bubzy Posté(e) il y a 12 heures Share Posté(e) il y a 12 heures Tiens aujourd'hui il y a l'inauguration de l'usine de Cergy. Même pas été invité... pffff... Il y a 15 heures, prof.566 a dit : Il leur manque encore ASML ASML n'est pas un producteur de puce, mais de machines de lithographie, celles qui servent à faire les puces. On a quelques fondeurs en Europe, mais pas de quoi remplacer les productions qui viennent de l'étranger. Mais pour les besoins institutionnels, ça suffit. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures Oui, on a pas encore TSMC c'est sur. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures 8 minutes ago, g4lly said: En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. Et ARM en UK Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures il y a 6 minutes, prof.566 a dit : Et ARM en UK Oui mais c'est beaucoup plus petit le CA doit être à 3 ou 4 milliard seulement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures 18 minutes ago, g4lly said: En Europe on a Infineon, STmicro et NXP... C'est pas si ridicule que ça. l'Europe c'est même pas 10% de la production mondiale de semi-conducteurs. Les US 15%, l'Asie 75-80% Les US vont probablement un peu améliorer leur position dans les années à venir sur la base des investissements prévus. L'Europe clairement pas. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures il y a 15 minutes, Glenans29 a dit : l'Europe c'est même pas 10% de la production mondiale de semi-conducteurs. Les US 15%, l'Asie 75-80% Les US vont probablement un peu améliorer leur position dans les années à venir sur la base des investissements prévus. L'Europe clairement pas. Tu parles de fondeurs? De concepteurs? ou de fabriquants? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Rafale : Dassault inaugure sa première usine en 50 ans pour accélérer les cadences https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/rafale-dassault-inaugure-sa-premiere-usine-en-50-ans-pour-accelerer-les-cadences-2187935#utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_email_type=retention&utm_campaign=lec_18h_gratuite&utm_email_send_date=20250923 Dassault a inauguré, ce mardi, sa nouvelle usine de Cergy dans le Val-d'Oise, qui succède aux ateliers historiques d'Argenteuil et offre aux avions du constructeur, Rafale et Falcon, de fortes capacités de montée en cadence. La toute nouvelle usine de Dassault en région parisienne, à Cergy dans le Val-d'Oise, monte en puissance depuis son ouverture à l'été 2024. Pour des raisons de calendrier, Dassault Aviation ne l'a « inauguré » que ce mardi 23 septembre, avec les élus locaux mais aussi avec les 600 employés du groupe qui y travaillent. La cérémonie s'est donc déroulée dans une usine qui tourne à plein régime, avec l'ambition d'augmenter encore ses cadences, le président de Dassault Aviation confirmant son souhait de rehausser ses objectifs de livraison, de quatre à cinq avions de chasse Rafale par mois à l'horizon 2030. « C'est la première fois depuis les années 1970 que Dassault Aviation met en service un nouvel établissement de production », a souligné le PDG Eric Trappier. L'usine de Cergy reprend les activités de l'usine historique du groupe à Argenteuil, devenue obsolète et trop compliquée à moderniser. Le changement de décor est spectaculaire. L'usine construite entre 2021 et 2024, moyennant un investissement de plus de 150 millions d'euros, reprend tous les codes de l'aéronautique dernier cri, sous des halls larges, lumineux autour de postes de travail organisés en flux avec des nacelles modernes et des outils de suivi numérique. A Cergy sont assemblées les parties avant des Rafale et des Falcon (le nez de l'avion) ainsi que les fuselages du Rafale. Ceux-ci sont complètement aménagés, avec l'installation de tous les circuits (électrique, carburant, hydraulique, air) et des principaux équipements (trains d'atterrissage). Ensuite, les fuselages et les « nez » partent à Mérignac, près de Bordeaux, pour l'assemblage final avec les ailes et les dérives du chasseur. Un point d'orgue L'usine de Cergy signe en quelque sorte le point culminant du plan de réorganisation industriel décidé il y a déjà près de dix ans, pour spécialiser et moderniser la chaîne de fabrication du groupe. Agrandissement du site et installations de machines ultra-modernes pour la fabrication des pièces primaires dans le Nord, à Seclin, construction de nouveaux bâtiments à Martignas, notamment pour la pyrotechnie, rénovation importante de l'usine d'Anglet, construction du nouveau hall d'assemblage du Falcon 10X ainsi que de laboratoires et nouveaux bureaux à Mérignac, investissements à Argonay, et nouvelles infrastructures d'essais à Istres : Dassault s'est peu à peu hissé de l'artisanat à la production en série. D'ailleurs, 5.000 personnes ont été embauchées au cours des trois dernières années. L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France. Eric Trappier, PDG de Dassault Eric Trappier convient que dans l'absolu, regrouper toutes les fonctions sur un seul site semblerait plus logique, mais « nous avons une histoire à assumer et des bassins d'emplois à respecter ». Présente à l'inauguration, la présidente de la région, Valérie Pécresse, a ainsi remercié l'entreprise d'être restée en Ile-de-France plutôt que de filer en Aquitaine ou en Occitanie, les deux grands pôles aéronautiques français. Pour la région, l'industrie aéronautique pèse 200.000 emplois, un atout précieux au moment où d'autres industries, comme l'automobile, souffrent. Hausse des cadences « A l'époque pour Cergy, nous n'avions pas anticipé la nécessité d'une telle montée en cadence pour les Rafale, mais nous avions prévu de maximiser l'adaptabilité, aussi l'usine tourne déjà pour certaines pièces à cadence 4 et nous sommes certains de pouvoir faire encore davantage », explique le directeur du site, Emmanuel Théret. L'entreprise continue à recruter après avoir embauché 80 personnes l'an dernier. Cheffe d'unité, Marie (34 ans) pilote l'aménagement des cabines de Rafale, et déclare avoir une équipe de 200 personnes sous ses ordres, contre une centaine lorsqu'elle était à Argenteuil. Avec environ 240 avions Rafale à livrer, dont une cinquantaine pour la France, Dassault, qui vise 25 livraisons de l'avion de chasse cette année, doit encore nettement accélérer son cycle de fabrication. « Certaines de nos productions sont déjà à la cadence 4, mais il faut que sur l'ensemble de la chaîne, toutes les pièces passent au bon rythme, une seule pièce manquante pouvant bloquer la livraison finale », rappelle Eric Trappier, qui admet être dans une longue course logistique. D'autant que le groupe espère bien décrocher à court, moyen terme un nouveau contrat important avec l'Inde. L'armée de l'air indienne pousse le gouvernement en réclamant 114 Rafale supplémentaires. Une telle commande ne pourrait s'articuler qu'avec une montée en puissance de Dassault en Inde. Dassault monte déjà à Nagpur une unité d'assemblage de Falcon 2000, prélude potentiel à une ligne d'assemblage de Rafale. Il a aussi conclu un accord de sous-traitance au groupe indien Tata pour des sections de fuselage du Rafale. D'autres campagnes sont en cours, par exemple au Portugal, mais rien n'est joué à cette heure. Défense de l'industrie « L'usine de Cergy est plus qu'un bâtiment, c'est un signal : celui de la confiance dans l'avenir industriel de la France », s'est enthousiasmé le PDG de Dassault. Qui en a profité pour demander aux pouvoirs publics « d'éviter les discours simplistes sur les 200 milliards d'euros d'aides que recevraient les entreprises, en oubliant que celles-ci ont été mises en place pour compenser l'excès de prélèvements obligatoires qui grève leur compétitivité ». Et de rappeler que les Falcon produits à Cergy reviendraient bien moins cher, s'ils étaient fabriqués aux Etats-Unis. Mais « sans industrie forte et souveraine, il n'y a pas de défense indépendante, pas de croissance durable, pas d'avenir pour notre jeunesse », s'est enflammé le PDG. Anne Bauer 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure Bon ben si Marcel fut proche des communistes un temps, c'est un temps définitivement révolu... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Veuillez vous connecter pour commenter
Vous pourrez laisser un commentaire après vous êtes connecté.
Connectez-vous maintenant