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Passé, Présent, Futur des Forces Armées Serbes


Amiral de la flotte

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Depuis la partition de la Serbie en deux entités à savoir le Monténégro et le Kosovo, quelqu'un pourrait-il m'indiquer l'état des forces armées de Serbie. Je propose également sur un plan plus général de parler du passé, du présent et du futur des Forces Armées Serbes.

L'idéal serait que la Serbie devienne la Suisse des Balkans au point de vue des armements. Moi je propose la présence de Chars Léopard 2A4/5/ou6.

http://www.army-technology.com/projects/leopard/images/leop1.jpg Léopard2A5 ou 2A6EX http://www.avions-militaires.net/images/dossiers/chars/photos/leopard-2a6-ex.jpg

En vue de réaliser des économies d'échelles et d'entretien l'ajout au côté des chars de combat Léopard, il faudrait également des chars poseurs de ponts, de Dépannage/Génie sur châssis identique. http://www.defenseindustrydaily.com/images/LAND_AEV-3_Kodiak_Leopard-2_lg.jpg, http://www.armyrecognition.com/europe/Belgique/vehicules_lourds/Leguan/Leguan_Leopard1_AVLB_Belgium_001.jpg.

Le nombre de chars de combat se situerait autour de 200 unités en revanche 20 unités en version poseur de ponts ainsi que 20 unités en configuration génie/dépannage.

D'autres propositions de ma part interviendront plus tard. J'attends vos éclaircissements.

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Je pourrai t aidé un peut a ce sujet la je crois ^^ , mais je ne comprends pas tres bien ta question, elle est fort general, pour ce qui est du chars, nous en avon un nouveau semblable au T90s mais differant sur certain point, car fabriqué chez nous avec nos idées...Qui ma foi n est pas un mauvais chars, la serbie a une grosse indepandance millitaire herité de l ex yougoslavie,...Mais vus les derniere guerre, elle n  as pas sus ce modernisé, elle commance tout doucemant a le faire, et elle est deja tres avancé dans le domaine des forces special, experiance duremant aquise au cours des derniere guerre, mais pose moi une question plus precise, je me ferrai une joie d y repondre, et si je le fais pas de suite, je le demanderais a des personne qui sont tj dans le millieu..PS le francais n est pas ma langue maternel, du coup si tu ne comprends pas tj ce que j ecris, dis le moi

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Ce que je veux dire par ce sujet, c'est que à plus ou moins long terme la Serbie entrera dans l'UE à ce moment là les matériels que ses forces armées devront adopter seront calibrés dans un standard OTAN. Donc de facto, une modernisation sera nécessaire. De plus, au niveau des unités de forces spéciales on peut noter l'acquisition de matériels d'origine occidentale. Autre donnée qui n'en est pas moins importante. Les pays voisins de la Serbie acquièrent pour certains d'entre eux des matériels d'origine ocidentales et donc on peut noter ainsi une disparition progressive du marché traditionnel sur lequel pouvait compter l'industrie serbe pour écouler ses armements.

Si gentiment tu m'as proposé que je te pose une question et que tu me répondrais avec plaisir, donc c'est pour cela que j'aimerai savoir quel est le rôle de la base logistique centrale ?

Je te remercie de m'avoir répondu et ce dans un français très compréhensible. Moi étant Français et si je me réfère à l'histoire la France était au côté de la Serbie lors de la première guerre mondiale. De ces liens très fort qui ont pu exister et bien moi je tiens à témoigner toute ma sympathie pour la Serbie et pour les Serbes.

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je te remercie ^^ d ailleur nous non plus on a rien aublié chez les franchis ^^, en faite en europe c est avec la france que l ont fesaient le plus d affaire et a qui on achetait des armes,

la serbie veut des normes OTAN, surtout pour l aviation, mais c est pas pour ca qu elle va acheté des avion occidantal, en faite, elle cherche de plus en plus a devlopé ces propres armes, mais vus son faible niveau actuel, elle prefaire acheté occidantale pour simplemant relevé le niveau technologique, car elle n as pas les moyen pour ce lancé dans un grand ratrapage sur tout les front de l armement, je m explique : par example elle va ce doté de syteme radart francais, tout ca dans le bute que son armée ne sombre pas comme celle de la russie avant, du coup elle achete des armes mais jamais en grand nombre,...

Je peux te donné plus d info mais pour ca je vais en parlé avec un ami, parceque d ici je peux pas allé directemant sur place...mais avant meme qu elle rentre dans L UE, elle aurra une armée au norme otan ^^ , je sais pas si c est une bonne chose au mauvaise, mais elle laissera pas ce distancé par la croatie par example

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Vu sa proximité géopolitique avec la Russie, la Serbie ne va-t-elle pas plutôt se fournir prioritairement en matériel issu de ce pays ? Ou bien va-t-elle panacher ses achats, un peu comme la Grèce en fait, avec achat par ex de systèmes anti-aériens et antichars russes et de matériels sophistiqués occidentaux, avec adoption en règle générale des calibres utilisés par l'OTAN ? Avec son niveau technologique actuel, quel type d'armes la Serbie peut-elle produire elle-même ?

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La serbie produit l'ensemble de ses munitions et armes légéres d'infanterie

Elle produit egalement la quasi-totalité de ses blindés et une bonne partie de ses pièces d'artillerie

En gros tout le matériel pour l'AdT (a part les helicos) est fait ou faisable sur place (y compris les munitions à part les systèmes antichars ou les ManPads les plus avancés)

Le problème de production se pose pour l'aviation mais (Nazdravlje pourra le confirmer) la Serbie sait deja panacher l'armement occidental sur des appareils de fabrication russe et vice versa (du temps de la Yougoslavie l'AdA se fournissait aussi bien auprès de l'OTAN que du pacte de Varsovie donnant ainsi des combinaisons bizarre genre missile Maverick sur appareil russe .....)

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C est exacte ce que tu dis, dailleur les premier avion qu elle a achetté etait des US, et ca en plaine guerre froide, et vis vers ca, elle a tj fait casi tout, du sous marin aux avions ( exlut l avion de superiorité airienne)... Elle a ete dans les 9 plus grands pays exportateur d armes...

C'est vrais on aime pas trop les USA, ca y a pas a caché, mais ca n empeche pas d equipé nos force special de matos US....et d un autre coté on fabrique un chars qui dispose d un systeme d autoprotection Shtora (russe). Enfin je vais avoire plus d info bientot et je poste ici

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  • 1 month later...

C est un apareil serbe, en faite je savais pas ce que ca voulais dire cocarde lol

On a repris notre encienne cocarde et on la mets sur tout les apareil mint, on l avait enlevé pendant l ex yougoslavie communiste, a cause de son coté "chretien" entre autre....Tu peux dailleur l apercevoire sur le dernier MIG 29 modernisé que j ai posté, au bout de l aile gauche...

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Nicholas Ribic un paramilitaire serbe ayant immigré au Canada puis s'étant fait naturalisé retourne en court lundi: le canado-serbe veut ''laver son honneur'' après avoir purgé sa condamnation de 3 ans de prison pour crime de guerre. Il apparaitra en cours à Toronto en référence à sa demande de se faire retiré du fichier des criminels...

Selon lui, avoir pris en otage un observateur non-armé de l'ONU (le capitaine canadien Patrick Richner)

l'avoir menacé de mort, avoir simulé son exécution dans le but de le torturer, puis l'avoir attaché à un paratonnerre est un geste tout à fait banal ne relevant pas d'un crime de guerre ni de la convention de genève selon lui... >:( >:( >:( >:(

S'en prendre à un simple observateur ne portant aucune arme, se ramener au Canada comme si de rien n'était après le conflit, être condamné, purgé sa peine, puis demander à sa sortie un nouveau procès pour son ''honneur'' après que la court est entendue tout les saloperies de tortures psychologiques qu'il a put faire à son premier procès sans que l'observateur ai eu une quelconque façon de se déffendre grrrrrrrr $%&!#!....... 

Capt. Richner prisonnier

http://a123.g.akamai.net/f/123/12465/1d/www.nationalpost.com/news/586430.bin?size=404x272

The war in Bosnia stands among the dirtiest of modern conflicts, featuring torture, mass rape and genocide fuelled by ethnic rage that was hardly eased by the United Nations entering the fray. Against this backdrop, the ugly point of contact between two Canadians on that foreign battlefield highlights a divisiveness that still reverberates, with a new chapter set to open Monday in a Toronto courtroom.

Nicholas Ribic left Edmonton to join Serb forces and "fight Muslims." Canadian Forces Captain Patrick Rechner, from Digby, N. S., was assigned to the UN as a peacekeeper.

On May 26, 1995, Ribic kidnapped Capt. Rechner at gunpoint, shackling him to a lightning rod beside an ammunition bunker as a human shield to stop NATO bombers.

Pictures of the bespectacled Capt. Rechner, his hair tousled and face distressed, became an iconic image of the conflict.

That he faced this treatment at the hands of a fellow Canadian has led some to call Ribic Canada's John Walker Lindh, the American Taliban fighter captured in Afghanistan. Federal prosecutor Robin Parker calls Ribic a "war tourist."

On Monday, an apparently unrepentant Ribic will defend his actions -- claiming the NATO bombing was the crime, not his kidnapping.

Ribic's trial in Ottawa in 2005, which found him guilty of hostage-taking and threatening death, is called "one of the most unusual criminal trials in Canadian history" by D'Arcy DePoe, Ribic's lawyer. It was the first time a Canadian was charged for such a crime taking place abroad.

This appeal is equally confounding.

In it, Ribic characterizes the NATO bombing as an assault and an act of trespassing and points to the legal defence of justification: The Criminal Code allows someone to apply reasonable force to prevent an assault or eject a trespasser.

"While this is an unusual form of trespass, it is submitted that NATO dropping 2,000-pound bombs on this property was clearly a trespass," Mr. DePoe argues.

Despite that position, Ribic does not truly want to reduce the vast geo-political events in Bosnia in 1995 to the level of a common criminal charge. He is putting the politics of the war itself on trial.

"When Canadian criminal charges are laid in the context of a foreign civil war, the case may involve considerations of local and international politics as much as crime," Mr. De-Poe argues. The government wanted to make a statement by laying the charges and now Ribic has a chance to make a statement of his own.

"It always seemed more of a show trial," Mr. DePoe said.

If the argument gains traction with the Ontario Court of Appeal judges, it could set a striking precedent for activists and militants. It also highlights the awkwardness of using Canada's traditional Criminal Code to police foreign battlefields.

And as that debate reignites, the case of Her Majesty the Queen v. Nicholas Nikola Ribic will once again be the focus of keen international scrutiny.

---

It was shortly after 10 a. m. on May 26, 1995, when Nicholas Ribic, dressed in a camouflaged military uniform and helmet and armed with a Kalashnikov assault rifle fitted with a scope, arrived at the cramped United Nations Military Observers' post in Pale, Bosnia.

The sharp crack of two introductory gunshots outside contrasted with the low rumble of the aerial bombardment heard in the distance from NATO planes striking Serb positions.

Capt. Rechner was the leader of a three-man UN liaison team in Pale, which lived on the third floor of a local house with their office in a converted garage on the main floor. In accordance with a strict UN edict for military observers, they had no weapons, not even hidden in their personal quarters.

Capt. Rechner was upstairs at the time and, hearing the commotion, slipped downstairs. Peeking through a crack in the door, he saw armed men holding a UN colleague at gunpoint.

"Stop the bombing or I'm going to kill you," one of the intruders said, speaking in Serbian.

Capt. Rechner quietly crept back upstairs to call for help.

He telephoned Serb president Radovan Karadzic's office and spoke to his secretary who told him the men had been "sent officially," according to Capt. Rechner.

Meanwhile, downstairs, Ribic held his AK-47 rifle in a tight grip ready to fire, according to court documents. The Czech UN observer was asked if there were other personnel in the house and he said no, but a local UN interpreter intervened. "No, no, there is Patrick [Rechner] upstairs," she said, going to the door and calling up, "Patrick, come down."

Capt. Rechner joined the group. Ribic then ordered the officers to put him in touch with UN commanders on their radio.

"Who am I talking to?" a UN soldier asked Ribic over the airwaves.

"This is a Serbian soldier," Ribic replied.

---

It was a tense time for everyone as bombs kept falling, but trouble in Bosnia started years before the Canadians' encounter, when the Republic of Yugoslavia dissolved and its component ethnic groups -- Serbs, Bosnian Muslims and Croats -- struggled for status and boundaries that often conflicted.

Against the wishes of Serb nationalists, the UN recognized Bosnia and Herzegovina as an independent state in 1992.

"Bosnian Serbs, supported by neighbouring Serbia, responded with armed force in an effort to partition the republic along ethnic lines," according to the U. S. State Department.

Better-armed Serb forces quickly gained control in several areas and, according to recent findings by the International Criminal Tribunal, atrocities were committed against the non-Serb population.

Sarajevo, the capital of Bosnia and Herzegovina, remained outside Serb control but was surrounded and is often now said to have suffered the longest siege in modern history.

The Bosnian Serbs set up their rival government 15 kilometres away, in the town of Pale.

The UN established several "safe areas" where heavy weapons were banned.

Along with their multinational peacekeeping troops backed by NATO warplanes, the UN had a number of unarmed military observers deployed in the field. Each of the warring factions was responsible for ensuring their safety. Capt. Rechner and his colleagues comprised one of these teams, assigned to Pale.

Despite the international attention, violence was escalating in the region.

On May 24, Lieutenant-General Rupert Smith, commander of the UN Protection Force, sent a warning to General Ratko Mladic, the Serbian military commander in Pale. A deadline of noon on May 25 was set for the return of heavy weapons the UN said both the Serbs and the Bosnian Muslims had removed from weapons-collection points. "Failure to comply with either deadline will result in the offending party or parties being attacked from the air," Gen. Smith warned.

About four hours after the UN deadline expired, Capt. Rechner heard bombs fall and saw clouds of smoke about six kilometres out of town.

In response to the aerial bombardment, Serbs shelled UN safe areas, including Sarajevo and Srebrenica.

Gen. Smith again sent a dispatch to Gen. Mladic. He blasted Gen. Mladic for the shelling: "You must understand that the failure to return the weapons and the subsequent shelling have taken the matter out of my hands; your forces must continue to expect NATO to react."

On May 26, Gen. Smith and Gen. Mladic spoke directly by telephone. The Serb commander was defiant, according to "restricted" notes on the conversation.

Gen. Smith was "crazy and unreasonable," Gen. Mladic said, and could not be forgiven "for your stupidity."

He said the UN had just "started the war."

---

UN officials in Bosnia first noticed Nicholas Ribic, the Canadian-born son of a Yugoslav-born father, in January, 1995.

When Bosnian Serb Army Colonel Slavko Guzvic arrived at a meeting with the UN to negotiate safe zone access, he arrived at the UN base in Tuzla with his English translator. The colonel introduced the UN team to Ribic.

Dressed in civilian clothes and unarmed, Ribic was friendly and spoke freely with many Canadian soldiers stationed at the base about his citizenship. He said he was from Edmonton and had come back to Bosnia to help his homeland "in the struggle," court documents say.

When some of the soldiers heard Ribic was based in Pale, they suggested he look up Capt. Rechner, a fellow Canadian; maybe they could get together and swap stories from home, it was suggested. At least one Canadian soldier at the base, however, was concerned about Ribic's role with Serb forces and a confidential report was made to superior officers.

Not long after, back in Pale, Ribic indeed met Capt. Rechner. Again Ribic wore civilian clothes and Capt. Rechner at first thought he worked for a Serbian news agency.

Ribic said he had received special paramilitary training in Croatia in 1992, according to Capt. Rechner's earlier testimony. Ribic also met Captain Oldrich Zidlik, the Czech member of Capt. Rechner's liaison team.

"What are you doing here, as a Canadian?" Capt. Zidlik asked him, according to court documents.

"Well, I'm here to fight Muslims," Ribic said.

"Is that the reason?" asked the Czech.

"That's enough for me."

Their next meeting was not as chatty. It was on the day of the second wave of bombings. At that time, Ribic was no longer dressed like a civilian. Nor did he act like one.

---

With NATO jets pounding Serb military targets, Serb forces were desperate.

"Had they been able, they could have shot the planes out of the sky, or attacked the bases from which they were sent," Ribic's defence argues. With NATO having absolute air superiority, however, "the only means available to them was to take hostages."

Back at the UN liaison office, Capt. Rechner and his two colleagues were handcuffed together and loaded into the back of their white UNmarked Toyota Land Cruiser and driven to the ammunition depots that were under attack.

As they arrived, the hostages could feel the shock waves of bombs detonating. Two of the bunkers had been hit; one was on fire and ammunition inside was periodically exploding. The sharp smell of burning munitions was strong.

They were met there by an angry Serb mob. Someone assaulted Capt. Rechner and tried to shoot him. Ribic and other guards intervened.

"It is highly likely that Ribic helped saved the life of Rechner," Ribic's defence says.

The UN observers were then each taken to a different installation. Capt. Rechner was handcuffed to a lightning rod beside one of the ammunition bunkers in the hope NATO planes would stop their attack.

Ribic again contacted the UN over the radio.

"This is a B. S. A. [bosnian Serb Army] soldier. Three UN observers are now at the site of the warehouse. Any more bombing, they'll be the first to go. Understood?" Ribic said, according to court documents.

"You listen to me, if this bombing doesn't stop, then these hostages are going to die," Ribic added before hanging up the phone, according to testimony.

A Bosnian Serb soldier videotaped Capt. Rechner and gave the tape to a local Serb news service for broadcast to prove the precarious presence of the hostages.

The image, as it was played and replayed around the world, took on other motifs: the desperation and defiance of the Serb army and the internecine tragedy that was unfolding.

For over an hour, the bombing continued.

When Capt. Rechner and another UN officer were suddenly removed from the bunkers and driven to the top of a hill by men wearing black balaclava masks, he thought the worst.

"It was very strong in my mind that we were probably being taken up there to be executed," Capt. Rechner said. Instead, Capt. Rechner was simply relocated.

The next day, Ribic took Capt. Rechner back to the UN liaison post to pick up clean clothes, food and toiletries. While there, Ribic looked at the television; playing on CNN was the video of Capt. Rechner chained outside the bunker.

"I may as well rip up my Canadian passport," Ribic said.

---

Ribic perhaps overestimated the Canadian response.

The hostages were released on June 18, 1995, about the same time that an investigation of Ribic was launched by the RCMP. In 1997, Ribic moved to Germany, where he lived with his then-fiancee, a German citizen.

In 1999, the Canadian government filed charges against him and by May of that year he was returned to Canada and released on bail by an Ottawa court. In 2002, his trial started but ended in a mistrial three months later. A second trial began in 2005 and, after weeks of evidence and four days of deliberation, a jury found him guilty on two charges. He was sentenced to three years in prison.

He has served his time and now lives on parole in British Columbia. Despite his freedom, Ribic still objects to the indictment. He seeks to have the convictions against him lifted or, at least, get a new trial.

The international community has long had an interest in the case and will be watching, said Darryl Robinson, a professor of international criminal law at Queen's University.

"International law is clear that there are certain things you cannot do to civilians or prisoners of war under any circumstances, even if you think it might help you militarily," Prof. Robinson said.

"We're not interested in who was right or wrong to be there but how you conduct yourself."

The appeal hearing is expected to last two days. 

Source: The National Post

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  • 1 month later...

nazdravlje, ils en sont ou de la remise a niveau des Mig29 restants (qu'est ce qui a été changé sur ces appareils)

d'après des infos/rumeurs que j'ai pu recouper les officiers formés par les ecoles militaires à la mode JNA sont en traiin d'etre gentiment mis à la retraite anticipée ou au placard pour etre remplacés par des officiers avec l'esprit OTAN , tu peux confirmer ??

il semblerait aussi que les appareils de fabrication locale (Orao/Galeb) ne volent plus beaucoup car pas compatibles OTAN. Tu peux confirmer aussi ??

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pour ce qui est des G-4 Super Galeb , il vont etre mis tous G-4M, modernisé pour pouvoire tiré differant type de bombe guidée, ect.... il serrai un apareil au norme otan sans probleme, ce projet devait deja etre fait depuis des années mais la guerre ne l as pas permis,...les mig modernisé devaient etre au nombre de 4 + 1 en en 2008, la modernisation portait en partie sur les pieces mechanique chez nous (moteur ect...) et les partie electronique devaient etre fait en russie,...Je peux pas te dire ce qui finalemant as ete retenus ou pas, mais il devait etre comparable au MIG modernisé de tchecoslovaquie, mais entre les promesse et ce qui serra fait en realité il y a une differance, pour le moment aucun de mes contacte n as pus allé jetté un oeil dans les mig modernisé !

Je doute mechamant que l ont va se passer des orao, a moins d acheté d autre avion de ce type, les guerre notamant celle contre l UCK nous ont montré que ces avions avaint une importance non negligable et pouvais etre emplayé meme quand le ciel nous etait interdis (contraremant aux idée recus ici chez pas mal de millitaire, nos avions vollaient a basse altutude j ausqu au kosovo pour bombardé des cible de l UCK, les avion de l OTAN nous detectent trop tardspour pouvoire intervenire, pareil pour les helico, on savait qu il nous voyent nous deplacé avec, mais qu il serrai impossible pour eux de les intercetpé, car le temps de volle etait bien clalculé)

Bref pour te dire, que meme eux nous ont bien servi, et les jetté simplemant a la poubelle sans les ramplacé par rien d autre, ce serrai stupide un ami a encore fait des photo du defilé militaire en serbie on y voyais les avions vollé ;) ...

Pour ce qui est du temps de vole, oui il a ete racourcis mais ca date pas de hier  et pour la mise a la retreaite , je confirme ;) , ca sert a rien de commancé a formé des mecs qui sont a quelque années de la retraite surtout en sachant qu ils leur faudra baucoup plus de temps qu as des jeunes pilotes, surtout que les vieux comme moi, on aiment pas trop le changemant ;)

En fait baucoup d idée folles circulent, j ai encore recus un mail, mon ami m expliqué la possibilité d acheté des SU ou rafale...entre 25 et 30 apareilles...

Je vais posé la question a quelqu un de mieu placé, mais c est assez compliqué ce genre d info, car tant que les politique ne signe rien, tout peut etre changé a la derniere minute...

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