Surjoueur Posté(e) le 5 septembre 2020 Share Posté(e) le 5 septembre 2020 il y a 8 minutes, fraisedesbois a dit : Dès lors, où est sa "rationalité"? Elle se situe dans le rôle d'homme fort qu'il souhaite se tailler. S'il recule il sera désavoué et passera pour un faible aux yeux de ses partisans. Dans sa position il ne peut que continuer à jouer les durs. Si on se met à sa place d'homme politique, qui souhaite à tout prix garder le pouvoir, il y a une certaine logique. De son point de vue il aurait même intérêt à ce qu'il y ait la guerre : c'est pratique, ça soude une nation autour du chef. Tant pis s'il y a des morts tant qu'il reste au sommet. Cela peut même donner une occasion de devenir dictateur à vie, pour "défendre le peuple". Après cela n'exclut pas une dissociation cognitive, il se surestime et sous-estime les autres nations, probablement... Mais bon pour gagner il faut jouer. Quand on veut être sûr de son coup, on plante des navets. On ne pratique pas la politique. Je précise que je colle là quelques comportements fréquents dans l'histoire des guerres, je ne connais pas bien la situation turque. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 5 septembre 2020 Share Posté(e) le 5 septembre 2020 il y a 40 minutes, fraisedesbois a dit : J'accuse pas. Je me demande juste si le monsieur a encore tout son discernement. Les attitudes, les postures à fin de "communication interne", je veux bien. Mais les prochaines élections en Turquie, c'est 2023. Au rythme auquel il part en "délire" (à mes yeux), pas sûr qu'il tienne jusque là. Il sera cramé avant. Dès lors, où est sa "rationalité"? Même doutes de mon côté : je me demande s'il n'a pas commencé à croire à toute une partie de son discours quasi-messianique qui nous semble hautement fumeuse. il y a 40 minutes, fraisedesbois a dit : [edit] ... et la demande à ses généraux de flinguer un zinc ou un bateau grecs m'évoque furieusement ce qu'on appelle dans le jargon un "passage à l'acte". Ce que les officiers ont refusé. Et je me demande si les histoires de déplacements de char de ce soir ne relèvent pas du même schéma : ordre, opposition, ordre contraire... Le point clé me semble-t-il, et depuis des années : Erdogan souhaite que la rupture avec l'UE soit entérinée, mais à l'initiative de l'UE. Qu'en attend-il au juste ? L'unification de la formidable Turquie derrière son chef, un retour aux temps héroïques de conquête ? Où l'on revient sur ton interrogation : aurait-il commencé à y croire ??? 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Hirondelle Posté(e) le 5 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 5 septembre 2020 il y a 7 minutes, Snapcoke a dit : Je met plus de contravention par jour que ma paie par mois les gars, je donne déjà bien assez !!! Snap’ doit donc être, LUI, amoureux de sa maman pour s’en prendre aussi vilement à ce merveilleux symbole de la masculinité épanouie : la bagnole. On peut l’entendre......................... .................. mais ! IL NOUS COLLE DES AMENDES BORDEL, DES AMENDES !!!! Et il s’en vante. Pauvret, ce qui arriverait à Erdogan si on le laissait entre les pattes de Castle ou Kalli n’est rien à côté de ce qu’on va lui faire! Révélation Tu te souviens que Pascal s’est moqué des Corses vendredi ? Et Pascal a contribué depuis ? Non. Tu as compris... Tu dois payer, on ne provoque pas impunément. 400€ balles hebdomadaires pour une protection «insulaire ». Révélation Tu peux régler en annulant des procès verbaux 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 6 septembre 2020 Share Posté(e) le 6 septembre 2020 Il y a 8 heures, Hirondelle a dit : à ce merveilleux symbole de la masculinité épanouie : la bagnole. Un zymbole de mazcoulinité, fous dites ? Mais la bagnole est féminine. Une foitoure. Une aoto. Une bagnole. La voiture est un outérous de soubstitoution, un zymbole dou retour dans le fendre prodecteur de sa mère. Ah ça, il fallait pas invoquer Freud ! 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cougar133 Posté(e) le 6 septembre 2020 Share Posté(e) le 6 septembre 2020 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NUBEALTIUS Posté(e) le 6 septembre 2020 Share Posté(e) le 6 septembre 2020 https://www.lorientlejour.com/article/1231525/la-turquie-pousse-ses-pions-au-liban.html La Turquie pousse ses pions au Liban Le 4 juillet dernier, le ministre sortant de l’Intérieur, Mohammad Fahmi, a annoncé l’arrestation de quatre individus, deux Syriens et deux Turcs, alors qu’ils tentaient de faire entrer clandestinement depuis la Turquie quatre millions de dollars, destinés selon lui à financer des « émeutes urbaines ». La semaine suivante, le site Assas media, cofinancé par son prédécesseur Nouhad Machnouk, publiait une liste complète d’ONG et de mosquées prétendument pro-turques, et affirmait que la Turquie prévoyait « d’occuper Tripoli ». De telles allégations restent difficiles à vérifier, d’autant que, contrairement à Téhéran ou Riyad, Ankara ne dispose, au pays du Cèdre, ni d’un agenda politique établi de longue date ni d’obligés au sein du Parlement ou du gouvernement (comme le Hezbollah pour l’un ou le courant du Futur et les Forces libanaises pour l’autre). Cependant, les Turcs ont lentement mais sûrement établi des réseaux et des liens à différents niveaux avec les communautés sunnites à travers le Liban. Multiples ressorts D’abord, Ankara continue à travailler au renforcement de son « soft power » au Liban en offrant des bourses d’études et en s’engageant dans des activités culturelles. Les investissements de la Turquie au Liban s’étendent à toute la communauté sunnite. Un hôpital turc doit être inauguré prochainement à Saïda tandis que des milliers de bourses universitaires ont été distribuées. Un autre champ de cette politique concerne la communauté turkmène du pays, qui compte plusieurs milliers de personnes dispersées entre le nord et l’est du Liban (auxquels il faut ajouter les réfugiés syriens). Alors que les liens avec Ankara s’étaient distendus jusqu’à il y a environ une dizaine d’années, la Turquie finance des projets par le biais de l’Agence turque de coopération, et nombre des membres de cette communauté disent ressentir davantage la présence de l’État turc que de son pendant libanais. L’octroi de la citoyenneté constitue enfin un axe majeur de cette politique. Le 8 août dernier, le ministre des Affaires étrangères, Mevlüt Çavusoglu, a ainsi déclaré, lors d’une visite à Beyrouth, que le président Erdogan lui avait donné l’instruction d’accorder la citoyenneté à tout Libanais turkmène ou d’origine turque. Selon des chiffres semi-officiels, près de 9 600 naturalisations (sur environ 18 000 demandes) avaient déjà été accordées jusqu’en 2019. Tous les demandeurs n’étaient pas d’origine turque ou turkmène, de nombreux Libanais étant notamment attirés par la stabilité turque, son mode de vie, ses séries télévisées et son régime d’exemption de visa avec le Liban. Parmi eux, certains sunnites voient dans la puissance turque une nouvelle source de fierté face à l’influence iranienne au Levant. Néanmoins, l’influence croissante de la Turquie au sein de la communauté sunnite a eu des répercussions négatives sur les relations intercommunautaires libanaises. Par exemple, les Arméniens sont de plus en plus sous pression, des milliers de manifestants pro-turcs se présentant à leurs rassemblements en agitant des drapeaux turcs et en scandant des slogans extrêmement menaçants. Des partisans de la Turquie ont aussi récemment intimidé un journaliste de la télévision arménienne qui avait critiqué Erdogan, à travers une série de vidéos, de menaces et d’insultes dirigées contre la communauté arménienne. Ces cas mettent en lumière les risques pouvant découler de la montée en puissance de la Turquie dans un pays où la plupart des minorités partagent une vision essentiellement traumatisante de la domination ottomane. Relais politiques La politique d’influence turque au Liban vise aussi à répondre à des enjeux internes. Cela a récemment été le cas lorsque des responsables turcs ont présenté la mort d’Eren Bülbül, un adolescent tué par le Parti des travailleurs du Kurdistan en 2017, comme une source d’inspiration pour une action de secours après les explosions du 4 août. La Turquie tente aussi de viser les quelques partisans de Fethullah Gülen au Liban : après l’échec de la tentative de coup d’État du 15 juillet 2016 et la répression du réseau güleniste en Turquie et ailleurs, Ankara a mobilisé ses partisans au Liban et a poussé à la démission le directeur d’une école coranique libanaise, soupçonnée d’être affiliée aux Frères musulmans dans l’ouest de Beyrouth. Selon trois sources proches du dossier, l’école avait un partenariat avec le réseau güleniste mais n’y était pas affiliée. Jusqu’à présent, Ankara s’est abstenu de soutenir un seul parti politique, comme la version libanaise des Frères musulmans, la Jamaa islamiya. Cela vise peut-être à rester au-dessus de la politique partisane et à conserver le soutien populaire auprès d’un échantillon le plus large possible de la communauté sunnite tout en entretenant les liens forts existant avec certains groupes issus des populations kurdes et arabes qui ont migré depuis la Turquie et ont obtenu la citoyenneté libanaise dans les années 1990. Certains politiciens libanais ont également établi des relations avec la Turquie, et notamment l’ancien Premier ministre Saad Hariri, qui a été témoin du mariage de la fille d’Erdogan en 2016. Cependant, l’hostilité croissante entre la Turquie et les États arabes tels que l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis et l’Égypte rendra difficile le maintien de telles relations. Le chef des services de renseignements turc et confident d’Erdogan, Hakan Fidan, a également tissé des liens étroits avec le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, une figure chiite de plus en plus influente dans le pays. Néanmoins, la Turquie n’est pas intervenue directement dans la politique libanaise. Cependant, cela pourrait changer après l’explosion du port de Beyrouth. La visite du président français Emmanuel Macron au Liban à la suite de l’explosion et son initiative pour mettre fin à l’impasse politique dans le pays ont ainsi pu être en partie interprétées comme un effort visant à empêcher la Turquie de prendre un autre pied sur la Méditerranée. Dans un tweet posté le 14 août dernier, Macron a ainsi rendu compte d’un appel téléphonique avec le président américain Donald Trump où ont été évoquées les tensions en Méditerranée orientale et la situation en Libye et au Liban. Le fait de lier ces dossiers a pu être interprété comme une référence implicite aux actions turques dans les deux pays tandis qu’Erdogan a publiquement vilipendé ce qu’il considère comme une tentative de la France de restaurer son influence coloniale. Même s’il est sans commune mesure avec l’engagement de la Turquie en Libye et en Syrie, l’intérêt croissant des Turcs pour le Liban pourrait en tout cas trouver un relais local auprès de certaines parties sunnites à la recherche d’un nouveau parrain régional. Ce texte est aussi disponible en anglais et en arabe sur Diwan, le blog du Carnegie MEC. Par Mohanad HAGE ALI Chercheur et directeur de la communication du Carnegie Middle East Center. Dernier ouvrage : « Nationalism, Transnationalism, and Political Islam » (Palgrave, 2017). 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 7 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 septembre 2020 Turkey’s Muscle Flexing in the Med Isn’t Just About Gas Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) La Turquie qui montre ses muscles en Méditerranée n'est pas seulement une question de gazLe président Recep Tayyip Erdogan construit une marine capable de faire valoir les intérêts de sa nation en tant que puissance régionale. En traversant l'an dernier le détroit du Bosphore qui sépare l'Europe de l'Asie, une flotte turque a salué la tombe du pirate et amiral Barberousse au XVIe siècle, renouant ainsi avec une tradition qui remonte à l'époque où l'Empire ottoman régnait sur la Méditerranée. Peu remarqué à l'étranger, l'hommage rendu par les marins de retour du plus grand exercice naval jamais organisé dans le pays semble désormais chargé de symbolisme. Alors que la Turquie reconstruit sa puissance maritime et conteste les eaux contestées, elle est de nouveau en conflit avec des adversaires historiques de l'Occident. L'attention internationale s'est focalisée sur la course aux gisements de gaz naturel en Méditerranée orientale qui a incité non seulement la Turquie, mais aussi Chypre, l'Égypte, la Grèce et Israël à revendiquer des droits dans l'une des mers les plus fréquentées du monde. Pourtant, les racines de ces tensions sont plus profondes. La croissance de la marine révèle l'ampleur - souvent rejetée en dehors de la Turquie - de l'ambition du président Recep Tayyip Erdogan d'affirmer les intérêts de sa nation en tant que puissance régionale spécifiquement musulmane, capable de faire jeu égal avec l'Europe, la Russie et les États-Unis. En plus des nouveaux navires de surface et sous-marins produits localement, la marine a déjà aidé Erdogan à projeter sa force à l'étranger avec un succès qui a surpris et alarmé d'autres États côtiers. De plus grandes frégates sont en préparation et un porte-avions léger de 27 000 tonnes est prévu pour l'année prochaine. "Non loin sous la surface se trouve un ensemble de questions beaucoup plus émotionnelles, l'idée que la Turquie est la plus grande puissance de la Méditerranée orientale et devrait être traitée comme telle", a déclaré Ryan Gingeras, professeur au département des affaires de sécurité nationale à la Naval Postgraduate School en Californie et spécialiste des affaires maritimes turques. "Elle se perçoit comme entourée de rivaux et d'adversaires et elle utilisera la force pour s'affirmer, parce qu'elle le peut". L'essor des chantiers navals turcs s'inscrit dans le cadre d'une expansion plus large de l'industrie nationale de l'armement - des navires de guerre aux hélicoptères d'attaque, en passant par les drones armés - visant à obtenir ce que les responsables turcs appellent "l'indépendance stratégique" vis-à-vis des fournisseurs occidentaux, désormais considérés davantage comme des rivaux que comme des partenaires. Erdogan a fixé l'objectif de 2023, le 100e anniversaire de la République, pour que la Turquie fournisse toutes ses propres armes. Il est peu probable que cet objectif soit atteint. Il y a également des raisons de douter qu'une économie en difficulté de 750 milliards de dollars puisse soutenir ses ambitions de grande puissance dans le climat actuel. L'Union européenne menace également de prendre des sanctions contre les activités de la Turquie dans la région. Pourtant, l'armée turque a pénétré de force dans le nord de la Syrie, s'assurant ainsi une place à la table des négociations. En Libye, les navires de guerre turcs ont aidé à approvisionner et à soutenir le gouvernement assiégé de Tripoli, renversant ainsi le cours de la guerre civile en sa faveur. Les flottilles navales turques escortent désormais régulièrement les navires de recherche sismique dans les eaux territoriales grecques et chypriotes, à la recherche de gaz. Le mois dernier, cela s'est traduit par une collision avec un navire de la marine grecque, l'animosité entre les deux membres de l'OTAN ayant atteint son point culminant depuis l'impasse de 1996 au sujet d'une paire d'îlots inhabités de la mer Égée qui a failli les voir partir en guerre. "La Turquie aura sa juste part en Méditerranée, en mer Égée et en mer Noire", a déclaré M. Erdogan dans un discours prononcé le 26 août pour commémorer la première défaite des Turcs Seldjoukides contre l'Empire grec et byzantin, à la bataille de Manzikert en 1071. "Si nous disons que nous allons faire quelque chose, nous le ferons, et nous en paierons le prix", a-t-il ajouté, en mettant au défi toute nation de s'y opposer. Quelques jours plus tard, il a marqué une autre victoire militaire sur la Grèce, en 1922, en célébrant la production du premier missile de croisière lancé par un navire turc, ainsi que des "essais spatiaux" pour une fusée à propulsion liquide. Et samedi, il a semblé menacer directement la Grèce, avertissant qu'elle souffrirait "sur le terrain" si elle ne parvenait pas à un règlement diplomatique. On ne sait pas très bien comment prendre au pied de la lettre la belligérance d'Erdogan. Dans une récente interview à Bloomberg News, son porte-parole et conseiller, Ibrahim Kalin, a déclaré que la Turquie visait à faire pression sur les partenaires méditerranéens pour qu'ils prennent en compte et négocient les intérêts turcs dans la région, qui avaient été trop longtemps ignorés. La Grèce affirme que les îles doivent être prises en compte dans la délimitation du plateau continental d'un pays, conformément au droit de la mer des Nations unies, que la Turquie n'a pas signé. Ankara soutient que le plateau continental d'un pays doit être mesuré à partir de son continent. Les deux parties ont proposé de s'asseoir pour discuter, bien qu'il y ait peu de chances que cela se fasse dans un avenir proche. L'approche énergique de la Turquie attire l'attention des autres puissances méditerranéennes, mais elle a également laissé le pays de 83 millions d'habitants dans l'isolement. La semaine dernière, un site web de la marine turque a exprimé son inquiétude quant aux plans russes d'organiser des exercices de tir réel en Méditerranée dans le courant du mois. Les États-Unis ont partiellement levé un embargo sur les armes qui dure depuis des décennies à Chypre, divisée depuis que la Turquie a envahi le nord en 1974, soi-disant pour protéger les Turcs. Dans une démonstration de force, la France a brièvement fait voler des avions Rafale de grande puissance vers une base aérienne située du côté grec de l'île. L'approche nationaliste d'Erdogan a un large attrait politique, dans une nation polarisée entre les partisans de son type de conservatisme religieux et ceux de la laïcité promue par le fondateur de la République, Mustafa Kemal Ataturk. "Je suis un kémaliste, je suis totalement contre l'utilisation de l'Islam en politique", a déclaré Cem Gurdeniz, amiral à la retraite et ancien directeur de la planification politique de la marine turque. Pourtant, il partage la conviction d'Erdogan que les intérêts fondamentaux des États-Unis et de l'Europe occidentale sont désormais opposés à ceux de la Turquie. En 2006, Gurdeniz a lancé l'idée d'une vaste "patrie bleue" dans les eaux qui entourent la Turquie, idée qui a depuis été reprise par l'État. Il décrit cette vision comme un appel à la défense des droits maritimes de la Turquie, lancé en réponse à la position de la Grèce. Il a ridiculisé l'idée que les îles offshore devraient supplanter les revendications du continent sur 150 000 kilomètres carrés (58 000 miles carrés) de plateau continental. "Leur mentalité est si simple : Nous avons quitté l'Anatolie après la défaite de 1923, mais nous avons conservé la mer Égée", a-t-il déclaré. "Ils pensent que les Turcs sont un peuple de terre, donc en mer ils peuvent prendre tout ce qu'ils veulent. Non, les choses ont changé". D'après les plans de construction actuels, la marine turque dépassera bientôt son principal concurrent grec, longtemps considéré comme la plus puissante en mer. Un porte-parole de la marine grecque a déclaré que ni le ministère de la défense ni la marine ne feraient de commentaires pour cet article. Rien de tout cela ne rend la guerre entre les deux pays inévitable ou même probable, mais les risques d'escalade augmentent, selon Hugo Decis, un analyste de recherche spécialisé dans les affaires navales à l'Institut international d'études stratégiques, un groupe de réflexion sur la sécurité basé à Londres. "Ce qui devrait vraiment nous inquiéter, c'est le développement d'une dynamique du fait accompli, où la Turquie commence à prendre le même genre de mesures que la Chine", a déclaré M. Decis, en référence à la militarisation des récifs récupérés dans la mer de Chine méridionale. L'exercice naval massif de l'année dernière était lui-même appelé "Blue Homeland". Comme la flotte a honoré Barberousse, peu de personnalités auraient pu mieux refléter le fossé grandissant entre la Turquie et l'Occident. En Europe, on se souvient de Barbaros Hayreddin Pacha comme d'un marchand d'esclaves qui a ravagé les côtes du nord de la Méditerranée. Chez lui, on vénère un brillant commandant de la marine qui, en 1538, a vaincu une flotte combinée de puissances chrétiennes. Pendant une brève trentaine d'années, il a transformé la mer en lac ottoman. "Ce n'est pas une question de politique interne de la Turquie", a déclaré Gurdeniz à propos des exigences de la Turquie en Méditerranée. "Ce sont des différends qui ne disparaîtront pas, même si le gouvernement change." 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kalligator Posté(e) le 7 septembre 2020 Share Posté(e) le 7 septembre 2020 Il me semble que la psychiatrie progresse vachement sur ce fil. côté chars de combat il ne faut pas trop s'illusionner sur le nombre, beaucoup de M60 ces engins ne résistent pas à grand chose même Magach, par contre je crois qu'il ont renforcé leur Léo 2 depuis qu'il en ont perdu sur tir de missiles latéraux (voir fils Léo) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 7 septembre 2020 Share Posté(e) le 7 septembre 2020 Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : "Ce n'est pas une question de politique interne de la Turquie", a déclaré Gurdeniz à propos des exigences de la Turquie en Méditerranée. "Ce sont des différends qui ne disparaîtront pas, même si le gouvernement change." Donc ce qu'il faut, c'est infliger à la Turquie une défaite complète humiliante pour qu'ils laissent tomber pour quelques siècles... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Snapcoke Posté(e) le 7 septembre 2020 Share Posté(e) le 7 septembre 2020 il y a 11 minutes, Kelkin a dit : Donc ce qu'il faut, c'est infliger à la Turquie une défaite complète humiliante pour qu'ils laissent tomber pour quelques siècles... Oui. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NUBEALTIUS Posté(e) le 11 septembre 2020 Share Posté(e) le 11 septembre 2020 "Turquie : une députée du parti prokurde HDP condamnée à 10 ans de prison" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/turquie-une-deputee-du-parti-prokurde-hdp-condamnee-a-10-ans-de-prison-20200911 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. NUBEALTIUS Posté(e) le 11 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 septembre 2020 (modifié) Ha ce beau pays defenseur des opprimés contre les colonialistes et impérialistes de tout bord https://observers.france24.com/fr/20200911-turquie-sakarya-kurdes-saisonniers-cueillette-noisettes-violences-racisme En Turquie, l'agression de Kurdes cueilleuses de noisettes ravive le débat sur le racisme Le nord de la Turquie est réputé pour son thé mais aussi ses noisettes, qui représentent 70 % de la production mondiale d’oléagineux. Pour la récolte, les propriétaires font appel à des saisonniers majoritairement kurdes ou syriens qui travaillent dans des conditions difficiles, souvent sans contrat, et qui sont parfois victimes de racisme. Une vidéo tournée début septembre montrant un groupe d’hommes frapper violemment des cueilleuses kurdes a relancé le débat sur les discriminations subies par cette communauté. À Ortaköy Sütmahalle, village de la province de Sakarya, dans le nord de la Turquie, huit hommes ont été filmés le 4 septembre, en train de frapper un groupe de saisonniers venus de la région de Mardin, à 1 200 kilomètres de là, pour cueillir des noisettes. Un geste a notamment beaucoup choqué les internautes turcs : une violente gifle infligée par un homme à une jeune cueilleuse. Selon les déclarations de son père, cette adolescente de 14 ans serait depuis traumatisée. Vidéo amateur tournée par un membre de la famille, diffusée par l’agence de presse kurde Mésopotamie le 4 septembre. Les victimes constituaient un groupe de 16 personnes originaires de Mardin, pour la plupart de la même famille élargie. Son père, Kasim Demir, a déclaré à la BBC : "Des hommes s’en sont pris à des enfants. Je ne les avais pas vus frapper ma fille, si je les avais vus battre les femmes, les choses se seraient passées bien différemment". Il a par ailleurs affirmé que l’agression était de nature raciste et qu’ils avaient été maltraités en raison de leur identité kurde. Un membre de sa famille, Baris Demir, a précisé à l’agence de presse kurde Mésopotamie que les agresseurs étaient le fils et le neveux du propriétaire du champ de noisetiers et que les violences ont commencé après une dispute sur le lieu où travaillaient ces saisonniers : Nous sommes allés à la ferme le matin, le propriétaire nous a insultés et nous a traités de 'bande de clébards'. Après nous sommes partis. Il [le propriétaire] nous a ensuite menacés en disant : 'Vous pensez que vous êtes chez vous ? Cette [terre] nous appartient'. Ensuite huit personnes avec des bâtons sont venues nous attaquer. La famille a pu quitter les lieux immédiatement et est rentrée à Mardin en minibus le lendemain matin. D’autres Kurdes visés par des attaques racistes à Sakarya par le passé Suite à la publication de leur histoire dans les médias turcs, deux de leurs assaillants ont été arrêtés avant d’être relâchés sous contrôle judiciaire. Plusieurs représentants du parti au pouvoir, l’AKP (Parti de la justice et du développement), ont affirmé que cette attaque n’avait aucune connotation raciste et n’était qu’une "bagarre entre paysans". Des représentants politiques et associatifs de la minorité kurde, comme Abdulhakim Daş, président de la plateforme des Associations du Sud-Est (DGD) ont estimé que "cette attaque est l’expression pratique de la mentalité raciste cultivée [dans ce pays] depuis un siècle". En octobre 2019, un autre travailleur saisonnier kurde de 19 ans, Sirin Tosun, a été lynché par un groupe de six personnes à Sakarya pour avoir parlé en langue kurde. Il a reçu une balle dans la tête et a perdu la vie après 54 jours passés en soins intensifs. Toujours à Sakarya, en décembre 2018, un père de famille kurde a été abattu en pleine rue alors qu’il venait de récupérer son fils chez le coiffeur. Interrogé sur ses origines, il avait indiqué être kurde avant d’être tué. Özgür Çetinkaya travaille régulièrement auprès des saisonniers en Turquie en tant que chef de projet pour la coopérative "Atelier du développement" (Kalinma atölyesi), qui promeut le modèle des coopératives et publie régulièrement des rapports sur le travail agricole saisonnier. Les actes racistes visant les travailleurs saisonniers, qui sont majoritairement Kurdes ou Syriens, se produisent régulièrement dans la région de la mer Noire (nord). La population de cette région est connue pour ses penchants ultra-nationalistes. Je me souviens, par exemple, que le gouverneur de la province d’Ordu (nord-est) avait interdit aux saisonniers kurdes de venir faire les récoltes il y a quelques années [entre 2003 et 2008, NDLR]. Les violences ne sont pas rares entre les propriétaires et les saisonniers qu’ils embauchent, elles commencent souvent avec des disputes sur le salaire ou les conditions de travail. En Turquie, les travailleurs saisonniers n’ont pas de contrat, tout est fait à l’oral. Si le propriétaire ne peut pas payer, qu’il diminue le salaire ou a du retard dans leur paiement, ce qui est très fréquent, cela crée des tensions. Des tensions alimentées par les salaires bas et des conditions difficiles Ces tensions sont aussi alimentées par la frustration des travailleurs pauvres qui travaillent tout l’été en famille, enfants compris, pour pouvoir survivre l’hiver dans leur région, où il y a peu ou pas de travail. Ces gens travaillent souvent 12 à 13 heures par jour sous le soleil, sans équipement adapté, ils portent des charges lourdes et dorment dans des remises ou des tentes, avec pas ou très peu de confort. Ils sont souvent endettés et une partie de leur salaire [65 à 90 livres turques par jour, 7 à 10 euros, le minimum légal étant de 115 livres, soit environ 13 euros, NDLR] doit être versé à l’intermédiaire qui leur a trouvé le travail. Le plus gros acheteur de noisettes récoltées par les saisonniers dans le nord de la Turquie est l’entreprise italienne Ferrero, qui produit notamment la célèbre pâte à tartiner Nutella. Les conditions de travail de ces ouvriers agricoles et l’embauche généralisée d’enfants a poussé la multinationale à créer des programmes de formation pour les propriétaires terriens et à mettre en place un processus de traçage des noisettes. Comme l’a révélé la BBC en 2019, ces programmes sont loin d’être suffisants pour mettre un terme au travail des enfants et aux salaires en dessous du minimum légal. Heureusement pour défendre les opprimés le glaive de la justice turque est rapide et foudroyant : https://www.google.fr/amp/s/rojinfo.com/un-tribunal-turc-libere-deux-agresseurs-dune-attaque-raciste-contre-des-kurdes/amp/ Modifié le 11 septembre 2020 par NUBEALTIUS 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. penaratahiti Posté(e) le 11 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 septembre 2020 il y a 45 minutes, NUBEALTIUS a dit : Ha ce beau pays defenseur des opprimés contre les colonialistes et impérialistes de tout bord https://observers.france24.com/fr/20200911-turquie-sakarya-kurdes-saisonniers-cueillette-noisettes-violences-racisme En Turquie, l'agression de Kurdes cueilleuses de noisettes ravive le débat sur le racisme Le nord de la Turquie est réputé pour son thé mais aussi ses noisettes, qui représentent 70 % de la production mondiale d’oléagineux. Pour la récolte, les propriétaires font appel à des saisonniers majoritairement kurdes ou syriens qui travaillent dans des conditions difficiles, souvent sans contrat, et qui sont parfois victimes de racisme. Une vidéo tournée début septembre montrant un groupe d’hommes frapper violemment des cueilleuses kurdes a relancé le débat sur les discriminations subies par cette communauté. À Ortaköy Sütmahalle, village de la province de Sakarya, dans le nord de la Turquie, huit hommes ont été filmés le 4 septembre, en train de frapper un groupe de saisonniers venus de la région de Mardin, à 1 200 kilomètres de là, pour cueillir des noisettes. Un geste a notamment beaucoup choqué les internautes turcs : une violente gifle infligée par un homme à une jeune cueilleuse. Selon les déclarations de son père, cette adolescente de 14 ans serait depuis traumatisée. Vidéo amateur tournée par un membre de la famille, diffusée par l’agence de presse kurde Mésopotamie le 4 septembre. Les victimes constituaient un groupe de 16 personnes originaires de Mardin, pour la plupart de la même famille élargie. Son père, Kasim Demir, a déclaré à la BBC : "Des hommes s’en sont pris à des enfants. Je ne les avais pas vus frapper ma fille, si je les avais vus battre les femmes, les choses se seraient passées bien différemment". Il a par ailleurs affirmé que l’agression était de nature raciste et qu’ils avaient été maltraités en raison de leur identité kurde. Un membre de sa famille, Baris Demir, a précisé à l’agence de presse kurde Mésopotamie que les agresseurs étaient le fils et le neveux du propriétaire du champ de noisetiers et que les violences ont commencé après une dispute sur le lieu où travaillaient ces saisonniers : Nous sommes allés à la ferme le matin, le propriétaire nous a insultés et nous a traités de 'bande de clébards'. Après nous sommes partis. Il [le propriétaire] nous a ensuite menacés en disant : 'Vous pensez que vous êtes chez vous ? Cette [terre] nous appartient'. Ensuite huit personnes avec des bâtons sont venues nous attaquer. La famille a pu quitter les lieux immédiatement et est rentrée à Mardin en minibus le lendemain matin. D’autres Kurdes visés par des attaques racistes à Sakarya par le passé Suite à la publication de leur histoire dans les médias turcs, deux de leurs assaillants ont été arrêtés avant d’être relâchés sous contrôle judiciaire. Plusieurs représentants du parti au pouvoir, l’AKP (Parti de la justice et du développement), ont affirmé que cette attaque n’avait aucune connotation raciste et n’était qu’une "bagarre entre paysans". Des représentants politiques et associatifs de la minorité kurde, comme Abdulhakim Daş, président de la plateforme des Associations du Sud-Est (DGD) ont estimé que "cette attaque est l’expression pratique de la mentalité raciste cultivée [dans ce pays] depuis un siècle". En octobre 2019, un autre travailleur saisonnier kurde de 19 ans, Sirin Tosun, a été lynché par un groupe de six personnes à Sakarya pour avoir parlé en langue kurde. Il a reçu une balle dans la tête et a perdu la vie après 54 jours passés en soins intensifs. Toujours à Sakarya, en décembre 2018, un père de famille kurde a été abattu en pleine rue alors qu’il venait de récupérer son fils chez le coiffeur. Interrogé sur ses origines, il avait indiqué être kurde avant d’être tué. Özgür Çetinkaya travaille régulièrement auprès des saisonniers en Turquie en tant que chef de projet pour la coopérative "Atelier du développement" (Kalinma atölyesi), qui promeut le modèle des coopératives et publie régulièrement des rapports sur le travail agricole saisonnier. Les actes racistes visant les travailleurs saisonniers, qui sont majoritairement Kurdes ou Syriens, se produisent régulièrement dans la région de la mer Noire (nord). La population de cette région est connue pour ses penchants ultra-nationalistes. Je me souviens, par exemple, que le gouverneur de la province d’Ordu (nord-est) avait interdit aux saisonniers kurdes de venir faire les récoltes il y a quelques années [entre 2003 et 2008, NDLR]. Les violences ne sont pas rares entre les propriétaires et les saisonniers qu’ils embauchent, elles commencent souvent avec des disputes sur le salaire ou les conditions de travail. En Turquie, les travailleurs saisonniers n’ont pas de contrat, tout est fait à l’oral. Si le propriétaire ne peut pas payer, qu’il diminue le salaire ou a du retard dans leur paiement, ce qui est très fréquent, cela crée des tensions. Des tensions alimentées par les salaires bas et des conditions difficiles Ces tensions sont aussi alimentées par la frustration des travailleurs pauvres qui travaillent tout l’été en famille, enfants compris, pour pouvoir survivre l’hiver dans leur région, où il y a peu ou pas de travail. Ces gens travaillent souvent 12 à 13 heures par jour sous le soleil, sans équipement adapté, ils portent des charges lourdes et dorment dans des remises ou des tentes, avec pas ou très peu de confort. Ils sont souvent endettés et une partie de leur salaire [65 à 90 livres turques par jour, 7 à 10 euros, le minimum légal étant de 115 livres, soit environ 13 euros, NDLR] doit être versé à l’intermédiaire qui leur a trouvé le travail. Le plus gros acheteur de noisettes récoltées par les saisonniers dans le nord de la Turquie est l’entreprise italienne Ferrero, qui produit notamment la célèbre pâte à tartiner Nutella. Les conditions de travail de ces ouvriers agricoles et l’embauche généralisée d’enfants a poussé la multinationale à créer des programmes de formation pour les propriétaires terriens et à mettre en place un processus de traçage des noisettes. Comme l’a révélé la BBC en 2019, ces programmes sont loin d’être suffisants pour mettre un terme au travail des enfants et aux salaires en dessous du minimum légal. Heureusement pour défendre les opprimés le glaive de la justice turque est rapide et foudroyant : https://www.google.fr/amp/s/rojinfo.com/un-tribunal-turc-libere-deux-agresseurs-dune-attaque-raciste-contre-des-kurdes/amp/ Une première réaction c'est d'arrêter d'acheter Ferrero : plus de Nutella, plus de Kinder... A notre niveau c'est le plus efficace. Nos dents, nos abdos et l'humeur de nos enfants ne s'en porteront que mieux ! 3 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Hirondelle Posté(e) le 11 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 11 septembre 2020 il y a une heure, penaratahiti a dit : Une première réaction c'est d'arrêter d'acheter Ferrero : plus de Nutella, plus de Kinder... A notre niveau c'est le plus efficace. Nos dents, nos abdos et l'humeur de nos enfants ne s'en porteront que mieux ! Je n’ai pas lu le reste, Penar’ (c’est ´dredi soir, quand même !), mais ça me suffit pour te signaler à la Cour Pénale Internationale, au Pape François et à la modération : TU ES UN VRAI NAZI !!! D’ailleurs, si on dit à madame Penardaborabora que nicht Nutella à jamais, sur ton initiative, elle aura ta peau en faisant la grève de l’épilation. Y’a des trucs, on peut pas plaisanter... 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 11 septembre 2020 Share Posté(e) le 11 septembre 2020 il y a une heure, Hirondelle a dit : Je n’ai pas lu le reste, Penar’ (c’est ´dredi soir, quand même !), mais ça me suffit pour te signaler à la Cour Pénale Internationale, au Pape François et à la modération : TU ES UN VRAI NAZI !!! D’ailleurs, si on dit à madame Penardaborabora que nicht Nutella à jamais, sur ton initiative, elle aura ta peau en faisant la grève de l’épilation. Y’a des trucs, on peut pas plaisanter... Nan mais y'a plein d'autres pâtes à tartiner sans huile de palme et sans noisettes turques bien fat quand même ! Faut pas se tromper d'ennemi ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 11 septembre 2020 Share Posté(e) le 11 septembre 2020 il y a une heure, Hirondelle a dit : la grève de l’épilation c'est sûr que là ... on sort des sentiers battus, le vent souffle, l'artillerie lourde tonne, le choléra revient sur la ville, les Huns sont de retour ... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 11 septembre 2020 Share Posté(e) le 11 septembre 2020 Nocciolata Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 11 septembre 2020 Share Posté(e) le 11 septembre 2020 il y a 7 minutes, pascal a dit : c'est sûr que là ... on sort des sentiers battus, le vent souffle, l'artillerie lourde tonne, le choléra revient sur la ville, les Huns sont de retour ... Voilà ! Donc définitivement, pour moi je préfère ça à ça : Révélation Je vais peut-être réfléchir quand même... 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 12 septembre 2020 Share Posté(e) le 12 septembre 2020 Il y a 12 heures, Hirondelle a dit : Je vais peut-être réfléchir quand même... ah quand même ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 12 septembre 2020 Share Posté(e) le 12 septembre 2020 16 hours ago, Hirondelle said: Je vais peut-être réfléchir quand même... Tu vieillis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
NUBEALTIUS Posté(e) le 13 septembre 2020 Share Posté(e) le 13 septembre 2020 "Charlie Hebdo : des manifestants à Istanbul protestent contre la publication des caricatures de Mahomet" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/charlie-hebdo-des-manifestants-a-istanbul-protestent-contre-la-publication-des-caricatures-de-mahomet-20200913 Nureddin Sirin, rédacteur en chef de la chaîne de télévision Kudus («Jerusalem»), a affirmé que «Macron va payer un prix élevé, à la fois pour son arrogance en Méditerranée orientale et pour son soutien aux insultes contre l'Islam, sous prétexte de liberté de la presse». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 13 septembre 2020 Share Posté(e) le 13 septembre 2020 La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe, mais faut croire que l'Islam n'est pas une blanche colombe si des petits dessins dans un petit journal peuvent avoir un tel impact. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 13 septembre 2020 Share Posté(e) le 13 septembre 2020 il y a 32 minutes, NUBEALTIUS a dit : "Charlie Hebdo : des manifestants à Istanbul protestent contre la publication des caricatures de Mahomet" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/charlie-hebdo-des-manifestants-a-istanbul-protestent-contre-la-publication-des-caricatures-de-mahomet-20200913 Nureddin Sirin, rédacteur en chef de la chaîne de télévision Kudus («Jerusalem»), a affirmé que «Macron va payer un prix élevé, à la fois pour son arrogance en Méditerranée orientale et pour son soutien aux insultes contre l'Islam, sous prétexte de liberté de la presse». ils ont l'insulte facile ces abrutis.. mais ils n'ont que ça et plus le temps passe plus ils apparaissent comme des abrutis finis 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lezard-vert Posté(e) le 15 septembre 2020 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 septembre 2020 https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/15/un-rapport-de-l-onu-devoile-des-exactions-systematiques-dans-les-regions-sous-controle-turc-en-syrie_6052274_3210.html Un rapport de l’ONU dévoile des exactions systématiques dans les régions kurdes occupées par les Turcs en Syrie Les enquêteurs de la Commission indépendante internationale sur la Syrie décrivent une occupation militaire marquée dans les zones kurdes par des violations organisées des droits humains. Un jour d’hiver, dans un centre de détention installé dans une ancienne école de la ville occupée d’Afrin, les miliciens stipendiés par la Turquie de l’Armée nationale syrienne (ANS) ont hurlé à leurs prisonniers kurdes l’ordre de sortir de leurs cellules. Ils les ont réunis dans le hall du bâtiment pour une occasion spéciale, quelque chose de différent des tortures et humiliations routinières auxquelles ils sont habituellement soumis. Une jeune fille mineure capturée dans cette région kurde syrienne venait d’être arrachée de sa cellule et amenée devant eux. La jeune fille était kurde et, sous les yeux des détenus rassemblés, les geôliers l’ont violée, puis violée encore, les uns après les autres, en les forçant à regarder son supplice. Cet épisode, dont Le Monde a pu consulter le compte rendu complet, n’est qu’une exaction parmi tant d’autres à avoir retenu l’attention des enquêteurs de la Commission indépendante internationale des Nations unies sur la Syrie. Leur rapport sur la situation des droits humains dans le pays, paru mardi 15 septembre, porte sur des violations documentées par l’ensemble des acteurs du conflit syrien, du régime de Damas aux djihadistes du groupe Hayat Tahrir Al-Cham en passant par les forces kurdes et leurs alliés. Il décrit toutefois avec une autorité jusqu’alors inédite et en profondeur l’ordre de terreur imposé dans les régions kurdes de Syrie passées sous la coupe de la Turquie et de ses supplétifs islamistes syriens début 2018, depuis l’opération « Rameau d’Olivier ». Une source diplomatique turque a indiqué au Monde qu’Ankara n’avait pas pour l’heure de réaction à apporter, rappelant que la Turquie avait coopéré avec les enquêteurs de la commission. .... Il ne faut plus rien lui passer à cet Erdogan. 5 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lezard-vert Posté(e) le 15 septembre 2020 Share Posté(e) le 15 septembre 2020 Je me demande si Erdogan n'est pas passible de passer en CPI au regard de sa complicité avec DAESH, des violence faites aux civils Kurdes et de la passivité / complaisance de l'armée turque qui finalement sert les Kurdes à DAESH sur un plateau. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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