jackjack Posté(e) le 21 janvier 2022 Share Posté(e) le 21 janvier 2022 (modifié) De nombreuses histoires seront écrites, avant qu'il n'y ait un sous-marin dans l'eau. La plupart seront d'une valeur douteuse. Citant les opinions de personnes qui ne sont pas impliquées dans le processus et pour un revenu permettant de nourrir les familles des journalistes. Même les "groupes de réflexion" écriront des absurdités, telles que celles mentionnées ci-dessus. Où les sous-marins doivent retourner au port pour être réapprovisionnés en torpilles. Il n'est pas prévu d'acquérir le B-21, ni même de l'exporter. Nous avons le système de conduite de tir Virginia, nous avons la confiance des plus hauts niveaux et nous avons une relation très étroite avec l'USN. Bien sûr, certains dans l'armée et dans la politique seront inquiets. Il s'agira pour l'Australie d'être capable de garantir le secret de la technologie du projet. Je ne pense pas qu'ils aient beaucoup d'influence et ne sont pas dans la boucle de l'approvisionnement. En vérité, nous détenons plus de technologies secrètes et avancées que les États-Unis, qu'un réacteur nucléaire. Les USA veulent aussi l'Australie comme base avancée déployée dans le Pacifique. pour soutenir leur couverture. On peut dire qu'ils ont plus besoin de nous que nous avons besoin d'eux. Nous avons l'avantage dans les négociations,https://www.abc.net.au/news/2022-01-19/work-begins-on-us-jet-fuel-facility-outside-darwin/100764194 Juste une petite correction dans le deuxième article ci-dessus. Selon les rapports publics, c'est en janvier que la nécessité d'un "plan B" a été décidée. Les 6 mois dont il est question auraient été consacrés à la définition des besoins. spoiler While there will be a lot of stories written, before there is a sub in the water. Most will be of questionable value. Quoting people's opinions who aren't involved in the process and for an income to feed the families of journalists. Even 'think tanks' will write nonsense, like the above. Where subs have to return to port to be resupplied with torpedoes. The B-21 isn't being planned for acquiring, We have the Firecontrol system from the Virginia, We are trusted at the very high levels and have a very close relationship with the USN. Of course there will be those from the forces and politics that have concern. This will be about AUS being able to secure the secrecy of the project's tech. I don't think they carry much weight and aren't in the loop of procurement. In truth we hold more secret and advanced tech of the US, than a nuke reactor. The US also wants AUS as a forward deployed base in the Pacific. It's arguable that they need us more, than we need them. That we have the advantage in negotiations, https://www.abc.net.au/news/2022-01-19/work-begins-on-us-jet-fuel-facility-outside-darwin/100764194 Just a small correction in the second story above. From public reporting, it was in January that the need to get a 'plan B' was decided. The 6 months referred to would have been putting together the requirements. Modifié le 21 janvier 2022 par jackjack 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. pascal Posté(e) le 22 janvier 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 22 janvier 2022 Histoire de remettre deux thunes dans le bastringue et l'église au milieu du village Citation “C’est un coup dans le dos”, enrage Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, le 16 septembre 2021. La France vient d’apprendre que le contrat qu’elle a passé avec l’Australie en 2016 pour la commande de 12 sous-marins, est rompu dans le cadre d'un nouveau pacte baptisé Aukus, réunissant Canberra, Washington et Londres. La perte de ce marché estimé à 56 milliards d'euros fait l'effet d'une bombe. Le gouvernement français et l'industriel Naval Group spécialisé dans la défense maritime dénoncent une trahison. Au départ : une lune de miel, avec la bénédiction des Américains Entre la France et l'Australie, l'histoire avait pourtant bien commencé. En 2015, Canberra lance un appel d'offres pour renouveler sa flotte de sous-marins à propulsion diesel-électrique vieillissants. Paris est en concurrence avec le Japon et l'Allemagne pour remporter le fameux "contrat du siècle". L'entreprise française Naval Group (qui s'appellera DCNS jusqu'en 2017) décroche finalement la commande de 12 sous-marins. “L'offre française était basée sur le tout dernier sous-marin nucléaire, le Shortfin Barracuda”, explique à la Cellule investigation de Radio France le Premier ministre australien d’alors, Malcolm Turnbull. Mais “avec une propulsion hybride diesel-électrique, à la demande du gouvernement australien”, précise-t-il. À ce moment-là, il n'est pas question de propulsion nucléaire, pour plusieurs raisons. Certes, la France est réticente à exporter son savoir-faire, mais surtout, l'Australie n'est pas demandeuse. “L'Australie n'avait pas la maturité pour lancer un programme de sous-marins nucléaires tout de suite”, affirme Hervé Guillou, l'ex-PDG de Naval Group. Canberra n'avait ni les infrastructures de maintenance, ni les spécialistes nécessaires pour manipuler l'uranium des sous-marins. À l’époque, Naval group propose donc un modèle qui présente un intérêt majeur pour l'Australie, se souvient l'ancien premier ministre Malcolm Turnbull : “C'était la possibilité de pouvoir passer d'une propulsion classique à une propulsion nucléaire en gardant essentiellement la même conception”. Comble de l’histoire : lorsque le groupe français signe le contrat avec l'Australie, il marche alors main dans la main avec les États-Unis. On parle même d'un sous-marin franco-américain. La France devait construire les sous-marins, et l'entreprise américaine Lockheed Martin équiper leur système d'armement. “Si Naval Group a gagné, explique Michel Cabirol, rédacteur en chef à la Tribune, c'est parce qu'il y avait un accord tacite entre la France et les États-Unis précisant qu'ils avaient le droit de candidater. Et que s'ils gagnaient, Washington n'aurait pas d'objection.” La menace chinoise Le contrat franco-australien va cependant vaciller, d’abord pour des raisons géopolitiques, et notamment un climat de tension grandissant entre l'Australie et la Chine. “Depuis vingt ans, il existait une entente manifeste entre Pékin et Canberra, notamment autour des ressources naturelles, explique Emmanuel Veron, enseignant-chercheur à l'Inalco et à l'École Navale. Jusqu'à la compromission avérée d'un certain nombre de parlementaires australiens dans des affaires de corruption impliquant la Chine.” Pékin est perçue de plus en plus comme une menace. “Le président Xi Jinping avait promis à Barack Obama qu'il ne construirait pas d'îlots artificiels en mer de Chine. Cela faisait partie d'un deal”, rappelle par ailleurs Philippe Le Corre, enseignant à l’école d’administration publique de Harvard et membre de la Fondation Carnegie pour la paix internationale. Pékin renforce pourtant sa présence dans la région, et construit bel et bien des îlots qui lui servent de bases militaires et de renseignement. Un sentiment antichinois enfle donc à Canberra, mais aussi à Washington où les tensions se doublent d'un face-à-face économique. L'idée de s'implanter militairement chez son allié australien fait son chemin. “Les États-Unis souhaitent développer une base de sous-marins nucléaires d'attaque sur le flanc ouest de l'Australie, explique le spécialiste de l'indopacifique Emmanuel Veron. Ce serait une sorte de porte-avions, comme la Grande-Bretagne l'avait été pendant la Seconde Guerre mondiale, dans la perspective d'un conflit potentiel avec la Chine dans les 10, 15 ou 20 prochaines années.” Des “pions” de Washington dans l'administration australienne Ce qui va précipiter la chute du contrat français, c’est la présence d’anciens hauts gradés américains à Canberra. Dès 2016, l'implication des États-Unis dans la politique militaire de l'administration australienne est perceptible. L'État-major de la Marine australienne a pour conseiller Donald Winter, l’ancien secrétaire à la Marine américaine sous Barack Obama. Le comité consultatif de construction navale australien compte également parmi ses membres un certain nombre d'anciens amiraux de la marine américaine qui sont autant de relais pour Washington. Tandis que de l'autre côté de l'Atlantique, un autre homme clé œuvre en sous-main. Il s'agit de Kurt Campbell, l'ancien chef des Opérations navales au Pentagone sous les administrations Bush père et Clinton. Il est aujourd'hui Conseiller à la sécurité nationale du Président, mais il est surtout considéré comme le principal stratège de la politique américaine en Asie depuis près d'une décennie. Il a déjà réussi à convaincre le Président Biden d'intensifier sa présence militaire dans le Pacifique, et plus particulièrement en Australie pour endiguer la Chine. Ce sont ces hommes clés qui vont travailler en sous-main pour écarter la France. Leur travail sera facilité en 2018 par la nomination d’un nouveau Premier ministre Australien, Scott Morrison, qui ne se sent plus engagé par les promesses de son prédécesseur. Le piège se referme En mars 2021, une réunion secrète a lieu dans les locaux du Haut-commissariat d’Australie à Londres, entre les autorités australiennes et le patron de la marine anglaise. “Tony Radakin, le chef de la Marine royale britannique, a été invité à l'improviste, relate Larissa Brown, spécialiste des questions de défense au Times. Il n'avait aucune idée de ce qu’on voulait lui dire. Il a alors rencontré Michael Noonan, le vice-amiral de la Marine royale australienne.” C'est là que, pour la première fois, Canberra aurait évoqué la possibilité d’évincer la France pour développer une flotte de sous-marins à propulsion nucléaire. Aux yeux des Australiens, le Royaume-Uni semble être un interlocuteur intéressant à double titre : il se sent redevable vis-à-vis des États-Unis, qui l'avait aidé à terminer la construction de ses propres sous-marins nucléaires. Et Boris Johnson, empêtré dans le Brexit et dans la pandémie du Covid, rêve de renforcer une alliance avec ses alliés américains qui avait perdu de son lustre sous les présidences Obama et Trump. Dans cette nouvelle alliance qui se dessine, chacun pense s’y retrouver. Les Australiens seront mieux protégés face à la Chine, les Américains renforceront leur position dans la région indopacifique, et le Premier ministre anglais espère alors redorer son blason en remportant une victoire diplomatique. “Boris Johnson était extrêmement satisfait de ce qu'il a présenté comme la plus grande avancée dans les relations stratégiques pour la Grande-Bretagne depuis des décennies, analyse Larissa Brown. Il a pu renforcer ses relations avec les États-Unis après avoir quitté l'Union européenne.” Mais dans cette alliance baptisée “Aukus” Londres espère faire plus que de la figuration. À peine 48 heures après l’annonce de l’abandon du contrat français, les groupes anglais BAE system et Rolls Royce se sont positionnés pour équiper les futurs sous-marins. Les signes avant-coureurs Avant d’en arriver là, un certain nombre d’alertes ont eu lieu. Juste après la signature du “contrat du siècle” une fuite de 22 000 documents détaillant les plans des systèmes de torpilles et de communications d'un autre modèle de sous-marins français vendu à l'Inde, le Scorpène, atterrissent dans la presse australienne. Une tentative de déstabilisation qui résonne, avec le recul, comme une première mise en garde. Début 2020, nouvelle alerte. Le gouvernement australien s'inquiète de ce que le programme français a pris neuf mois de retard. En pleine pandémie, du 6 février au 6 mars 2021, le nouveau PDG de Naval Group, Pierre Éric Pommellet, se rend en Australie. Après 3 semaines de quarantaine, il rencontre ses interlocuteurs australiens et repart rassuré. Mais les négociations secrètes entre Londres, Canberra et Washington vont toujours bon train. En juin 2021, alors qu’Emmanuel Macron participe au G7 en Cornouailles, ni Boris Johnson, ni Joe Biden ne l'informent de ce qui est en train de se tramer. Une réunion secrète a lieu entre les Américains, les Anglais et les Australiens pour sceller le sort du contrat français, alors même que le président de la République française se trouve à deux pas de là. Les masques tombent finalement le 15 septembre 2021, date à laquelle la Maison Blanche annonce son nouveau pacte avec les Australiens et les Britanniques. “Il est normal qu'ils aient gardé le secret très longtemps, explique Larissa Brown. Les Australiens ne voulaient rien révéler tant qu'ils ne seraient pas certains du résultat. Or ils n'étaient pas sûrs à 100% que les Américains les suivraient jusqu’au bout.” Une fois l’affaire rendue publique, à Washington, l’adjoint de Kurt Campbell, Rush Doshi, poste un tweet que le grand public n’aura pas repéré mais qui en dit long, avec ces simples mots : “Six mois de travail acharné !”. Tweet qu’il supprimera par la suite. Six mois, c’est donc le temps qu’il aura fallu pour torpiller le contrat français. Une impression de “déjà-vu” Ce n’est cependant pas la première fois que la France est écartée par les États-Unis d’un contrat de ce type. Dans les années 80, Paris espérait vendre ses sous-marins nucléaires d'attaque au Canada. Les négociations semblaient en bonne voie. “La marine canadienne, comme le pouvoir politique, étaient tout à fait convaincus de l'intérêt de cette solution”, se souvient Max Moulin, ingénieur en génie atomique, Capitaine de Vaisseau et co-auteur de l’ouvrage naval de référence intitulé Flottes de combat. “Jusqu'au moment où les Américains sont intervenus en faisant une contreproposition de prêt ou de mise à disposition de sous-marins nucléaires américains. Les Canadiens ont alors laissé tomber le contrat français. Sauf qu’“ils n'ont jamais eu de retour de la part des Américains, et ils ont finalement dû acheter des sous-marins classiques d'occasion britanniques qui n'étaient pas en bon état.” 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 janvier 2022 Share Posté(e) le 23 janvier 2022 Il y a 16 heures, pascal a dit : une fuite de 22 000 documents Il y a 16 heures, pascal a dit : Les Australiens ne voulaient rien révéler t Chez nous çà fuit , étanche chez les autres J’avais compris qu’il s’agissait de documents commerciaux à faible valeur technique ajoutée et confidentielle ; mais çà fait désordre et surtout « munitions » pour ceux qui n’en voulaient pas quelque soit l’évolution du contexte géopolitique. On a rien vu venir , rien senti d’une petite fuite nauséabonde , l’étanchéité absolue existe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titoo78 Posté(e) le 31 janvier 2022 Share Posté(e) le 31 janvier 2022 https://www.theguardian.com/australia-news/2022/jan/31/top-defence-official-was-to-report-good-progress-on-french-submarine-project-weeks-before-axing 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Il y a 9 heures, Titoo78 a dit : https://www.theguardian.com/australia-news/2022/jan/31/top-defence-official-was-to-report-good-progress-on-french-submarine-project-weeks-before-axing "Un haut responsable de la défense devait faire état de "bons progrès" sur le projet de sous-marin français des semaines avant sa suppression Le plus haut responsable australien de la défense était sur le point d'informer le gouvernement Morrison des "bons progrès" sur le projet de sous-marin français désormais abandonné, après avoir reçu l'avis que la prochaine phase de travail proposée était "abordable et acceptable". Des documents obtenus par Guardian Australia en vertu des lois sur la liberté d'information révèlent que les dirigeants de la défense australienne ont reçu des conseils positifs sur le projet, quelques semaines seulement avant qu'il ne soit abandonné en faveur du pacte Aukus avec les États-Unis et le Royaume-Uni. Le secrétaire du département de la Défense, Greg Moriarty, a promis dans un e-mail à ses collègues le 30 août de "s'assurer que les bons progrès à ce jour font partie des conseils que nous apportons au gouvernement" et a déclaré que cela serait également exprimé lors d'une réunion entre australiens et français. ministres le même jour. L'annonce par le gouvernement australien deux semaines plus tard qu'il se tournait vers les États-Unis et le Royaume-Uni pour obtenir de l'aide afin d'acquérir au moins huit sous-marins à propulsion nucléaire a déclenché une grave rupture diplomatique avec la France, qui s'est plainte d'avoir été « poignardée dans le dos » et « trahie ». ”. La trace écrite récemment publiée montre que Gregory Sammut, le directeur général des sous-marins au ministère de la Défense, a déclaré à ses supérieurs que le groupe naval français avait fait une offre mise à jour pour la prochaine phase des travaux le 23 août. "Nonobstant la diligence raisonnable que nous exerçons lors de l'examen de l'offre, elle est abordable et acceptable, et conforme aux conditions contractuelles et à l'énoncé des travaux", a écrit Sammut le 27 août. Sammut a également déclaré qu'"un calendrier directeur intégré solide" avait été établi, le premier des sous-marins diesel-électriques conventionnels de classe Attack devant être livré "dans la fenêtre d'août 2033 à février 2035". Le Premier ministre, Scott Morrison, a déclaré en septembre que le premier des sous-marins à propulsion nucléaire devrait être dans l'eau vers 2040 – bien que tous les détails clés fassent encore l'objet d'une étude conjointe de 18 mois avec les États-Unis et le Royaume-Uni. Alors que certains des e-mails de Sammut du 27 août ont été expurgés au motif qu'ils révéleraient une délibération ou une décision du cabinet, ils se terminent par un commentaire selon lequel Naval Group avait travaillé «en collaboration avec la Défense depuis lors pour réaliser des progrès substantiels, et il n'y a pas de programme stratégique extrême. des risques". Son e-mail était adressé à Moriarty, le secrétaire à la Défense, qui avait aidé à superviser un examen parallèle des besoins en capacités sous-marines de l'Australie, et le message a été copié à d'autres, dont le chef de la marine, le vice-amiral Michael Noonan. Moriarty a répondu le 31 août pour remercier Sammut "pour cette mise à jour complète" et pour reconnaître "que cela n'a été une période facile pour aucun d'entre vous". Moriarty a écrit que le fait que le département ait un calendrier "à haute confiance", une estimation des coûts "crédible" et une offre "abordable" pour la prochaine étape reflète bien le leadership de l'équipe et ses bonnes relations de travail avec Naval Group. "Je veillerai à ce que les bons progrès à ce jour fassent partie des conseils que nous donnons au gouvernement, et vous entendrez ce message répété dans le 2+2 avec la France et dans d'autres engagements", a déclaré Moriarty à Sammut. Cette rencontre 2+2 entre les ministres français et australiens de la Défense et des Affaires étrangères sera plus tard au cœur des accusations françaises d'avoir été pris au dépourvu par la décision finale d'abandonner le projet au profit du pacte Aukus. Les documents publiés lundi par le département de la Défense montrent également que Sammut a informé un panel clé de la Défense – connu sous le nom de Naval Shipbuilding Coordination Group – des progrès réalisés au moins deux fois en août 2021. Les notes préparées pour la réunion du 10 août indiquent que Naval Group a été "officiellement informé que le gouvernement devra examiner l'offre révisée pour la prochaine phase avant que la Défense ne soit autorisée à financer ces travaux sous contrat". Selon des notes préparées pour une réunion du même panel le 31 août, le travail de la Défense pour établir « un calendrier directeur intégré solide, une estimation crédible des coûts du programme et une offre abordable et acceptable pour la prochaine phase des travaux » avait été achevé « avec le soutien collaboratif de Naval Group ». Il existe un tableau répertoriant un certain nombre de «risques et défis actuels» comme «moyens» ou «élevés» – mais les détails sont expurgés dans la clause de confidentialité du cabinet. Le courriel de Sammut aux dirigeants de la défense du 27 août estime le coût total actualisé du programme de sous-marins français à 46,4 milliards de dollars en dollars constants de 2016 - une façon de décrire le coût qui suppose qu'un dollar a le même pouvoir d'achat au fil du temps. Il a écrit que ce chiffre "reste dans les limites de l'estimation initiale du coût d'acquisition de 50 milliards de dollars en dollars constants de 2016 annoncée au début du programme de sous-marins de la classe Attack en avril 2016". Les responsables de la défense ont déclaré que le coût total estimé du programme de sous-marins français était de 88 milliards de dollars en « dollars dépensés » – une autre mesure qui prend en compte l'inflation et les variations des taux de change. Ce chiffre plus élevé « résultat » a été plus largement cité dans les reportages des médias. Moriarty a déclaré aux estimations du Sénat en octobre que le débat public sur les sous-marins français avait été "largement inexact" et "qu'il n'y avait pas eu d'explosion des coûts". Il a déclaré que le projet avait été interrompu "parce que nos exigences ont changé, pas à cause des mauvaises performances" de Naval Group ou de l'entrepreneur de systèmes de combat Lockheed Martin Australia. Des documents précédemment publiés montrent que le département de la Défense a écrit à Naval Group une semaine avant l'annulation du contrat, reconnaissant la réussite d'au moins une exigence pour passer à l'étape suivante. Quelques heures avant l'annonce, le département a averti Naval Group que la réalisation d'une étape contractuelle clé ne "fournissait aucune autorisation de poursuivre les travaux". Le fossé diplomatique sur la question s'est approfondi en novembre lorsque le président français, Emmanuel Macron, a directement accusé Morrison de lui avoir menti." 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Bon Plan Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 (modifié) On va prendre date pour voir l'issue des 18 mois d'étude que les australiens ont prévus pour étudier le SSN de leurs rêves. Je pense qu'il va encore y avoir des rebondissements, surtout que Morisson n'est pas éternel. Le boute feu de l'affaire semble bien avoir été notre grand ami Boris J , mais à la fin il pourrait être le grand cocu du dossier, car si le SSN anglais semble une bonne solution, les ricains ne laisseront pas faire. Modifié le 1 février 2022 par Bon Plan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 7 minutes, Pierre_F a dit : Cela montre aussi qu’il y avait peut être une taupe chez Naval Group qui a déclenchée la déclaration AUKUS avant que les bonnes nouvelles n’arrivent. Non, ils ont juste arrêté entre 2 contrats. Si ils signaient pour la suite ils auraient dû attendre des années où payer beaucoup plus à NG 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 57 minutes, clem200 a dit : Non, ils ont juste arrêté entre 2 contrats. Si ils signaient pour la suite ils auraient dû attendre des années où payer beaucoup plus à NG Payer plus, oui. Attendre des années, non : pendant que l'étude des attack continuait, ils pouvaient fort bien chercher un autre submersible, voir couper la poire en 2 : 6 Attack et 6 SSN ou 6 + 4 car "1 tiens vaut mieux que 2 tu l'auras". Là ils ne repartent pas dans l'inconnu puisqu'ils vont choisir un design parmi 2 déjà en service, mais il n'y aura aucune maitrise technique à la clef, ce que la classe Attack promettait, et un bateau idéalement fait pour d'autres et non un engin cousu main. Et il y aura probablement pas ou peu d'activité sur le sol australien liée à ce dossier. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Il y a 3 heures, Bon Plan a dit : On va prendre date pour voir l'issue des 18 mois d'étude que les australiens ont prévus pour étudier le SSN de leurs rêves. Je pense qu'il va encore y avoir des rebondissements, surtout que Morisson n'est pas éternel. Le boute feu de l'affaire semble bien avoir été notre grand ami Boris J , mais à la fin il pourrait être le grand cocu du dossier, car si le SSN anglais semble une bonne solution, les ricains ne laisseront pas faire. Les anglais ont besoin de produire plus de reacteur nucleaire sans quoi, ils seront decouplés des usa dans ce domaine. Inversemment les usa ne peuvent pas produire pour d’autres car ils ont leur propre besoin. je ne vois pas pourquoi les usa s’y opposerait. Il y a 2 heures, Bon Plan a dit : Payer plus, oui. Attendre des années, non : pendant que l'étude des attack continuait, ils pouvaient fort bien chercher un autre submersible, voir couper la poire en 2 : 6 Attack et 6 SSN ou 6 + 4 car "1 tiens vaut mieux que 2 tu l'auras". Là ils ne repartent pas dans l'inconnu puisqu'ils vont choisir un design parmi 2 déjà en service, mais il n'y aura aucune maitrise technique à la clef, ce que la classe Attack promettait, et un bateau idéalement fait pour d'autres et non un engin cousu main. Et il y aura probablement pas ou peu d'activité sur le sol australien liée à ce dossier. Ca n’aurait rien changer le rapport n’a pas ete remis aux decideurs mais l’essentiel a ete dit a ces decideurs. non morrison avait besoin d’annuler le contrat, pour des raisons financieres. Et je prends le pari que celui des ssn sera egalement annulé. Ou effectivement qu’ils seront produits mais pas en australie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 … je ne suis pas certain que les GiBi ont la filière et la techno pour développer, construire et entretenir des réacteurs nucléaires ! Je ne suis pas davantage certain que les US leur en fasse cadeau ! Finalité : Il n’y aura jamais de transfert de technologie US/GB -> AU et le jour où les Aussies auront leur flotte de 8 SNA on aura « terraformé » Mars Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a une heure, Ardachès a dit : … je ne suis pas certain que les GiBi ont la filière et la techno pour développer, construire et entretenir des réacteurs nucléaires ! au moins en partie. Ils ont été aidés par les ricains pour mettre le pied à l'étrier, mais je pense que la technologie est maitrisée. Comme celle des têtes nuc qui bien que sur des Missile Trident leur sont propres. Construire et entretenir : faut pas prendre les anglais que pour des c*ns. Développer : ... en ont ils besoins sachant qu'ils peuvent puiser librement ou presque dans les joujous d'oncle Sam ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 … Je pense qu’ils ont effectivement leurs propres ingénieurs atomiste, qu’ils connaissent, évidemment par cœur le fonctionnement des réacteurs mais il y a grand pas avant de les fabriquer sur leur sol, non ? Sauf erreur, ces mêmes réacteurs arrivent, dans de joli paquet cadeau, de chez Westinghouse et ils n’ont plus qu’à les « installer » à leur place finale, non ?… c’est autre chose que de tout concevoir et de fabriquer. Après je me doute qu’ils ont les cerveaux qu’ils faut encore faut-il créer une société, les recruter et … Ben non, ils appellent les copains d’outre Atlantique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Il y a 6 heures, Bechar06 a dit : "Un haut responsable de la défense devait faire état de "bons progrès" sur le projet de sous-marin français des semaines avant sa suppression Le plus haut responsable australien de la défense était sur le point d'informer le gouvernement Morrison des "bons progrès" sur le projet de sous-marin français désormais abandonné, après avoir reçu l'avis que la prochaine phase de travail proposée était "abordable et acceptable". Just a summary ! 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a une heure, Ardachès a dit : … Je pense qu’ils ont effectivement leurs propres ingénieurs atomiste, qu’ils connaissent, évidemment par cœur le fonctionnement des réacteurs mais il y a grand pas avant de les fabriquer sur leur sol, non ? Sauf erreur, ces mêmes réacteurs arrivent, dans de joli paquet cadeau, de chez Westinghouse et ils n’ont plus qu’à les « installer » à leur place finale, non ?… c’est autre chose que de tout concevoir et de fabriquer. Après je me doute qu’ils ont les cerveaux qu’ils faut encore faut-il créer une société, les recruter et … Ben non, ils appellent les copains d’outre Atlantique Les réacteurs de tous leurs soum nuc sont estampillés R&R. Peut être ne font ils qu'y mettre leur plaque.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 Il y a 1 heure, Bechar06 a dit : Just a summary ! Maintenant, ils pourront se faire passer pour des victimes et JM devra assumer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 36 minutes, Bon Plan a dit : Les réacteurs de tous leurs soum nuc sont estampillés R&R. Peut être ne font ils qu'y mettre leur plaque.... … Il faut être honnête, je ne suis pas qualifié pour émettre ce genre de jugement. J'ai cru comprendre que les Anglais ne fabriquaient pas les réacteurs de leurs Soums … C'est peut-être une erreur, sans-doute recoivent-ils des US les plans et ils les montent chez eux mais j'en doute … Il faudrait un expert … @ARMEN56 ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 (modifié) il y a une heure, Ardachès a dit : … Il faut être honnête, je ne suis pas qualifié pour émettre ce genre de jugement. J'ai cru comprendre que les Anglais ne fabriquaient pas les réacteurs de leurs Soums … C'est peut-être une erreur, sans-doute recoivent-ils des US les plans et ils les montent chez eux mais j'en doute … Il faudrait un expert … @ARMEN56 ? sans etre un expert, le PWR 1 était complement américain mais produit par RR. Le PWR 3 reprend un design US mais les composants et la tech sont UK. En gros c'est la tech US mais de la main d'oeuvre et du savoir faire UK. Au final, sans le contrat australien, les UK se retrouverait avec une filière à l'arrêt et donc morte. Il faudrait alors revenir vers les USA, redepenser de l'argent... Et a ce moment là se posera la question de l'uranium, de la cohérence d'ensemble de la nouvelle filière et finalement l'évidence montrerait que la France serait un partenaire beaucoup plus cohérent. Évidemment le UK ne peut accepté, ni la facture, ni le découplage avec les USA et encore de demander à la France. Il faut dire que techniquement les réacteurs a uranium faiblement enrichis sont mal perçue par les marines US ou UK (ils connaissent pas donc ca fait peur). Rechargement obligatoire tout les 10 ans, blindage plus important, taille plus importante, coute plus chers (je préfère préciser c'est leurs arguments)... Modifié le 1 février 2022 par wagdoox 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 47 minutes, wagdoox a dit : Au final, sans le contrat australien, les UK se retrouverait avec une filière à l'arrêt et donc morte. Merci @wagdoox … mais je croyais qu'ils développaient de nouveaux SNLE ? Je me trompe ? Et puis, quoi alors, si l'unique chantier naval US ne peut produire pour les Aussies, parce qu'il faut avant tout fournir la Navy, comment vont faire les GiBis avec le même problème ? On en revient donc à ma démonstration : le jour où nos amis les Australiens aligneront 8 SNA (et peu importe si c'est des Astute ou des Virginia), nous aurons terraformé Mars ! … Et bien fait pour leurs groins 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 35 minutes, Ardachès a dit : Merci @wagdoox … mais je croyais qu'ils développaient de nouveaux SNLE ? Je me trompe ? Et puis, quoi alors, si l'unique chantier naval US ne peut produire pour les Aussies, parce qu'il faut avant tout fournir la Navy, comment vont faire les GiBis avec le même problème ? On en revient donc à ma démonstration : le jour où nos amis les Australiens aligneront 8 SNA (et peu importe si c'est des Astute ou des Virginia), nous aurons terraformé Mars ! … Et bien fait pour leurs groins C’est exacte mais meme avec le snle ils n’auront que 11 soum et donc 11 reacteur quand on a du mal avec 12 (cdg). ca leur permet donc de dev des mainteant un sucesseur aux astute et une production d’environ 15 sna sur 30 ans qui commencera dans 20 ans. ca permet une pleine occupation des chantiers. Mais ca veut dire au moins 25 ans d’attente pour l’australie. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 15 minutes, wagdoox a dit : C’est exacte mais meme avec le snle ils n’auront que 11 soum et donc 11 reacteur quand on a du mal avec 12 (cdg). ca leur permet donc de dev des mainteant un sucesseur aux astute et une production d’environ 15 sna sur 30 ans qui commencera dans 20 ans. ca permet une pleine occupation des chantiers. Mais ca veut dire au moins 25 ans d’attente pour l’australie. 13 réacteurs navals avec le RES de Cadarache (c'est un K15 à terre) et qui permet toutes sortes de tests et qui continue à évoluer avec la flotte. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ardachès Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 28 minutes, wagdoox a dit : Mais ca veut dire au moins 25 ans d’attente pour l’australie. … C’est bien ce que j’ai dit; on vivra sur Mars Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 février 2022 Share Posté(e) le 1 février 2022 il y a 34 minutes, penaratahiti a dit : 13 réacteurs navals avec le RES de Cadarache (c'est un K15 à terre) et qui permet toutes sortes de tests et qui continue à évoluer avec la flotte. Pas exactement, il est « decompacté » il y a 31 minutes, Ardachès a dit : … C’est bien ce que j’ai dit; on vivra sur Mars T’as fini avec ton mars !! et p..in ca y est les australiens repartent ! j’espere que tu es content de toi ?! 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bon Plan Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 (modifié) Il y a 15 heures, wagdoox a dit : sans etre un expert, le PWR 1 était complement américain mais produit par RR. Le PWR 3 reprend un design US mais les composants et la tech sont UK. En gros c'est la tech US mais de la main d'oeuvre et du savoir faire UK. Au final, sans le contrat australien, les UK se retrouverait avec une filière à l'arrêt et donc morte. Ils ont leur programme de SNLE a venir. Ils font comme les Français, en intercalant la prod des SNA et des SNLE. Seules différences : +1 SNA pour les anglais, +2 réacteurs par PAN pour les mangeurs de grenouilles. Je ne pense pas que ca change la donne radicalement. Il y a 15 heures, wagdoox a dit : Il faut dire que techniquement les réacteurs a uranium faiblement enrichis sont mal perçue par les marines US ou UK (ils connaissent pas donc ca fait peur). Rechargement obligatoire tout les 10 ans, blindage plus important, taille plus importante, coute plus chers (je préfère préciser c'est leurs arguments)... pourquoi plus de blindage pour l'uranium faiblement enrichi ? Modifié le 2 février 2022 par Bon Plan Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 il y a 33 minutes, Bon Plan a dit : Ils ont leur programme de SNLE a venir. Ils font comme les Français, en intercalant la prod des SNA et des SNLE. Seules différences : +1 SNA pour les anglais, +2 réacteurs par PAN pour les mangeurs de grenouilles. Je ne pense pas que ca change la donne radicalement. pourquoi plus de blindage pour l'uranium faiblement enrichi ? Et pourtant si, notamment a cause de l’allonge de la duree de vie des soum. les neutrons apparement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deres Posté(e) le 2 février 2022 Share Posté(e) le 2 février 2022 Il y a 1 heure, Bon Plan a dit : pourquoi plus de blindage pour l'uranium faiblement enrichi ? Le cœur est probablement plus gros avec de l'uranium faiblement enrichi car la quantité d'uranium enrichi doit être la même au finale. Donc la surface à blinder à l'extérieur doit être nettement plus grande. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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