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[Irak] passé, présent, avenir


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Vidéo de deux Su-25 et d'un Mi-28, fourni par Ministère de la Défense irakien. Le Su-25 n°2519 est un ex-russe reçu le 30 Juin, et 2513, un ex-iranien arrivé le 1er Juillet. Le premier Mi-28 est maintenant entièrement assemblé et a démarré les essais en vol avant la première mission opérationnelle !

 

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Irak, Libye : « Tirons d'abord les leçons de nos erreurs précédentes », dit Olivier Zajec

 
Spécialiste de stratégie, il est maître de conférence à l'Université Jean Moulin (Lyon 3). Auteur de plusieurs ouvrages, il prépare un livre sur « Le réalisme dans les relations internationales »

 

http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/irak-libye-tirons-d-abord-lecons-nos-erreurs-precedentes-dit-olivier-zajec-16296

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http://www.leparisien.fr/international/otages-obama-accuse-la-france-d-hypocrisie-sur-les-rancons-15-09-2014-4136555.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F

 

Tacle d'OBAMA à Hollande, pour les libérations d'otages contre rançon, officiellement la France ne paie pas de rançon.

Pas si sereine que ça la coalition contre la barbarie.

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S'il n'a pas tort sur le fond avec les conséquences désastreuses de long terme qui consiste à payer des rançons, je ne comprends pas sa sortie sur le sujet. 

 

Si la France ne payait pas de rançon, alors l'EI n'aurait pas décapité d'Américain ? Pour décapiter un Français à la place ? Je ne comprends pas bien sa logique. 

 

 

On pourrait très bien affirmer qu'en payant des rançons, on participe à rendre moins intéressante la prise d'otages Américains (par comparaison à l'otage Français). Que notre posture soit hypocrite, c'est un fait.

 

Et ça ne regarde que nous. Dire que ça mettrait directement ou indirectement en danger des vies Américaines, faut pas exagérer..... Ou être sacrément dénoncé par sa propre scène politique.

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http://www.leparisien.fr/international/otages-obama-accuse-la-france-d-hypocrisie-sur-les-rancons-15-09-2014-4136555.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F

 

Tacle d'OBAMA à Hollande, pour les libérations d'otages contre rançon, officiellement la France ne paie pas de rançon.

Pas si sereine que ça la coalition contre la barbarie.

 

Bof, une remarque venant d'un pays ayant envahi et occupé un autre pays sous couvert de mensonge, qui est en plus responsable de la déstabilisant totalement de la région. Vaut mieux en rire que commenter quoique se soit sur la question ... et puis, les américains ne taclent pas la France ou Hollande, mais continue tout bonnement de perpétuer cette longue tradition de french-bashing.

 

Et bien sur la presse française dans sa grande mansuétude en rajoute pour surfer dans la vague contestataire, il faut bien vendre du papier à défaut de faire de vrai article. (De Gaulle avait raison, nous français on est que des veaux)

Modifié par Rochambeau
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comme je l'ai dit sur l'autres file ,je sent bien le coup qu'après des troupes au combat ,faudra peut-être que l'OTAN  viennent aussi ...

vu que pas mal de monde a réduit le budget de la défense en EUROPE ,et que quasiment tout le monde est dans l'OTAN sa va être compliqué d'allé faire la guerre en Irak ...

 

sa va être différent de l'Afghanistan ...

 

et je vois mal les européens de l'OTAN dire non on peut pas vous aidé aux USA ...

 

sa devient compliqué tout sa quand même ...

 

pour le coup du on ne se laissera pas entraîné dans une guerre terrestre ,on ne l'a pas déjà entendu autrefois ?

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pour l'instant les avions US cognent, mais ils semblent pouvoir repousser l'IS de leur cible.

 

sauf que l'IS va vite s'adapter et éviter de se faire trop matraquer en prenant des postures de défense "passive" comme la discrétion et le camouflage .

 

enfin si tu vois se que je veux dire  =)

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ils vont avoir avoir pas mal de boulot .

 

 

 

une vidéo US pour démotiver les volontaires au Jihad .

 

http://video.lefigaro.fr/figaro/video/la-video-choc-de-l-etat-americain-pour-dissuader-les-candidats-au-djihad/3774852449001/

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Ouais faut pas exagérer, hormis que le coin attire plus de djihadistes genre martyrdom, faudra m'expliquer en quoi des pertes substantielles en hommes, en matériel, en terrain conquis du fait des frappes ca renforce qui que ce soit.

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EI et Arabie Saoudite. Un article intéressant qui semble laisser clichés de côté. 

 

http://www.lepoint.fr/monde/etat-islamique-la-volte-face-de-l-arabie-saoudite-18-09-2014-1864405_24.php?google_editors_picks=true

 

 

Pressée par les États-Unis de les rejoindre dans sa guerre contre l'État islamique (EI), l'Arabie saoudite a finalement cédé. À l'issue d'une réunion organisée jeudi dernier à Djedda, le secrétaire d'ÉtatJohn Kerry a obtenu le ralliement du royaume saoud et de neuf autres pays arabes à sa coalition internationale contre les djihadistes. Pour l'heure, Riyad s'est engagé à verser 500 millions de dollars au Haut-Commissariat pour les réfugiés, mais il n'a pas écarté une aide militaire en Irak. 

"L'Arabie saoudite est incapable de se prendre en main au niveau militaire", juge pourtant Karim Sader, politologue et consultant spécialisé dans les monarchies du Golfe. "La présence des pays du Golfe est indispensable à la coalition, car il s'agit d'apporter une caution arabo-musulmane à cette campagne afin qu'elle ne soit pas perçue par les populations arabes comme une agression occidentale." Une façon également de faire taire les soupçons de double jeu de l'Arabie saoudite, accusée de financer les djihadistes en Syrie et en Irak.

 

Laisser-aller au sommet de l'État

"L'État saoudien ainsi que l'establishment religieux n'ont jamais ouvertement financé l'État islamique qui représente pour eux une menace directe et indirecte à plus d'un titre", souligne Nabil Mouline, spécialiste de l'Arabie saoudite au CNRS et à Stanford. "En revanche, il a pu exister un certain laisser-aller au sommet de l'État, dont ont profité tout à la fois des acteurs privés, des réseaux souterrains informels et des personnalités politiques pour financer les djihadistes." Dès le début de la révolte syrienne en mars 2011, l'Arabie saoudite s'est placée dans le camp appelant au départ de Bachar el-Assad.

Encouragées par l'État saoudien, nombre d'associations caritatives ont appelé à la "zakat" - la collecte de fonds humanitaires dans le cadre de l'islam - afin de venir en aide aux populations sunnites réprimées par le président syrien. À la manoeuvre, des réseaux de prédicateurs religieux, mais aussi des hommes d'affaires réputés pieux, parfois liés à la vaste famille royale saoudienne. Or, sur le terrain, une partie des fonds se sont rapidement retrouvés entre les mains des djihadistes. Pourtant, le financement de tels groupes est officiellement interdit et sévèrement puni dans le royaume. "Le problème est qu'il est extrêmement difficile de mettre en place un système de régulation stricte de ces fonds", pointe Fatiha Dazi-Héni, spécialiste du Golfe à l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire.

 

Le sulfureux prince Bandar

Les nombreuses divisions au sein de la famille régnante facilitent la donne. "Le pouvoir saoudien n'est pas centralisé, mais distribué verticalement entre plusieurs factions concurrentes de la famille royale, dont chacune possède sa propre politique étrangère, parfois contradictoire avec la ligne officielle, qu'elle compte réinvestir dans sa lutte interne", explique le chercheur Nabil Mouline. Voilà pourquoi, si, officiellement, Riyad ne finance que les rebelles "modérés" de l'Armée syrienne libre, des fonds saoudiens alimentent aussi le Front islamique (rebelles islamistes), ainsi que les djihadistes d'Al-Nosra et de l'État islamique.

Un constat qui s'explique également par la présence à la tête des renseignements saoudiens du sulfureux prince Bandar bin Sultan. Lors de la militarisation de la crise syrienne, cet ancien ambassadeur du royaume aux États-Unis a entièrement pris en main le dossier et mené une stratégie des plus agressives. "Il a joué double jeu", affirme la chercheuse Fatiha Dazi-Héni. "Il cultivait des liens avec certains groupes ultra-radicaux, notamment à Tripoli, dans le Nord-Liban, car sa mission était de briser l'axe chiite Damas-Téhéran." Or, en poussant à la confessionnalisation du conflit [tout comme la Syrie et l'Iran, NDLR], Bandar bin Sultan a contribué à son pourrissement, sans pour autant obtenir la tête de Bachar el-Assad. Le Saoudien sera évincé de son poste début 2014.

 

Jeu dangereux

"Les Saoudiens ont commis une grave faute d'appréciation", analyse Nabil Mouline. "Ils pensaient que les djihadistes pourraient durablement affaiblir Bachar el-Assad et qu'ils pourraient facilement se débarrasser de ces groupes par la suite." Un jeu dangereux qui se retourne aujourd'hui contre eux. "Le royaume saoud est aujourd'hui l'une des principales cibles de l'État islamique, insiste Karim Sader. Les djihadistes veulent en venir à bout, car il représente à leurs yeux un pouvoir corrompu qui a juré fidélité à l'Occident."

Décidément, l'Arabie saoudite n'a pas appris de ses erreurs du passé. Dans les années 2000, ce sont ces mêmes réseaux opaques qui ont financé les djihadistes - dont beaucoup de Saoudiens - partis combattre l'Amérique en Afghanistan et en Irak. Des combattants qui, de retour au pays, ont mené entre 2003 et 2006 une vaste campagne d'attentats dans le royaume. Dix ans plus tard, la présence dans les rangs de l'État islamique de milliers de combattants saoudiens - soit le plus grand contingent étranger de l'organisation - laisse craindre une répétition de l'histoire.

 

Islam rigoriste saoudien

Consciente du danger que représente l'État islamique pour sa survie politique, la gérontocratie saoudienne a adopté en début d'année une série de mesures drastiques. À la frontière irakienne, Riyad a édifié une épaisse clôture de 900 kilomètres pour empêcher toute incursion de combattants. Dans le domaine politique, les autorités saoudiennes ont placé l'État islamique sur leur liste des organisations terroristes et menacé de lourdes peines de prison (de 5 à 30 ans) tout citoyen s'engageant dans ses rangs. Sur le plan religieux, le grand mufti d'Arabie saoudite, Abdel Aziz Al-Cheikh, a déclaré que les djihadistes de l'État islamique et d'al-Qaida étaient l'"ennemi numéro un de l'islam".

 

Une manière de couper court aux accusations de duplicité des autorités religieuses saoudiennes. En effet, les djihadistes de l'État islamique s'inspirent du wahhabisme, une vision ultra-rigoriste de l'islam sunnite née au XVIIIe siècle en Arabie saoudite et diffusée dans le monde entier à grand renfort de pétrodollars. Ainsi, dans un article publié dans le quotidien saoudien Al Riyadh intitulé "la farce des fatwas", Hissan bin Ahmed bin Al al-Sheikh, membre de la famille du grand mufti, liste toutes les mesures radicales introduites dans le royaume depuis les années 1980. D'après lui, ces lois ont "miné la vie publique" et "glorifié une culture de la haine et de la mort" dans la société saoudienne, qu'il dit reconnaître dans l'État islamique. 

 

Toutefois, le spécialiste Nabil Mouline rappelle que l'idéologie prônée par l'État islamique diffère du wahhabisme saoudien. "Le djihadisme est une hybridation de plusieurs doctrines et idéologies politiques et religieuses. Il emprunte au wahhabisme classique la rupture avec les non-croyants (al-wala' wa al-bara'), c'est-à-dire le fait que tout ce qui nous entoure est non croyant et que la seule interaction possible avec les non-croyants est la guerre ou la conversion", explique le chercheur. "En revanche, l'idée de la renaissance de l'islam, qui passe par une réunification du monde musulman sous l'égide du califat, est complètement étrangère au wahhabisme, et puise ses racines dans les doctrines des Frères musulmans et du nationalisme inspiré des idées occidentales."

Modifié par olivier lsb
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Hollande: La France va frapper l'EI en Irak

 

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/18/97001-20140918FILWWW00335-hollande-la-france-va-frapper-l-ei-en-irak.php

 

 

Irak: les USA visent un camp de l'EI
 

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/18/97001-20140918FILWWW00379-irak-les-usa-visent-un-camp-de-l-ei.php

 

 

Le président Hollande donne son feu vert à des frappes aériennes françaises en Irak

 

http://www.opex360.com/2014/09/18/le-president-hollande-donne-son-feu-vert-des-frappes-aeriennes-francaises-en-irak/

Modifié par zx
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EI et Arabie Saoudite. Un article intéressant qui semble laisser clichés de côté. 

 

http://www.lepoint.fr/monde/etat-islamique-la-volte-face-de-l-arabie-saoudite-18-09-2014-1864405_24.php?google_editors_picks=true

Intéressant masi à mon avis un peu trop indulgent vis à vis des saouds. Et il me semble très discutable d'imputer l'idée de caliphat et de renaissance de l'Islam au FM et non au wahabisme. Et c'est aux antipodes des idées nationalistes.

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Premières frappes françaises contre l'IS ce matin

 

#URGENT les 1ères frappes aériennes françaises sur l'Irak ont eu lieu ce matin. Elles viennent de se terminer. Cibles non mouvantes.

— Nicolas Bertrand (@nicolabertran)

September 19, 2014

 

IRAK: Les 2 Rafale engagés ce matin sont en train de revenir à la base d'Al Dhafra, Abu Dhabi. #EI

— Nicolas Bertrand (@nicolabertran)

September 19, 2014

 

IRAK : Cibles non mouvantes cela signifie des dépôts de munitions par exemple. La France frappe l'Etat Islamique #Daech #TweetPrecedent

— Nicolas Bertrand (@nicolabertran)

September 19, 2014
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http://www.understandingwar.org/backgrounder/warning-intelligence-update-isis-attacks-baghdad (18 septembre 2014)

Attaque complexe au nord de Bagdad : tirs de mortiers, voiture suicide, voiture piégée, morts et blessés. Deux hommes porteurs de vestes explosives arrêtés. Une prison était visée.

Autre attentat dans un autre quartier visant la milice chiite Badr.

http://www.understandingwar.org/sites/default/files/2014-09-17%20Situation%20Report.pdf

Résumé de la journée du 16 septembre :

- véhicule citerne suicide à Ramadi

- un pont saute au nord de Falouja

- Les Américains font des raids aériens au nord-ouest d'Erbil et au sud-ouest de Bagdad

- etc...

http://4.bp.blogspot.com/-BQ9OpOLYZsE/VBisDIxdhOI/AAAAAAAAB18/OuWqkpSG2QA/s1600/2014-09-16%2BSituation%2BReport%2BHIGH-01.png

Résumé des 15 et 16 septembre :

- Attaque au chlore le 15, au mortier le 16 à Dhuluiya (au nord de Bagdad)

- L'aviation irakienne frappe à l'est de falouja, l'aviation américaine au sud-ouest de Bagdad

- Les pechmergas récupèrent des villages à l'ouest d'Erbil avec appui aérien américain

- Les tribus loyalistes progressent à l'est d'Haditha

- Des sources médicales indiquent des victimes d'obus à Falouja

Modifié par Wallaby
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