bubzy Posté(e) il y a 18 heures Share Posté(e) il y a 18 heures Tiens aujourd'hui il y a l'inauguration de l'usine de Cergy. Même pas été invité... pffff... Il y a 15 heures, prof.566 a dit : Il leur manque encore ASML ASML n'est pas un producteur de puce, mais de machines de lithographie, celles qui servent à faire les puces. On a quelques fondeurs en Europe, mais pas de quoi remplacer les productions qui viennent de l'étranger. Mais pour les besoins institutionnels, ça suffit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures Oui, on a pas encore TSMC c'est sur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures 8 minutes ago, g4lly said: En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. Et ARM en UK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures il y a 6 minutes, prof.566 a dit : Et ARM en UK Oui mais c'est beaucoup plus petit le CA doit être à 3 ou 4 milliard seulement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures 18 minutes ago, g4lly said: En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. l'Europe c'est même pas 10% de la production mondiale de semi-conducteurs. Les US 15%, l'Asie 75-80% Les US vont probablement un peu améliorer leur position dans les années à venir sur la base des investissements prévus. L'Europe clairement pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures il y a 15 minutes, Glenans29 a dit : l'Europe c'est même pas 10% de la production mondiale de semi-conducteurs. Les US 15%, l'Asie 75-80% Les US vont probablement un peu améliorer leur position dans les années à venir sur la base des investissements prévus. L'Europe clairement pas. Tu parles de fondeurs? De concepteurs? ou de fabriquants? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures Rafale : Dassault inaugure sa première usine en 50 ans pour accélérer les cadences https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/rafale-dassault-inaugure-sa-premiere-usine-en-50-ans-pour-accelerer-les-cadences-2187935#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_email_type=retention&utm_campaign=lec_18h_gratuite&utm_email_send_date=20250923 Dassault a inauguré, ce mardi, sa nouvelle usine de Cergy dans le Val-d'Oise, qui succède aux ateliers historiques d'Argenteuil et offre aux avions du constructeur, Rafale et Falcon, de fortes capacités de montée en cadence. La toute nouvelle usine de Dassault en région parisienne, à Cergy dans le Val-d'Oise, monte en puissance depuis son ouverture à l'été 2024. Pour des raisons de calendrier, Dassault Aviation ne l'a « inauguré » que ce mardi 23 septembre, avec les élus locaux mais aussi avec les 600 employés du groupe qui y travaillent. La cérémonie s'est donc déroulée dans une usine qui tourne à plein régime, avec l'ambition d'augmenter encore ses cadences, le président de Dassault Aviation confirmant son souhait de rehausser ses objectifs de livraison, de quatre à cinq avions de chasse Rafale par mois à l'horizon 2030. « C'est la première fois depuis les années 1970 que Dassault Aviation met en service un nouvel établissement de production », a souligné le PDG Eric Trappier. L'usine de Cergy reprend les activités de l'usine historique du groupe à Argenteuil, devenue obsolète et trop compliquée à moderniser. Le changement de décor est spectaculaire. L'usine construite entre 2021 et 2024, moyennant un investissement de plus de 150 millions d'euros, reprend tous les codes de l'aéronautique dernier cri, sous des halls larges, lumineux autour de postes de travail organisés en flux avec des nacelles modernes et des outils de suivi numérique. A Cergy sont assemblées les parties avant des Rafale et des Falcon (le nez de l'avion) ainsi que les fuselages du Rafale. Ceux-ci sont complètement aménagés, avec l'installation de tous les circuits (électrique, carburant, hydraulique, air) et des principaux équipements (trains d'atterrissage). Ensuite, les fuselages et les « nez » partent à Mérignac, près de Bordeaux, pour l'assemblage final avec les ailes et les dérives du chasseur. Un point d'orgue L'usine de Cergy signe en quelque sorte le point culminant du plan de réorganisation industriel décidé il y a déjà près de dix ans, pour spécialiser et moderniser la chaîne de fabrication du groupe. Agrandissement du site et installations de machines ultra-modernes pour la fabrication des pièces primaires dans le Nord, à Seclin, construction de nouveaux bâtiments à Martignas, notamment pour la pyrotechnie, rénovation importante de l'usine d'Anglet, construction du nouveau hall d'assemblage du Falcon 10X ainsi que de laboratoires et nouveaux bureaux à Mérignac, investissements à Argonay, et nouvelles infrastructures d'essais à Istres : Dassault s'est peu à peu hissé de l'artisanat à la production en série. D'ailleurs, 5.000 personnes ont été embauchées au cours des trois dernières années. L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France. Eric Trappier, PDG de Dassault Eric Trappier convient que dans l'absolu, regrouper toutes les fonctions sur un seul site semblerait plus logique, mais « nous avons une histoire à assumer et des bassins d'emplois à respecter ». Présente à l'inauguration, la présidente de la région, Valérie Pécresse, a ainsi remercié l'entreprise d'être restée en Ile-de-France plutôt que de filer en Aquitaine ou en Occitanie, les deux grands pôles aéronautiques français. Pour la région, l'industrie aéronautique pèse 200.000 emplois, un atout précieux au moment où d'autres industries, comme l'automobile, souffrent. Hausse des cadences « A l'époque pour Cergy, nous n'avions pas anticipé la nécessité d'une telle montée en cadence pour les Rafale, mais nous avions prévu de maximiser l'adaptabilité, aussi l'usine tourne déjà pour certaines pièces à cadence 4 et nous sommes certains de pouvoir faire encore davantage », explique le directeur du site, Emmanuel Théret. L'entreprise continue à recruter après avoir embauché 80 personnes l'an dernier. Cheffe d'unité, Marie (34 ans) pilote l'aménagement des cabines de Rafale, et déclare avoir une équipe de 200 personnes sous ses ordres, contre une centaine lorsqu'elle était à Argenteuil. Avec environ 240 avions Rafale à livrer, dont une cinquantaine pour la France, Dassault, qui vise 25 livraisons de l'avion de chasse cette année, doit encore nettement accélérer son cycle de fabrication. « Certaines de nos productions sont déjà à la cadence 4, mais il faut que sur l'ensemble de la chaîne, toutes les pièces passent au bon rythme, une seule pièce manquante pouvant bloquer la livraison finale », rappelle Eric Trappier, qui admet être dans une longue course logistique. D'autant que le groupe espère bien décrocher à court, moyen terme un nouveau contrat important avec l'Inde. L'armée de l'air indienne pousse le gouvernement en réclamant 114 Rafale supplémentaires. Une telle commande ne pourrait s'articuler qu'avec une montée en puissance de Dassault en Inde. Dassault monte déjà à Nagpur une unité d'assemblage de Falcon 2000, prélude potentiel à une ligne d'assemblage de Rafale. Il a aussi conclu un accord de sous-traitance au groupe indien Tata pour des sections de fuselage du Rafale. D'autres campagnes sont en cours, par exemple au Portugal, mais rien n'est joué à cette heure. Défense de l'industrie « L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France », s'est enthousiasmé le PDG de Dassault. Qui en a profité pour demander aux pouvoirs publics « d'éviter les discours simplistes sur les 200 milliards d'euros d'aides que recevraient les entreprises, en oubliant que celles-ci ont été mises en place pour compenser l'excès de prélèvements obligatoires qui grève leur compétitivité ». Et de rappeler que les Falcon produits à Cergy reviendraient bien moins cher, s'ils étaient fabriqués aux Etats-Unis. Mais « sans industrie forte et souveraine, il n'y a pas de défense indépendante, pas de croissance durable, pas d'avenir pour notre jeunesse », s'est enflammé le PDG. Anne Bauer 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures Bon ben si Marcel fut proche des communistes un temps, c'est un temps définitivement révolu... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures Il y a 4 heures, bubzy a dit : Bon ben si Marcel fut proche des communistes un temps, c'est un temps définitivement révolu... ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
lm2 Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure https://www.lefigaro.fr/societes/dassault-aviation-une-nouvelle-usine-ultramoderne-en-france-pour-accompagner-le-succes-du-rafale-20250923 Dassault Aviation : une nouvelle usine ultramoderne en France pour accompagner le succès du Rafale Par Véronique Guillermard Le 23 septembre 2025 à 19h29 Sujets Dassault Aviation Rafale défense Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, avec Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, lors de l’inauguration de la nouvelle usine de Cergy (Val-d’Oise), le 23 septembre 2025. C.COSMAO / Dassault Aviation DÉCRYPTAGE - Le groupe présidé par Éric Trappier a investi plus de 100 millions d’euros dans un nouveau site à Cergy, chargé de la fabrication des parties avant du Rafale et de l’aménagement complet de son fuselage. Une nouvelle usine 4.0 pour soutenir les hausses de production du Rafale, l’avion de combat français. C’est un événement pour son constructeur, Dassault Aviation *, qui n’avait pas ouvert de nouveau site depuis un demi-siècle. Située à Cergy (Val-d’Oise) en région parisienne, l’usine a été inaugurée, ce mardi, par Éric Trappier, PDG du groupe. « Pour un industriel français, attaché à son pays, à ses territoires et à ses emplois, inaugurer une nouvelle usine représente une joie et une fierté incomparables », a-t-il déclaré, devant Philippe Court, préfet du Val-d’Oise, de nombreux élus, dont Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France, Marie-Christine Cavecchi, présidente du conseil départemental du Val-d’Oise, et Jean-Paul Jeandon, maire de Cergy et président de la communauté d’agglomération ainsi que des salariés. Les élus se sont mobilisés afin « de créer un environnement favorable », selon les mots de Valérie Pécresse, afin que Dassault Aviation « choisisse de rester en Île-de-France, une région qui emploie 200.000 personnes dans l’aéronautique ». Cela, alors que « le centre de gravité industriel (du groupe) est en Nouvelle-Aquitaine » avec notamment le site d’assemblage final de Mérignac à côté de Bordeaux. En 2019, le groupe a décidé de quitter Argenteuil, un site centenaire devenu obsolète, pour en transférer les activités dans une nouvelle usine ultramoderne de 40 000 m2, installée sur un terrain de plus de 100.000 m2. Il s’agit de l’assemblage de revêtements et de petites pièces de Rafale (mais aussi d’avions d’affaires Falcon) et des parties avant des fuselages de l’avion de combat, de l’aménagement des fuselages entiers ainsi que de la fabrication de tuyauteries métalliques. Passer la publicité Plan de modernisation et de spécialisation Les bâtiments, conçus par l’architecte maître d’œuvre Antoine Fleuriot du cabinet Séquences, ont été livrés en juillet 2024, trois ans après la pose de la première pierre. Ce qui a ensuite enclenché le transfert à Cergy des outillages et des équipes - plus de 600 salariés Dassault sur un total de quelque 1 200 comprenant les sous-traitants et les personnels en formation - jusqu’en janvier 2025. Le site dans lequel le groupe a investi plus de 100 millions d’euros, entrant alors en production pour monter en puissance progressivement. Ses forces vives ont été renforcées, afin d’accompagner les hausses de cadence du Rafale, avec 80 recrutements réalisés en 2024 et autant cette année. Le Rafale a multiplié les succès à l’exportation avec 323 commandes signées par huit pays clients depuis 2015, dont 186 restaient à livrer fin juin 2025 La mise en service de cette nouvelle usine s’inscrit dans « un double effort de modernisation et de spécialisation » des sites du constructeur afin de gagner en efficacité et en compétitivité. Un plan lancé voici dix ans alors que Dassault Aviation signait le premier contrat à l’international du Rafale avec l’Égypte. Depuis, le groupe a beaucoup investi pour agrandir des sites, installer des machines au dernier standard de l’industrie, rénover des usines, ouvrir de nouveaux laboratoires, etc. Et recruter, avec 5000 embauches réalisées sur les seules trois dernières années. Message aux politiques Dans le même temps, le Rafale a multiplié les succès à l’exportation avec 323 commandes signées par huit pays clients depuis 2015, dont 186 restaient à livrer fin juin 2025 (sur un total de 533 avec les appareils achetés par la France). Dans les usines, les cadences se sont accélérées : Dassault produit désormais 4 Rafale par mois en amont (dans les usines de pièces et chez les sous-traitants), contre 2 appareils en 2019. « Et si nous avons de nouveaux contrats en France et à l’export, nous serions capables de passer à la cadence 5 par mois pour les années 2030 », explique Éric Trappier. Cette nouvelle hausse de production est à l’étude. Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z L’usine de Cergy « est plus qu’un bâtiment. C’est un signal : celui de la confiance dans l’avenir industriel de notre pays. Je continue de croire dans l’industrie en France, mais hélas les chiffres montrent qu’au plan national la désindustrialisation se poursuit inexorablement ! », déplore Éric Trappier. Un message, qui, espère-t-il, « sera entendu par nos pouvoirs publics ». Cela, alors que le nouveau gouvernement Lecornu n’est pas encore formé et que les oppositions ont fait des entreprises leur cible. Or, en tant que PDG de Dassault Aviation mais aussi président de l’UIMM, l’Union patronale des industries et métiers de la métallurgie, Éric Trappier appelle « urgemment » les politiques à « alléger les pesanteurs, les freins réglementaires, les normes absconses qui pèsent sur l’activité industrielle en France ». « Il faut éviter les discours simplistes sur les 200 milliards d’euros d’aides que recevraient les entreprises en oubliant que celles-ci ont été mises en place pour compenser l’excès de prélèvements obligatoires qui grève leur compétitivité », plaide-t-il. Fortes tensions autour de l’avion de combat du futur Depuis Cergy, Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z. « C’est une exception française », rappelle le PDG alors que l’Allemagne et l’Espagne jugent que le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf), dont le futur avion de combat (NGF) est le cœur, est en panne, et menacent de le poursuivre sans la France. Éric Trappier appelle depuis des mois à changer de gouvernance pour passer, en théorie en 2026, à la phase 2 de développement d’un démonstrateur, estimant que celle mise en place avec Airbus Allemagne et Airbus Espagne lors de la phase 1 d’études, est inefficace et l’empêche de jouer son rôle de maître d’œuvre et de leader du NGF. Un rôle que lui ont pourtant assigné les trois pays partenaires. De l’autre côté du Rhin, les déclarations peu amènes se multiplient. « Je crois que le Scaf ira de l’avant sans Dassault, affirme Thomas Pretzl, président du comité d’entreprise d’Airbus Defence, dans un entretien au quotidien allemand Handelsblatt publié ce mardi. Il existe en Europe des partenaires plus attractifs et mieux adaptés ». Des déclarations qui font écho à la « colère qui gronde en Allemagne ». Pas de quoi émouvoir Éric Trappier : « Je veux bien que les Allemands grondent. Ici, on sait faire. S’ils veulent faire tout seuls, qu’ils fassent tout seuls. » Quant à Dassault Aviation, « oui, nous sommes capables de développer et de construire un avion de combat de 6e génération tout seul ». Toutefois, la ligne n’est pas coupée entre Airbus et Dassault Aviation. « Je parle avec le patron d’Airbus Defence (Michael Schoellhorn, NDLR) », précise le PDG de Dassault Aviation. Ce sera aux politiques de trancher. Et cela, au plus haut niveau. *Le groupe Dassault est propriétaire du « Figaro » La rédaction vous conseille Éric Trappier, PDG du Groupe Dassault : « Il faut préserver le modèle de défense français » Dassault anticipe une hausse de production du Rafale La France mobilise trois Rafale pour «contribuer à la protection de l'espace aérien polonais», annonce Emmanuel Macron Dassault Aviation : une nouvelle usine ultramoderne en France pour accompagner le succès du Rafale Passer la publicité 11 commentaires anonyme le 24/09/2025 à 01:24 Félicitations ! BMMJL le 23/09/2025 à 22:02 Bravo Mouloud qui bosse le 23/09/2025 à 21:47 "Dassault Aviation réaffirme son rang de seul constructeur européen ayant les compétences, depuis plus de soixante-dix ans, pour concevoir, développer, construire, maintenir et faire évoluer un avion de combat de A à Z" Vraiment ? et Saab ils mettent les petits chocolats dans le papier alu ? https://www.lefigaro.fr/societes/dassault-aviation-une-nouvelle-usine-ultramoderne-en-france-pour-accompagner-le-succes-du-rafale-20250923 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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