C’est un message populaire. pascal Posté(e) le 15 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 octobre 2021 Cet article confirme ce que nous disons ici depuis un mois. L'offre américaine (les anglais sont des faire valoir) ne comportera vraisemblablement pas d'importants transferts de technologies et le nucléaire restera aux states. Quand on met en rapport les soucis rencontrés sur la construction du premier Hobart et dans l'industrialisation en Australie des hélicos NH-90 et EC 665 on se dit que c'est mieux pour eux ... D'ailleurs toute condescendance mis à part je me demande si NG ne se serait pas arraché les cheveux avec l'industrialisation des Shortfin sur place. 1 1 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 15 octobre 2021 Share Posté(e) le 15 octobre 2021 Sauf que si finalement les australiens voulaient un sous-marin sur étagère construit à l'étranger, on pouvait leur en fournir 12 pour deux fois moins chers je pense ... Je pense qu'en fait on constate un tropisme des militaires envers les américains que l'on voit moins chez nous. Ceux-ci sont beaucoup en contact avec les militaires américains qui les dominent techniquement et au niveau théorique. Je pense que dans beaucoup de pays, les dirigeants militaires finissent donc pas confondre les équipements techniques et les fonctions associés. Quand ils veulent une capacité, ils confondent cette capacité avec l'équipement militaire américain qui remplit cette fonction. En fait, ils ne veulent pas une fonction, ils sont juste jaloux des joujoux que leur ont montré les américains et veulent les mêmes pour pouvoir se donner l'impression de jouer au même niveau. Mais comme ils sont souvent plus ou moins obligé de faire un appel d'offre, ce n'est pas toujours le matériel américain qui l'emporte sur des critères objectifs. C'est la déception de l'enfant qui n'a pas la console de la marque souhaitée au pied du sapin mais celle du concurrent. Lui, il ne voulait pas juste une console, il voulait la même que ses copains qui le nargue depuis des mois avec la leur ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 15 octobre 2021 Share Posté(e) le 15 octobre 2021 L’achat sur etagere aux usa est un delire purement australien. Ce delire est là pour deux raisons, la vision que l’armement us est indestructible et la realisation que l’industrie australienne ne tiendra jamais un chantier pareil (finalement les australiens sont les plus gros perdant de la rupture de ce contrat). pourquoi est ce delirant ? Tout simplement, l’usnavy a besoin de plus de sna pour tenir le chiffre par rapport a la marine chinoise et les usa sont deja plus ou moins a la limite des capacites industrielles. Donc sortir 8 sna pour l’australie, c’est purement delirant. Sauf a rehausser les capacites industrielles us et de faire payer les australiens… c’est faisable mais politiquement en australie… bon courage. l’option anglaise me parait bien plus rationnelle. Les etudes viennent de commencer, donc debut de la production dans 10 ans, livraison dans 20 avec un rythme potentiel d’une livraison tout les 2 ans pour un total de 16 sna (8 uk - 8 aus). Fin des livraisons prevue dans 50 ans. Il s’agierait maintenant pour la France de rappeler que le transfere d’uranium a plus de 20% est illegal que s’il devait se faire le tnp serait caduc et que la France se reserverait alors le droit de donner des armes a ses alliés. Et de rappeler que la solution francaise pourrait etre dispo dans 10 ans et surtout legal. l’australie s’est lancé dans un projet titanesque avec attack et complexifie encore la donne avec le dernier mouvement. Les drones sous marin de ng pourrait etre une solution de rechange pour soutenir les collins pendant jusqu’en 2035. La joie de l’aukus est entrain de laisser place a de nombreuses interrogations, ca va dechanter dure. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Zalmox Posté(e) le 15 octobre 2021 Share Posté(e) le 15 octobre 2021 L'article n'est plus trouvable sur L'Opinion Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SLT Posté(e) le 15 octobre 2021 Share Posté(e) le 15 octobre 2021 11 hours ago, wagdoox said: La joie de l’aukus est entrain de laisser place a de nombreuses interrogations Ça oui, et ce n'est pas faute de l'avoir montré et démontré dans ses pages (même si nous étions forcément aussi un peu chauvin et déçu, à juste titre, du traitement subi par la France de la part de ses alliés, ce qui a sans doute aussi dilué le message) Après, il faut imaginer que les informations auxquelles le citoyen Aussie moyen a accès ne sont pas les mêmes que les nôtres, ou même de l'Europe. Il ne parlent que l'anglais là-bas, down under... 11 hours ago, wagdoox said: ca va dechanter dure. I wish.... il n'y a de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, et je pense que beaucoup trop d'Australiens ont été conquis par la propagande "anti-French" et les vérités déformées qui leur ont été servies et rabâchées depuis plusieurs mois pour se dire que l'évolution de leur situation n'est pas bénéfique. Ils sont passés, selon eux, d'une solution hors de prix et pas au niveau technologique (parce que tout le monde sait qu'un sous-marin non nucléaire doit remonter tous les 3 jours pour remplir ses batteries, sauf s'il parle anglais bien sûr) à une solution encore plus hors de prix, mais au moins la meilleure, parce que définies avec les USA... (Et un peu aussi les anglais, il paraît) Je suis prêt à parier que l'explosion totalement prévisible des coûts, qui seront d'ailleurs initialement supérieurs à ce qui était annoncé pour le contrat avec Naval Group, pour moins en global au final, ne sera pas contesté ni même jamais mis en comparaison avec la façon dont le programme Shortfin Barracuda a été en fait bien géré. Ils seront juste contents de se faire encore plus avoir. Après, je ne vois pas non plus comment la population australienne pourrait réagir et changer le cours de ce traité non plus. Il n'y a pas de levier démocratique comme en Suisse, et même si le gouvernement change aux prochaines élections, je ne les vois pas revenir sur un traité avec les USA. (La métaphore de la femme battue, encore une fois) 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 15 octobre 2021 Share Posté(e) le 15 octobre 2021 il y a 26 minutes, SLT a dit : Ça oui, et ce n'est pas faute de l'avoir montré et démontré dans ses pages (même si nous étions forcément aussi un peu chauvin et déçu, à juste titre, du traitement subi par la France de la part de ses alliés, ce qui a sans doute aussi dilué le message) Après, il faut imaginer que les informations auxquelles le citoyen Aussie moyen a accès ne sont pas les mêmes que les nôtres, ou même de l'Europe. Il ne parlent que l'anglais là-bas, down under... I wish.... il n'y a de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir, et je pense que beaucoup trop d'Australiens ont été conquis par la propagande "anti-French" et les vérités déformées qui leur ont été servies et rabâchées depuis plusieurs mois pour se dire que l'évolution de leur situation n'est pas bénéfique. Ils sont passés, selon eux, d'une solution hors de prix et pas au niveau technologique (parce que tout le monde sait qu'un sous-marin non nucléaire doit remonter tous les 3 jours pour remplir ses batteries, sauf s'il parle anglais bien sûr) à une solution encore plus hors de prix, mais au moins la meilleure, parce que définies avec les USA... (Et un peu aussi les anglais, il paraît) Je suis prêt à parier que l'explosion totalement prévisible des coûts, qui seront d'ailleurs initialement supérieurs à ce qui était annoncé pour le contrat avec Naval Group, pour moins en global au final, ne sera pas contesté ni même jamais mis en comparaison avec la façon dont le programme Shortfin Barracuda a été en fait bien géré. Ils seront juste contents de se faire encore plus avoir. Après, je ne vois pas non plus comment la population australienne pourrait réagir et changer le cours de ce traité non plus. Il n'y a pas de levier démocratique comme en Suisse, et même si le gouvernement change aux prochaines élections, je ne les vois pas revenir sur un traité avec les USA. (La métaphore de la femme battue, encore une fois) Je serais d’accord avec tout mais quand meme, la facture, le temps et l’opposition vont leur faire regretter la class attack. Reste a la france a leur rappeler quelques realites … en anglais biensur ;) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
AkarSarren Posté(e) le 28 octobre 2021 Share Posté(e) le 28 octobre 2021 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 28 octobre 2021 Share Posté(e) le 28 octobre 2021 "Mise à l'eau en 2040" ... Quand la Chine se sera rendormie sur ses lauriers ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Deres Posté(e) le 28 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 28 octobre 2021 Il y a 2 heures, AkarSarren a dit : Le timing est parfait. Les jeunes australiens ont tous instructions de faire crac-crac ce weekend afin que leurs futurs enfants soient adultes juste à temps pour armer leurs sous-marins qui auront besoin d'équipages beaucoup plus grand. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 28 octobre 2021 Share Posté(e) le 28 octobre 2021 Ceci dit, els américains sont censés commencer à acquérir une nouvelle classe de sous-amrin en 2031, le SSN(X). https://crsreports.congress.gov/product/pdf/IF/IF11826 "Under the Navy’s FY2020 30-year (FY2020-FY2049) shipbuilding plan, the first SSN(X) would be procured in FY2031, along with a single Virginia-class boat. In FY2032 and FY2033, the final four Virginia-class boats would be procured. Procurement of follow-on SSN(X)s, at a rate of two per year, would then begin in FY2034. The 30-year plan’s sustained procurement rate of two SSNs per year would achieve a force of 66 SSNs—the Navy’s current SSN force-level goal—in FY2048. A long-range Navy shipbuilding document released by the Biden Administration on June 17, 2021, proposed a new SSN force-level goal of 66 to 72 boats and envisaged increasing the SSN procurement rate years from now to something more than two boats per year." Donc les sous-marins australiens pourrait être incorporés dans cette volonté d'augmenter la cadence de production et de peut être prolonger la série quand la demande américaine se tarira. Où les américains pourraient refiler des vieux Virginia aux Australiens pour els remplacer par des SSN(X) neufs. En tout cas, cela me semble plus facile et réaliste d'augmenter la cadence de production d'un modèle existant en dix ans plutôt que de développer un nouveau chantier naval en Australie pour une courte série. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Claudio Lopez Posté(e) le 29 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 29 octobre 2021 (modifié) Article intéressant sur opex360 à propos de la commission qui devait se réunir pour comprendre la beresina australienne et surtout de trouver des responsables. http://www.opex360.com/2021/10/28/pour-le-senat-une-commission-denquete-sur-laffaire-des-sous-marins-australiens-nest-pas-adaptee/ Donc comme l'explique très bien l'article, à partir du moment où le client a changé ses choix et à continué à nous faire croire que tout allait bien dans le meilleur des mondes... Il était inutile de tenter de chercher des responsabilités gouvernementale françaises. Et donc que la commission n'avait plus de raison d'être... Mais là où l'article devient drôle, c'est que si la commission devait aller au bout de sa logique, il aurait fallu qu'elle fasse une convocation au premier ministre australiens, anglais et surtout au président américain Joe Biden,! Je les vois mal venir et si ils viennent, ce serait pour dire quoi ? "Désolé, mais on a été obligé de vous la faire à l'envers, par derrière et sans lubrifiant" Modifié le 29 octobre 2021 par Claudio Lopez 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Boule75 Posté(e) le 29 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 29 octobre 2021 Il y a 9 heures, Claudio Lopez a dit : "Désolé, mais on a été obligé de vous la faire à l'envers, par derrière et sans lubrifiant" Le lubrifiant, ce seront les compensations pour arrêt du contrat. Sinon, le scepticisme s'étend... "Plus je lis d'informations sur les défis que représentent la construction des futures sous-marins australiens de classe Licorne (je maintiens ce nom), moins AUKUS a du sens." Avec un lien vers un article assez fouillé et très, très pessimiste sur la faisabilité du projet dans le New-York Times. Now, a month into their timetable, the partners are quietly coming to grips with the proposal’s immense complexities. Even supporters say the hurdles are formidable. Skeptics say they could be insurmountable. -> Aujourd'hui, un mois après le début du calendrier, les partenaires s'attaquent tranquillement aux immenses complexités de la proposition. Même les partisans disent que les obstacles sont formidables. Les sceptiques disent qu'ils pourraient être insurmontables. Point intéressant : plan de charge des chantiers américains et britanniques : Mais les deux chantiers navals américains qui fabriquent les sous-marins nucléaires, ainsi que leurs fournisseurs, ont du mal à répondre aux commandes de la marine américaine. Les chantiers navals construisent environ deux bateaux de la classe Virginia par an pour la marine et s'apprêtent à construire des sous-marins de la classe Columbia, des navires de 21 000 tonnes qui transportent des missiles nucléaires comme moyen de dissuasion mobile - une priorité pour toute administration. Dans un rapport présenté le mois dernier à la commission des forces armées du Sénat, il est indiqué que "la base industrielle de la construction navale nucléaire continue à avoir du mal à répondre à la demande croissante" des commandes américaines. Ce rapport a été préparé trop tard pour prendre en compte la proposition australienne. [...] Les sous-marins britanniques sont sortis relativement lentement de la chaîne de production, et souvent en retard sur le calendrier. Le fabricant britannique de sous-marins, BAE Systems, est également occupé à construire des sous-marins Dreadnought pour transporter la dissuasion nucléaire du pays. "La capacité de réserve est très limitée", a écrit dans un courriel Trevor Taylor, professeur chargé de recherche en gestion de la défense au Royal United Services Institute, un institut de recherche. "Le Royaume-Uni ne peut pas se permettre d'imposer un retard sur son programme Dreadnought afin de détourner les efforts vers l'Australie". Pour ajouter aux complications, la Grande-Bretagne a éliminé progressivement le réacteur PWR2 qui alimente l'Astute, après que les responsables ont convenu que le modèle ne serait "pas acceptable à l'avenir", a déclaré un rapport d'audit en 2018. L'Astute n'est pas conçu pour s'adapter au réacteur de nouvelle génération, et cette question pourrait rendre difficile la reprise de la construction du sous-marin pour l'Australie, ont déclaré M. Taylor et d'autres experts. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) 3 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 29 octobre 2021 Share Posté(e) le 29 octobre 2021 il y a 9 minutes, Boule75 a dit : le scepticisme s'étend... Et que pense la CHINE dans tout ça ? Ils rigolent ? @Henri K. ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 29 octobre 2021 Share Posté(e) le 29 octobre 2021 il y a 8 minutes, Boule75 a dit : Le lubrifiant, ce seront les compensations pour arrêt du contrat. Sinon, le scepticisme s'étend... "Plus je lis d'informations sur les défis que représentent la construction des futures sous-marins australiens de classe Licorne (je maintiens ce nom), moins AUKUS a du sens." Avec un lien vers un article assez fouillé et très, très pessimiste sur la faisabilité du projet dans le New-York Times. Now, a month into their timetable, the partners are quietly coming to grips with the proposal’s immense complexities. Even supporters say the hurdles are formidable. Skeptics say they could be insurmountable. -> Aujourd'hui, un mois après le début du calendrier, les partenaires s'attaquent tranquillement aux immenses complexités de la proposition. Même les partisans disent que les obstacles sont formidables. Les sceptiques disent qu'ils pourraient être insurmontables. Point intéressant : plan de charge des chantiers américains et britanniques : Mais les deux chantiers navals américains qui fabriquent les sous-marins nucléaires, ainsi que leurs fournisseurs, ont du mal à répondre aux commandes de la marine américaine. Les chantiers navals construisent environ deux bateaux de la classe Virginia par an pour la marine et s'apprêtent à construire des sous-marins de la classe Columbia, des navires de 21 000 tonnes qui transportent des missiles nucléaires comme moyen de dissuasion mobile - une priorité pour toute administration. Dans un rapport présenté le mois dernier à la commission des forces armées du Sénat, il est indiqué que "la base industrielle de la construction navale nucléaire continue à avoir du mal à répondre à la demande croissante" des commandes américaines. Ce rapport a été préparé trop tard pour prendre en compte la proposition australienne. [...] Les sous-marins britanniques sont sortis relativement lentement de la chaîne de production, et souvent en retard sur le calendrier. Le fabricant britannique de sous-marins, BAE Systems, est également occupé à construire des sous-marins Dreadnought pour transporter la dissuasion nucléaire du pays. "La capacité de réserve est très limitée", a écrit dans un courriel Trevor Taylor, professeur chargé de recherche en gestion de la défense au Royal United Services Institute, un institut de recherche. "Le Royaume-Uni ne peut pas se permettre d'imposer un retard sur son programme Dreadnought afin de détourner les efforts vers l'Australie". Pour ajouter aux complications, la Grande-Bretagne a éliminé progressivement le réacteur PWR2 qui alimente l'Astute, après que les responsables ont convenu que le modèle ne serait "pas acceptable à l'avenir", a déclaré un rapport d'audit en 2018. L'Astute n'est pas conçu pour s'adapter au réacteur de nouvelle génération, et cette question pourrait rendre difficile la reprise de la construction du sous-marin pour l'Australie, ont déclaré M. Taylor et d'autres experts. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Ce qui est cocasse c'est que si l'Australie héritait d'un Astute copié-collé, une partie des éléments de la chaufferie est fabriquée chez Framatome au Creusot pour le compte de Rolls-Royce... Et il me semble aussi que certains équipement sont fournis par Naval Group... Il était même question de coques en HLES fourni par Industeel au Creusot pour les SSBN Dreadnought, car pas possible d'avoir la même qualité en sourcing UK... On a ptet des moyens de faire chier 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 29 octobre 2021 Share Posté(e) le 29 octobre 2021 il y a 3 minutes, penaratahiti a dit : Ce qui est cocasse c'est que si l'Australie héritait d'un Astute copié-collé, une partie des éléments de la chaufferie est fabriquée chez Framatome au Creusot pour le compte de Rolls-Royce... Et il me semble aussi que certains équipement sont fournis par Naval Group... Il était même question de coques en HLES fourni par Industeel au Creusot pour les SSBN Dreadnought, car pas possible d'avoir la même qualité en sourcing UK... On a ptet des moyens de faire chier D'ici à ce que la prochaine majorité australienne décide de finalement commander des Suffren... sur étagère, pour 2029, sans système de combat US. Un truc qui marche, quoi, qui ne nécessite pas d'équipage pléthorique et qui fonctionne à l'uranium peu enrichi. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) le 30 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 octobre 2021 Il y a 9 heures, Boule75 a dit : D'ici à ce que la prochaine majorité australienne décide de finalement commander des Suffren... sur étagère, pour 2029, La honte. Mais dans quel merdier se sont ils fourrés ! https://www.nytimes.com/2021/10/29/world/australia/nuclear-powered-submarines.html trad google « Maintenant, un mois après le début de leur emploi du temps, les partenaires s'attaquent tranquillement aux immenses complexités de la proposition. Même les supporters disent que les obstacles sont formidables. Les sceptiques disent qu'ils pourraient être insurmontables. Le Premier ministre australien, Scott Morrison, a présenté une vision ambitieuse, affirmant qu'au moins huit sous-marins à propulsion nucléaire utilisant la technologie américaine ou britannique seront construits en Australie et entreront en service à partir de la fin des années 2030, remplaçant son escadron de six diesel vieillissants. -sous-marins motorisés. Pour réaliser ce plan, l'Australie doit faire des progrès majeurs. Il dispose d'une base industrielle limitée et a construit son dernier sous-marin il y a plus de 20 ans. Elle produit chaque année quelques diplômés en génie nucléaire. Ses dépenses en recherche scientifique en proportion de l'économie sont inférieures à la moyenne des économies riches. Ses deux derniers plans de construction de sous-marins se sont effondrés avant qu'aucun n'ait été élaboré. "C'est une voie dangereuse que nous empruntons", a déclaré Rex Patrick, un membre indépendant du Sénat australien qui a servi comme sous-marinier dans la marine australienne pendant une décennie. « Ce qui est en jeu, c'est la sécurité nationale. Chaque pays a un intérêt direct dans le partenariat. Pour l'Australie, les sous-marins à propulsion nucléaire offrent un moyen puissant pour contrer la portée navale croissante de la Chine et une issue de secours à un accord hésitant avec une entreprise française pour construire des sous-marins diesel. Pour l'administration Biden, le plan démontre son soutien à un allié assiégé et montre qu'il est sérieux pour contrer la puissance chinoise. Et pour la Grande-Bretagne, le plan pourrait renforcer sa position internationale et son industrie militaire après le bouleversement du Brexit. Mais le Rubik's Cube de complications imbriquées qui imprègne l'initiative pourrait ralentir la livraison des sous-marins – ou, selon les critiques, briser l'ensemble de l'entreprise – laissant une faille dangereuse dans les défenses de l'Australie et remettant en question la capacité du partenariat à tenir ses promesses en matière de sécurité. Le Premier ministre australien Scott Morrison a déclaré qu'au moins huit sous-marins à propulsion nucléaire seront construits et entreront en service à partir de la fin des années 2030.Crédit...Kevin Dietsch/Getty Images "Je ne pense pas que ce soit une affaire conclue de quelque manière que ce soit", a déclaré Marcus Hellyer , expert en politique navale à l'Australian Strategic Policy Institute. « Nous utilisons parfois le terme « construction de la nation » à la légère, mais ce sera une tâche à l'échelle de la nation. » Les responsables américains ont déjà passé des centaines d'heures à discuter avec leurs homologues australiens et ne se font aucune illusion sur les complexités, ont déclaré les responsables impliqués. M. Morrison « a dit qu'il s'agissait d'un programme à haut risque ; il était franc quand il l'a annoncé », a déclaré cette semaine Greg Moriarty, secrétaire du ministère australien de la Défense, à un comité sénatorial . Un échec ou des retards importants se répercuteraient au-delà de l'Australie. L'administration Biden a misé sur la crédibilité américaine pour renforcer l'armée australienne dans le cadre d' une politique de « dissuasion intégrée » qui rapprochera les États-Unis de leurs alliés en compensant la Chine. Les États-Unis et la Grande-Bretagne, pour leur part, sont confrontés à des obstacles pour étendre la production de sous-marins et de leurs pièces de haute précision pour l'Australie, et pour détourner la main-d'œuvre experte vers l'Australie du Sud, où, a déclaré M. Morrison, les bateaux seront assemblés. Washington et Londres ont des programmes chargés pour construire des sous-marins pour leurs propres marines, y compris des navires imposants pour transporter des missiles nucléaires. "Le succès serait énorme pour l'Australie et les États-Unis, en supposant un accès ouvert aux installations de chacun et à ce que cela signifie pour dissuader la Chine", a déclaré Brent Sadler, un ancien officier de la marine américaine qui est membre principal de la Heritage Foundation. "Un échec serait doublement dommageable - une alliance qui ne peut pas tenir, une perte de capacité sous-marine par un allié de confiance et un tournant vers l'isolationnisme de la part de l'Australie." L'Australie espère un revers de fortune après plus d'une décennie de mésaventures dans ses efforts de modernisation des sous-marins. Le plan pour les sous-marins diesel de conception française que M. Morrison a abandonné avait succédé à un accord pour les sous-marins de conception japonaise qu'un prédécesseur avait défendu. "Aucun Premier ministre australien vivant n'a commandé un sous-marin qui a réellement été construit", a écrit Greg Sheridan, chroniqueur pour le journal The Australian, dans un article récent critiquant le plan de M. Morrison. Le président français, Emmanuel Macron, deuxième en partant de la gauche, et Malcolm Turnbull, au centre, alors Premier ministre australien, à Sydney en 2018. M. Morrison a mis fin à un accord avec une entreprise française pour la construction de sous-marins diesel. La dernière proposition de l'Australie contient de nombreux pièges potentiels. Il pourrait se tourner vers les États-Unis pour aider à construire quelque chose comme son sous-marin d'attaque de classe Virginia. (Ces sous-marins sont à propulsion nucléaire, ce qui leur permet de voyager plus rapidement et de rester sous l'eau beaucoup plus longtemps que les sous-marins diesel, mais ils ne transportent pas de missiles nucléaires.) Mais les deux chantiers navals américains qui fabriquent des sous-marins nucléaires, ainsi que leurs fournisseurs, s'efforcent de faire face aux commandes de l'US Navy. Les chantiers navals complètent environ deux bateaux de classe Virginia par an pour la Marine et se préparent à construire des sous-marins de classe Columbia, des navires de 21 000 tonnes qui transportent des missiles nucléaires comme moyen de dissuasion itinérant – une priorité pour toute administration. Un rapport au Comité sénatorial des services armés a averti le mois dernier que « la base industrielle de la construction navale nucléaire continue de lutter pour soutenir la demande accrue » des commandes américaines. Ce rapport a été préparé trop tard pour tenir compte de la proposition australienne. "Ils travaillent à 95-98% sur la Virginie et la Colombie", a déclaré Richard V. Spencer, secrétaire de la Marine dans l'administration Trump, à propos des deux chantiers navals de sous-marins américains. Il soutient le plan de l'Australie et a déclaré que sa voie préférée sur les premiers sous-marins était de galvaniser des fournisseurs spécialisés pour expédier des pièces, ou des segments entiers des sous-marins, à assembler en Australie. « Soyons tous parfaitement conscients et les yeux écarquillés que le programme nucléaire est un énorme consommateur de ressources et de temps, et c'est une évidence », a-t-il déclaré lors d'un entretien téléphonique. D'autres experts ont déclaré que l'Australie devrait choisir le sous-marin britannique de la classe Astute, qui est moins cher et utilise un équipage plus petit que les gros bateaux américains. Le chef du groupe de travail sur les sous-marins nucléaires australiens, le vice-amiral Jonathan Mead, a déclaré cette semaine que son équipe envisageait des "conceptions en production" matures de la Grande-Bretagne, ainsi que des États-Unis. "Cela réduit les risques du programme", a-t-il déclaré lors d'une audience devant un comité sénatorial . Missiles balistiques lancés par sous-marins en Chine en 2019. L'administration Biden a misé sur la crédibilité des États-Unis pour renforcer l'armée australienne dans le cadre d'une « dissuasion intégrée » pour compenser la Chine.Crédit...Thomas Peter/Reuters Mais les sous-marins britanniques sont sortis relativement lentement de sa chaîne de production, et souvent en retard . Le fabricant de sous-marins britannique, BAE Systems, est également occupé à construire des sous-marins Dreadnought pour transporter la dissuasion nucléaire du pays. "La capacité de réserve est très limitée" , a écrit dans un e-mail Trevor Taylor , chercheur universitaire en gestion de la défense au Royal United Services Institute, un institut de recherche. "Le Royaume-Uni ne peut pas se permettre d'imposer un retard à son programme Dreadnought afin de détourner les efforts vers l'Australie." Ajoutant aux complications, la Grande-Bretagne a progressivement supprimé le réacteur PWR2 qui alimente l'Astute, après que les responsables aient convenu que le modèle « ne serait pas acceptable à l'avenir », selon un rapport d'audit. en 2018. L'Astute n'est pas conçu pour s'adapter au prochain. réacteur de génération, et ce problème pourrait rendre difficile le redémarrage de la construction du sous-marin pour l'Australie, ont déclaré M. Taylor et d'autres experts. Le successeur britannique de l'Astute est toujours sur la planche à dessin ; le gouvernement a déclaré le mois dernier qu'il consacrerait trois ans à des travaux de conception . Un responsable naval du ministère britannique de la Défense a déclaré que le nouveau sous-marin prévu pourrait bien s'adapter au calendrier australien. Plusieurs experts étaient moins sûrs. « Attendre le sous-marin d'attaque britannique ou américain de nouvelle génération signifierait un écart de capacité accru » pour l'Australie, a écrit M. Taylor. dans une évaluation. Le défi ne s'arrête pas à la construction des sous-marins. Les garanties visant à protéger les marins et les populations, et à respecter les obligations de non-prolifération, nécessiteront une forte accumulation de l'expertise australienne en matière de sûreté nucléaire. Les habitants de certaines parties de Barrow-in-Furness, la ville de 67 000 habitants qui abrite le chantier naval britannique de construction de sous-marins, reçoivent des comprimés d'iode par mesure de précaution contre les fuites possibles lors des tests de réacteurs. Le chantier naval d'Osborne en Australie-Méridionale, où M. Morrison veut construire les sous-marins nucléaires, se trouve en bordure d'Adélaïde, une ville de 1,4 million d'habitants. L'Australie exploite un petit réacteur nucléaire . Son seul programme universitaire dédié au génie nucléaire produit environ cinq diplômés chaque année, a déclaré Edward Obbard , responsable du programme à l'Université de Nouvelle-Galles du Sud à Sydney. L'Australie aurait besoin de plusieurs milliers de personnes supplémentaires ayant une formation et une expérience nucléaires si elle veut les sous-marins, a-t-il déclaré. « La montée en puissance doit commencer maintenant », a-t-il déclaré. 2 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. pascal Posté(e) le 30 octobre 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 octobre 2021 @ARMEN56 Tout ce qui est écrit ici est une évidence ... Même les moins qualifiés d'entre nous (moi le premier) l'affirmons depuis le début; cette entreprise - ce revirement - vont poser d'insondables problèmes techniques et humains. Mais justement ce contrat n'est qu'un aspect presque mineur de la question. Il retient notre attention car nous sommes les premiers concernés mais au final l'enjeu majeur ne porte pas sur les sous-marins australiens. ils porte sur la reconstitution par les USA d'une logique de blocs face à la Chine. Les Américains gèrent la Chine comme ils ont géré l'URSS au temps de la guerre froide et dans le Pacifique tentent de recréer un bloc de "langue anglaise" Je vous poste ce lien d'une excellente émission écoutée hier dans la bagnole qui au-delà de son titre pose la question de la stratégie US face à la Chine ... L'Australie a mis le doigt dans un "grand jeu" dont elle ne maîtrise pas vraiment les tenants et aboutissants. https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/biden-macron-sans-rancune 2 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 il y a 38 minutes, pascal a dit : @ARMEN56 Les Américains gèrent la Chine comme ils ont géré l'URSS au temps de la guerre froide et dans le Pacifique tentent de recréer un bloc de "langue anglaise" Pas d'accord les Importations de la Chine vers les USA c'est énorme. A lépoque de URSS il n'avait rien. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Skw Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 (modifié) il y a une heure, pascal a dit : Mais justement ce contrat n'est qu'un aspect presque mineur de la question. Il retient notre attention car nous sommes les premiers concernés mais au final l'enjeu majeur ne porte pas sur les sous-marins australiens. ils porte sur la reconstitution par les USA d'une logique de blocs face à la Chine. Les Américains gèrent la Chine comme ils ont géré l'URSS au temps de la guerre froide et dans le Pacifique tentent de recréer un bloc de "langue anglaise" Je vous poste ce lien d'une excellente émission écoutée hier dans la bagnole qui au-delà de son titre pose la question de la stratégie US face à la Chine ... L'Australie a mis le doigt dans un "grand jeu" dont elle ne maîtrise pas vraiment les tenants et aboutissants. https://www.franceculture.fr/emissions/cultures-monde/biden-macron-sans-rancune On peut aussi lire les évènements d'une autre manière. Certes, les Américains semblent contents de pouvoir repartir sur une logique de blocs légitimant leur place maîtresse au sein du monde occidental. Mais la Chine semble avoir tout fait pour pousser l'Australie à plonger dans ce système de blocs... Et c'est d'ailleurs un peu étonnant et assez nouveau car la politique étrangère chinoise avait été, pendant de longues années, assez prudente en la matière. Avec l'idée de ne pas pousser les pays vers l'Oncle Sam. J'ai l'impression que l'épisode Covid-19 a laissé des traces profondes. Modifié le 30 octobre 2021 par Skw 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 il y a 16 minutes, Scarabé a dit : Pas d'accord les Importations de la Chine vers les USA c'est énorme. A lépoque de URSS il n'avait rien. Nous sommes tout à fait d'accord sur l'interdépendance USA/Chine en matière économique dans l'émission dont j'ai placé le lien du podcast il est dit que les investissement US en Chine avoisinent les 125 milliards de $ ... Néanmoins malgré cela la manière dont les Américains envisagent la confrontation avec la Chine n'a pas changée par rapport à la logique qui prévalait durant la guerre froide qui est une logique de blocs (on voit bien la réthorique militaire développée) qui impose aux alliés de suivre la ligne choisie ... ce qui s'est passé avec les Australien. Ce que disent les deux intervenants c'est que la manière d'appréhender les choses par les USA n'a pas évoluée 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 Cette affaire est tellement énorme que je me demande jusqu'à quel point les australiens ne se sont pas fait tordre le bras par Washington. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fusilier Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 Selon Le Marin les aussies veulent des Virginia... https://lemarin.ouest-france.fr/secteurs-activites/chantiers-navals/41370-les-australiens-affinent-leur-reflexion-sur-leurs-futurs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 C’est la solution technique nuk /Aussie en réponse au bloc ANKUS qui interroge en terme de difficulté/risques/calendaire En comprenant la nécessité d’un durcissement face à cette expansion décomplexée, de mon strapontin parc d’Armorique donc très très lointain ; sais pas dire quelle est la meilleure stratégie indo pacifique , l’US ou la notre/UE ….sachant qu’on ne pèserait pas lourd en capacitaire dès fois que çà s’enflamme . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 il y a 29 minutes, ARMEN56 a dit : C’est la solution technique nuk /Aussie en réponse au bloc ANKUS qui interroge en terme de difficulté/risques/calendaire En comprenant la nécessité d’un durcissement face à cette expansion décomplexée, de mon strapontin parc d’Armorique donc très très lointain ; sais pas dire quelle est la meilleure stratégie indo pacifique , l’US ou la notre/UE ….sachant qu’on ne pèserait pas lourd en capacitaire dès fois que çà s’enflamme . Réflexion par ailleurs exprimée par Bertrand Badie dans le podcast FRculture partagé par Pascal. La France n'est pas une puissance du Pacifique (elle a déjà du mal à l'être en Méditerranée), elle n'y a que des emprises (et sous valorisées, sujette, pour la Nouvelle-Cal, à des référendums à répétition, ce qui rend leur avenir incertain). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tipi Posté(e) le 30 octobre 2021 Share Posté(e) le 30 octobre 2021 C’est vraiment déraisonnable d’imaginer qu’en une quinzaine d’années, les US sont d’étendre la capacité de production des Virginia pour en produire 8 de plus pour les aussies? Et pour l’Australie de former les ingénieurs avec les qualifications qui vont bien en une dizaine d’années ? Je ne suis pas du tout spécialiste du sujet mais il me semble que s’agissant d’une technologie d’aujourd’hui et mature, le calendrier n’est pas délirant… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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