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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

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Atos : le civil acquis à David Layani, le militaire guigné par Trappier et Caine

Tandis qu'un consortium formé par Dassault et Thales s'apprête à faire une offre ce week-end sur les activités souveraines, Tech Foundations, la partie infogérance d'Atos, entrevoit un très timide redressement. Après l'attribution du dossier à David Layani, le groupe informatique espère rentrer rapidement dans une sauvegarde accélérée.

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il y a 7 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

Trappier c'est quelque chose que Dassault a  généré, si ce n'était pas lui, ce serait un autre, tout aussi compétant. Je prendrais l'exemple aussi des moteurs, je dis souvent (ici je me retiens de le dire) qu'il y a chez les motoriste des "sorciers" en nombre très réduit qui sont capable de trouver sans trop tâtonner une configuration moteur qui marche bien. C'est parce que on a les formules qui permettent de vérifier qu'une configuration marche bien, mais pour trouver une telle configuration il faudrait avoir les formules inverses et on ne les a pas. Eh bien ces "sorciers" sont aussi généré par le motoriste en quelque sorte, il faut avoir travaillé 15-20 ans sur les moteurs et en avoir vu des vertes et des pas mures pour d'un seul coup devenir "Sorcier" et quelqu'un comme Trappier c'est une autre sorte de "sorcier". 

Oui, mais là il a simplement sorti de l'argent 

C'est de la sorcellerie assez basique

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Il y a 14 heures, Patrick a dit :

:mellow: Heureusement qu'on a Trappier quand même... À ce stade je ne sais pas ce qu'on ferait sans lui.

Je pense qu'on aurait survécu et qu'on aurait simplement trouvé un autre montage financier

L'idolâtrie n'est jamais saine

Modifié par clem200
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il y a 10 minutes, clem200 a dit :

L'idolâtrie n'est jamais saine

Ne pas reconnaître les qualités particulières de certaines personnes ne l'est pas plus. L'inverse de l'idolatrie c'est le réseautage, c'est-à-dire accéder à des fonctions non pas par tes qualités mais par tes connaissances.

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il y a 2 minutes, herciv a dit :

Ne pas reconnaître les qualités particulières de certaines personnes ne l'est pas plus. L'inverse de l'idolatrie c'est le réseautage, c'est-à-dire accéder à des fonctions non pas par tes qualités mais par tes connaissances.

Certes mais si on contextualise à ce forum je trouve la réaction de Patrick relativement ridicule au vu d'un gars qui sort du fric 

 

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il y a 9 minutes, MIC_A a dit :

N'est pas capitaine d'industrie qui veut même avec beaucoup de pognon à disposition !
On a assez d'exemples qui l'ont démontrés.

Certes, mais aucun rapport dans le sujet évoqué actuellement

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Il y a 3 heures, MIC_A a dit :

N'est pas capitaine d'industrie qui veut même avec beaucoup de pognon à disposition !
On a assez d'exemples qui l'ont démontrés.

Voilà. Et avec une stratégie et une vision claire pour l'industrie Française.

Oui non parce que pour rappel, "les activités souveraines", c'est-à-dire la partie défense d'ATOS, c'est "juste" les supercalculateurs du CEA-DAM, ceux qui servent à notre programme simulation. Une broutille hein, vraiment trois fois rien... :rolleyes:

Mais à part ça il faut pas remercier les entreprises qui s'emparent de ce sujet et font des offres pour que ça reste en France au lieu de finir entre les mains d'on ne sait trop qui...

Bref.

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  • 2 weeks later...

Malgré "l'économie de guerre", l'État et les industriels s'écharpent sur les redevances des ventes du Rafale

L'État français cherche à percevoir les redevances liées à la vente du Rafale à l'export auprès de Dassault, Thales et Safran, les trois fabricants du programme. Cumulées, celles-ci s'élèvent à ce jour à plus de 153 millions d'euros. [...]

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Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit :

Malgré "l'économie de guerre", l'État et les industriels s'écharpent sur les redevances des ventes du Rafale

L'État français cherche à percevoir les redevances liées à la vente du Rafale à l'export auprès de Dassault, Thales et Safran, les trois fabricants du programme. Cumulées, celles-ci s'élèvent à ce jour à plus de 153 millions d'euros. [...]

Etant donné que les 3 industriels ont financé 25 % le développment du programme, il est normale qu'ils recoltent un retour sur l'investissement. 

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Ça ne sert à rien d’invoquer le CIR ou le CICE les redevances sur les exportations militaires sont un mécanisme ancien et légal. s'il y a dispute c’est qu’il doit y avoir des différences d’appréciations sur les textes ou les détails des calculs. Vu qu’on a pas accès à l’article complet c’est difficile de se faire une idée.

Sinon j’ai jamais compris le raisonnement qui consiste à critiquer le coût d’une niche fiscale sans la mettre en lien avec le niveau de prélèvement global, ça relève de la mécomprehension ou de la mauvaise foi.

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Le 28/06/2024 à 09:19, Claudio Lopez a dit :

Etant donné que les 3 industriels ont financé 25 % le développment du programme, il est normale qu'ils recoltent un retour sur l'investissement. 

Je trouve fondamentalement étonnante cette vision du verre au quart plein en faveur des industriels. On pourrait croire que c'est un penchant capitaliste sauf que... dans le monde capitaliste lorsqu'un investisseur finance 75% du développement du programme, il est censé être propriétaire aux 3/4 de la propriété intellectuelle qu'il représente. Pour exemple je bosse dans une ESN, et quand mon client me demande de lui développer des logiciels et y met quelques millions il y a systématiquement une clause dans le contrat qui stipule qu'il en est le propriétaire.

Donc même si c'est l'état, même si c'est pour un besoin propre et interne à l'origine - mais l'export aussi était prévu dès l'origine - on devrait récupérer quelque chose de notre investissement en dehors de la TVA et des retombées en terme d'emploi etc. (ça c'est de la politique industrielle). Les royalties, les licences ça existe. Vu le succès et la demande actuels on peut se poser la question: pourquoi tout va à l'industriel ?

Alors comme d'hab on peut parler subventions (déguisées en l’occurrence), penser à du soutien export pour ne pas faire monter les prix à des niveaux non concurrentiels - et on peut se plaindre du fait que l'administration n'ait pas blindé les clauses qui vont bien avec les industriels. Mais vu la situation des finances, pourra-t-on encore longtemps payer ces programmes et subventionner nos industriels si on ne rentre pas d'argent quand ça se passe bien ?

A titre perso ça me semble obligatoire, et dans mes rêves ça tomberait dans un fonds d'investissement dédié à notre chère base militaro industrielle. Mais je ne me fais pas d'illusions, ça va payer des chèques énergie ou des intérêts de la dette.

PS: on va se marrer quand ce genre de question sera abordé sur le SCAF - déjà que les industriels se frittent entre eux sur la PI...

Modifié par Darkjmfr
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il y a 21 minutes, mgtstrategy a dit :

Un 2000 grec en moins.. pilote sain

Les dégâts ne seraient pas graves: 

L'avion M2000-5, dont le pilote avait précédemment interrompu son roulage en raison de problèmes de freins, est sorti de la piste de l'aéroport de Tanagra, mais ne s'est pas écrasé ni n'a pris feu.

Selon les informations, l'avion présente des dommages mineurs à l'aile droite, pour lesquels une restauration sera tentée au sein de l'Unité, après avoir effectué des contrôles approfondis pour établir l'état exact du chasseur.

https://www.defence-point.gr/news/chathike-allo-ena-mirage-2000-5-eytychos-ochi-o-pilotos-telika-quo-vadis-ypetha

https://defencereview.gr/polemiki-aeroporia-mikres-ylikes-zim/

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à l’instant, Benji10 a dit :

Quel courage !  Shiva Shiva pas ... Shiva !!      Après l'échec avec DRAL .... 

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e50098fe4f60128f02120146c63492e0.JPG

https://www.shephardmedia.com/news/training-simulation/sogitec-combines-sword-genius-and-horus-for-virtualconstructive-demonstrator/

"La société française a intégré ses simulateurs d'hélicoptères Genius UAS et HORUS à la simulation constructive Sword de MASA dans le but d'atteindre des commandes opérationnelles d'ici la fin de 2025.

Le spécialiste français de la simulation Sogitec, filiale de Dassault Aviation, a intégré son simulateur de drone générique Genius et son simulateur de cabine de simulateur d'unité arrière d'hélicoptère (HORUS) à la simulation constructive Sword de MASA. La plateforme a été présentée comme preuve de concept à Eurosatory à Paris le mois dernier.

Sword de MASA est une simulation constructive automatisée et agrégée avec une plate-forme de simulation ouverte qui est interopérable avec d'autres simulations et systèmes de commandement et de contrôle (C2). Il a été utilisé dans plus de 20 pays pour la formation au commandement, à l'état-major et aux postes de commandement. L'un des principaux utilisateurs a été l'armée française, et elle est connue en France sous le nom de SOULT (Simulation pour les Opérations des Unités interarmes et de la Logistique Terrestre) où elle prend en charge toutes les formations de commandement des armes dans les spécialisations de combat, d'appui au combat et de soutien logistique au combat, de la compagnie à la division. Il est également de plus en plus utilisé par les forces armées françaises pour l'entraînement au commandement interarmées.

Stéphane Morelli, chef de produit pour les drones et la simulation d'avions de mission chez Sogitec, a déclaré à Shephard que l'objectif de l'intégration était de se concentrer sur l'interopérabilité des capacités, ainsi que sur le développement et la pratique de tactiques, de techniques et de procédures. Le concept permet aux participants utilisant Sword d'utiliser des drones ou des avions à voilure tournante dans la simulation constructive, qui se reflète ensuite dans le monde virtuel des deux simulateurs.

Il a expliqué que Genius, en tant que simulateur générique, complète les simulateurs spécialisés fournis par les fabricants d'UAS, et qu'il peut être personnalisé pour refléter les performances et la charge utile des capteurs de l'UAV particulier simulé. Sword fournit un modèle agrégé des entités dans l'espace de bataille, mais lorsque Genius est déployé dans la simulation, la vue du capteur est celle de l'unité désagrégée : si Sword montre une compagnie de chars, un flux vidéo du drone montrera le nombre approprié de chars individuels déployés tactiquement.

Morelli a déclaré que l'accent a été mis sur « la qualité et le réalisme des images, la situation des entités sur le terrain et leur activité dans le scénario ». HORUS, un simulateur de réalité mixte pour la formation des opérateurs de treuil d'hélicoptère ou des mitrailleurs de porte, utilise l'écran monté sur la tête (HMD) Varjo XR-3 et la technologie d'écran bleu pour fournir un environnement de réalité mixte. Le démonstrateur de concept comprenait un mitrailleur de porte d'hélicoptère, capable d'engager des cibles dans l'environnement virtuel qui étaient les mêmes entités désagrégées de la simulation constructive que celles montrées dans le flux des capteurs de l'UAV.

Morelli a déclaré que le concept a subi des tests initiaux avec l'armée française, la prochaine étape étant de mettre à jour les simulateurs en fonction des résultats des tests, avant d'envisager l'intégration de simulateurs supplémentaires tels que la défense aérienne au sol. Il a ajouté que l'intention était de poursuivre les manifestations dans l'espoir d'obtenir des commandes d'ici la fin de 2025."

Modifié par Lordtemplar
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