herciv Posté(e) le 20 juin Share Posté(e) le 20 juin Le pres vient d'annoncer une palanqué de programmes spatiaux miliatires dont VORTEX confié à Dassault. Ca m'a l'air très cohérent et ambitieux M. Macron a annoncé le lancement du projet d’avion spatial VORTEX pour la défense https://www.opex360.com/2025/06/20/m-macron-a-annonce-le-lancement-du-projet-davion-spatial-vortex-pour-la-defense/ par Laurent Lagneau · 20 juin 2025 FacebookXLinkedInGoogle TranslateEmailCopy Link Partager L’actualisation de la Revue nationale stratégique, dont le contenu devrait être dévoilé en juillet, fera la part belle aux enjeux liés à l’espace. C’est en effet ce qu’a laissé entendre le président Macron, ce 20 juin, et ce que suggèrent les projets que le ministère des Armées vient de lancer, à l’occasion du salon international de l’aéronautique et de l’espace du Bourget. En effet, la Direction générale de l’armement [DGA] a notifié à la société Eutelsat un accord-cadre en vue du lancement du programme NEXUS [Neo-Espace pour de multiples Usages Sécurisés], lequel vise à compléter, par des moyens placés sur une orbite basse, les capacités offertes par les satellites militaires de télécommunications géostationnaires Syracuse 4A et 4B. Un second contrat a été notifié à l’entreprise Greenerwaves afin de doter les forces françaises d’antennes satellitaires « particulièrement performantes et accessibles ». Il s’agit de la concrétisation d’un projet lancé par l’Agence de l’innovation de défense [AID] en 2019. À l’époque, l’objectif était de mettre au point de nouveaux terminaux SATCOM compacts en s’appuyant sur les propriétés des « métasurfaces reconfigurables », qui permettent de contrôler les ondes électromagnétiques grâce à des algorithmes. En matière de surveillance spatiale, la DGA a attribué, pour le compte du Commandement de l’Espace [CdE], le marché RIVESALT [Reconnaissance et Identification pour la Vigilance de l’Environnement Spatial à toutes les ALTitudes] à la société Aldoria. Aucun détail supplémentaire n’a été donné sur ce programme. Autre projet annoncé : l’optimisation du développement de nanosatellites, au travers d’une note d’orientation industrielle contenant « plusieurs mesures concrètes » élaborées par la DGA. Enfin, défendu depuis longtemps par Éric Trappier, le PDG de Dassault Aviation et souhaité par l’armée de l’Air & de l’Espace, le projet d’avion spatial VORTEX a officiellement été lancé. C’est en effet ce qu’a annoncé [et justifié] M. Macron, à l’occasion de sa visite au salon du Bourget. « Notre Europe doit décider de redevenir une puissance spatiale, la France en étant au cœur. Et d’abord [sur le plan] militaire. Ce qui implique de nous doter, en Européens, de capacités de surveillance de l’espace, de commandement des opérations, de réactivité, de découragement de l’ennemi, avec une plus grande résilience de nos capacités souveraines. Et là-dessus, on en parlait encore hier avec le ministre [Sébastien Lecornu], le Délégué général pour l’armement et le chef d’état-major des armées, on doit aller encore plus vite et plus fort », a d’abord affirmé le locataire de l’Élysée. Après avoir évoqué la « revisite » de la Loi de programmation militaire [dont il donnera le détail le 13 juillet] et rappelé qu’il considérait la Russie comme une « menace existentielle » pour les Européens, M. Macron a soutenu la nécessité de « monter l’investissement dans le spatial » de défense. « Là aussi, nous attendons de l’innovation et c’est tout le sens du projet d’avion spatial porté par Dassault [Aviation], baptisé VORTEX [Véhicule Orbital Réutilisable de Transport et d’EXploration]. Il porte des possibilités d’avant-garde pour notre défense. Ce qui a été signé pendant ce salon est fondamental et c’est, pour moi, une avancée importante », a déclaré le chef de l’État, sans plus de précisions. Le projet VORTEX avait été succinctement évoqué par M. Trappier, dans les pages du quotidien Le Figaro, le 17 juin. « Il s’agit à terme d’un ‘avion spatial’, un véhicule habité, capable de manœuvrer dans l’espace et de revenir sur Terre, une sorte de navette spatiale. […] Nous y allons par étapes, avec un démonstrateur que nous testerons en suborbital, puis en orbital, puis avec un équipage. Nous aurons besoin d’un petit lanceur très flexible pour le lancer », avait-il expliqué, après avoir évoqué des travaux menés avec la DGA et le Centre national d’ études spatiales [CNES]. Pour le moment, le ministère des Armées n’a pas encore donné de détails [calendrier, coûts, attentes] sur ce projet… qui, s’il se concrétise, dotera la France d’une capacité identique à celles mises en œuvre par les États-Unis [avec le drone spatial X-37B] et la Chine [avec le CSSHQ]. Pour l’armée de l’Air & de l’Espace, un tel engin permettrait de placer des charges utiles en orbite à moindre coûts, de récupérer des objets, voire manœuvrer autour de satellites potentiellement hostiles. Pour ce projet, Dassault Aviation entend suivre un « processus d’innovation incrémental visant à initier, adapter et accélérer le développement des capacités des avions spatiaux ». Quatre étapes sont prévues : VORTEX D [démonstrateur à l’échelle 1/3], VORTEX S [« Smart Free Flyer » à l’échelle 2/3], VORTEX C [cargo] et VORTEX M [vol habité]. La phase VORTEX D visera à lever les risques « liés à la configuration de l’avion spatial dans les phases critiques d’une rentrée hypersonique », valider les principes de contrôle de vol et à tester plusieurs systèmes et nouvelles technologies clés. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 22 juin Share Posté(e) le 22 juin Y tout ce qu'il faut au fond du Forum pour ce type d'article ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 8 juillet Share Posté(e) le 8 juillet (modifié) 30 ans déjà... https://air-cosmos.com/article/il-y-a-30-ans-helios-1-premier-satellite-de-reconnaissance-francais-70357 "...Le 7 juillet 1995, un lanceur Ariane 4 place avec succès Hélios 1A sur une orbite héliosynchrone à une altitude de 678 km. La France devient la cinquième nation à disposer d’un satellite espion, dit de reconnaissance, après les Etats-Unis (Discoverer 14/ KH 1, 1960), l’Union soviétique (Zenit, 1961), la Chine (FSW, 1975) et Israël (Ofek 3, 1995). Hélios 1B suit le 3 décembre 1999, puis deux Hélios 2 en 2004 et 2009 avec une capacité optique (proche du mètre) et infrarouge. Avec les Hélios 2, la Belgique et l’Allemagne rejoignent la France, l’Espagne et l’Italie. Hélios 1A et 1B fonctionnent respectivement jusqu’en février 2012 et octobre 2004 (en raison d’une défaillance précoce d’un accumulateur)..." "...Conçu avec une participation minoritaire de l’Italie (14%) et de l’Espagne (7%), Hélios est construit pour le compte de la DGA (Direction Générale de l’Armement) sous la maîtrise d’œuvre de Matra Espace (devenu par la suite EADS Astrium, puis Space Systems du groupe Airbus Defence & Space). D’une masse totale de 2,5 tonnes, Hélios 1A reprend la plate-forme de Spot avec certains composants (capteurs, systèmes d’enregistrement, etc.), d’autres sont améliorés ou nouveaux (miroir, système de commande d’attitude et d’orbite, etc.)..." Modifié le 8 juillet par Ronfly 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août Alors que l'espace se remilitarise, nous accélérons la montée en puissance de nos capacités pour y défendre nos intérêts. C'est l'objectif du programme Action et résilience spatiale (ARES) qui repose sur trois piliers : surveillance, conduite des opérations, action. Notification faite par la DGA à la start-up française du New Space InfiniteOrbits de l'accord-cadre PALADIN, pour un montant total de 50 millions d'euros. Il prévoit la mise en orbite en 2027 d'un satellite de la gamme Orbit Guard, bénéficiant de développements réalisés en commun avec le CNES Il permettra au Commandement de l'espace de l'Armée de l'air de renforcer ses capacités de surveillance de l'orbite géostationnaire et de préparation opérationnelle. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 12 août Share Posté(e) le 12 août (modifié) Il y a 20 heures, Titus K a dit : InfiniteOrbits Report du post complémentaire en Guerre non-conventionnelle / Militarisation de l'espace / Spatial militaire France et Europe (actualités) Modifié le 12 août par Bechar06 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chimera Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures Citation « On peut rapidement rattraper le retard » : avec son nouveau QG, le Commandement de l’espace change de division dans le combat en orbite Vincent Lamigeon 12 novembre 2025 à 18h46 LECTURE 7 MIN Le Commandement de l’espace (CDE) prend possession d’un nouveau siège ultramoderne à Toulouse, inauguré ce 12 novembre et qui accueillera 500 militaires à terme. Un atout essentiel pour répondre aux menaces croissantes en orbite. Rencontre avec le patron du CDE, le général Vincent Chusseau. Les guerriers de l’espace prennent leurs quartiers. Le nouveau siège toulousain du Commandement de l’espace (CDE) a été inauguré ce mercredi 12 novembre en présence d’Emmanuel Macron, qui en a profité pour dévoiler les grands axes de la nouvelle stratégie spatiale française. Ce bâtiment ultra-sécurisé, véritable « outil de combat » selon le CDE, doit muscler les capacités de détection et de riposte de l’armée française dans l’espace. « Cette inauguration est une étape décisive de notre montée en puissance, six ans après la création du Commandement de l’espace , assure à Challenges le général Vincent Chusseau, patron du CDE depuis août dernier. Ce nouveau siège nous offre une première capacité opérationnelle, avec notamment un C2, un centre de commandement et de contrôle, qui nous permettra de conduire des opérations dans l’espace. » Ce bâtiment d’une superficie de 11 000 m2 , dans lequel le ministère des Armées a investi 80 millions d’euros, accueillera 500 militaires à l’horizon 2030, contre 370 aujourd’hui. Il va compléter un écosystème spatial toulousain déjà puissant : le siège du CDE jouxte à la fois le centre d’excellence de l’Otan sur le spatial, qui hébergera à terme 50 officiers français et étrangers, et les locaux toulousains du Cnes , l’agence spatiale française. Deux grosses usines de satellites d’Airbus DS et Thales Alenia Space sont aussi à proximité, de même que des dizaines de start-up, PME et ETI du spatial (Hemeria, Infinite Orbits, U-Space, Look Up Space , Loft Orbital, Univity, Alpha impulsion, mais aussi l’espagnol Pangea Aerospace et le japonais Astroscale). Eviter les risques de collision en orbite avec les satellites militaires français Le nouveau siège du CDE va permettre de piloter la flotte de satellites militaires français, comme la constellation Ceres (écoute électromagnétique), les satellites optiques CSO et les satellites de télécommunications militaires Syracuse IV, mais aussi de pouvoir dialoguer de façon sécurisée avec les autres centres de commandement des trois armées (Terre, Air, Marine). Ce nouvel outil ne sera pas de trop pour répondre aux menaces en orbite, qui se multiplient depuis quelques années. Premier danger : la congestion des orbites dites basses (moins de 2.000 km). « On est passé de 2 000 satellites en orbite en 2019 à environ 13 000 aujourd’hui, dont 60 % provenant de Starlink , souligne le général Chusseau. En 2034, on devrait être autour de 40 000 satellites opérationnels, avec des constellations qui se développent non seulement côté américain, côté européen, mais également en Chine qui investit dans au moins deux projets majeurs de plusieurs milliers de satellites. » Cette densité de satellites en orbite basse impose de surveiller de près les risques de collision avec les satellites militaires français. « Même un objet qui n’a pas de charge militaire, qui évolue à plusieurs kilomètres par seconde, devient de facto, par sa seule énergie cinétique, une arme, souligne l’aviateur. Avec l’augmentation du nombre de satellites en orbite basse, il nous faudra, à l’évidence, effectuer de plus en plus de manœuvres d’évitement pour assurer la sécurité de nos moyens spatiaux. » Un comportement russe « agressif, menaçant, parfois même hostile » Pour suivre la situation, le CDE peut aujourd’hui s’appuyer sur le radar Graves de l’Onera , qui permet de suivre une bonne partie des 33 000 objets de taille importante qui gravitent en orbite. Le successeur de cet outil est déjà en vue. La DGA a commandé à Thales le 24 octobre un radar de nouvelle génération basé sur la technologie dite UHF (ultra haute fréquence), Aurore , qui sera opérationnel à la fin de la décennie. « Aurore permettra de surveiller de manière plus précise les objets en orbite basse, et également de mieux suivre leurs trajectoires » , détaille l’ancien pilote de chasse. L’autre grande menace actuelle réside dans les comportements en orbite de plus en plus désinhibés de la part de la Russie. « Depuis le début de la guerre en Ukraine, le comportement de la Russie est devenu de plus en plus agressif, menaçant, parfois même hostile, sur l’ensemble du spectre : rapprochements inamicaux de satellites comme Luch-Olymp, brouillage du signal GPS, attaques cyber… » , détaille le général Chusseau. Lire aussi Armes spatiales, satellites espions : comment la Russie harcèle l’Occident en orbite Dans ce contexte tendu, la France doit accélérer sur ses capacités d’action en orbite, souligne le patron du CDE : capacité de s’interposer face à un satellite espion, de l’aveugler au laser, brouillage… « Nous avons 10 à 15 ans de retard sur l’action dans l’espace , reconnaît le général Chusseau. Mais quand on regarde la vitesse à laquelle les Chinois ont progressé en moins de 5 ans, on voit bien qu’on peut rapidement rattraper ce retard, grâce au New Space, à la réduction de la taille des satellites, à la capacité à embarquer de l’intelligence artificielle. » Satellites patrouilleurs et avion spatial en prévision Les prochaines années s’annoncent décisives pour cette montée en puissance. Le programme Toutatis prévoit l’envoi en orbite basse, début 2027, de deux démonstrateurs de satellites, l’un dédié à la surveillance (Lisa-1), l’autre à l’action dans l’espace (Splinter). Ces derniers permettront d’effectuer des tests opérationnels : le premier simulera des menaces, le second testera des réponses, dans une sorte de « wargame » spatial. Ils seront suivis, respectivement en 2027 par le satellite Orbit Guard, destiné à inspecter l’orbite géostationnaire (36 000 km), et développé par la start-up Infinite Orbits . Cet engin sera suivi par deux satellites « patrouilleurs » Yoda en 2028, eux aussi lancés sur l’orbite géostationnaire. Ces derniers engins étaient attendus de longue date ; leur lancement était initialement prévu en 2023. A plus long terme, le ministère des Armées envisage de déployer un véritable avion spatial, sur la base du projet Vortex présenté par Dassault Aviation au salon du Bourget en juin dernier. « Les cas d’usage de cet avion sont assez nombreux, puisque c’est une capacité qui offre beaucoup de polyvalence , souligne le général Chusseau. C’est un outil qui peut ramener des objets sur Terre, qui peut également transporter des matériels en orbite en les protégeant, voire enlever des débris dans l’espace sur différents types d’orbites. Nous allons étudier ces prochaines années le concept d’emploi de ce type de capacités. » La France risque-t-elle un déclassement face à Berlin ? Reste une question essentielle : la France a-t-elle les moyens financiers de ses ambitions spatiales ? La loi de programmation militaire 2024-2030 (LPM) prévoit 6 milliards d’euros pour le spatial sur les sept ans de la programmation. L’enveloppe apparaît très modeste face à l’investissement de 35 milliards d’euros d’ici à 2030 dans le spatial militaire annoncé en octobre par l’Allemagne , ce qui représente… 7 milliards par an. « La LPM confie un haut niveau de ressources pour le spatial, l’effort est quand même notable , répond le général Chusseau. Toutes nos capacités patrimoniales font l’objet d’une dynamique pour être renouvelées à l’horizon de la fin de la décennie : satellites d’observation, d’écoute électromagnétique, de communication. Les budgets apportés par la LPM permettent aussi de compléter ces capacités détenues en propre par des services commerciaux. Les surmarches budgétaires [augmentations du budget des armées au-delà de ce que prévoyait la LPM, ndlr ] viendront encore renforcer ces capacités, en améliorant la réactivité et la résilience. » L’objectif est clair : disposer de la palette la plus large possible de capacités en orbite, seul moyen de dissuader la Russie. « Pour être dissuasif, il faut être capable de montrer qu’on a un panel de capacités large et crédible , résume le haut gradé. Dans cette optique, il faut faire des exercices pour montrer qu’on a des compétences et qu’on est capable d’aller assez loin dans ce que l’on pourrait faire. » Un nouvel exercice spatial SpartX Ce sera tout l’objet du nouvel exercice spatial SpartX (Space Readiness and Training Exercise), organisé en février 2026, qui prendra la suite des traditionnels exercices spatiaux AsterX organisés depuis 5 ans. « Cet exercice est une référence à la bataille des Thermopyles [480 avant Jésus-Christ] un fait d’armes célèbres dans l’histoire antique, où une coalition de cités grecques a fait preuve d’un courage hors-norme face à un adversaire [l’empire Perse achéménide], bien supérieur en nombre » , explique le général Vincent Chusseau. Le courage des Spartiates, jusqu’au sacrifice, avait permis aux Grecs d’organiser leur défense. « SpartX pour nous, c’est une nouvelle étape qui illustre une nouvelle phase de montée en puissance du commandement, qui aboutira à la pleine capacité opérationnelle avant la fin de la décennie » , souligne le patron du CDE. En espérant que le combat, contrairement à la bataille des Thermopyles perdues par les Grecs, ne se solde pas par un échec, fût-il magnifique. https://www.challenges.fr/entreprise/defense/on-peut-rapidement-rattraper-le-retard-avec-son-nouveau-qg-le-commandement-de-lespace-change-de-division-dans-le-combat-en-orbite_630495 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures L'ESPACE MILITAIRE c'est plus bas dans le Forum ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures (modifié) https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/une-enveloppe-supplementaire-de-4-2-milliards-d-euros-et-des-fusees-reutilisables-emmanuel-macron-veut-muscler-les-capacites-spatiales-militaires-de-la-france_AD-202511120765.html "...Rester dans la course et développer de nouvelles capacités. La mission est claire. Emmanuel Macron a déclaré vouloir consacrer 4,2 milliards d'euros supplémentaires au spatial militaire sur la période 2026-2030 par rapport à ce qui était prévu dans la Loi de programmation militaire 2024-2030, qui prévoyait 6 milliards d'euros de besoins programmés sur l'ensemble de la période..." Modifié il y a 14 heures par Ronfly 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures il y a 14 minutes, Ronfly a dit : https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/une-enveloppe-supplementaire-de-4-2-milliards-d-euros-et-des-fusees-reutilisables-emmanuel-macron-veut-muscler-les-capacites-spatiales-militaires-de-la-france_AD-202511120765.html La comparaison fait mal ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures il y a 1 minute, Titus K a dit : La comparaison fait mal ... Et oui, quand tu as maitrisé tes finances publiques pendant 20 ans et qu'il faut passer la seconde, les milliards tombent du ciel. Et l'Allemagne s'éveilla... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures Il y a 3 heures, Titus K a dit : La comparaison fait mal ... ...Et l'efficacité de la dépense va probablement faire encore plus mal, mais dans l'autre sens cette fois. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures Il y a 7 heures, Patrick a dit : ...Et l'efficacité de la dépense va probablement faire encore plus mal, mais dans l'autre sens cette fois. L'espoir fait vivre. Tu vivras longtemps Mais croire qu'on fera plus avec 4 milliards qu'eux avec 30 franchement... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 1 heure Share Posté(e) il y a 1 heure (modifié) Il y a 9 heures, Patrick a dit : ...Et l'efficacité de la dépense va probablement faire encore plus mal, mais dans l'autre sens cette fois. Pas besoin d’être un génie pour envoyer des constellations en LEO par exemple, quitte à utiliser de la F9. C’est juste une question de financement ce genre de programmes Modifié il y a 1 heure par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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