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ISS


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  • 2 years later...

ISS: l'orbite relevée de 1,7 km (TsOUP)

Image IPB

24 mars 2010

L'orbite de la Station spatiale internationale (ISS) a été relevée mercredi de 1,7 km pour s'établir à quelque 348 kilomètres, a annoncé le porte-parole du Centre russe de contrôle des vols (TSOUP) à Korolev, dans la région de Moscou.

Huit moteurs d'arrimage et d'orientation du vaisseau cargo russe Progress M-04M arrimé au module de service russe Zvezda ont été allumés à 09h15 GMT, pour fonctionner pendant 425 secondes.

La manœuvre s'est déroulée dans une zone non couverte par les équipements terrestres russes de contrôle spatial. Les spécialistes russes ont reçu les données nécessaires du Centre spatial américain de Houston.

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Et oui, les projets d'une douzaine de gus dans l'espace dans un 4 ''étoiles'' s'est réduit à ''l'équivalent d'un grand cinq-pièces pour vivre et travailler à six.'' pour 165 milliards de $ (cout des lanceurs inclus) dixit ce blog :

http://astronomia.over-blog.org/article-l-iss-en-passe-d-etre-achevee-45185296.html

Il indique justement quelqu'une des expériences qui seront tenté la haut, on prévoit en autre de lui placer un détecteur d'antimatière  8)

Elle aura au final un volume de 110 x 74 x 30 mètres et peser environ 400 tonnes, il ne reste que 4 vols apportant les derniers labos et équipements :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Chronologie_d%27assemblage_de_la_Station_spatiale_internationale

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http://fr.news.yahoo.com/3/20100403/twl-usa-espace-discovery-nasa-iss-224d7fb.html

La NASA a donné samedi son feu vert pour le lancement lundi matin de Cap Canaveral de la navette Discovery qui doit rejoindre la station spatiale internationale (ISS), a annoncé l'agence spatiale américaine.

Discovery, lors de cette mission de deux semaines, transportera notamment des pièces de rechange et du matériel pour des expérimentations scientifiques à la station spatiale internationale qui est presque achevée après 12 ans de travaux.

Durant la mission, Barack Obama se rendra le 15 avril à Cap Canaveral en Floride afin de discuter de ses projets concernant la NASA.

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http://www.lesechos.fr/info/aero/afp_00243529-le-patron-de-la-nasa-tente-de-rassurer-ses-troupes-sur-l-emploi-et-l-avenir.htm

Les employés de la NASA sont inquiets suite à l'annulation du programme Constellation par B. Obama, cela rique d'entrainer la suppression de 9000 emplois sur les 14000 employés après l'arrêt des navettes d'ici la fin de l'année. les astronautes dependront des soyouz russe pour leur acheminement jusqu'a l'ISS.

Charles Boden le directeur de la nasa  essaye de rassurer sans préciser les détails qu'ils allaient diversifier les programmes avec un budget plus important en 2011.

Beaucoup d'emplois seront réparties dans les sociétés sous traitantes.

Dans une semaine, Barrack Obama va faire un discours pour expliquer sa vision en matière de politique spatiale au centre spatial Kennedy.

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  • 1 month later...
  • 2 months later...

La Station spatiale internationale a dix ans. Et après ?

Image IPB

Par Konstantin Bogdanov

Le 26 juillet 2006, le module spatial russe Zvezda réussissait à s’arrimer à deux autres modules : les appareils américain Unity et russe Zaria. Le début du fonctionnement de la Station spatiale internationale est précisément calculé à partir de ce moment où le module habitable pourvu des systèmes principaux de survie a été mis en service, quoique la première expédition ne s’y fût rendue qu’en novembre de la même année 2000.

Ainsi cela fait 10 ans que l’héritier international de la station Mir reste suspendu en orbite. Les modules scientifiques de la station, à savoir l’appareil américain offert par la NASA et les modules européens et japonais de L’Agence spatiale européenne (ASE) et de JAXA respectivement, s’appuient sur les blocs d’infrastructure déployés par Roskosmos (l’Agence spatiale fédérale russe). Des sommes exorbitantes se chiffrant à près de 150 milliards de dollars ont été injectés dans la Station par tous les pays depuis le début de son fonctionnement. Cette circonstance a toujours constitué l’essentiel des critiques occidentales vis-à-vis de la Station. La question que l’on se pose est de savoir si les recherches scientifiques justifient de telles dépenses.

La communauté spatiale russe, quant à elle, a des préoccupations d’un autre ordre au sujet de la Station spatiale. On peut parfois avoir l’impression que Roskosmos joue le rôle d’une compagnie de transport de fret au service des agences spatiales étrangères. Les modules du segment russe servent principalement d’entrepôts et d’éléments d’infrastructure de la Station. Il s’agit là avant tout du module Zvezda, la colonne vertébrale du système de survie de la Station. Il existe également des problèmes moins graves sur le plan technique mais tout aussi cuisants pour l’amour-propre russe. Il suffit de rappeler dans ce contexte que le module Zaria, par exemple, a été construit et mis en orbite avec le financement de la NASA et qu’il appartient donc toujours aux États-Unis du point de vue du droit formel.

En hiver 2010, le projet spatial américain Constellation a subit la « catastrophe du déploiement ». L’administration Obama a donné un coup de grâce élégant au programme ambitieux de renouvellement total de la gamme des appareils cosmiques et des fusées porteuses visant à permettre aux Américains de retourner sur la Lune et, à terme, d’effectuer un vol piloté vers Mars. Juste après, la fin de l’exploitation du segment américain de la Station spatiale internationale a été remise a 2020 au lieu de 2015 et de ce fait (s’il faut appeler un chat un chat) l’exploitation de la Station entière a été prolongée de cinq ans.

Est-ce bien ou mal pour le secteur spatial russe ? Difficile à dire. Selon les plans actuels, c’est en 2015-2016 que le segment russe devrait déjà être renouvelé d’une part, et être complété par son propre module scientifique (à partir de 2012), de l’autre. Il est notamment prévu de mettre en orbite un nouveau module de survie pour remplacer Zvezda. L’un des résultats éventuels de cette modernisation pourrait consister (en cas de liquidation de la Station spatiale internationale) en un désarrimage du segment russe des autres modules pour constituer une nouvelle station orbitale, entièrement russe cette fois.

Toutefois, le prolongement de l’exploitation de la Station clairement annoncé par les Américains joue en faveur de la conservation de l’état actuel des choses où la Russie joue le rôle de la « grande puissance énergétique assurant la survie de la Station » tout en cédant le rôle de leader scientifique dans l’espace à la NASA, à l’ASE et à JAXA. En même temps, la Russie n’est pas motivée pour créer sa propre station orbitale exclusivement dédiée aux missions de recherche russes.

Le problème principal de la Russie, dans le cadre de la Station spatiale internationale, ne consiste pourtant pas dans l’incapacité de Roskosmos d’assurer le déploiement de nouveaux modules de base de la station orbitale. Cette partie du programme sera exécutée avec une très grande probabilité, même si tous les délais n’en sont pas entièrement respectés. L’essentiel du problème russe consiste dans un nombre exceptionnellement réduit de commandes de la part des organismes russes pour les recherches en orbite et les programmes connexes. Même l’équipement scientifique russe déjà en place dans le segment russe (rappelons à ce propos que le segment russe de la Station ne dispose pas de son propre module de recherche, l’apparition de ce dernier n’étant pas prévu avant deux ans, dans le meilleur des cas) est largement utilisé pour remplir des missions dites « sous contrat ». Autrement dit, il fonctionne de fait « à l’export » au lieu de desservir les consommateurs russes. Quelles seront alors les missions d’une station orbitale russe toute entière, quoique hypothétique ? Et ne serait-ce pas trop cher de maintenir en orbite le drapeau russe simplement pour prouver que la Russie est « elle aussi une puissance spatiale » ?

Le secteur spatial russe a le besoin urgent d’un programme complet de développement regroupant toutes les composantes, à savoir vols spatiaux pilotés et automatiques, vols orbitaux et interplanétaires, recherches, production et construction extraterrestres, ainsi que d’une gamme complète de moyens de mise en orbite. La Station spatiale internationale pourrait jouer le rôle d’un des éléments de ce programme ; un élément important, comme toute mission de coopération internationale dans l’espace, mais pas un élément-clef pour autant.

Ce texte n’engage que la responsabilité de l’auteur.

http://fr.rian.ru/discussion/20100727/187131782.html

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  • 1 month later...

L'ISS sera-t-elle recyclée en vaisseau spatial ?

Que fera-t-on de la Station spatiale internationale en 2025 lorsque l'heure de la retraite aura sonné ? Pour éviter de tout faire disparaître dans l'embrasement qui suivra la désorbitation, la Nasa suggère de réutiliser le module Tranquillity pour en faire un véhicule de transport qui pourrait rejoindre un astéroïde.

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/liss-sera-t-elle-recyclee-en-vaisseau-spatial_24784/

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A mon avis, ils vont plutôt se servir des modules de l'ISS pour faire une nouvelle ISS. Cela coutera moins cher de remplacer juste le modules trop usés et de maintenir comme ça une station spatiale presque éternellement.

En plus s'ils veulent s'en servir comme morceaux de vaisseaux spatial, ils auront un gros problème d'isolation face aux radiations solaire. L'ISS et ses modules sont prévus pour être protégés par le champ magnétique terrestre. S'ils voulaient s'en servir pour un vaisseaux habité en dehors de l'espace terrestre, ils ne pourraient s'en servir que pendant les périodes de faible activité solaire et ils auraient besoin de modules mieux protégé.

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  • 8 months later...

petite remonté du topic, pour une photo qui vaut plus que largement son pesant de cacahuete:

Image IPB

http://twitpic.com/539cd0

a noter une serie de photo de l'iss a venir d'ici une semaine, prise lors du retour sur terre de soyouz tma-20 il y a quelques jours. l'astonaute italien Paolo Nespoli a en effet une serie de photo de l'iss ( que l'on espere historique ) avec la navette us et  l'atv de docké en meme temps.

un petit apercu lors du désarimage du soyouz 

magnifique  O0

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  • 2 months later...

Pourrait on voir un scénario à la Universal War ou l'ISS reste en orbite indéfiniment avec de ajouts de modules de décennies en décennies ?

C'est le + probable, même s'il faut compter sur le fait que les modules sont construits avec des dates limites de "péremptions" Mais bon voila, dans le spatial ces dates : c'est comme les programmes nominaux des sondes spatiales qui durent que peu de temps par rapport aux réalités au final avec les extentions d'exploitations si on considère que tout va bien

Il y a fort a parier déja que d'ici 2015 il va y avoir des inspections majeures des 1er modules russo-américains et des décisions d'extensions majeures de dates limites d'exploitations selon les comptes rendus de leur état : mais on peu raisonnablement espérer qu'ils soient encore quasi "neuf" d'ici la ...

De la, si on a les moyens techniques de faire venir de nouveaux éléments, alors pourquoi pas : mais si on y réfléchit bien, même l'UE pourrait dès aujourd'hui lancer un programme alternatif a l'ATV pour arrimer des nouveaux noeuds et modules via de l'arrimage automatique comme l'ATV : ceux a l'intérieur veillant a leur installation

Car l'ATV peut être largement modifié pour arrimer sa charge utile, et n'éjecter que son module de service (la partie réacteur, réservoir de carburant ect) et sa charge utile être un noeud ou un module définitif : si on le veut bien entendu

Vu que techniquement, il y a déja eu une étude pour que ce module de service, puisse être séparé du module charge utile pour une version habité de l'ATV : c'est donc que c'est faisable pour une version cargo qui viendrait apporter un module définitif : ça pourrait commencer par un nouveau noeud d'arrimage saisissable par les bras dont dispose l'ISS aujourd'hui (pas trop lourd) ou arriveraient les futurs mission de l'ATV (actuellement, elles s'arriment coté russe, la ou s'arrime aussi progress)

Puis réaliser des missions, ou l'arrimage, serait une fixation définitive de modules habitables ect : le seul obstacle a cela, la volonté politique de le faire, en europe : mais ça pourrait être une excellente alternative au manque criant qu'est l'arret de la navette pour apporter de nouveaux sous ensembles/modules comme elle l'a fait jusqu'a maintenant

Toujours est il :

Que même si mars, est une destination quasi abandonnée pour l'instant, un tel programme pourrait reprendre du poil de la bête d'ici 2020-25, et l'ISS alors, serait un point essentiel pour gérer le chantier spatial de la construction du train spatial pour une mission marsienne :

On sera quasi contraint de se servir de l'ISS comme base arrière de l'assemblage d'une mission marsienne, avec des gros modules a assembler entre eux, et a surveiller/préparer (réaliser des montages en kit a l'intérieur des modules, qui ne pouvaient rentrer dans un lanceur pour des questions de volumes ect)

Puis une appro carburant définitive par l'ISS, et un départ définitif depuis l'ISS du train spatial pour mars

L'ISS pourrait avoir une vocation ultérieure donc de chantier spatial : le problème, les missions scientifiques a s'occuper a l'intérieur + une surcharge de personnels potentiel a devoir anticiper avant

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  • 2 weeks later...

je pense que si on utilise l'iss comme point de départ pour mars, il faudra relever l'orbit de la station, vers les 800Km de son début car le vaisseau risque d'user beaucoup de carburant pour sortir de l'orbit basse terrestre

Pas des raisons radiatifs et technique (desserte) ce n’est pas possible. Et ce n'est pas non plus qu'un grand intérêt. Le gain énergétique entre 400 et 800km pour un départ est négligeable.

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