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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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il y a 34 minutes, CortoMaltese a dit :

Ce discours est très populaire mais je crois qu'il l'est avant tout car il nous rassure. Je serai largement moins optimiste que toi. L'option d'employer le nucléaire pour désescalader peut être très tentant pour "figer" la situation en cas de défaite, surtout quand ladite défaite entrainerai désormais très certainement la chute de Poutine et de son régime. Bien sûr, ça aurait des conséquences énormes, mais au point où en est Poutine et la Russie, ça peut apparaître comme une option viable très rapidement suivant l'évolution de la situation militaire. On en est pas là pour le moment, bien sûr, mais j'estime désormais le risque d'emplois d'armes nucléaires de faibles puissances pour sanctuariser les conquêtes russes comme tout à fait possible si elles devaient être menacées par des avancées ukrainiennes victorieuses. Quoi qu'il arrive, je crois qu'il est très dangereux de balayer cette possibilité d'un revers de main en la considérant par défaut comme "totalement impossible", car ce n'est pas le cas. 

Je te rejoins, les US ont menacé de représailles conséquentes, mais difficile de voir ce qui pourrait être fait en plus de ce qui est déjà en place, hors hypothèse d'une riposte militaire occidentale, à laquelle je ne crois pas. 

Ceci dit, on pensait qu'on avait atteint un palier en matière de sanctions avant guerre et personne n'avait vu venir (y compris les russes) le gel des avoirs de la banque centrale. 

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il y a 1 minute, Shorr kan a dit :

Ce n'est pas vraiment le propos.

Il s'agit de souligner l'existence d'une asymétrie outrageusement en faveur de la défense , et qu'il suffit de peu de choses pour faire dérailler une offensive.

Le constat étant que les champs de batailles contemporains ont gagné en "viscosité".

Viscosité, c'est complètement le mot adapté. Je sais pas si c'est quelque chose de structurel lié à l'évolution de l'armement. Je pense qu'une force blindée professionnelle, du type d'une Division Blindée américaine avec le soutien aérien adapté, pourrait facilement percer. Mais aucun des deux protagonistes actuels n'a ça en stock, ni en terme d'équipement ni de qualité. On a donc soit de l'assaut frontal, soit des percées mécanisées légères mais qui nécessitent qu'il n'y ait rien de trop sérieux en face dans la profondeur. 

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il y a 1 minute, LBP a dit :

C'est énorme !!

Vraie ou pas, car personne ira vérifier (ça pourrait être tout aussi bien 300k noms tirés au hasard par n'importe quel algo), le "mérite" de cette liste réside plus dans l'effet de panique qu'elle pourrait créer :

- je suis dans la liste, c'est la panique !! 

- je suis pas dans la liste, je me pensais protégé, et en fait j'ai quand même été envoyé en caserne, c'est encore plus la panique !! 

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il y a 1 minute, Heorl a dit :

Et même là, ils mourront par paquets de cent. Il faut des semaines au soldats professionnels à apprendre à ne pas progresser en colonne compacte, les conscrits n'auront peut-être pas ce temps-là, d'autant plus qu'il est douteux qu'on les destine à l'artillerie ou l'aviation.

Je vois d'ici les drones créer des trouées sanglantes dans les cohortes mobilisées à coup de frags.

Peu importe l'armement. A court terme, ces soldats serviront surtout à amortir les attaques (la "viscosité" du sieur Kan) et à tenir les lignes. Les survivants formés sur le tas et/ou par les vétérans gagneront en capacités au fur et à mesure, sauf effondrement de l'arrière ou du front.

Reste à savoir si même 300 000 soldats supplémentaires suffiront à empêcher cet effondrement... ou si leur engagement le provoquera.

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il y a 8 minutes, olivier lsb a dit :

Vraie ou pas, car personne ira vérifier (ça pourrait être tout aussi bien 300k noms tirés au hasard par n'importe quel algo), le "mérite" de cette liste réside plus dans l'effet de panique qu'elle pourrait créer :

- je suis dans la liste, c'est la panique !! 

- je suis pas dans la liste, je me pensais protégé, et en fait j'ai quand même été envoyé en caserne, c'est encore plus la panique !! 

Au hasard.... Peskov !

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il y a 1 minute, jojo (lo savoyârd) a dit :

Claudio, si tu veux dire quelque chose parle plus fort ... On n'entend rien du tout ! :biggrin:

Je n'arrive pas à insérer les images/photos dans le forum ! Je recherche désespéremment la manière de faire :fachec::mechantc:

si une ame charitable pourrait m'expliquer en message privée ! :)

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il y a 58 minutes, Amnésia a dit :

Au hasard.... Peskov !

... du coup son père a été contraint de s'expliquer. Comme quoi ça porte ...

Le porte-parole du Kremlin défend son fils, accusé d'avoir refusé d'être mobilisé
https://www.lefigaro.fr/international/a-l-evidence-je-ne-viendrai-pas-le-fils-du-porte-parole-du-kremlin-refuse-d-etre-enrole-lors-d-un-canular-telephonique-20220922?

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il y a 12 minutes, Claudio Lopez a dit :

Je n'arrive pas à insérer les images/photos dans le forum ! Je recherche désespéremment la manière de faire :fachec::mechantc:

si une ame charitable pourrait m'expliquer en message privée ! :)

Je te réponds là : Le forum n'héberge pas d'images en tant que tel, il faut les héberger sur un site  tiers, comme lui par exemple : https://www.zupimages.net/

Modifié par CortoMaltese
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35 minutes ago, Heorl said:

Et même là, ils mourront par paquets de cent. Il faut des semaines au soldats professionnels à apprendre à ne pas progresser en colonne compacte, les conscrits n'auront peut-être pas ce temps-là, d'autant plus qu'il est douteux qu'on les destine à l'artillerie ou l'aviation.

Je vois d'ici les drones créer des trouées sanglantes dans les cohortes mobilisées à coup de frags.

 

Ce sont probablement des réservistes, pas des bleus (ils seraient plus jeune). Donc ayant déjà reçu une éducation militaire. 

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il y a 46 minutes, herciv a dit :

Là où je sens que cet enrôlement va poser problème c'est pour la formation. 

D'ailleurs à propos de formation, les unités chargées de celle-ci n'avaient-elles pas déjà été envoyées au front il y a quelques mois ? (vague souvenir de l'avoir lu ici) :blush:

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il y a 2 minutes, Obelix38 a dit :

D'ailleurs à propos de formation, les unités chargées de celle-ci n'avaient-elles pas déjà été envoyées au front il y a quelques mois ? (vague souvenir de l'avoir lu ici) :blush:

Au moins partiellement si. On sait qu'il a été demandé à beaucoup de brigades/divisions de racler les fonds de tiroir (aussi bien en terme d'hommes que de matériel) pour former des BTG additionnels (sans avoir à utiliser les conscrits). 

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il y a 12 minutes, CortoMaltese a dit :

Je te réponds là : Le forum n'héberge pas d'images en tant que tel, il faut les héberger sur un site  tiers, comme lui par exemple : https://www.zupimages.net/

[url=https://zupimages.net/viewer.php?id=22/38/38jc.jpeg][img]https://zupimages.net/up/22/38/38jc.jpeg[/img][/url]

EDIT : pas l'air de fonctionner :(

https://zupimages.net/viewer.php?id=22/38/38jc.jpeg

 

 

Modifié par Claudio Lopez
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il y a 14 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

... du coup son père a été contraint de s'expliquer. Comme quoi ça porte ...

Le porte-parole du Kremlin défend son fils, accusé d'avoir refusé d'être mobilisé
https://www.lefigaro.fr/international/a-l-evidence-je-ne-viendrai-pas-le-fils-du-porte-parole-du-kremlin-refuse-d-etre-enrole-lors-d-un-canular-telephonique-20220922?utm_source=app&utm_medium=sms&utm_campaign=fr.playsoft.lefigarov3

Juste, je vais y aller de ma petite théorie du complot...

Le fait qu'il y aurait ( soyons prudents, la fameuse liste hackée peut très bien être fausse ) finalment pas mal de mobilisés à Moscou et Saint Pétersbourg m'interpelle... je m'attendais plutôt à ce que se soient les régions rurales, pauvres et celles des minorités ethniques qui soient mises à contribution.

Se pourrait il que le Kremlin soit assez retors pour mobiliser en masse pour la première vague des jeunes répertoriés comme opposants et soit les envoyer au saloir s'ils acceptent, soit sauter sur l'opportunité de les emprisonner s'ils refusent?

Et pendant ce temps là, préparer un peu plus sérieusement la seconde vague?

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Reportage à Koupiansk, encore sous la menace de tirs (depuis la rive gauche j'imagine)

https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/22/les-soldats-russes-se-sont-fait-attraper-sans-se-battre-a-koupiansk-le-succes-ambigu-de-l-armee-ukrainienne_6142733_3210.html

 

Citation

A Koupiansk, le succès ambigu de l’armée ukrainienne : « Les soldats russes se sont fait attraper sans se battre »

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Par Florence Aubenas (Koupiansk, Ukraine, envoyée spéciale)Publié aujourd’hui à 14h00, mis à jour à 16h14

Temps deLecture 4 min.

Réservé à nos abonnés

REPORTAGELa reconquête par les troupes de Kiev de la ville du nord-est de l’Ukraine, nœud ferroviaire, avait d’abord semblé acquise. Mais elle demeure proche de la ligne de front.

C’était une petite ville de rien du tout, à l’extrême est de l’Ukraine, discrète, charmante, avec ses deux usines, ses 27 000 habitants et sa rivière. En février, l’invasion russe a fait de Koupiansk un point stratégique, pointé aujourd’hui en rouge sur les cartes d’état-major. Nœud ferroviaire à la frontière des deux pays, la bourgade était, en effet, devenue la porte d’entrée pour l’approvisionnement des troupes russes sur le front nord du Donbass, dont les limites commencent à une vingtaine de kilomètres à peine.

Dans la pluie d’automne, la contre-offensive ukrainienne vient de planter son drapeau sur la grand-place de la ville. « La région de Kharkiv est sous notre contrôle à 94 % et la zone reconquise presque totalement nettoyée », affirme un commandant adjoint ukrainien d’une base près d’Izioum, surnommé « Diver » (« l’homme-grenouille »). Ce « presque » fait toute la différence. Autour de Koupiansk, les soldats russes continuent de se battre avec âpreté, alors qu’ils ont rapidement reculé ailleurs. Les visites officielles ukrainiennes qui devaient y célébrer la victoire sont reportées de jour en jour.

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« Diver », colonel dans la brigade 113, dans la région de Kharkiv, en Ukraine, le 17 septembre 2022. Avec ses hommes, ils ont été parmi les premiers à entrer dans Izioum et à libérer la ville des Russes. SAMUEL GRATACAP POUR « LE MONDE »

Près de la mairie, les habitants se souviennent que la ville était tombée sans un coup de feu, au début de l’invasion russe. « Cela évitera les destructions », avait soutenu le maire, élu d’un parti pro-Kremlin, en accueillant les occupants avec docilité. La position stratégique de la ville l’avait rapidement érigée en base administrative et militaire russe de la région. Tous les signes d’une annexion programmée semblaient en place : affiches de propagande, inscriptions ouvertes pour obtenir un passeport russe, distribution de puces téléphoniques ou paiement d’une prime aux retraités. Seules les chaînes de télévision de Moscou étaient autorisées.

Le bruit des combats se rapproche

Dmytro, mécanicien, empruntait régulièrement l’une des deux navettes quotidiennes vers la Fédération de Russie, toute proche. Là-bas, trouver du travail lui semblait plus facile. Aujourd’hui, à Koupiansk, les passants qui le voient parler à des étrangers s’éloignent de lui, visages fermés, hostiles et apeurés à la fois. Sur une table de camping, Galina vend des pâtes, du shampooing, des allumettes. Roubles et hrynvia (les devises russe et ukrainienne) acceptés. « C’était calme avec les Russes », dit-elle. « Personne n’était contre », reprend Dmytro, haussant la voix à cause du bruit des combats dans les environs.

Viktor Pripouta, un fermier, s’interpose : « C’est faux. Et Mykola ? Tu te souviens de Mykola ? » Vétéran pro-ukrainien du Donbass, Mykola a été embarqué dans un blindé après avoir organisé une manifestation de 150 personnes contre les occupants. Ce fut le premier et le dernier événement de ce genre. Pour éviter la discussion, Galina tourne la tête. L’incertitude se lit dans son regard : les Russes sont-ils vraiment vaincus pour de bon ? Qui sait comment la situation va tourner ? « A la télévision, j’ai vu… », commence Dmytro. Le fermier le coupe : « Moi, pour savoir ce qui se passe, je regarde par la fenêtre, pas la télévision. » Avec la contre-offensive, la ville est maintenant sur la ligne de front. Pas d’eau, pas d’électricité, pas d’essence, magasins pillés. Une vieille dame est morte depuis quatre jours, l’odeur est insupportable. Il n’y a plus d’ambulances ni de pompiers pour évacuer le corps. Dans les rues, le bruit des combats se rapproche.

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Galina a vécu les six mois de l'occupation russe dans la ville de Koupiansk. « Je veux sortir de cette ville et être évacuée rapidement », plaide-t-elle, le 18 septembre 2022, à Koupiansk, en Ukraine. . SAMUEL GRATACAP POUR « LE MONDE »

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Lors d'une distribution de denrées alimentaires dans le centre ville de Koupiansk, en Ukraine, le 18 septembre 2022. SAMUEL GRATACAP POUR « LE MONDE »

Une voiture vient de se garer, siglée « aide humanitaire ». De partout, on arrive en courant avec des sacs en plastique usés, même les plus âgés qui clopinent. Mais quand commence la distribution, une bombe tombe avec fracas sur un bloc de maisons voisin. Une seconde s’écrase plus près encore. Une partie de la foule fait un brusque demi-tour pour se mettre à l’abri, tandis que l’autre continue de se précipiter vers la distribution. On se heurte sans un mot ni un cri, la terreur et la misère jetées l’une contre l’autre dans un silence glaçant.

Prises de guerre

Aujourd’hui, Koupiansk revêt une importance d’autant plus stratégique que la contre-offensive ukrainienne avance vers le Donbass. D’immenses convois militaires roulent vers le sud, les uns piquant vers Donetsk, les autres vers Louhansk. Chaque bataillon arbore ses prises de guerre, engins russes saisis pendant les derniers combats et triomphalement frappés aux armes des vainqueurs. Mais la proximité de la frontière russe, à 15 kilomètres, complique à l’évidence la reprise de la ville. « Nos ennemis peuvent continuer de masser des troupes de leur côté de la frontière », explique un gradé ukrainien dans une base de la région.

Il a participé à la bataille de Balakliïa, ville deux fois plus grande que Koupiansk, à 70 kilomètres de là. Elle est pourtant tombée presque toute seule, comme la majorité des territoires libérés de la région. « Nous avions remarqué que les soldats russes reculaient facilement, une fois laissés sans commandement, continue le gradé. A Balakliïa, nous avons donc commencé par repérer et décapiter l’état-major. » Selon lui, les soldats russes avaient ensuite été encerclés par grands groupes, puis attaqués. « Ils se sont fait attraper sans se battre », se réjouit-il. Comme pour fouetter les ardeurs à Koupiansk, le président Zelensky a posté, le 19 septembre, la photo d’une place bombardée de la ville, avec la légende : « Notre Koupiansk », appelant au retour de « l’ordre et [de] la civilisation ».

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Des combattants de la défense territoriale ukrainienne communiquent avec leurs proches, à Izioum, en Ukraine, le 17 septembre 2022. SAMUEL GRATACAP POUR « LE MONDE »

Entre militaires, ça discute de l’allocution de Vladimir Poutine, qui vient d’annoncer une mobilisation partielle en Russie. « Ça peut changer très vite avec eux, mais on est prêt », assure l’un. Tout à la gloire de la contre-offensive, les troupes comparent leur enthousiasme aux signes de pessimisme des adversaires. Glib, combattant de 23 ans, affirme avoir vu sur les réseaux sociaux que les jeunes Russes de Belgorod, de l’autre côté de la frontière, à une cinquantaine de kilomètres, cherchent à fuir pour éviter d’être enrôlés.

Après la libération d’une bourgade, des demandes massives de permissions pour le 1er septembre ont été découvertes dans le poste de commandement russe. Soudain, la sonnerie du téléphone de Glib arrête les discours triomphants. Il fait taire les autres à grands gestes. C’est l’université de Kharkiv qui l’appelle pour son examen d’admission en ligne. La voix, qui semble sortir d’un autre monde, annonce un test immédiat de grammaire ukrainienne. « Si la question est trop difficile, tu leur dis que tu n’as pas de réseau », souffle un collègue. Et Glib, mine soudain grave : « Mais si je n’ai pas de diplôme, comment je ferai après la guerre ? »

 

Modifié par olivier lsb
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il y a une heure, Niafron a dit :

Juste, je vais y aller de ma petite théorie du complot...

Le fait qu'il y aurait ( soyons prudents, la fameuse liste hackée peut très bien être fausse ) finalment pas mal de mobilisés à Moscou et Saint Pétersbourg m'interpelle... je m'attendais plutôt à ce que se soient les régions rurales, pauvres et celles des minorités ethniques qui soient mises à contribution.

Se pourrait il que le Kremlin soit assez retors pour mobiliser en masse pour la première vague des jeunes répertoriés comme opposants et soit les envoyer au saloir s'ils acceptent, soit sauter sur l'opportunité de les emprisonner s'ils refusent?

Et pendant ce temps là, préparer un peu plus sérieusement la seconde vague?

Il n'y a plus assez d'opposants en Russie pour former un BTG.

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il y a 10 minutes, olivier lsb a dit :

Il a participé à la bataille de Balakliïa, ville deux fois plus grande que Koupiansk, à 70 kilomètres de là. Elle est pourtant tombée presque toute seule, comme la majorité des territoires libérés de la région. « Nous avions remarqué que les soldats russes reculaient facilement, une fois laissés sans commandement, continue le gradé. A Balakliïa, nous avons donc commencé par repérer et décapiter l’état-major. » Selon lui, les soldats russes avaient ensuite été encerclés par grands groupes, puis attaqués. « Ils se sont fait attraper sans se battre », se réjouit-il.

ça confirme l'idée que le succès rapide de la contre-offensive ukr est en grande partie due au moral en berne des troupes russes ; Par contre le début de l'article laisse entendre que d'autres unités se battent toujours avec détermination près de Koupiansk

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