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[Irak] passé, présent, avenir


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Depuis qu'il y a des frontières, a ma connaissances, ces deux fleuves ne sont pas des fleuves internationales, donc, c'est pas notre problème, le problème en Irak...

ça serait pas plutot depuis qu'il y a des barrages ? autrement si, un fleuve qui traverse plusieurs pays est un fleuve international.

Maintenant je ne pense pas qu'il y a un droit international à ce sujet ou que la Turquie viole la moindre loi, mais assecher un pays en aval c'est pas bien.

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ça serait pas plutot depuis qu'il y a des barrages ? autrement si, un fleuve qui traverse plusieurs pays est un fleuve international.

Maintenant je ne pense pas qu'il y a un droit international à ce sujet ou que la Turquie viole la moindre loi, mais assecher un pays en aval c'est pas bien.

Ah non pas du tout, tant qu'il n'y a pas de traité sur ce sujet, on pourrai pas dire que c'est une fleuve internationale...

Il n'existe aucun traité tripartite sur l'exploitation et la répartition des eaux entre les États riverains du bassin du Tigre et de l'Euphrate. Le traité de Lausanne de 1923 contenait une clause stipulant que la Turquie devait consulter l'Irak avant d'entreprendre des travaux hydrauliques. En 1962, la Syrie et l'Irak créèrent une commission mixte mais son rôle resta limité du fait de l'absence de travaux hydrauliques importants. Vers 1972/73 les deux mêmes pays firent des tentatives infructueuses pour négocier un accord sur l'Euphrate. L'imprécision du droit international en ce domaine ne facilite pas les choses.

Le seul arrangement consenti par la Turquie, en 1987, est un accord bilatéral avec la Syrie portant sur les quotas, la Syrie reçoit 500 m3/s (soit 15,75 milliards de m3-an) alors que le débit naturel de l'Euphrate à l'entrée en Turquie est de 28 milliards de m3-an. Un autre accord bilatéral syro-irakien (avril 1990) prévoit une répartition proportionnelle des eaux de l'Euphrate entre les deux pays (42% pour la Syrie, 58% pour l'Irak) quel que soit le débit du fleuve soit en année «normale» 6,6 milliards de m3pour la Syrie et 9 pour l'Irak .

Toutefois les crises ont été nombreuses entre les trois pays concernés que ce soit avant ou après la signature de ces accords.

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arf arf arf

L'Euphrate et le Tigre sont transfrontaliers ils appartiennent certainement pas à un seul état

Amusons nous avec la mauvaise foi de barbaros ...

L'tigre en turquie

Image IPB

Le tirge a Mossoul

Image IPB

Le tigre a bagdadImage IPB

Ils risquent pas de négocier grand chose avec toi les kurdes barbaros :lol:

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J'sais pas pourquoi mais je savais ce que notre BP national dirait  l'instant même où je lisais l'article  :lol:

Plus sérieusement ça risque de mal finir ce truc ce genre de manoeuvres... très très mal. À peine sorti d'une occupation qui l'a ruiné et divisée d'Irak se retrouve avec un problème autrement plus important. M'a semblé aussi lire que l'eau arrivait en Irak très très polluée.

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J'sais pas pourquoi mais je savais ce que notre BP national dirait  l'instant même où je lisais l'article  :lol:

Plus sérieusement ça risque de mal finir ce truc ce genre de manoeuvres... très très mal. À peine sorti d'une occupation qui l'a ruiné et divisée d'Irak se retrouve avec un problème autrement plus important. M'a semblé aussi lire que l'eau arrivait en Irak très très polluée.

C'est barbaros qui fait pipi dedans pour embéter les kurdes :lol:

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J'sais pas pourquoi mais je savais ce que notre BP national dirait  l'instant même où je lisais l'article  :lol:

Plus sérieusement ça risque de mal finir ce truc ce genre de manoeuvres... très très mal. À peine sorti d'une occupation qui l'a ruiné et divisée d'Irak se retrouve avec un problème autrement plus important. M'a semblé aussi lire que l'eau arrivait en Irak très très polluée.

L'Irak n'est pas un problème pour nous, on écrasera son armée et en rentrera a Bagdad comme on rentre a Rome... O0

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Amusons nous avec la mauvaise foi de barbaros ...

L'tigre en turquie

Le tirge a Mossoul

Le tigre a bagdad

Ils risquent pas de négocier grand chose avec toi les kurdes barbaros :lol:

Le vrai problème n'est pas le Tigre, mais plutôt l'Euphrate, car le Tigre est aussi alimenté par les sources venant du nord de l'Irak et d'Iran...donc il n'y a pas trop de problème..

mais cela, n'est pas le cas pour l'Euphrate...

Le barrage d'Atatürk sur l'Euphrate:

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L'Irak n'est pas un problème pour nous, on écrasera son armée et en rentrera a Bagdad comme on rentre a Rome... O0

Sauf si le PKK s'interpose  :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

L'Euphrate et le Tigre appartient aux Turcs et aux Syriens...si les Irakiens veulent partager leur pétrole, on pourrait partager notre eau...

Je rejoins tous les autres, L'Euphrate et le Tigre ne sont pas estampiller "Turquie".
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Une bonne nouvelle...

Ankara résolu à poursuivre la construction de barrages malgré tout

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VALLEE DE LA CORUH, Turquie (AFP) — La Turquie est résolue à poursuivre un ambitieux programme de construction de barrages pour réduire sa dépendance énergétique en dépit du retrait mardi de créditeurs européens pour un projet clé et des objections des défenseurs de l'environnement.

Les organismes suisse, autrichien et allemand de garantie des crédits ont annoncé mardi qu'ils se retiraient du projet de construction du barrage d'Ilisu (sud-est), décrié par ses détracteurs car il implique le départ de 54.000 riverains et menace le patrimoine millénaire de la ville kurde de Hasankeyf.

Le gouvernement turc a rétorqué en qualifiant la décision européenne de "politique" et en assurant qu'il n'abandonnerait pas ce projet sur le fleuve Tigre, d'une puissance installée prévue de 1.200 mégawatts.

"La République de Turquie tient à préciser avec véhémence sa détermination à aller de l'avant dans le projet de barrage d'Ilisu et de sa centrale hydroélectrique", a affirmé dans un communiqué le ministère de l'Environnement.

Pas question en effet pour Ankara de renoncer à une ressource énergétique peu coûteuse et abondante en Anatolie alors que les projections officielles tablent sur une augmentation annuelle de 6 à 8% de la consommation d'énergie dans une Turquie déjà grosse importatrice d'hydrocarbures.

Quelque 172 centrales hydroélectriques sont actuellement en fonctionnement en Turquie, d'une capacité totale de 13.700 MW, qui fournissent 17% de l'électricité produite dans le pays, selon les chiffres de la Gestion des eaux (DSI).

Mais 148 de plus sont en cours de construction et 1.400 autres sont en projet: de quoi tripler la production.

"Pour l'instant, la Turquie n'utilise que 30% de ses ressources hydrauliques mais nos projets prévoient de passer à 50%. C'est encore assez peu comparé aux Etats-Unis ou à l'Europe, où les taux d'exploitation approchent respectivement les 95% et 85%", affirme enthousiaste l'ingénieur Sezayi Sucu.

M. Sucu est responsable, au nom de la DSI, de l'aménagement du bassin de la Coruh, un vaste projet de 15 grands barrages --dont deux déjà construits-- et plusieurs dizaines d'ouvrages mineurs aux confins de la Géorgie, qui doivent à terme fournir un dixième de l'électricité turque.

Parmi eux, le projet de barrage de Yusufeli fait depuis plusieurs années l'objet d'une guerre de tranchée juridique avec ses opposants, résolus à empêcher la construction d'un ouvrage selon eux non rentable, destructeur d'espèces locales et qui va contraindre près de 16.000 personnes à déménager, dans une région déjà frappée par l'exode rural.

"Tout ce projet ne tient pas debout: allez donc au lac créé par le barrage (voisin) de Borçka, vous verrez comment les limons se sont accumulés. Dans quelques années, tout sera envasé", lance l'avocat Bedrettin Kalin, membre de plate-forme écologiste locale la Fraternité des Vallées.

"Le problème, c'est que l'évaluation des conséquences pour l'environnement ne fonctionne pas en Turquie", déplore Korol Diker, de l'association Greenpeace, qui regrette également la prédilection d'Ankara pour les grands barrages, plus destructeurs de l'environnement.

Des accusations rejetées par les autorités, qui ont cependant retenu la leçon du barrage d'Ilisu.

"Le barrage de Yusufeli se fera avec des financements nationaux: soit avec des hommes d'affaires locaux dans une formule de concession au constructeur, soit directement sur le budget de l'Etat", souligne Cengiz Aydogdun, le gouverneur d'Artvin, province dont dépend Yusufeli.

Copyright © 2009 AFP. Tous droits réservés.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5j7vyPElhXKzQnzdoh8XdDIWET4Xg

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Allez hop un peu plus assechés, c'est pas demain qu'on verra des rapprochements au MO.

Ils sont faits comment les barrages turques ? Parce que concernant les superbarrages chinois j'ai cru entendre des échos comme quoi ils seraient en train de s'effriter.

Finalement les irakiens auront leur eau plus vite que prévu  :lol:

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Allez hop un peu plus assechés, c'est pas demain qu'on verra des rapprochements au MO.

Ils sont faits comment les barrages turques ? Parce que concernant les superbarrages chinois j'ai cru entendre des échos comme quoi ils seraient en train de s'effriter.

Finalement les irakiens auront leur eau plus vite que prévu :lol:

Les turcs ne sont pas amateurs, je dirai que les turcs ont plus d'expérience que les européens.

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Allez hop un peu plus assechés, c'est pas demain qu'on verra des rapprochements au MO.

Ils sont faits comment les barrages turques ? Parce que concernant les superbarrages chinois j'ai cru entendre des échos comme quoi ils seraient en train de s'effriter.

Finalement les irakiens auront leur eau plus vite que prévu  :lol:

Le barrage des trois gorges a été construit avec un ciment local de "merde" ... ceci expliquant cela. On savait avant meme qu'il ne sont construit qui y aurait des petit souci de fissuration. M'enfin c'est pas tres tres grave, normalement il n'y a pas de risque de ruine de l'ouvrage.

Pour les barrage le plus simple ce sont les barrage poids a remblais, il suffit d'accumuler de la masse comme une monte un talus et d'assurer l'étanchéité pour éviter les renards.

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  • 1 month later...

http://www.lalibre.be/actu/international/article/521970/encore-du-pain-sur-la-planche.html

Encore du pain sur la planche

Mis en ligne le 13/08/2009

Les soldats américains ont troqué leur statut de guerrier pour celui d'instructeur. Mais dans cette nouvelle mission, il reste encore beaucoup à faire.

Le lieutenant américain Christopher McElrath et ses hommes ne sont pas satisfaits de la formation qu’ils viennent de dispenser à un groupe de policiers de la ville pétrolière de Kirkouk, dans le nord de l’Irak. Le sergent Jamari Hood, du 3e bataillon, du 82e régiment d’artillerie de campagne, corrige une fois de plus la manière dont un policier porte son arme, alors qu’un autre officier américain mime devant ses élèves la meilleure façon d’avancer face à des ennemis.

Voici la nouvelle réalité irakienne pour McElrath, Hood et des milliers d’autres soldats américains depuis leur retrait, il y a six semaines, des villes et des localités : de guerriers, ils sont devenus instructeurs des nouvelles forces de sécurité irakiennes. "Nous essayons de mettre au point un cycle de formation. Nous écoutons leurs requêtes et faisons des suggestions", assure le lieutenant McElrath, debout devant un poste de police au sud-est de Kirkouk, à 255 km au nord de Bagdad.

Les 750 000 policiers et soldats irakiens sont désormais responsables de la sécurité mais, pendant les séances d’instruction à Kirkouk, il est apparu qu’il restait beaucoup à faire, y compris dans la formation de base. "Ils ont reçu un apprentissage élémentaire, mais n’ont pas eu l’occasion de suivre un entraînement plus approfondi sur la pratique quotidienne de leur métier", explique le capitaine Tyler Donnell, chargé de la formation de la police dans le nord de Kirkouk. "Nous (soldats américains) avons appris notre métier en répétant sans cesse les mêmes gestes. C’est ce que nous essayons d’inculquer à la police [ ] Ils ont les capacités, mais beaucoup de choses sont à revoir", dit-il.

L’instruction consiste en une série d’exercices allant de la perquisition à l’entretien des armes ou à des cours sur l’éthique du métier et le chef de la police de la province reconnaît que ses hommes "en ont besoin". "Nous comptons sur l’aide (américaine) car c’est vraiment un point très important", assure le général Jamal Taher Bakr, estimant que ses forces sont prêtes à 70 %.

"L’entraînement concerne divers volets, comme l’armement, les enquêtes" et surtout la manière d’agir pour que les communautés de la province se sentent en sécurité, déclare-t-il. "Les (forces) de la coalition vont nous aider jusqu’en 2011", explique le général kurde Jamal Bakr, diplômé de l’Académie de police de Bagdad en 1974.

Le commandant américain Ian Palmer, du 4e escadron, du 9e régiment de cavalerie, responsable du sud et de l’est de Kirkouk, juge inutile de comparer le niveau des forces de sécurité irakiennes à celui de leurs collègues américains, qui sont bien mieux équipés. Même s’il considère "sans emphase" que l’armée et la police de Kirkouk sont les meilleures du pays, il pense qu’il faut "mettre les choses en perspective". "Les policiers sont-ils capables d’assurer la sécurité dans les régions dont ils ont la responsabilité ? Ma réponse est oui", assure-t-il.

Alors que le compte à rebours vers un retrait total des forces américaines fin 2011 a commencé, le général Bakr voudrait les voir rester plus longtemps pour parfaire l’entraînement. Le lieutenant McElrath, diplômé de l’académie militaire de West Point en 2007, promet en riant d’apprendre à manier l’AK47 (Kalachnikov de fabrication soviétique) afin de pouvoir mieux conseiller les policiers irakiens sur la manière de maintenir leur arme en bon état. Les soldats américains utilisent le M-16... (AFP)

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  • 1 month later...

La logistique aura du boulot l'année prochaine en Irak

Irak : les Américains déménagent

© Jean-Jacques CECILE, 05 août 2009

Un article publié dans les pages du Boston Globe sous la signature de Bryan BENDER livre à la sagacité du lecteur quelques chiffres intéressants quant à l’ampleur de l’effort logistique requis afin de retirer du théâtre des opérations irakien les “montagnes d’équipements” appartenant à l’Oncle Sam. Le retrait va concerner 31 millions de mouvements censés transporter, entre autres, 100 000 véhicules, 120 000 conteneurs, 34 000 tonnes de munitions et 618 aéronefs. La majeure partie de ce bric-à-brac correspondra à 240 000 chargements de poids lourds qui formeront 8 000 convois routiers. En bout de chaine, tout ce fret remplira les cales de 119 navires qui mettront le cap soit sur les Etats-Unis soit sur l’Afghanistan. Les systèmes les plus sensibles, en particulier ceux mis en œuvre par les unités de renseignement, bénéficieront d’un aérotransport tandis que le Pentagone dresse parallèlement la liste des matériels qui pourraient être vendus ou cédés aux forces armées irakiennes. Le gros de cette gigantesque migration aura lieu l’année prochaine ; les états-majors s’attendent à ce qu’elle provoque une recrudescence des attentats au moyen d’engins explosifs improvisés. Les itinéraires principaux passeront par le Koweït ou la Jordanie mais des routes alternatives ont été identifiées afin de palier à d’éventuelles difficultés.

Mais pour les forces Irakiennes, il y à aussi du travail à faire pour dépasser les clivages. Un Irakien francophone à posté ce document sur le site suivant  : http://coinenirak.wordpress.com/2009/09/02/rentree-difficile/#comment-693

Le racisme au sein des Forces armées irakiennes Par le Lieutenant-colonel Ahmad Al Zaydi Ancien officier de l’Armée irakienne Note rédigée en 1990

http://jeanmoulin.files.wordpress.com/2009/03/le-racisme-et-la-segregration-au-sein-des-fai.pdf

Je savait qu'il avait du ressentiment entre chi'ites et sunnites mais d'après ce texte c'était organisé directement par le gouvernement bassiste de S Hussein que je pensais tout de même plus nationaliste que confessionnal.

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  • 1 month later...
  • 1 month later...

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2009/11/24/007-GB-enquete-guerre-Irak.shtml

La commission d'enquête sur le rôle de la Grande-Bretagne dans la guerre en Irak a commencé ses audiences mardi à Londres. Elle tentera de déterminer s'il y a eu tromperie lorsque le premier ministre Tony Blair a entraîné son pays dans la guerre.

Des familles de militaires britanniques tués en Irak ont accusé Tony Blair d'avoir entraîné la Grande-Bretagne dans une guerre illégale et d'avoir trompé l'opinion publique sur les raisons de cet engagement.

Le gouvernement britannique avait justifié l'entrée en guerre en déclarant que Saddam Hussein était en possession d'un arsenal d'armes de destruction massive, dont aucune trace n'a jamais été retrouvée.

Les parents des militaires tués ont fait savoir qu'ils voulaient que les enquêteurs se concentrent sur trois points: la légalité de la guerre d'Irak, les failles en matière d'équipements et de matériels dont les militaires britanniques étaient dotés, la réalité des informations émanant des services de renseignement britanniques pour justifier la participation de Londres au conflit.

Au total, le conflit a coûté la vie à 179 militaires britanniques.

Commission « apolitique »

La commission d'enquête est « apolitique et indépendante », selon son président John Chilcot, même si ses cinq membres ont été nommés par le premier ministre.

Outre son président, haut fonctionnaire à la retraite, elle comprend deux éminents universitaires, un ancien diplomate et une représentante de la chambre des Lords.

Certains en Grande-Bretagne ont déploré le fait que la commission ne comprenne aucun avocat à même d'imposer un véritable contre-interrogatoire aux personnalités appelées à témoigner, notamment l'ancien premier ministre Tony Blair.

John Chilcot a répliqué que cette commission n'avait pas pour objectif de tenir un procès, mais que son but était de déterminer exactement comment a été prise la décision d'entrer en guerre et « les leçons à en tirer » pour l'avenir.

La fin des auditions aura lieu en février 2010, et les conclusions ne seront pas dévoilées avant les prochaines élections générales, attendues au plus tard en juin 2010.

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  • 3 weeks later...

ca hack

http://www.lefigaro.fr/international/2009/12/17/01003-20091217ARTFIG00675-les-insurges-irakiens-piratent-les-drones-americains-.php

Les combattants chiites ont réussi à détourner un logiciel très bon marché pour intercepter les vidéos transmises par ces petits avions sans pilote. De quoi réduire à néant l'utilité de ces appareils coûteux, de plus en plus employés par l'armée.

Environ 18 euros. C'est tout ce que doit débourser un insurgé irakien pour acquérir un logiciel lui permettant de pirater un drone de l'armée américaine. Alors, à ce prix-là, les combattants chiites ne se privent pas : le Wall Street Journal de jeudi révèle que des données transmises par les avions sans pilotes de l'US Air Force ont été interceptées à plusieurs reprises de cette façon.

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  • 2 weeks later...

Les 5 agents de Blackwater sont libres !

Les autorités irakiennes ont déploré vendredi la décision de la justice américaine, qui a abandonné la veille les charges retenues contre cinq agents de la compagnie de sécurité Blackwater, poursuivis pour la mort de plusieurs civils irakiens lors d'une fusillade à Bagdad en 2007.

"Le gouvernement est déçu et regrette la décision du tribunal américain (...) Nous avons procédé à notre propre enquête et elle montre que Blackwater a commis un crime grave qui a causé la mort de 17 citoyens irakiens. Le gouvernement irakien envisage d'autres moyens de poursuivre la compagnie Blackwater", a déclaré Ali Al Dabbagh, porte-parole de l'exécutif.

Le juge fédéral Ricardo Urbina, qui mis fin aux poursuites jeudi, a estimé que l'administration américaine et les procureurs n'avaient pas respecté les droits constitutionnels des accusés.

la suite : http://fr.news.yahoo.com/4/20100101/twl-irak-usa-blackwater-38cfb6d.html

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