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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

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Pour moi, oui, car on voit l’étendard tricolore peint sur le flanc, typique du 01.

Je profite de la photo de famille pour une info anecdotique:

Les deux premiers pilotes de Mirage IV venant directement du marronnage était deux gars de ma promo (ETO 90 FOX). Avant, tous les pilotes de Mirage IV venaient des forces. Imaginez vous passer directement de l'Alphajet au Mirage IV!

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Opinion: European Fighter Deal Will Defy Consolidation

 

Airbus plan to sell its stake in Dassault could allow Rafale builder to stay small

 

http://aviationweek.com/commercial-aviation/opinion-european-fighter-deal-will-defy-consolidation

 

traduction auto

 

L' Airbus Groupe prévoit provisoirement la vente de sa participation de 46,3% dans Dassault Aviation , une initiative attendue depuis longtemps qui devrait prendre fin à trois décennies de long anomalie dans la structure franco-européenne industrie aérospatiale. Bien que les deux sociétés sont différentes des objectifs taille, actionnariat et d'affaires, ils sont en concurrence sur le marché du combattant militaire, le résultat de multiples paliers de consolidation de l'industrie sur une période de temps prolongée. 

 

Fighter producteur Dassault, un groupe familial, au fil des ans a farouchement défendu son indépendance et résisté aux tentatives du gouvernement français de prendre le contrôle et le fusionner dans Aerospatiale, qui fait maintenant partie du groupe Airbus.Dassault Rafale est en concurrence avec l' Eurofighter Typhoon , dont Airbus détient également une part importante. Et le Typhoon est construit dans les installations de production d'Airbus en France, en Allemagne, au Royaume-Uni et l'Espagne.

 

Les représentants du gouvernement et les décideurs politiques ont installé un «mur de feu» entre les programmes concurrents et obtient de bons résultats. 

 

Lorsque les équipes de marketing Dassault parlent aux clients potentiels du Rafale, comme l'Inde, strictement aucune information n'est disponible pour les dirigeants d'Airbus groupe. Toutefois, un débat semble ne jamais finir: exclusif du suédois Gripen , l'Europe peut se permettre de construire deux avions de combat en compétition? En fait, il n'est pas nécessaire de poser la question, car il est beaucoup trop tard. Les deux concurrents ont été lancés bien avant la consolidation de l'industrie aérospatiale européenne. La dualité se termine lorsque l'un des programmes est terminé.

 

En l'absence de commandes à l'exportation au cours des dernières années, le programme Rafale a été ancrée dans le pessimisme. En outre, l'armée de l'air française et la marine ont réduit progressivement un plan de commander un avion combiné 280. Et dans le sillage de budgets serrés, le taux de production a été réduit à 11 avions par an. 

 

Néanmoins, près de 20 ans après son lancement, le Rafale est d'attirer une plus grande attention à l'étranger, et le programme pourrait obtenir quelques commandes importantes à l'exportation, dont 126 en provenance d'Inde. 

 

Dans l'intervalle, l'intention d'Airbus à céder sa participation de Dassault, évalué à environ 5 milliards € (6,5 milliards) pourrait simplifier les relations entre les deux groupes industriels. 

 

Dassault cadres, qui sont également actifs dans les entreprises indépendantes comme l'immobilier et le vin, croient que l'entreprise peut survivre rentable, en dépit de sa taille relativement petite. Dassault contrôle Sabca, un Belge Tier 1 sous-traitant, et l'éditeur de logiciels Dassault Systèmes. La famille est également propriétaire du Figaro, l'un des principaux quotidien français. L'an dernier, Dassault a enregistré des revenus de 4,59 Md €, avec 11 600 employés tandis que le chiffre d'affaires du Groupe

Airbus a augmenté à € 59,2 bilion, dont 67% a été généré par le transport commercial. 

 

Airbus cherche désespérément à accroître sa diversification par l'acquisition d'entreprises plus militaires, comme la non-conclusion d'une fusion avec BAE Systems il ya deux ans profondément bouleversé ses hauts dirigeants, y compris le président / PDG Tom Enders.

 

Dassault Aviation est basée sur un modèle d'affaires unique. Une grande partie de la charge de travail de production est sous-traitée, les priorités étant le centre de bureau d'études et d'essais en vol. La société n'est plus dominé par les ventes militaires; 75% de ses revenus sont générés à partir de la série Falcon de jets d'affaires. Et à plus long terme, en plus de recevoir des commandes d'exportation du Rafale, Dassault s'attend à jouer un rôle majeur dans le marché des véhicules aériens sans pilote.

 

Malgré les ralentissements économiques périodiques, Dassault est demeurée rentable, en utilisant un modèle d'affaires inhabituel basée sur l'efficacité industrielle de haute et le rejet des mouvements de consolidation. De même, s'il a évité de devenir un groupe contrôlé par l'Etat dont elle disposait à faire des compromis, sous une législature politique de gauche, quand holding appartenant au gouvernement Sogepa a acquis une participation minoritaire. La Californie-basé Rand Corp, après avoir examiné la stratégie de la société française et de la structure, a conclu qu'ils ne pouvaient pas être reproduits aux États-Unis

 

Si le plan du groupe Airbus de vendre sa participation dans Dassault Aviation devient une réalité, les descendants de son fondateur Marcel Dassault seront prétendre à la victoire, après une bataille de dix ans pour ignorer la quête de l'industrie aérospatiale du monde des économies d'échelle. Small is beautiful et rentable, selon Dassault. 

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@SYNTAX

 

Le III R de ta photo est un III R particulier il est doté d'un Atar 9B c'est un des 2 protos je dirais le 01 ce qui me fait dire que la photo est antérieure à juin 1962 date à laquelle l'avion reçoit un 9C

 On est donc en 61/62 sur cette photo on voit au moins 4 avions qui achèvent juste leur développement ou sont en cours de développement

 

Etendard IV, Mirage III E/R et Mirage IV A dont on voit le modèle 01 un tel foisonnement comparé à aujourd'hui laisse rêveur

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C'est vrai que plus on regarde en arrière, plus on se rend compte de la richesse en terme de nombre, de modèles, de voies explorées par les avionneurs de l'époque.

En ce moment je m'intéresse à Arsenal, et bien ils avaient pas mal de concepts différents!

C'était la belle époque, un peu comme le swinging London des 60's au niveau musique.

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C'est vrai que plus on regarde en arrière, plus on se rend compte de la richesse en terme de nombre, de modèles, de voies explorées par les avionneurs de l'époque.

En ce moment je m'intéresse à Arsenal, et bien ils avaient pas mal de concepts différents!

C'était la belle époque, un peu comme le swinging London des 60's au niveau musique.

J'aime beaucoup cette analogie avec la musique, d'autant plus qu'elle est encore valable aujourd'hui.

Ceux qui cherchent à produire du sophistiqué semblent avoir moins de succès que ceux qui pratiquent le resucé.

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J'avais jamais réalisé à quel point le mirage IVP était démesuré par rapport aux autres. Je le voyais gros mais à ce point là, je suis sur le ...

Je n'ai vu le Mirage IV qu'une fois au musée de l'air du Bourget, il était dans le même hall que le Concorde, le Concorde m'a semblé d'un coup plus petit.

Modifié par gargouille
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Pour la mission FAS, pénétration nucléaire basse altitude ou recco basse altitude, comme était le rôle du Mirage IV dans sa deuxième partie de carrière, oui.

 

Pour la mission de reconnaissance stratégique haute altitude, peut être pas, par contre.

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J'ai habité Mérignac durant plus de 20 ans ... à l'époque la 92e EB alignait ses Vautour sur le parking SE de la BA 106 devenue aujourd'hui zone de fret

Dans un rayon de 3/4 km autour des pistes quand un Mirage IV du Centre d'Instruction des FAS décollait tout le monde le savait, parfois ils décollaient à deux ! En finale il était magnifique avec ses longues jambes de train, quelle finesse ! avec des potes on allait en seuil de piste 29 pour voir se poser tous ces avions Mirage IIIB et IV du CIFAS, les Vautour de la 92 (milieu des années 70 là j'étais vraiment pas vieux du tout!) puis les Jag du 4/11 bien après depuis la route a disparu

 

Le seul avion qui soutenait la comparaison au niveau des décibels avec le Mirage IV c'était le Tornado quand les Allemands des Marineflieger venaient pour tirer à Captieux

 

Des spotter squattaient le seuil de la piste 23 il y même des endroits pour se garer et mitraillaient tout ce qui atterrissait notamment tous les avions qui sortaient de l'usine Dassault en vol de réception, çà volait tous les jours car il sortait 15 avions par mois là bas. En plus avec la Sogerma pas loin on pouvait voir des avions exotiques notamment des C 130 (en 1980/85 on en avait pas encore) et plein de zincs que nous ne connaissions pas, outre les Tornado les Allemands venaient avec des F 4F et des Starfighter çà fumait dur.

 

Rock n' roll

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J'en ai vu un, une fois à Istres dans les 90 au cours d'une JPO, décollage JATO (un dans une carriere de pilote), je le vois, il lache les freins, j enclenche le camescope,  JATO on, il décolle génial majestueux, je coupe,  ah non , j enclenche.... blasé un MIV jato, c est fini tout ca

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  • 2 weeks later...

    par forcement le topic adapter ...mais on parle de nouveau  de faire un jet supersonique .

 

   airbus  s allie avec aerion qui a pour projet de faire un jet supersonique .

   le problème  m a t on dit est qu il n existe pas de  moteur adéquat  a monter sur un jet d affaire .

 

  le problème serais t il résolu ?

 

  est ce que Dassault pourrait alors lui aussi pondre un projet ?

 

http://www.journal-aviation.com/actualites/27811-airbus-group-s-allie-a-aerion-corporation

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