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Non, franchement, vous y aviez cru?

Blackwater, de nouveau en service à Bagdad

vendredi 21.09.2007, 10:57

L’entreprise privée de sécurité Blackwater, dont le gouvernement irakien a interdit les activités, a repris des missions de protection des diplomates américains à Bagdad, a indiqué vendredi à l’AFP l’ambassade des Etats-Unis.

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Nan, la sélection est paraît-il correcte, d'où un salaire de base de 550 dollars par jour, histoire de trouver des candidats...

C'est pas énormes 550$ jour ... sachant les frais que ça engendre ce genre de taf. A ce prix la je doute que tu trouve des gens très compétent.

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Il se font dans les 4000/5000$ par mois sans les primes d'après ce que j'avais saisi lors d'une interview d'un soldat de fortune, ils ont pas mal d'avantages pour le matériel, les soins, comparé à ce que touche un soldat dans une armée régulière, y a pas photo, un ancien du SAS disait que maintenant il touchait environ quatre fois son ancien salaire! Le truc c'est que le pentagone les emploie aussi comme des soldats jetables. Il y a pas mal de casse de leur côté.

N'importe quel ancien soldat de métier peut faire mercenaire, c'est d'ailleurs leur principale source de recrutement. les soldats du rang ou des Forces spéciales, les Marines... Et la nationalité importe peu

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Il se font dans les 4000/5000$ par mois sans les primes d'après ce que j'avais saisi lors d'une interview d'un soldat de fortune, ils ont pas mal d'avantages pour le matériel, les soins, comparé à ce que touche un soldat dans une armée régulière, y a pas photo, un ancien du SAS disait que maintenant il touchait environ quatre fois son ancien salaire! Le truc c'est que le pentagone les emploie aussi comme des soldats jetables. Il y a pas mal de casse de leur côté.

N'importe quel ancien soldat de métier peut faire mercenaire, c'est d'ailleurs leur principale source de recrutement. les soldats du rang ou des Forces spéciales, les Marines... Et la nationalité importe peu

Pour être "personal security specialist" chez blackwater, il faut au minimum 8 ans de service dans une unité d'élite américaine et être né américain, entre autres.

offre d'emploi :

http://www.blackwaterusa.com/employment/contract_position_securityspecialist.asp

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Pour être "personal security specialist" chez blackwater, il faut au minimum 8 ans de service dans une unité d'élite américaine et être né américain, entre autres.

offre d'emploi :

http://www.blackwaterusa.com/employment/contract_position_securityspecialist.asp

Blackwater bosse essentiellement pour l'état américains ils doivent avoir des exigence un peuplus élevé que les autres, mais je doute que ce soit le cas de toutes les "boites de sécurité". Sinon 550$ a day c'est pas beaucoup plus que les soldat US a la-bas ?! ou bien les soldat US sont vraiment payé au lance pierre en opération ?

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selon les compagnies y'a en qui recrutent des anciens militaires (légion, para, FS, marines) ou des paramilitaires (serbes, géorgiens, russes...) voir des flics (colombiens, péruviens)

après selon la nationaliét et la boite ca peut aller de 10 à 20 000 $ par mois (soit entre 5 et 10x plus qu'un sous off US) et 1000 $ (pour les latinos) par mois (avec l'argument que le salaire moyen au Pérou est de 100 à 200 $)

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selon les compagnies y'a en qui recrutent des anciens militaires (légion, para, FS, marines) ou des paramilitaires (serbes, géorgiens, russes...) voir des flics (colombiens, péruviens)

après selon la nationaliét et la boite ca peut aller de 10 à 20 000 $ par mois (soit entre 5 et 10x plus qu'un sous off US) et 1000 $ (pour les latinos) par mois (avec l'argument que le salaire moyen au Pérou est de 100 à 200 $)

Un soldat du rang US en opération en Irak ca va chercher plutot dans les 4000$ nan ?!

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moi pour un soldat du rang US c'etait plutot de l'ordre de 1500 à 2000 $, un sous off entre 2000 et 2500 voir 3000 mais pas beaucoup plus (les 4000-5000 c'est pour les officiers d'unité, après pour les pontes d'etat major c'est autre chose)

mais bon si quelqu'un avait des données officielles ....

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moi pour un soldat du rang US c'etait plutot de l'ordre de 1500 à 2000 $, un sous off entre 2000 et 2500 voir 3000 mais pas beaucoup plus (les 4000-5000 c'est pour les officiers d'unité, après pour les pontes d'etat major c'est autre chose)

mais bon si quelqu'un avait des données officielles ....

Tu  vis pas au US avec 1500$ par mois ... d'autant que le salaire est multiplié en opération

- J'ai troouvé ça mais c'est pas précis, les soldat Us du rang sont autour de 30 000$ annuel.

- Les contractors qualifiés selon la compétence 10 000$ a 25 000$ mensuel.

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En attendant,on enquête pour une autre affaire sur Blackwater.le bureau du procureur de Raleigh, en Caroline du Nord mène une enquête sur une possible vente d'armes frauduleuse.

WASHINGTON (AFP) - Le gouvernement américain a ouvert une enquête pour déterminer si des employés de la société de sécurité Blackwater, impliquée dans la mort de dix personnes dans une fusillade en Irak, avaient livré illégalement des armes dans ce pays, ont rapporté samedi des médias.

(Publicité)

Ces armes pourraient avoir été vendues sur le marché noir en Irak pour se retrouver dans les mains d'organisations qualifiées de terroristes par les Etats-Unis, selon le Washington Post qui cite des responsables ayant requis l'anonymat.

L'enquête, dirigée par le bureau du procureur de Raleigh, en Caroline du Nord (sud-est) où se trouve le siège de Blackwater, dispose de suffisamment d'éléments pour procéder à des inculpations, ajoutent ces mêmes sources.

Le journal News and Observer, publié en Caroline du Nord, a indiqué que deux anciens employés de Blackwater avaient plaidé coupable et coopéraient avec les autorités fédérales dans leur enquête.

Les enquêteurs américains cherchent à savoir si Blackwater, qui assure la sécurité des personnels de l'ambassade américaine en Irak, introduisaient des armes et des équipements militaires en Irak, sans autorisation, selon le journal.

Ils veulent également déterminer si Blackwater disposait des autorisations nécessaires pour des dizaines d'armes automatiques utilisées dans ses camps d'entraînement à Moyock (Caroline du Nord).

La société incriminée a jugé ces accusations "sans fondement".

Dans un communiqué diffusé samedi, Blackwater a appelé l'agence fédérale chargée des armes à feu et des explosifs à "mener une enquête approfondie".

Elle a précisé avoir immédiatement licencié les deux employés poursuivis par la justice américaine, quand les enquêteurs ont découvert qu'ils "volaient l'entreprise".

"Les allégations selon lesquelles Blackwater était de quelque manière que ce soit associée ou complice d'activités sur des armes illégales sont sans fondement", poursuit le communiqué, ajoutant: "la société n'a pas connaissance qu'un de ses employés exporte des armes de manière inappropriée".

Cette enquête était mentionnée dans une lettre envoyée mardi à l'inspecteur général du département d'Etat Howard Krongard par le représentant démocrate Henry Waxman, qui traque depuis des années les infractions des sociétés privées en Irak, ajoute le journal.

M. Waxman accuse M. Krongard d'avoir bloqué les investigations pour savoir "si une grande société de sécurité privée travaillant pour le département d'Etat introduisait frauduleusement des armes en Irak".

Depuis janvier, Washington enquête sur la possibilité que des armes américaines aient été détournées et soient tombées entre les mains des insurgés irakiens ou des séparatistes kurdes turcs du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).

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http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=75981

hebdo n° 872 - 19 juil. 2007

Amériques

ÉTATS-UNIS •  En Irak, Bush fait confiance au secteur privé

En plus des nombreuses missions de sécurité et de reconstruction confiées à des entreprises, le gouvernement américain sous-traite désormais une partie de ses activités de renseignement sur le terrain.

Au rez-de-chaussée d’un immeuble situé dans la zone verte de Bagdad, une présentation de trente minutes sur PowerPoint témoigne de l’ampleur du carnage qui se produit quotidiennement en Irak. Le commentaire est assuré par deux hommes vêtus de treillis qui se tiennent au fond de la salle. Présenté sur un écran de 15 pouces, le rapport donne périodiquement les derniers renseignements disponibles sur les activités ennemies. Un des plus récents faisait état de 168 incidents graves au cours des dernières semaines et se concluait par une déclaration du général David Petraeus, le commandant des forces américaines en Irak, selon laquelle “la situation est difficile mais pas désespérée”.

Ces renseignements n’ont pourtant pas été recueillis par l’armée américaine, mais par une société de sécurité britannique, Aegis Defence Services. C’est depuis ce bâtiment de la zone verte baptisé Centre des opérations qu’Aegis se déploie sur le territoire irakien. Le Centre est le symbole le plus visible du genre de responsabilités qui sont désormais confiées à un réseau d’entreprises privées travaillant pour le compte du Pentagone. La société, dirigée par Tim Spicer, un lieutenant-colonel britannique à la retraite qui, avant de créer Aegis, a été recruté dans les années 1990 pour mater une rébellion en Papouasie-Nouvelle-Guinée puis pour rétablir un gouvernement élu en Sierra Leone, a décroché en 2004 un contrat triennal de 293 millions de dollars [212 millions d’euros] avec l’armée de terre américaine.

Plusieurs entreprises britanniques et américaines ont répondu à l’appel d’offres pour le renouvellement de ce contrat – d’un montant, cette fois, de 475 millions de dollars –, en vue de la création d’une force d’un millier d’agents de sécurité chargés de protéger les hommes du génie militaire sur leurs projets de reconstruction. Mais, devant le tollé qu’a suscité la procédure d’attribution de ce nouveau contrat, le choix du gagnant de l’appel d’offres a été repoussé. Il s’agit du plus important contrat de sécurité privée en Irak. Dans le cahier des charges de 774 pages, une clause peu visible concerne la sous-traitance des activités de renseignement, qui, en d’autres temps, auraient été étroitement contrôlées par l’armée ou par des agences officielles comme la CIA. Ces instances continuent de recueillir leurs propres renseignements, mais elles font de plus en plus appel à des entreprises privées pour la collecte d’informations sensibles.

Le congrès s’inquiète de cette privatisation rampante

Cet engagement croissant – mais largement dissimulé – d’entreprises de sécurité privées dans la guerre a depuis peu attiré l’attention du Congrès, qui veut réglementer le secteur. La commission du Renseignement de la Chambre des représentants a exprimé, dans un récent rapport, sa “crainte que la communauté du renseignement n’ait pas clairement déterminé quelles sont les fonctions ‘relevant intrinsèquement des autorités officielles’ et que, par conséquent, des contractants privés puissent être en train de s’en saisir”. La mission d’Aegis consiste entre autres à évaluer les menaces sur le champ de bataille et à faire un suivi électronique des milliers de contractants privés qui, chaque jour, empruntent les périlleuses routes d’Irak. Le nouveau contrat prévoit même l’embauche d’une équipe d’analystes du renseignement chevronnés, qui seront munis de “l’équivalent de l’habilitation CONFIDENTIEL DÉFENSE pour l’OTAN”. D’après le récapitulatif de leurs responsabilités, ces spécialistes devront effectuer l’“analyse des services de renseignements étrangers, des organisations terroristes et de leurs affiliés qui ciblent le personnel, les ressources et les installations militaires américaines”.

Une grande partie de ce travail est déjà prise en charge par Aegis. “Nous sommes plus spécialisés dans le renseignement qu’autre chose”, affirme Kristi Clemens, le vice-président de cette société. “Nous ne sommes pas de simples mercenaires, des fusils à louer.” Dès la signature de son contrat, en 2004, Aegis s’est immédiatement heurté à des problèmes. Un inspecteur a découvert que l’entreprise n’avait pas vérifié correctement les antécédents de certains de ses salariés irakiens. Puis, en octobre 2005, une vidéo a circulé sur Internet, montrant un agent de sécurité privé employé par Aegis en train de tirer des coups de feu à proximité de véhicules civils. Après enquête, la société a découvert que la vidéo avait été mise en ligne par un salarié mécontent, qui a été licencié depuis. Aujourd’hui, les critiques se sont tassées. Aegis se vante d’avoir su mener plus de 21 000 opérations de sécurité sans aucune perte humaine pour le personnel du génie militaire que la société avait pour mission de protéger. Selon Jack Holly, un colonel à la retraite qui dirige la logistique du corps du génie, Aegis “est arrivé en Irak avec l’air de dire : ‘Nous allons faire ceci, nous allons faire cela. Ce n’est pas à vous de nous dire comment faire.’ C’était insupportable. Mais, aujourd’hui, Aegis a acquis de la maturité. Je dois reconnaître qu’ils font vraiment un bon travail. Ils ont su créer une véritable architecture de sécurité et de renseignement.”

Steve Fainaru et Alec Klein

The Washington Post

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  • 2 weeks later...

Irak: le patron de Blackwater se défend au Congrès américain

WASHINGTON (AP) -- Le président de Blackwater a assuré mardi devant le Congrès américain que le personnel de sa société de sécurité avait «toujours agi de façon appropriée» en Irak et en Afghanistan, malgré les soupçons de comportement violent qui pèsent sur certains de ces gardes privés.

«Je pense que nous avons agi de façon appropriée à tout moment», a déclaré cet ancien militaire de la marine américaine, âgé de 38 ans, devant la commission parlementaire sur la réforme du gouvernement et son évaluation.

Blackwater fait l'objet d'une enquête du FBI après une fusillade dans laquelle au moins onze civils irakiens sont morts à Bagdad le 16 septembre.

La société a conclu des contrats avec le secrétariat d'Etat qui lui sous-traite la protection de diplomates ou militaires, mais plusieurs incidents plus ou moins graves ont amené les parlementaires à se demander si le gouvernement américain ne s'appuyait pas trop sur ces sociétés dont les agissements ne relèvent ni des tribunaux militaires ni de la justice irakienne. Les Etats-Unis et l'Irak ont mis en place une commission pour se pencher sur le recours à ces compagnies privées en Irak, selon des responsables au ministère des Affaires étrangères.

Le président de Blackwater s'est dit favorable à l'adoption d'une loi permettant de poursuivre devant la justice américaine les employés des sociétés de sécurité privées travaillant pour le secrétariat d'Etat. Un tel texte devrait être voté par la chambre des Représentants mercredi. AP

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Riche est un doux euphémisme...

Après, il est vrai que les contractors ne se comportent pas vraiment plus mal que les soldats de la coalition, si on doit mettre aux arrêts tous les étrangers sous bannière coalisée qui font feu sans discernement, qui allongent des civils à la M4 parce qu'ils sont pas d'humeur, qu'ils maltraitent la population et écrasent des enfants avec leurs engins... Il ne resterait pas grand monde là bas.

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http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=78200

Blackwater dans le collimateur du Congrès américain

Un rapport officiel de la Chambre des représentants lève le voile sur les nombreuses dérives des salariés de la société de sécurité privée. Des dérives pour la plupart couvertes par le Département d'Etat.

En Irak, les salariés de la société Blackwater ont été impliqués dans 195 fusillades depuis 2005, la plupart du temps à bord de véhicules en mouvement sans s'arrêter pour compter les morts ou porter assistance aux blessés, indique un rapport du Congrès américain. Le document fait état d'au moins deux cas dans lesquels la société a payé les familles des victimes et de plusieurs tentatives pour étouffer les bavures. Le rapport montre également que les responsables du Département d'Etat [le ministère des Affaires étrangères américain] ont autorisé ces versements d'argent dans l'espoir d'enterrer ces affaires de fusillades. L'année dernière, le Département d'Etat a aidé Blackwater à faire sortir un de ses employés d'Irak, moins de trente-six heures après que ce dernier, sous l'emprise de l'alcool, eut tué le garde du corps d'un des deux vice-présidents irakiens le soir de Noël.

Le rapport, rédigé par une commission de la Chambre des représentants, vient renforcer les plaintes formulées par des responsables irakiens, plusieurs militaires américains ainsi que des concurrents de Blackwater accusant les employés de cette société de sécurité privée d'avoir la gâchette trop facile et d'agir sans le moindre égard pour les vies irakiennes.

Le 16 septembre dernier, des employés de Blackwater ont été impliqués dans une fusillade à Bagdad qui a coûté la vie à au moins huit Irakiens. Cette affaire, qui reste entourée de mystère, a provoqué l'indignation de nombreux responsables irakiens qui l'ont qualifiée de "meurtre de sang-froid" et ont réclamé l'expulsion de Blackwater du territoire irakien.

Le Département d'Etat a ouvert trois enquêtes séparées sur cette fusillade, et le FBI a annoncé, lundi dernier, l'envoi d'une équipe sur place pour récupérer des preuves en vue de poursuites judiciaires. Ni le Département d'Etat, ni Blackwater n'ont souhaité s'exprimer sur le rapport, mais leurs représentants doivent témoigner aujourd'hui, mardi 2 octobre, devant la commission de la Chambre des représentants à l'origine du rapport. Parmi les personnes sur la sellette, se trouvent Erik Prince, ancien membre des Navy Seals, les commandos de marine, et fondateur de Blackwater il y a dix ans, ainsi que plusieurs hauts responsables du Département d'Etat.

Le rapport de la commission accuse en effet le Département d'Etat de n'avoir pratiquement rien contrôlé des activités des 861 salariés de Blackwater en Irak. "Il n'existe aucune preuve indiquant que le Département d'Etat a essayé de restreindre le champ d'action de Blackwater, ni qu'il se soit inquiété du nombre de fusillades impliquant des membres de cette société ou qu'il se soit interrogé sur la fréquence des fusillades déclenchées par ses employés", indique le document.

Concernant le meurtre du soir de Noël, le rapport indique qu'un responsable de l'ambassade américaine en Irak aurait proposé de verser 250 000 dollars à la famille du garde du corps, mais un de ses subordonnés aurait déclaré qu'une telle somme pourrait inciter "des gens à se faire tuer par nos hommes pour assurer l'avenir financier de leur famille". La famille de la victime n'a finalement reçu que 15 000 dollars de la part de Blackwater.

Le rapport mentionne également un autre cas de fusillade mortelle, dans lequel un responsable non identifié du Département d'Etat à Bagdad aurait enjoint Blackwater de verser 5 000 dollars à la famille de la victime. Ce fonctionnaire avait écrit : "J'espère que nous pourrons rapidement oublier ce malencontreux incident."

Le rapport souligne également que les employés de Blackwater ont participé à des opérations offensives aux côtés de soldats américains, et ce en violation de leur contrat avec le Département d'Etat qui ne les autorise qu'à faire un usage défensif de leurs armes.

John Broder

The New York Times

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Le rapport souligne également que les employés de Blackwater ont participé à des opérations offensives aux côtés de soldats américains, et ce en violation de leur contrat avec le Département d'Etat qui ne les autorise qu'à faire un usage défensif de leurs armes.

y'a des photos evidentes de cela (lors de la première offensive sur Fallouja, juste après que 4 de leurs collègues aient fini brulés au RPG dans leur SUV puis pendus a un pont)

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y'a des photos evidentes de cela (lors de la première offensive sur Fallouja, juste après que 4 de leurs collègues aient fini brulés au RPG dans leur SUV puis pendus a un pont)

Défense, attaque, tout le monde n'a pas la discipline des casques bleus qui ripostent jamais.

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