine.com/fr/defense/fincantieri-debute-la-construction-du-futur-batiment-hydro-oceanographique-italien

 

Merci mais pas trop d accord sur la taille

Je dirais plutôt dans les 120 M et 6000T 

La modernisation du Pourquoi Pas? Va servir de base pour ces futurs navires avec les nouvelles grues et bossoirs pour la mise en œuvre des drones et autres rebots sous marins

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  • 2 months later...

https://www.meretmarine.com/fr/defense/a-l-ensta-bretagne-premiere-immersion-et-calibrage-du-nouveau-planeur-sous-marin-du-shom

Citation

Pouvant couvrir une très vaste zone, cet engin embarque une charge utile d’un volume de 15 litres et peut parcourir en 75 jours jusqu'à 1900 km grâce à une batterie rechargeable.

Des gliders à vocation océanographique ou acoustique

Le premier glider du Shom a été équipé pour acquérir des données océanographiques dans la colonne d’eau (salinité, profondeur, oxygène dissous, conductivité, température, courant, fluorométrie…). Pour cela il est équipé d’une CTD pompée (conductivité, température, profondeur), d’un capteur d’oxygène dissous, d’un PAR pour mesurer le rayonnement photo-synthétiquement actif, d’un ADCP (courantomètre acoustique à effet doppler) et d’une triplette CDOM (coloration des matières organiques dissoutes dans l'eau), chlorophylle-A et backscattering (rétrodiffusion).

Un deuxième glider doit être livré au mois d’avril au Shom. Cette fois, il sera équipé d’une CTD non pompée et de quatre hydrophones pour écouter les bruits sous-marins.

 

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  • 6 months later...
  • 2 weeks later...

Le lancement de la réalisation du programme pour l’acquisition de deux bâtiments hydrographiques de nouvelle génération est prévu en 2025. De nombreuses expérimentations avec des AUV et USV se sont d’ores et déjà déroulées depuis 2020 pour aider à identifier les futures solutions.

Les travaux capacitaires reposent sur un besoin opérationnel exprimé par les forces. « Nous sommes aussi là pour identifier les travaux et études préparatoires en amont des programmes afin d’apporter la réponse au besoin opérationnel », note l’IGA Olivier Beaurenaut. Sur le dossier CHOF (capacité hydrographique et océanographique future), un des enjeux de la LPM présentant une forte dimension de dronisation pour le domaine naval, le SASD a instruit avec l’EMA les choix structurants à prendre sur ce programme jusqu’à l’automne dernier. Le binôme architecte DGA/officier de cohérence opérationnelle EMA, avec le soutien des experts du domaine, a d’abord réfléchi à un panel large de solutions, avant d’affiner son choix. Le lancement de la réalisation du programme pour l’acquisition de deux bâtiments hydrographiques de nouvelle génération est prévu en 2025. De nombreuses expérimentations avec des AUV et USV se sont d’ores et déjà déroulées depuis 2020 pour aider à identifier les futures solutions.

https://www.colsbleus.fr/fr/des-ingenieurs-au-service-de-la-flotte-de-demain-la-dga-concepteur-de-larchitecture-du-systeme-de

 

A noter que le Pourquoi pas ? va rejoindre la Pologne pour y débuter sa rénovation à mi-vie.

dscn2498.jpg?h=d0906adf&itok=KEO2TcX8

https://www.meretmarine.com/fr/science-et-environnement/le-navire-oceanographique-pourquoi-pas-va-debuter-sa-renovation-a-mi-vie#:~:text=Armé par Genavir pour le,64 jours sans se ravitailler.

 

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  • 5 weeks later...

Capacité hydro-océanographique future (CHOF) : Ocea se positionne avec l’OSV 315

https://www.meretmarine.com/fr/defense/capacite-hydro-oceanographique-future-chof-ocea-se-positionne-avec-l-osv-315

https://www.ocea-ssm.com/gamme-produit/offshore-support-vessel/

Franchement je le vois un peu petit ce navire surtout que les drones vont devenir de + en + gros avec de + en + de performances. 

La Marine demande sur ce programme des navires capable de mettre en oeuvres des drones aériens, sous marins, et de surface.  

Il faut faire un gros bateau avec une certaine évolution sur les 30 prochaines années

 

 

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Il y a 3 heures, Scarabé a dit :

Capacité hydro-océanographique future (CHOF) : Ocea se positionne avec l’OSV 315

https://www.meretmarine.com/fr/defense/capacite-hydro-oceanographique-future-chof-ocea-se-positionne-avec-l-osv-315

https://www.ocea-ssm.com/gamme-produit/offshore-support-vessel/

Franchement je le vois un peu petit ce navire surtout que les drones vont devenir de + en + gros avec de + en + de performances. 

La Marine demande sur ce programme des navires capable de mettre en oeuvres des drones aériens, sous marins, et de surface.  

Il faut faire un gros bateau avec une certaine évolution sur les 30 prochaines années

 

 

De toute manière 95m c'est le maximum que peut construire OCEA dans leur outil actuel

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Il y a 2 heures, Asgard a dit :

aériens ? Quelle serait l'utilité pour l'océanographie ? relever la couleur de l'eau ?

Il pourra larguer des bouées faire de la surveillance de zone.  

On envoie bien dans le cadre de l'Otan des BSAM faire la surveillance des champs petrolier en mer du nord ; Ne pas oublier aussi la surveillance des gazoducs sous marins des cables de fibres optique etc..  On parle de navires miltaires avec des moyens d'auto-defenses à bord.  

garonne-20221027.jpeg

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il y a une heure, KLD a dit :

De toute manière 95m c'est le maximum que peut construire OCEA dans leur outil actuel

On va voir dans l'appel d'offre mais les chantiers de l'Atlantique et Damen sont aussi dans la boucle. Faire construire les coques au Pays- Bas apres le contrat sur les sous marins et les BGM ne serait qu'un juste retour. Surtout que nos chantiers sont saturés pour un certain temps.   

Le Dupuy-de-Lôme a bien été construit  chez Niestern Sander (Delfzijl, Pays-Bas)

Modifié par Scarabé
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16 minutes ago, Scarabé said:

Il pourra larguer des bouées faire de la surveillance de zone.  

On envoie bien dans le cadre de l'Otan des BSAM faire la surveillance des champs petrolier en mer du nord ; Ne pas oublier aussi la surveillance des gazoducs sous marins des cables de fibres optique etc..  On parle de navires miltaires avec des moyens d'auto-defenses à bord.  

garonne-20221027.jpeg

Justement, les contours du programme initial (et arguments de certains ici pour éjecter l'OSV315) étaient que le bâtiment serait partagé avec des civils et l'Ifremer, et qu'il fallait donc un bâtiment Grand, plus grand que le Pourquoi Pas?

Ca me parait dès lors cavalier de réaliser les missions dont tu parles sur un navire à double emploi civil / militaire. (ce qui n'est pas le cas du BSAM 100% militaire pouvant faire des missions de surveillance)

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il y a 4 minutes, Asgard a dit :

Justement, les contours du programme initial (et arguments de certains ici pour éjecter l'OSV315) étaient que le bâtiment serait partagé avec des civils et l'Ifremer, et qu'il fallait donc un bâtiment Grand, plus grand que le Pourquoi Pas?

Ca me parait dès lors cavalier de réaliser les missions dont tu parles sur un navire à double emploi civil / militaire. (ce qui n'est pas le cas du BSAM 100% militaire pouvant faire des missions de surveillance)

Ces deux bateaux seront 100% militaire . Et ils seront un complement au Beautemps-Beaupré qui sera remplacé apres 2038 par un 3 em navire de la même classe que ses deux la.  

MjAyMzAzYzM1YzgxM2FhODJlZTJkMzFkMWRlZDUy

Le savoir faire des un est des autres est déja partagé entre l' IFREMER, la COMEX, La DRASSM,  l'IPEV et la Marine Nationale.   

 

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il y a 19 minutes, Scarabé a dit :

On va voir dans l'appel d'offre mais les chantiers de l'Atlantique et Damen sont aussi dans la boucle. Faire construire les coques au Pays- Bas apres le contrat sur les sous marins et les BGM ne serait qu'un juste retour. Surtout que nos chantiers sont saturés pour un certain temps.   

Le Dupuy-de-Lôme a bien été construit  chez Niestern Sander (Delfzijl, Pays-Bas)

OCEA a désormais aussi racheté le chantier britannique Wight Shipyard, sur l'île éponyme. Je crois que leur outil permet de construire de plus grandes plateformes que le chantier des Sables d'Olonne, parce qu'à l'époque où Boris Johnson avait envisagé de construire un nouveau yacht royal, OCEA et Wight s'étaient positionnés avec une proposition de 125m de long. Sur le site du designer Philippe Briand, "OCEA UK" est référencé : 

https://vitruviusyachts.com/flagship/

https://vitruviusyachts.com/flagship-stage-2/

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