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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

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il y a 10 minutes, tipi a dit :

Il y avait eu tout ça (cérémonie officielle, survol etc...) au décès de Marcel ?

De même aux Invalides, avec le drapeau tricolors sur le cercueil, et le PR en plus (Chirac).

Pour les avions c'était des M2000 bien sûr (1986).

Citation

l'ancien CEMAA, le général Richard Wolsztynsky, qui avait survolé les Invalides en Mirage 2000 le jour des obsèques de Marcel Dassault : "Même lieu, même axe, même météo. Un ciel vide, sans nuage."

L'histoire se répète ...

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Le 01/06/2018 à 13:47, DEFA550 a dit :

Et hop, deuxième poncif !

Pour rappel, c'est l'Etat qui autorise ou non les ventes d'armes. Suggérer que c'est Dassault qui se voit contraint de trouver des marchés douteux est juste faux puisqu'il n'y a de marché qu'avec l'accord de l'Etat.

Conclusion : Change de sujet parce que tes à-prioris te font dire n'importe quoi.

J'avais évoqué cette question dans mon message précédent en signalant que ces ventes relevaient bien évidemment de la politique étrangère. Mais si l'Etat avait fait son boulot en assurant un marché intérieur correct à l'entreprise (et accessoirement en maintenant un outil de défense adapté ce qui est bien entendu l'objectif premier), le besoin serait moins grand de courir les ventes à l'export et donc de vendre à des clients douteux. La relation entre les politiques économiques orthodoxes et la politique export de Dassault, en effet contrôlée par l'Etat (défaillant à mon sens) est donc bien réel.

Le 01/06/2018 à 11:19, Nenel a dit :

Et combien de technologies critiques DA concentre ? L'état voit au delà et se doit donc de participer pour garder ces technologies. Pareil dans le nucléaire et d'autres domaines.  La bourde avec Alstom devrait faire réfléchir certains ici-même. 

Je suis tout à fait d'accord avec ça. Encore une fois mon propos ne vise aucunement l'entreprise.

Le 01/06/2018 à 11:36, Chaps a dit :

En même temps qui d'autre que l'Etat est autorisé à acheter ou censer financer des outils stratégiques comme des avions de combat ???  C'était Auchan ou Vuitton qui devaient financer le chiffre d'affaires de Dassault? Ou les états des Maldives ou d'Italie?

Sans l'état, Engie n'existerait plus, Renault n'existerait plus, GDF-Suez n'existerait plus, Naval Group n'existerait plus, Nexter n'existerait plus, Lactalis n'existerait plus...

 

Le grand "tort" de Dassault est d'être une entreprise familiale, ça brouille la perception publique de l'intérêt pour l’entreprise, le pays et la famille. Cela aurait été une entreprise au Conseil d’administration plus varié et variable, on n'aurait pas fait ce lien entre financement d’une entreprise stratégique et enrichissement d'une famille en particulier.

Pareillement, mes propos ne visent pas à amoindrir une entreprise, qui ne se confond sûrement pas avec un homme dont j'estime qu'il est éminemment critiquable.

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Le 01/06/2018 à 18:19, jojo (lo savoyârd) a dit :

Je te retourne (amicalement) le compliment de la démonstration ...

Et oui, fort le café était ce matin ! :tongue:

Ce que je dis, et qui a mal été compris je vois, c'est que s'il y avait eu plus de "participations" ou 'd'interventions" (d'où mon terme volontiers frondeur de "nationalisation" qui faillit tout de même être réalité) de la part de L’État dans la marche de DA dans les années 80 / 90 / 2000, eh bien DA (aviation militaire) comme nous le connaissons aujourd'hui avec ses francs succès, n'existerait pas/plus. Aujourd'hui DA ferait partie du consortium Eurofighter et serait digéré par Airbus, le Rafale n'aurait pas passé le stade de maquette de salon, la MN catapulterait ses FA/C 18, et on pourrait se diriger tout naturellement vers un autre F.. (combien dites-vous ?) C et A pour la MN comme pour l'AdA ... Ne riez pas sous cape, le risque était bien réel.

Dassault ne serait pas mort bien-sûr, mais il serait encore plus diversifié et serait peut-être (?) sur des marchés auxquels on ne s'attendrait pas, en plus des systèmes et autres activités dérivées ... Mais l'aviation de combat DA : "Couic".

Pour le reste :

Donc tu comprends pas bien ... Comment dire ? Disons que tous clients font vivre leurs fournisseurs (c'est dans l'ordre des choses), et c'est encore plus vrai (et délicat) lorsqu'il n'y a qu'un ou quelques clients comme ce peut l'être dans cette activité industrielle hyper spécialisée et gloutonne en R&D et dont le donneur d'ordre/client est l’État, qui in fine décide de tout et à tout niveau (Et c'est bien normal en ce qui concerne des domaines stratégiques et régaliens comme la défense). C'est ainsi, c'est un fait, et c'est plutôt inconfortable et risqué dans le cas de clients unique ou parsemés pour le fournisseur. Et c'est bien l'entreprise qui est preneur de risque en premier chef, et non l’État. C'est donc plutôt confortable pour le contribuable, l'industriel amorçant les développements fondamentaux sur fonds propres, l’État "sautant dans le train en marche" s'il y juge par la suite de son intérêt. Généralement l'industriel à tout intérêt de proposer ce qu'il peut faire de mieux à tous niveaux, sa survie en dépend tout naturellement. Ensuite sur la période de conception, développement, essais, mise en place de l'outil industriel, commercialisation, industrialisation ... l'industriel est tributaire des changements de gouvernements et de ses choix prioritaires, des fluctuations de la géopolitique et des finances de l’État ... Alors que l'industriel investi dans un projet pour 40 ans ou plus, et que les commandes étatiques se font au cordeau, sans réelles garanties sur le volume pas plus que sur le calendrier.

Donc qui a le plus intérêt à cette situation ? Pas sûr que ce soit celui que beaucoup croient ...

 

 

"L’état voit au delà" ...

Si seulement Nenel, si seulement ... Dans le cas présent, l’État seul, sans une certaine clairvoyance et un forcing de bon sens de Dassault durant de longues décennies, on aurait possiblement couru au "désastre" ... Les gouvernements ont passé, Dassault "indépendant" a su rester dans la continuité et l'évolution, préservant et capitalisant ses capacités sans rupture de savoir faire.

Donc je dirais plutôt dans ce cas précis et bien particulier (et qui n'est pas valable pour d'autres cas) :

"Dassault a su voir au delà" ...

Ne pas oublier qu'il y a 15 à 30 ans, quand tout se jouait pour ce qui est de la situation d'aujourd'hui, beaucoup de nos concitoyens et de nos très chers députés et autres élus rechignaient à mettre 1 Frs, et plus tard 1 euros, dans le projet ACX / Rafale que beaucoup décriaient comme un avion inutile, trop cher, trop compliqué, mal né, invendable, non indispensable ... Même les forces armées concernées non pas forcément adhéré dans les débuts, que ce soit de par sa définition, ses caractéristiques propres, où le calendrier initial.

Quand-à la préservation du savoir-faire et de la technologie de pointe : encore une fois merci à l'abnégation, à la persévérance, au travail et à l'entêtement du père Dassault, du fils, et du saint esprit d'équipe(s) Dassault, Amen ... :laugh:

Quelque part, nous sommes tous un peu "redevable" (Ok je charge la mule !) ... Donc que l’État, indirectement, ai pu contribuer à la réussite de cette entreprise "cocorico" et que cette entreprise et leurs propriétaires entrepreneurs y aient trouvé profit comme la nation y a trouvé profit à son niveau, et bien ma foi tant mieux ! Moi perso, çà me va ... Au moins c'est pas de l'argent public foutu en l'air ... Ou plutôt si, c'est carrément de l'argent propulsé à Mach+ là haut dans notre beau ciel bleu azur !! :happy:

Et de tout çà, ce sont les premiers intéressés à l'acquiescer aujourd'hui : nos forces armées et l'État lui-même.

Après pour l'avenir, ce peut-être différent ... Ce sera certainement différent d'une façon ou d'une autre.

 

Je ne vois ce qui peut faire dire que si Dassault avait été nationalisé, il ferait aujourd'hui partie d'Airbus. Si Dassault avait été nationalisé, cela aurait éventuellement traduit une autre approche politique que l'orthodoxie qui a fragilisé l'entreprise. Ce qui m'intéresse, c'est toujours le cadre et sa définition, car il n'est en aucun cas immuable. Je ne vois pas aujourd'hui l'intérêt de nationaliser Dassault tant qu'elle est contrôlée par des intérêts français. Mais c'est bien aujourd'hui qu'il y a danger que ce ne soit plus le cas dans un avenir plus ou moins proche et alors je préfèrerais largement que la société soit nationalisée plutôt qu'elle passe sous contrôle d'Airbus qui est une multinationale dont la France est une force d'influence parmi d'autres.

Donc je le redis une dernière fois, rien dans mon propos ne visait à diminuer la qualité de l'entreprise. Je n'ai commenté que l'actualité en soulignant que Serge Dassault était pour moi quelqu'un d'au minimum sujet à caution.

Par ailleurs, que l'Etat contrôle plus ou moins directement des secteurs stratégiques c'est heureux, mais ce n'est plus aussi naturel que cela aujourd'hui. Et s'il n'y avait pas eu par le passé de volonté de conserver au moins une entreprise aéronautique d'excellence en la soutenant par ses commandes (parce que les avions étaient bons naturellement), Dassault n'existerait probablement plus compte-tenu de la concurrence (et des appuis qu'elle possède aussi auprès des Etats). Dassault aurait-il vendu ses avions ailleurs sans commandes françaises ?  On peut quand même en douter. Dassault a t'elle été bénéfique pour le pays et sa souveraineté. Bien entendu. Mais en l'occurrence, je ne mettais pas en doute l'utilité de la société mais ses conditions de survie.

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Le 01/06/2018 à 19:35, Picdelamirand-oil a dit :

Si Dassault arrêtait les productions militaires, qui ne représentent que 30% de son chiffre d'affaire, ses bénéfices augmenteraient, car il pourrait affecter des ressources rares au secteur civil pour le développer, et que ce secteur civil est plus rentable que le secteur militaire.

La répartition entre civil et militaire n'a pas toujours été la même. Et Dassault vendant uniquement des Falcon civils intéresserait beaucoup moins l'Etat, sans lequel son image ne serait très probablement pas la même à l'export. N'exister que sur le créneau de l'aviation d'affaire, c'est être livrée entièrement à la concurrence, aux fluctuations du contexte économique (c'est moyen pour les falcons en ce moment). Dassault a-t'elle la taille critique ? On peut le tourner dans tous les sens, mais dans ce secteur, difficile d'exister sans la puissance publique. Bien entendu, comme je l'ai dit, l'Etat néolibéral peut fragiliser l'entreprise, c'est ce qui s'est passé. Je ne suis absolument pas convaincu malgré l'actualité récente, que le projet franco-allemand pérennisera l'entreprise. Mais là on parle de choix politique actuels, pas de l'historique des relations entre l'Etat français et Dassault depuis la fin de la deuxième guerre (tiens d'ailleurs, l'entreprise originelle de Marcel Dassault avait été nationalisé en 36).

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il y a 34 minutes, Nicks a dit :

Dassault aurait-il vendu ses avions ailleurs sans commandes françaises ? 

Évidemment (branche DA aviation militaire), tout comme Boeing et LM aux US, comme SAAB en Suède, comme Airbus vis à vis des pays impliqués dans le consortium Eurofighter etc ... Que l'armée de l'air nationale du pays constructeur s'équipe au moins en partie de ses avions de combat est une quasi obligation pour l'export de ceux-ci. 

il y a 41 minutes, Nicks a dit :

... a t'elle été bénéfique pour le pays et sa souveraineté. Bien entendu. Mais en l'occurrence, je ne mettais pas en doute l'utilité de la société mais ses conditions de survie.

 Daccord avec çà ! (pour l'avenir) :happy:

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il y a une heure, Nicks a dit :

Je ne vois ce qui peut faire dire que si Dassault avait été nationalisé, il ferait aujourd'hui partie d'Airbus.

C'est une hypothèse bien sûr ... De fait on ne le saura jamais.

L'idée étant de savoir si l'État aurait eu ou se serait donné les moyens de ses ambitions (dans les années 90, contexte fin de guerre froide etc, on peut se poser logiquement la question) ... A une époque où il est plutôt axé sur la vente des bijoux de famille, la vente de bonnes participations DA à Airbus aurait pu être une tentation pour Bercy, au moment où il fait le fond des tiroirs pour boucler les budgets, et que les pressions de politique intérieur sont de plus en plus fortes. Tout aurait dépendu des choix fait en fonction du classement des priorités des gvt successifs sur le plan purement politique ...

Modifié par jojo (lo savoyârd)
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Tiens c'est la que j'allais faire les sauvegardes des nos serveurs HP9000,  notre boite louait des salles supplémentaire pour notre site primaire, c'était  le désert à l'époque (98) .

Vingt pompiers chez Dassault pour un incendie sans gravité

Parce que l’usine est un site sensible, ce qui se présentait comme un feu de toiture a déclenché un déploiement important de pompiers. Le feu créé par une soudure dans un bâtiment en rénovation n’a pas eu d’impact sur l’activité.

http://www.lavoixdunord.fr/434938/article/2018-08-20/vingt-pompiers-chez-dassault-pour-un-incendie-sans-gravite

 

On y produit des pièces de Rafale et de Falcon. Implantée rue Marcel-Dassault, l’usine du même nom a été classée « usine d’excellence métallurgique » en mars 2017 par le groupe. On y comptait alors 270 salariés ; sans doute davantage aujourd’hui, puisqu’il était alors question d’embaucher.

Ce lundi, peu après 14 heures, la vie de l’usine a été marquée par une importante intervention des pompiers de Seclin, Lesquin, Santes et Villeneuve-d’Ascq. Ils avaient été appelés pour un feu de toiture : des travaux de soudure venaient d’avoir lieu dans un bâtiment en cours de rénovation, sur une conduite destinée aux eaux de pluie. Ce sont ces travaux qui ont provoqué un départ de feu. L’incident n’a pas eu de conséquence sur l’activité de l’usine.

 

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Modifié par zx
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il y a 14 minutes, zx a dit :

Vingt pompiers chez Dassault pour un incendie sans gravité

C’est peanuts, deux fourgons, une échelle, une ambulance un chef de groupe et on a la vingtaine tranquille. 

Pour feu dans un établissement industriel, Dassault ou pas, c’est le départ normal à peu près partout en France. 

Modifié par Teenytoon
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il y a 13 minutes, mgtstrategy a dit :

Je vois pas l'interet de mettre ça sur le doc. Ça rime à rien et ca fait preuve d'arrogance 

Non, ce n'est pas arrogant, et ça rime à quelque chose :

Le battage actuel pousse le MoD, l'IAF et DA à la défensive. Chacun se défend avec ses arguments, et certains de ces arguments se confortent les uns les autres, montrant une défense concertée.

Dans ce contexte, afficher cette fierté, c'est se ranger aux côtés du MoD et de l'IAF pour souligner le soutien total de l'industriel à leur position.

Ca va peut être de soit pour beaucoup, mais ne pas le faire serait pris comme une faille dans le bloc, un germe de division.

C'est donc plutôt bien joué, et c'est flatteur pour les indiens concernés par ce soutien et cette fierté.

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il y a 19 minutes, mgtstrategy a dit :

Je vois pas l'interet de mettre ça sur le doc. Ça rime à rien et ca fait preuve d'arrogance 

Être très fier d'avoir été sélectionné est une manière feutrée d'affirmer que la société a emporté un marché sur la base d'une offre/produit de qualité - et plus compétitive que la concurrence d'où la fierté affichée - et non pas sur la base d'une proposition viciée. C'est aussi une manière d'apporter du crédit à la procédure mise en place par les autorités indiennes. Cela dit, c'est de la communication. On accorde à cette phrase le crédit que l'on veut bien lui accorder.

PS : Oui, sur la même ligne que FATac.

Modifié par Skw
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il y a 17 minutes, mgtstrategy a dit :

Je vois pas l'interet de mettre ça sur le doc. Ça rime à rien et ca fait preuve d'arrogance 

La phrase peut se traduire en "Dassault est fier d'avoir été sélectionné pour fournir du matériel de pointe à cette grande nation qu'est l'Inde"

Je ne vois pas où est l'arrogance...

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2 minutes ago, emixam said:

La phrase peut se traduire en "Dassault est fier d'avoir été sélectionné pour fournir du matériel de pointe à cette grande nation qu'est l'Inde"

Je ne vois pas où est l'arrogance...

Dans un contexte où tu apportes des arguments pour défendre un choix, des fournisseurs, ce point 4 sort du contexte, n apport rien, et en rajoute sur le côté ko on est les meilleurs et c'est pquoi on a été choisit' 

Bref Ca arrive comme un cheveu sur la soupe et c'est pas constructif. ´´fier d avoir été choisit donc laissez nous tranquille désormais'´

7 minutes ago, Skw said:

Être très fier d'avoir été sélectionné est une manière feutrée d'affirmer que la société a emporté un marché sur la base d'une offre/produit de qualité - et plus compétitive que la concurrence d'où la fierté affichée - et non pas sur la base d'une proposition viciée. C'est aussi une manière d'apporter du crédit à la procédure mise en place par les autorités indiennes.

PS : Oui, sur la même ligne que FATac.

Oui pour le côté autorité indienne mais pour le reste Ca faire genre ´´mon proodiit est le plus beau, nous on triche pas, Dassault c'est les meilleurs'

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il y a 5 minutes, mgtstrategy a dit :

Ca faire genre ´´mon proodiit est le plus beau, nous on triche pas, Dassault c'est les meilleurs'

A un moment, il faut choisir : on ne peut pas, d'un côté, le dire et se faire reprocher de l'avoir dit, et de l'autre, se taire et se faire reprocher son silence.

Autant choisir de le dire plutôt que de se faire reprocher son manque de soutien quand ça commence à tanguer.

 

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