Tomcat Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 Je sais pas pourquoi mais le Nerpa n'est pas près de rejoindre la flotte Indienne... Pourquoi? il n'est pas endommagé pourtant. Il faut juste faire le "ménage" et il est comme neuf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fenrir Posté(e) le 10 novembre 2008 Share Posté(e) le 10 novembre 2008 Il y a eu un accident grave mettant en cause un système de sécurité vital, il va y avoir enquête et connaissant les Indiens se devra être fait à fond (ils en ont marre de se faire entuber avec les navires russes...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 11 novembre 2008 Share Posté(e) le 11 novembre 2008 Ce qu'il faut voir c'est si cet incident est dû à une erreur technique ou humaine. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Perry Posté(e) le 12 novembre 2008 Share Posté(e) le 12 novembre 2008 Aucun marin Indien n'était à bord du K-152 lors de l'accident. La marine Indienne vient de recevoir une "petite note" additionnelle (aux 2 milliards de dollars US payés pour le programme de leasing du Nerpa et du Kaban) de 650 millions de dollars US. Une paille !En apparté les familles des victimes civiles (techniciens et ouvriers du chantier de komsomolsk-Na-Amur, le Amurskiy Sudostroitelnyy Zavod) ont reçu chacune l'équivalent de 3700 dollars US de la part du gouvernement en dédommagement du préjudice subi. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FULCRUM Posté(e) le 12 novembre 2008 Share Posté(e) le 12 novembre 2008 Et en fin de compte c'est bien un incident technique! Alors là c'est grave! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 14 novembre 2008 Share Posté(e) le 14 novembre 2008 N'empêche que les relations entre l'Inde et la Russie se détériorent de plus en plus ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 25 novembre 2008 Share Posté(e) le 25 novembre 2008 La location d’un sous-marin russe à l’Inde tient toujours, disent des experts militaires russes La livraison d’un sous-marin nucléaire russe à la marine indienne à partir de l’an prochain, pourrait être retardée de plusieurs mois à cause de l’accident impliquant le système de sécurité incendie du sous-marin, mais l’accord est toujours valable, ont indiqué des spécialistes russes de la défense. Modernisation Les essais à la mer du sous-marin Nerpa, qui doit être loué à l’Inde, ont été interrompus lorsque la diffusion accidentelle d’un gaz empoissoné a fait 20 morts et plus de 40 blessés le 8 novembre dernier. Les procureurs ont accusé un membre d’équipage d’avoir déréglé une sonde de température qui aurait, disent-ils, déclenché les extincteurs automatiques. Un expert russe des systèmes d’armes a suggéré que le système sophistiqué de contrôle du sous-marin, Molibden-I, installé pour la première fois à bord du Nerpa pourrait avoir mal fonctionné. “Contrairement aux précédentes versions, Molibden-I est un système entièrement informatisé qui n’a pas encore été essayé à bord d’un seul sous-marin. Une erreur informatique quelconque ne peut être écartée”, a déclaré le rédacteur en chef du magazine Moscow Defence Brief, Mikhail Barabanov. Le spécialiste a déclaré à The Hindu que l’accident pourrait retarder de plusieurs mois la livraison du Nerpa à la marine indienne. Le sous-marin devait être livré en aout 2007, puis elle a été reprogrammée en aout 2009, mais c’était avant l’accident. Modernisation Les retards répétés pourraient être dûs à un grand nombre de nouveaux systèmes et technologies installés à bord du Nerpa, le plus récent exemplaire de la classe des sous-marins d’attaque Schucka–B ou Akula-II (désignation OTAN) construits en Russie. Les spécialistes ont rejeté les articles selon lesquels la Russie avait décidé de ne pas louer le Nerpa à l’Inde et de le garder pour sa propre marine. Les articles sont apparus après que le chef de l’état-major général russe, Nikolai Makarov, ait déclaré que le sous-marin serait admis au service actif dans la marine russe en début d’année prochaine. Les responsables russes ont toujours démenti tout projet de vente d’un sous-marin nucléaire à l’Inde. “L’admission au service actif dans la marine russe fait partie de la procédure d’exportation,” a déclaré Ruslan Pukhov, directeur du Centre for Analysis and Technologies, un centre de réflexion russe sur les exportations d’armes. “Le chantier naval livre un navire à la marine russe, qui le remet à son tour à la marine du pays de destination.” Il a écarté la possibilité que la Russie dénonce l’accord de location. A la lumière des problèmes actuels avec la modernisation du porte-avions Gorshkov pour l’Inde, l’annulation de l’accord sur le sous-marin signifierait un revers sérieux pour la coopération entre les 2 pays dans le domaine de la défense, a expliqué M. Pukhov. “L’acquisition du Nerpa va donner un élan important aux capacités navales de l’Inde,” a déclaré M. Barabanov. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
glitter Posté(e) le 4 décembre 2008 Share Posté(e) le 4 décembre 2008 Je ne sais pas si ca avait été posté ici:http://indiasquare.blogspot.com/La première partie est sur les tanks, ensuite, plusieurs analyses de porte avions. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
phexo Posté(e) le 4 décembre 2008 Share Posté(e) le 4 décembre 2008 Nouvelles pics, je sais pas si elles ont été postés: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 18 décembre 2008 Share Posté(e) le 18 décembre 2008 Vidéo : http://rutube.ru/tracks/1267829.html?v=721ca6d4b8058d78434d604e8f2f2b35 Magnifique porte-avions !!! =) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
T800 Posté(e) le 4 février 2009 Share Posté(e) le 4 février 2009 bisbilles indo-chinoises au large de la Somalie Chinese warships force Indian submarine to surface in Gulf of Aden Chinese warships sent to fight piracy in waters off Somalia were stalked by an Indian attack submarine and the two sides became locked in a tense standoff for at least half an hour, mainland media reported yesterday. After rounds of manoeuvring during which both sides tried to test for weaknesses in the other's sonar system, the two Chinese warships managed to force the Indian submarine to surface. The Indian vessel left without further confrontation. The incident was reported by Qingdao Chenbao yesterday and was widely carried by major mainland websites such as Sina.com and QQ. Both Beijing and New Delhi were silent about the matter. This is the first reported military standoff between China and India since a bitter border war in 1962. The incident took place on January 15 in waters near the Bab Al-Mandab Strait, which separates Yemen and Djibouti, at the western end of the Gulf of Aden. The Chinese destroyers had picked up an unidentified submarine on their sonar, the report said. The Chinese navy soon identified it as a 70-metre-long vessel armed with 20 torpedoes. Although the report did not directly specify the model, it provided a file photo of a Kilo-class submarine belonging to the Indian navy, which fit the description. The submarine tried to evade the Chinese warships by diving deeper. But the warships continued the chase. The report said the Chinese ships sent an anti-submarine helicopter to help track the submarine, which had tried to jam the Chinese warships' sonar system. But the two destroyers eventually cornered the submarine and forced it to surface. The report said the submarine had been trailing the Chinese ships since they had entered the Indian Ocean on the way to Somalia. It said that at one point the Chinese commander even ordered the helicopter to have its anti-submarine torpedoes ready. The Indian submarine is believed to have been collecting electronic signals and sonar data from the Chinese warships. Such information would be crucial in naval conflicts. The two destroyers China sent to Somalia are among its most advanced warships. One of the destroyers, Haikou, was commissioned in 2005. It is rare for mainland media to report such a close encounter between the Chinese navy and foreign warships. Although deemed a provocative and unfriendly gesture, it was not unusual for one country to send submarines to collect other navies' information. In 2006, a Chinese submarine was detected stalking the US aircraft carrier Kitty Hawk near the Japanese island of Okinawa. The Chinese submarine eventually surfaced close to the US battle group. http://chinesemil.blogspot.com Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 27 mars 2009 Share Posté(e) le 27 mars 2009 Advanced warship programme: Navy says build abroad The Indian Navy’s Project 17 is nearing completion; three Indian-designed-and-built stealth frigates of the Shivalik class are on track to enter service. Now, attention has switched to Project 17-A, the country’s biggest-ever naval purchase, a Rs 17,000 crore plan to build seven stealth frigates that are even more advanced than the Shivalik class. The Cabinet Committee on Security (CCS) has long cleared the project, but no order has yet been placed by the Ministry of Defence. Business Standard has learned that the order is held up by a difference of opinion between the shipyards and the navy on where these frigates should be built. The two defence shipyards capable of manufacturing 5000-tonne frigates — Mazagon Dock Limited, Mumbai (MDL) and Garden Reach Shipbuilders and Engineers, Kolkata (GRSE) — argue that Project 17-A should be built entirely in India. The Indian Navy insists that the first two frigates should be built in a foreign shipyard. After the Indian shipyards have observed how it is done, they can build the next five vessels. At the heart of the disagreement is a new, highly advanced building method — modular shipbuilding — that India will use for Project 17-A, and for all projects thereafter. Conventional shipbuilding was relatively simple: first weld together a steel hull, and then put in the engines, piping, electrical wiring, fitments, weaponry and electronics that make it a fighting platform. Modular shipbuilding is far more complex, akin to a giant Lego game. The warship is built in 300-tonne blocks, each block complete with all the piping, electrical wiring and fitments that form a part of the ship. Then these 300-tonne blocks are brought together by giant cranes and assembled into a complete warship. This creates an entirely different set of design challenges. Each bulkhead wall, each pipe, each cable, and each electronic component in a 300-tonne block must precisely connect with its counterpart in the neighbouring block. Each block is designed separately, but all of them must come together in perfect alignment. This method has never been used by either MDL or GRSE; they accept the need for a foreign design partner. But both shipyards, having successfully built frigates of the Brahmaputra and the Shivalik class, claim they already have the expertise needed to build Project 17-A, based on the foreign partner’s drawings. Admiral HS Malhi, Chairman and Managing Director (CMD) of MDL says, “We need to go abroad for the production drawings… But for actual modular construction, no technology is required to be transferred” The Navy believes that if MDL and GRSE try to master this skill while they build the first Project 17-A frigates, the entire programme will be delayed unacceptably. Instead, the Director of Naval Design, Rear Admiral MK Badhwar, says the foreign design partner selected should built the first two frigates in his own shipyard, observed by Indian workmen who can thereby pick up the skills. The DND says, “This will also make the vendor demonstrate “buildability”. He must demonstrate that his design can be actually built into a warship, using modular construction, in four years. That will create a demonstrated benchmark for GRSE and MDL; otherwise, if there are delays later, our shipyards could argue that the foreign yard too would have taken a long period to build each frigate.” The MoD’s is finding it difficult to reconcile these two viewpoints, partly because a decision to build two frigates abroad would sharply escalate the cost of Project 17-A. Each Shivalik class stealth frigate, built in MDL, cost Rs 2000-2500 crores. The bill for a comparable frigate, built in a European shipyard for the Australian navy, has come to more than double that figure. Tomorrow: French shipyard, DCNS, favourite as design partner Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 27 mars 2009 Share Posté(e) le 27 mars 2009 DCNS convoite six sous-marins supplémentaires pour l'Inde Après avoir remporté, en 2005, la commande par l'Inde de 6 sous-marins du type Scorpène, DCNS espère doubler prochainement la mise. A l'occasion de l'inauguration de la nouvelle filiale du groupe en Inde, Patrick Boissier, président de DCNS, a estimé que New Delhi devrait lancer dans les deux ans l'appel d'offres pour 6 nouveaux sous-marins. L'an dernier, l'industriel avait déjà répondu à une demande d'information de l'Inde sur ce projet. Marché très important pour DCNS, la commande du « Batch 2 » des sous-marins indiens pourrait voir l'acquisition par la marine indienne de bâtiments dotés d'un système de propulsion en circuit fermé. Les AIP (Air Independent System) permettent, en effet, d'augmenter considérablement l'autonomie en plongée des sous-marins à propulsion non nucléaire. Or, DCNS dispose aujourd'hui d'un équipement fiable, le MESMA, embarqué pour la première fois et avec succès, en 2008, sur un bâtiment du type Agosta 90B. Doté de ce module (tronçon de coque supplémentaire contenant l'équipement), le Scorpène doté d'un MESMA mesurerait 76.10 mètres de long pour un déplacement de 2000 tonnes. Tout comme leurs six prédécesseurs, les futurs sous-marins indiens devraient être réalisés localement, en transfert de technologie. C'est le chantier de Mazagon Docks de Mumbai qui se charge actuellement de la réalisation des six Scorpène avec l'aide technique française. Si la coque est assemblée sur place, DCNS réalise en France puis fourni aux Indiens certains équipements sensibles. Longs de 67 mètres pour un déplacement de 1750 tonnes en plongée, les sous-marins du type Scorpène pourront embarquer 12 torpilles et 6 missiles antinavire. Le premier devrait être en service d'ici 2013 et le dernier en 2018. Même si l'acquisition de ces Scorpène permet à DCNS de bien se positionner sur les futurs contrats, il est important de noter que la commande de 6 unités supplémentaires n'est pas acquise. Allemands comme Russes convoient également ce marché, d'autant que la marine indienne dispose actuellement de produits conçus dans ces deux pays (Kilo, type 209). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
P4 Posté(e) le 18 juin 2009 Share Posté(e) le 18 juin 2009 M&M ne nous donne plus d'information sur l'avancement du premier Scorpène Indien.En voila, http://www.strategypage.com/htmw/htsub/articles/20090618.aspx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 juillet 2009 Share Posté(e) le 18 juillet 2009 http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-07-17/marine-l-inde-s-apprete-a-lancer-son-premier-sous-marin-nucleaire-d/1648/0/362299L'Inde s'apprête à lancer son premier sous-marin nucléaire d'attaqueL'Inde est sur le point d'entamer les essais à la mer, dans la baie du Bengale, de son premier sous-marin nucléaire d'attaque de fabrication locale, l'INS Arihant , longtemps connu sous son seul de code d'ATV (Advanced Technology Vehicle). Le baptême officiel du navire aura lieu le 26 juillet, affirme le quotidien India Today et sera célébré par Gursharan Kaur, épouse du Premier ministre Manmohan Singh qui se trouvait le 14 juillet à la tribune officielle de la place de la Concorde, aux côtés du président français Nicolas Sarkozy. C'est une noix de coco, et non une bouteille de champagne, qui s'écrasera contre la coque de l' Arihant . L'Inde connaît bien les sous-marins nucléaires d'attaque russes, dont elle avait loué un exemplaire de la classe Charlie-1, entre 1987 et 1991. Le programme ATV doit compter à terme cinq sous-marins, et l' Arihant , tête de série, a été mis sur cale en 1998. Il ne sera pas opérationnel avant 2012. Construit sous licence, ce modèle serait très proche du type Viktor-III , un sous-marin nucléaire d'attaque toujours en service dans la marine russe, auquel les Indiens ont adapté leur propre réacteur de 100 MW, développé au centre de recherches atomiques de Kalpakkam. D'après la presse indienne, ce navire serait à terme en mesure d'emporter trois missiles à tête nucléaire K-15 Sagarika , de 8,5 mètres de long et d'un mètre de diamètre présentés comme tirés en submersion à partir d'un tube de lancement vertical, et de 700 kilomètres de portée. Un essai réussi de tir sous-marin aurait eu lieu le 26 février 2008. Il existe une version terrestre de ce vecteur, le Shaurya. L'Inde prête à entrer dans un cercle très fermé Pendant ce temps, les Russes poursuivent cette semaine en mer du Japon les derniers essais du sous-marin nucléaire d'attaque INS Chakra , un navire de dernière génération de la classe Akula-II de 12.000 tonnes, loué par la Russie à l'Inde pour 65 millions de dollars par an sur dix ans. Selon l'agence Novosti, les essais doivent se poursuivre durant deux semaines, jusqu'à la fin juillet. En novembre dernier, ce même navire, alors baptisé Nerpa , avait subi une défaillance de son système de détection d'incendie et d'extinction automatique, provoquant la mort de trois marins et de dix-sept ouvriers des chantiers navals. Les réparations ont coûté 60 millions de dollars, et l'enquête a conclu à la responsabilité d'un membre de l'équipage . Lorsque la marine indienne disposera d'un sous-marin nucléaire opérationnel, elle rejoindra un club très fermé comprenant les États-Unis, la Russie, la Grande-Bretagne, la France et la Chine. Avec le soutien de la France, le Brésil cherche lui aussi à maîtriser cette technologie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 20 juillet 2009 Share Posté(e) le 20 juillet 2009 Je me trompe ou un SNA capable doté de 3 missiles balistiques à tête nucléaire c'est un petit SNLE ?Et je me trompe encore ou 5 SNLE c'est suffisant pour en avoir toujours 2 ou 3 en mer et assurer la permanence de la dissuasion nucléaire ?Bon c’est vrai que la portée de ces missiles balistiques ne nous menace pas à priori. Mais c’est quand même le début d’une véritable prolifération nucléaire et je vois mal comment on pourrait continuer de considérer qu’il n’y que 5 puissances nucléaires. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 20 juillet 2009 Share Posté(e) le 20 juillet 2009 SSGN, c'est différent. Leur puissance leur offre une puissance de feu nucléaire régionale, comme le faisaient les Oscar II avec les Granits nuke (qui eux ne transportaient pas que trois missiles à charge nucléaire et pas une "petite" de 500kg, mais 50% plus massive.) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 20 juillet 2009 Share Posté(e) le 20 juillet 2009 Je me trompe ou un SNA capable doté de 3 missiles balistiques à tête nucléaire c'est un petit SNLE ? Et je me trompe encore ou 5 SNLE c'est suffisant pour en avoir toujours 2 ou 3 en mer et assurer la permanence de la dissuasion nucléaire ? Bon c’est vrai que la portée de ces missiles balistiques ne nous menace pas à priori. Mais c’est quand même le début d’une véritable prolifération nucléaire et je vois mal comment on pourrait continuer de considérer qu’il n’y que 5 puissances nucléaires. La portée des missiles ne permet pas de dissuader grand monde simultanément ... c'est un peut la limite du systeme, mais contre un seul ennemi ca peut le faire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 23 juillet 2009 Share Posté(e) le 23 juillet 2009 La portée des missiles ne permet pas de dissuader grand monde simultanément ... c'est un peut la limite du systeme, mais contre un seul ennemi ca peut le faire. D'accord avec toi, mais je pense que la doctrine militaire va changer d'ici +/- 10 ans avec les essais des missiles Agni IV (4000 - 5000 km) et Agni V (+ de 6000 km). Ces missiles à longue portée ont pour objectif non pas la dissuasion mais de rivaliser avec plusieurs pays et de permettre à l'Inde d'avoir un statut de grande puissance mondiale reconnue et non régionale actuellement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 23 juillet 2009 Share Posté(e) le 23 juillet 2009 Certes les suppositoires portent plus loin, mais après va falloir les caser dans une soum' et ça c'est pas une sinécure! On aura un bon quart de siècle avant que les Indiens aient maîtrisé ce principe avec leurs nouveaux missiles et aient les SSBN allant avec Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 Certes les suppositoires portent plus loin, mais après va falloir les caser dans une soum' et ça c'est pas une sinécure! On aura un bon quart de siècle avant que les Indiens aient maîtrisé ce principe avec leurs nouveaux missiles et aient les SSBN allant avec ça peut changer du jour au lendemain, question d'investissement politicienne ! :| Moi qui n'aimait pas les chrétiens indiens, je dois reconnaître que le ministre de la défense A.K Antony s'investit à fond pour réformer, moderniser l'armée, combattre la corruption, ... cet homme va faire progresser :| Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 il y a aussi des durées incompressibles comme l'acquisition du savoir faire. Même s'il pleut des milliards de dollars, les ingénieurs devront apprendre, cela va prendre du temps. Evidemment s'ils ont tout ce qu'il leur faut sous la main, ils apprendront plus vite que s'ils doivent supplier à genou pour la moindre ramette de papier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mani Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 il y a aussi des durées incompressibles comme l'acquisition du savoir faire. Même s'il pleut des milliards de dollars, les ingénieurs devront apprendre, cela va prendre du temps. Evidemment s'ils ont tout ce qu'il leur faut sous la main, ils apprendront plus vite que s'ils doivent supplier à genou pour la moindre ramette de papier. Mon cher ami Berkut, que penses-tu de l'aide de la Russie dans ce domaine ?! ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berkut Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 C'est une aide. Elle va aider, mais pas permettre aux ingés de s'approprier le concept à elle toute seule. Elle peut même être à l'origine d'une effet pervers qui serait aux antipodes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 24 juillet 2009 Share Posté(e) le 24 juillet 2009 Enfin quand ils sauront faire des SNA/SNLE capable des missiles de 8,5 mètres de haut il ne leur faudra pas longtemps pour les adapter à des missiles plus gros. Ce n'est plus qu'une question d'échelle. Pareil s'ils savent faire un SNLE avec 3 missiles balistiques, ils pourront très facilement en faire un avec 10 ou 20 missiles balistiques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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